Lemons en delire-2007-http://www.lemons-en-delire.com

Les personnages pour ce Lemon sont : Tam Chamade 22 ans (Hitomi Kisugi), Sylia Chamade 24 ans (Rui Kisugi), Alex Chamade 17 ans (Ai Kisugi), Quentin Chapuis 24 ans (Toschio Utsumi), Odile Assaya 24 ans (Mitsuko asatani), commissaire Bruno 45 ans(Kacho), Monsieur Durieux 50 ans (Nagaishi),

CAT’S EYES

L’AFFAIRE DU MUSSE D’ART ET DE SEXE

L'inspecteur Quentin, prit en main la carte de "CAT’S EYES", il l’examina de toutes les manières. « Oui ! Ses bien une vrais !_ Tu crois espèce d’imbécile que ses pour ça que tu es la ! Crétin ! Je ses bien que ses une vrai ! » Le chef hurla si fort que Quentin, eu presque les tympans brisé. « C’est plutôt ce qui est écrit dessus ! Qui est intéressant ! Inspecteur Chapuis » là voix, glacial d’Odile Assaya, était encor plus terrifiante pour lui, elle était là que depuis deux mois et Elle lui donnait déjà des ordres ! Il sourit, car sa promotion, ne durait que temps que le commissaire serrait fâché avec sa femme. L’inspecteur Chapuis, se décida à lire, la carte à haute voix ! « Nous viendront récupérer, "souvenir d’été" se soir au musé des arts contemporain ! »

Les trois policier, prirent l’air songeur et se mirent a réfléchirent a un plan. Quentin, prit la parole après cinq minutes de silence. « J’ai un plan ! Cette fois sa va marcher ! J’en sui sur ! _T’es plan rate toujours ! » Le commissaire parla, d’une voix calme et dépourvus d’espérance, tendit que Quentin explique son idée a ses deux collègues ! De l’autre coter de la rue, au premier étage du café "CAT’S EYES". Une ravissante jeune femme qui tenait, des jumelles da ses mains, lisait sur les lèvres de Quentin et répétait a sa jeune sœur le plan du policier. »Bon ! Maintenant tu pourrais te rhabiller ! _Oui ! Tu a raison ma chérie ! » Sylia, était habiller d’une simple serviette de bain ses cheveux était encor mouiller et sa petite sœur Alex, était encor en uniforme de son lycée. vingt minutes plutôt, Alors qu’Alex, arrivait a peine du lycée. Sylia, lui avait demandé de tenir le bar tendit qu’elle prendrait une douche. Un client, du même âge que son père et que Sylia avait trouvé une ressemblance. Lui avait renversé, sur ses vêtements le café, alors, qu’elle allait lui faire une petite fellation ! Il faut dire a la décharge du client, qu’il fut surprit par l’arrivé d’Alex dans le café.

 Sylia, lui caressait la bitte, en même temps qu’il tentait de boire sa tasse. Alex, entra se moment là, et le client jouit dans les mains de Sylia, en poussant un petit gémissement de jouissance. L’adolescentes s’était retourné sa jupe de son uniforme d’été se souleva et il entrevu sa petite culotte blanche. Il eut un soubresaut et tenta de se levé et la tasse rebondit sur la table, reversant son contenue sur la tête de Sylia. Elle avait commencé a lui léché la tige, mais le café bouillant dans ses cheveux l’arrêtant nette la caresse des parti génital de l’homme. Celui-ci, laissa trois mille yen sur la table et sorti en vitesse. Alex, écalât de rire, tendit que les cheveux de sa grand sœur, dégoulinait de café. « Hi ! Ha ! Hi ! _Sa va ! Occupe toit du bar je vais aller, faire un brin de toilette ! »

 Le téléphone retentit, La lycéenne, décrocha s’était Tam, qui appelait et avertissait, ses deux sœurs, que la police avait reçu leur carte ! Alex, alla fermer la porte du café et mettre l’écriteau "fermer pour cause exceptionnel" ! Elle grimpa, jusqu’au premier pour dire a sa grande sœur d’aller espionnée la conversation, entre Quentin, et ses collègues ! Sylia, pouvait lire sur les lèvres et une des chambre du premier étage, donnai pleine vu sur le bureau du commissaire Bruno. « Bon ! Maintenant, qu’ont connaît leurs plans ! On va pourvoir faire le notre ! Mais avant, je vais terminer de ma laver et toi appel monsieur Durieux ! Qu’il vienne se soir !» Tam, arriva, une demi-heure plus tard, suivit de l’étrange Monsieur Durieux. Homme, semblait bien connaître leur père et comme ses filles il était désireux de retrouver Michael Heintz ! 

A l’étage il y avait une pièce secrète, c’est la que les trois filles de Heintz, préparaient leur coup. Elles que l’ont traitaient de voleuse, ne faisaient que récupéré leur héritage. Leurre père, qui était grand collecteur d’art et un artiste lui même mondialement reconnue. Il avait disparut, peu après là naissance d’Alex, ainsi plusieurs de ses toile et d’objet de la collection qui avait rassemblé !

Quinze ans plus tard, des toiles et on commencé a apparaître sur le marcher parallèle. Presque toutes, son entre les mains de gangster ou de mafiosi, quand on vole un voleur on pense qu’il appel ra pas la police. C’est la raison, pour laquelle, les trois fille de Michael Heintz, sou le nom de "Cat’s Eyes", prévienne toujours la police ! Avant d’aller reprendre les divers d’objet d’art, a chaque fois elle espère que le possesseur a une information qui pourrait les intéresser !

C’est Monsieur Durieux, qui a accès a un comte secret de Michael Heintz, qui fournit les fond pour le coup de récupération.

Sylia, qui connaît parfaitement le musé, explique le plan à ses deux sœurs devant monsieur Durieux. Alex, prépa rapidement le matériel et demande à monsieur Durieux de fournir pour le coup, un camion et un petit hélicoptère qui sera à l’intérieur. Trois heur plus tard a la nuit tombante, la police a déjà mit en place son dispositif, malgré la réticence du directeur du musé. « Monsieur l’inspecteur ! Je vous assure que mon musé, ne craint pas "Cat’s Eyes" ! Mais gardiens son…_Monsieur Musomi ! La police a l’habitude de ses voleuses ! Nous somme en mesure de les empêcher de vous voler ! À moins que vous puissiez me dire comment le "souvenir d’été" ! Un tableau, que Michael Heintz, a peint ! Et qui faisait partie de sa collection privé ! Peu, avoir atterrit entre vos mains ! Alors, que toute la collection a disparut, depuis près de quinze ans ! »

Le directeur, se tu et essaya de réfléchir, a une réponse qui ne le métrait pas dans l’embarra, vis, a vis de la police. Il savait que la toile était voler, car il l’avait acquit dans un marcher a une enchère secret. Organiser par la mafia. Il bredouilla une explication qui ne tenait pas la route et finalement abdiqua. « C’est bon ! Vous pouvez faire tous ce que vous, voulez temps, que je garde la toile ! _ Vous inquiété pas ! je vais moi même veiller sur cette croute ! » Sur une colline, qui domine le musé, les trois "Cat’s Eyes", observe le dispositif. « Dix, policier devant la grande porte ! Sept autres, plus cette sorcière d’Assaya ! _Hurrr !  Hummm ! Tu pourrais être plus révérencieux Enver cette jeune femme ! Alex ! _Moi tu ses Sylia ! Je ne l’aime pas beaucoup ! Quentin a dit quoi au juste ! _ il a dit qu’il allait rester toute la nuit dans le noir a planter devant la toile ! »

Les trois filles, étaient dans leur combinaison, ultra moulante, allonger sur le ventre, Monsieur Durieux était derrière eux et matait leurs fesses. Le plan, était très simple, Tam et Sylia, entrerait dans le musé et Alex viendrait le récupéré sur le toit avec l’hélicoptère ! Sylia, était chargé de faire diversion et c’est Tam, qui décrochera le tableau du mur. Les deux sœurs attendaient qu’il soit minuit avant de passer à l’action. Alex, en profita pour préparé le petit hélicoptère et vérifier la télécommande. Monsieur Durieux, la regardait travailler d’un air bien veillant. Il savait que pendant la demi-heure où ses frangine serons occupé, il pourrait jouer a papa et a la maman, avec l’adolescente.

Le chef de la "B.R.B.", était assit dans un fauteuil en cuir dans un bureau, qui était contigüe a celui de la surveillance. Il affichait, un sourit béa, ses mains se cramponnaient au bras du fauteuil et une tête s’agitait entre ses cuisses en faisant un bruit de ventouse. Il adorait, être en compagnie d’Assaya, sa nouvel collaboratrice. Là jeune Inspectrice, savait très bien astiqué son phallus, ça langue était chaude et ses lunette lui donnait l’impression, qu’elle était plus soumise que les autre femmes ! Cela, lui remontait le moral, De se faire pompé par une si jeune femme a son âge, surtout que sa femme était une vrais mégère, qui passait son temps a gueulé sur lui.

Là jeune femme, en tailleur bleu, était à quatre pattes, dans une position assez humiliante, une main très ferme avait guidé sa tête, contre son service trois pièces, de son supérieure. C’est lunette la gênait dans ses va et vient de sa bouche sur le colosse qu’elle astiquait. Elle aurait, aimer les enlevés pendant, qu’elle effectuait la fellation. Mais, le commissaire Bruno, avait préféré qu’elle les garde, il disait que ça l’excitait plus !

Ça, première mission de police, avait été de dresser des convenances, en uniforme réglementaire.  Beaucoup de ses collègues, dés le premier jour s’était amusé a lui caresser les fesses.  Le commissaire de quartier, était entré subrepticement, dans les vestiaires des femmes. Il était arrivé derrière elle pendant qu’elle se changeait et lui avait alors empoigné sa poitrine. Elle s’était débattu et avait un peu crié, mais cela ne l’empêcha pas de continué a lui peloté et lui caressés les seins ! Comme elle était là seul femme du commissariat, personne n’était venus a son secours, il avait baissé son pantalon et l’avait fais se mettre a genoux entre ses cuisses. « Mademoiselle Assaya ! Voyons voir si il est vrais que les femmes a lunette ! Son des femmes a quéquette ! Avalé-moi cette bonne queue ! _Non ! Je ne vœux pas ! _ Mais si tu va me sucé ! si les femmes, qui obtienne une promotion dans la police ! Faut bien quelle suce un peu ! pour pouvoir monté ! »

Assaya, avait refusé ouvrir la bouche, il lui avait alors pincé le nez, elle n’eu pas le choix pour pouvoir respiré. Elle ouvrit la bouche en grand et a la place d’une bouffé d’air, ce fut la grosse queue du commissaire, qui pénétra dans ça bouche. Assaya, ne savait pas quoi faire, elle était prude et ne connaissait rien au sexe, elle trouvait que la bitte du commissaire sentait la bitte. « Aller ! Aspire ! Petite chienne ! Bouge t’es lèvres sur ma verge ! Monte et descend ! Aller suce ! Suce ! Comme, un esquimau ! T’aime bien ça les glasses ! Une salope ! _ Hurrr ! Harggg ! M’étoufummm…Mummm ! Mummm ! » Là jeune femme, en Uniforme, fit se qui lui ordonna, il avait peur qu’après il n’abuse d’elle. Elle se servit de son intelligence et se dit que si elle lui vidait les couilles, il n’irait pas plus loin !

Assaya, mis dix minutes, pour coordonné ses mouvement et faire une fellation presque correct ! bien sur, le commissaire, là l’insultait et là traitait de petite chienne a lunette et que toutes les femmes étaient des salope !  Assaya, réussi néanmoins a lui faire sortir sa semence et il l’obligea à boire sa semence ! « Aller ! Boit mon nectar ! Petit garce ! Comme, c’est ta première fois ! Il faut, tout avaler ! » Ce fut la premières pipe, qu’elle faisait et cela ne lui permit pas de monté en grade ! Au contraire il là menotta dans les toilettes des hommes et cinq de ses collègues, se firent un plaisir de ses servir de sa bouche comme d’une vide couille. Cela, lui donna du métier, elle savait maintenant sucer et quand se présenta une meilleure occasion, elle put être plus efficace.

La deuxième fois, qu’elle pompa un supérieur, ce fut pour elle plus promotionnelle ! Elle avait aligné une voiture, de la préfecture. Un grand ponte de la police, était venu lui passer un savon, en pleine rue,. Assaya, se sentit humilier, devant les passants qui voyait la scène. Surtout qui lui pelotait les fesses et lui interdisait de protester ! Elle se retourna, comme même, pour lui dire qu’il faisait du harcèlement ! La il était tomba son charme. Il, lui avait proposa de la rejoindre dans son bureau, pour avoir une explication. Il s’assit dans un fauteuil et Assaya, se sentait pas très rassuré. L’homme devait avoir dans les quarante ans, il lui dit d’enlever ses vêtements. Elle retira son uniforme de pervenche, elle reste en porte jarretelle noir, elle posa un doigt sur ses lunette pour les réajusté ! « Superbe ! Tu es très bien foutu ! Tu ne voudrais pas ! Passer inspecteur a la "B.R.B." ? _Eu… Eu ! Oui ! J’aimerais bien ! _Alors viens et passe sou le bureau ! Il y a un truc qui, voudrait faire connaissance avec t’est lèvres ! » Assaya, s’accroupis et se glissa a quatre pattes sou le bureau. Après avoir pompé le divisionnaire, elle s’aperçut qu’il était marié, elle se dit qu’il serait obligé de lui donne le poste ! si non elle le ferrait chanter ! Mais, il tien parole et dés le lendemain elle dit adieux a l’uniforme et aussi au commissaire véreux. Surtout que toute la semaine les policiers du petit commissariat, avait bien profité d’elle.

sa tête entre les cuisses de son supérieur ! sa jupe fendue sur arrière et ses fesses bougeait au même cadences que sa tête. Bruno, adorait là soumettre et lui faire petite fellation, pendant qu’il lui caressait les cheveux, comme on le ferrait avec une chienne. La brune a lunette, avec le gland dans la bouche, leva ses yeux ver la tète du commissaire, son aire de chienne battu le faisait bander comme un âne ! L’avoir si soumise lui changeait de sa femme. La jeune femme a lunette. Pompai le phallus de son supérieur avec un certain raffinement.

Minuit une, Sylia, se met à courir a balançant des fumigène, se qui attire tout les policiers, en faction devant la porte principal. Les fumigènes, ne font pas que produire un brouillard épais, il font tomber de sommeille toute les policier lancé a la poursuite de la pulpeuse Sylia ! L’aîné des trois sœur, fonce droit vers, une fenêtre, que la veille elle avait pré découper. Les caméras, l’on filmées, et le préposé, n’a pas manqué de mater les gros seins, de la belle voleuse, qui se balançait pendant qu’elle courait. Ni n’on plus le roulement de ses fesses ! Mais, la caméra, qui filmait son visage, ne put rein montré. Là très belle amazone en tenue très sexy, portait un petit masque qui là protégeait du gaz somnifère, qu’elle avait rependu. Aucune identification, n’était possible. Mais sa empêcha pas le gardien de sortir sa bitte pour se branler, en repassant la bande quand elle courait dans le jardin !

Miss, Assaya, avala une énorme saccade de sperme qui sortait de la bitte du commissaire Bruno ! Elle se releva et baissa sa culotte qui glissa les long de ses jambes. A la grande satisfaction du chef de la "B.R.B.", qui salivait déjà, de tringlait la jeune femme. Elle s’assit sur ses genoux, pour continué de lui chauffé la bitte, il déboutonna son chemisier. Il constata, quelle portait un soutien seins, plutôt qu’un soutien gorge ! Le commissaire Bruno, embrassa ses tétons, en les léchant, il se dressait sou sa langue. Quand l’alarme, retentit, il se remit debout, en projetant au sol là pauvre Assaya. « Haï ! Haï !  Doucement, chef ! »Le contact avec le sol, avait été douloureux pour les fesses nus de la jeune femme a lunette. Le commissaire Bruno, raga son braquemart dans son caleçon et remonta rapidement son pantalon. Fièrement, il tira pour finir sur sa fermeture éclair en déclarant : « Plus, le temps pour ça ! Miss Assaya ! Occupé vous, de rassembler nos hommes ! Pour attrapé ses maudite voleuse ! » 

Assaya, se massait les fesses un peu douloureuse, elle se dit que ses pas aujourd’hui qu’elle prendra son pied. Là jeune femme, réajusta ses lunettes et remonta sa culotte, avant de sortir du bureau. Sou, les ordres pestiférés du commissaire Bruno. Assaya, se précipita dans la pièce où était les moniteurs, les cheveux en pagaille, ça petite culotte était trempée. Par l’excitation d’attrapé enfin les "Cat’s Eyes" !

Le préposé, rangea rapidement sa verge dans son pantalon, en voyant Assaya entré en furie, dans la pièce. Elle, que tous ses collègues appelait la mal baiser, quand il était entre eux, dans les vestiaires des hommes. La jeune femme, était pas très aimer, pourtant, ils rêvaient tous, de tringlé ! Miss Assaya, s’approchait de lui. Il bandait, comme un âne, il lui ferait bien goûter son foutre ! Assaya donnait des ordre, dans un Talkie-walkie. Le jeune policier qui matait les écrans vus une bave blanche sur les lèvres de l’inspectrice. Il fit le rapprochement, avec les râles de son chef et les petits gémissements étouffé, qu’il avait entendu. Un petit sourire, se dessina sur ses lèvres. Les caméras du jardin montraient, que tout le policier était neutralisez. Assaya, battit le rappelle, en leur donnant l’ordre d’aller ver la porte principal. « Aller ! Nous aussi on y va !’ Dit-elle, au jeune le préposé, en passant sa main devant sa bouche, pour essuyer la bave de sperme.

Cinq, minutes plus tard Tam, là sœur cadette, alla droit vers la porte principal, qui n’est plus garder. Elle cour aussi vite qu’elle le peu, le gardien se décide a sonné l’alerte quand il fini par éjaculé sur le moniteur. Les portes, se referme derrière Tam, et les policiers avec Assaya en tête fonce vers l’entré du musé. Tam, bondit dans un coin sombre et les laisse lui passé devant. Sylia, rejoins sa sœur au premier étage, Mais Assaya, qui avait comprit où "Cat’s Eyes", se dirigeait, les rattrapas ! « Où êtes, vous maudite "Cat’s" ! » dit en hurlant Assaya, qui accompagné d’un seul policier en tenue. Les autres, était retrouvé coincé dans un filet, que Quentin avait mit a l’intention de "Cat’s Eyes". Ce qui fit sourire Tam et Sylia, sur leur perchoir, juste au-dessus des deux policiers. Le fameux piège, du fiancé de Tam avait bien marché, mais il s’était retourner contre ceux qui l’avaient installé. C’set ce que Sylia, avait lut sur les lèvres de Quentin plutôt dans la journée, quand il avait expliqué son plan, pour la capture des célèbres voleuses.

Sylia, fit un clin d’œil a sa sœur, et se laissa tomber, pour atterris violemment sur le policier en tenue ! Assaya, se retourna pour aider son collègue, mais Sylia, l’aspergea avec un spray spécial. La jeune femme en tailleur, se retrouva un peu dans les vaps. Tam sauta à son tour du perchoir et fila vers la salle où se trouvait le tableau. La pièce, était plongé complètement dans le noire, des mains qui sortirent de nul par s’approchèrent de là voleuse de charme. Tam, sentit les mains qui l’empoignèrent sa poitrine ! Quentin, vérifia la consistance des seins, en les pressant, il a toujours sût que "Cat’s Eyes ", étaient des jeune femmes.  « Wouhaaa ! Qu’elle pair de nichons, ma belle ! Je crois que je vais prendre tout mon temps ! Pour t’arrêter ! Ma jolie ! Et je…» Mais, Tam aussi avait un spray sur elle et elle aspergea le visage de Quentin, avant qu’il ne la retourne pour vois le sien !

Pendant ce temps, dans la cabine du camion, Monsieur Durieux, faisait caresser, son braquenard, par la plus jeune des trois sœurs. « Oui ! Ma petite chérie ! Maintenant penche toi ! Je sui sur que t’es lèvres vont adorer sucer ma grosse bitte !_M’oui ! Monsieur…Murrmmmm…Mummm ! »  Le Veille homme, aida prestement, la jeune fille a pencher sa tête, pour embouché son gland. Pressé, qu’il était pour qu’elle lui pompe le phallus !« Ne parle pas la bouche pleine ! Hummm ! T’es lèvres son chaude ! Et étroite ! Ohooo ! Tu fait sa bien ! Petite ! _ Murrrmmm…Muuuhummm !_ Tu es une divine suceuse ! Ohooo ! Petite chienne ! Ahaaa ! Ne me fait pas jouir trop vite ! Tu pourras tous avaler ! Ohooo ! OUI ! OUI ! ! ! Ohooo ! Qu’elle petit langue tu à là !» Alors, même si, il avait cinquante ans et elle seulement dix-sept, elle ferrait aussi bien qu’une professionnelle !

La bouche de l’adolescente, avait beau être ouverte au maximum, Alex, ne pouvait que sucer le gland du phallus. Elle savait que l’homme qu’elle suçait, voudrait ensuite l’enfilé par tout les trous ! Mais elle, n’avait pas peur, de cette énorme verge, après tout ses autres sœur a son âge avait réussit ! Elle avait surprit, plusieurs fois monsieur Durieux, défoncé le petit cul de sa grande sœur. Les deux frangines, avaient d’ailleurs après, ensemble léché le colosse de du veille homme ! Alex, savait bien que l’aide de monsieur Durieux, n’était complément gratuite.

L’adolescente, de toute façon n’était plus vierge, elle avait plusieurs fois utilisé ses charmes, lors de coup ! Sans, compte un ou deux joueur de football américain, de son lycée. Alex, était sorti avec les deux, pour ne pas qu’il se fâche pour une fille, car il éteint tout les deux, amis d’enfance. Elle les suça dans les vestiaires, après une rencontre qu’il avait gagné. C’était d’ailleurs Alex, qui avait marqué les deux derniers points, elle était aussi bonne élève, que sportif ! Il avait passer la nuit dans un love hôtel, il n’avait par arrêter de faire des truc a trois ! Le lendemain elle, s’était fait enguirlander par ses deux frangines. Maintenant, elle ne couchait plus, elle préférait le faire avec des adulte, pour pouvoir en retiré un bénéfice et joué aux lolitas !

 Son petit ami, était le premier de sa classe, il faut dire qu’elle trichait pour ne pas être la première. L’adolescente avait peur, qu’il en soit vexé, son conscient intellectuel, dépassait les cent cinquante.

Alex, léchait de bas en haut l »énorme sexe de monsieur Durieux, elle s’appliquait si bien que sa petite langue pourrait le faire jouir sans a avoir à pompé le gland ! L’adolescente, était très doué et savait joué de ses charme enfantin, auprès du vielle homme, il lui doigt les trous du cul, pendant qu’elle lui suçait un peu le gland ! Monsieur Durieux, sentit qu’il allait jouir, il eu du mal, à empêché Alex, de continué, a le sucé. « Arrête ! Ma petite chatte ! Je vais jouir trop vite ! il faut pas gâcher ! tu ses bien que j’aime essayer touts les trous avant de vider mes valseuse ! » Elle releva le tête et son buste, elle avait un petit sourire, de fillette qui avait envie de la sucette ! 

Il la souleva de son siège et l’assit sur lui, sur un de ses genoux nus. Il avait baissé son pantalon et son caleçon, était sur ses mollets. Le veille homme, ressemblait a un grand-père dans un parc, avec sa petite fille sur les genoux. A par, qu’il ne pensait cas lui défoncé, chacun de ses orifices ! Monsieur Durieux, enleva les bretelles, qui retenait la combinaison moulante de l’adolescente. Il peu découvrir ainsi sa poitrine, elle n’était pas encor très développé, en comparaison, avec celle de ses deux sœur aînées. Mais, elle promettait de le devenir, une bonne concourante. Il se dit qu’elle devait fait au moins un bon quatre vingt huit, de poitrine ! il se mit a les tripotées en tous sens, ses mains devenait moites, tendit qu’il malaxaient les deux seins. Il porta a sa bouche chacune des deux tétons, pour les embrassé et leurs faire un suçon. Alex, gémissait comme un petite fille qu’elle était encor, monsieur Durieux, adorait les jeunes filles en fleur. Il était aux anges, il demanda Alex de s’asseoir sur son énorme phallus et de commencé astiqué en faisant des va et viens dessus entre ses cuisses !

Dans le musé, Sylia avait déshabillé le policiers en tenue et l’avait attaché sur une chaise. Elle avait aussi, mit une cagoule sur la tête d’Assaya et l’avait attaché avec ses propre menottes, au pied de la derrière chaise ! Ainsi, l’inspectrice ne pourrait la reconnaître. Mais Sylia, avait une petite fringale et comme elle était "bis", elle se dit qu’elle pourrait un peu s’amuser.

Elle fit tombé ses brettelle et laissa glissé sa combinaison le long de son splendide cops ! Devant la beauté de là jeune femme et la pulpeuse poitrine, le jeune policier se mit à bander comme un fou. Sylla, s’approcha de lui et prit le visage de l’homme entre ses grosses miches. Il jubilait et il se mita embrasser ses gros mamelon il lui suça même ses téton ! Assaya, essaya de se détaché ne comprenant pas se qu’il se passait, les bruits de succion et les gémissements féminins, lui disait rein qui vaille…

 À suivre…

PÉLOPS

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