Tous les arguments sur la nécessité de développer la compétitivité des entreprises et d'augmenter les profits n'ont mené qu'à plus d'inégalités, de précarité, de mise en concurrence de tous et toutes contre toutes et tous. Les acquis sociaux gagnés par nos aînés sont mis en pièces les uns après les autres dans tous les pays.
  À rebours de cette logique, dans la société la plus riche que l'humanité a connue, nous voulons soumettre les intérêts capitalistes pour assurer à tous et à toutes le droit à une vie décente, à de bonnes conditions de travail, à la santé, au logement, à l'éducation et à la retraite.
  À cette logique qui dresse les individus les uns contre les autres et soumet certains pays à la domination d'autres, nous opposons la solidarité nationale et internationale.
  Nous savons que cette politique n'ira pas sans combats, à tous les niveaux, dans la rue et dans les urnes et dans tous les lieux, dans nos quartiers, dans nos entreprises, dans nos écoles et dans nos universités.
  C'est pour cela que nous appelons toutes les forces qui se sont unies pour faire échec à l'Europe libérale, tous ceux et celles qui se sont battus contre le CPE à se rassembler dans des collectifs pour construire une nouvelle force, renouant avec les meilleures traditions de la gauche, capable d'obtenir de nouvelles victoires sur la fatalité libérale.       Credo antilibéral du collectif de Paris 18ème
Keny Arkana - Rap révolutionnaire 



le projet
Charte Antilibérale

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les propositions
Ce que nous voulons
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les noms
Candidatures unitaires
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le meeting unitaire du Mans, le 06.11.2006 en vidéo page1 et page2



UNE ALTERNATIVE MAJORITAIRE !
«La dérive autoritaire dans la manière de gouverner et un certain arsenal juridique répressif mis en place ces dernières années sont le pendant de la faible adhésion sociale au capitalisme libéral. Un modèle qui promet comme avenir une régression sans fin par la mise en concurrence des systèmes sociaux à l'échelle de la planète ne peut pas susciter d'acceptation, même partielle, comme avait pu le faire le capitalisme des Trente Glorieuses, durant lesquelles les politiques de redistribution et les luttes avaient permis l'amélioration des conditions de vie.»        C. Debons

LES COLLECTIFS ?
Les collectifs issus de l'appel des 200 pour le NON antilibéral au TCE ont rassemblé les opposants de gauche au traité et ont permis une campagne unitaire pour le non. La moitié d'entre eux, soit environ 500, existent encore : l'unité et la cohérence de la mobilisation antilibérale s'y expriment et il n'y avait pas lieu de les abandonner le 30 mai.