Lemons en delire-2007-http://www.lemons-en-delire.com
Les
personnages pour ce Lemon sont : Tam Chamade 22 ans (Hitomi Kisugi), Sylia
Chamade 24 ans (Rui Kisugi), Alex Chamade 17 ans (Ai Kisugi), Quentin Chapuis 24
ans (Toschio Utsumi), Odile Assaya 24 ans (Mitsuko asatani), commissaire Bruno
45 ans(Kacho), Monsieur Durieux 50 ans (Nagaishi),
CAT’S EYES
L'inspecteur Quentin, prit en main la carte de "CAT’S EYES",
il l’examina de toutes les manières. « Oui ! Ses bien une vrais !_
Tu crois espèce d’imbécile que ses pour ça que tu es la ! Crétin !
Je ses bien que ses une vrai ! » Le chef hurla si fort que Quentin,
eu presque les tympans brisé. « C’est plutôt ce qui est écrit dessus ! Qui est intéressant ! Inspecteur Chapuis » là voix,
glacial d’Odile Assaya, était encor plus terrifiante pour lui, elle était là
que depuis deux mois et Elle lui donnait déjà des ordres ! Il sourit, car
sa promotion, ne durait que temps que le commissaire serrait fâché avec sa
femme. L’inspecteur Chapuis, se décida à lire, la carte à haute voix !
« Nous viendront récupérer, "souvenir d’été" se soir au
musé des arts contemporain ! »
Les
trois policier, prirent l’air songeur et se mirent a réfléchirent a un plan.
Quentin, prit la parole après cinq minutes de silence. « J’ai un plan !
Cette fois sa va marcher ! J’en sui sur ! _T’es plan rate toujours ! »
Le commissaire parla, d’une voix calme et dépourvus d’espérance, tendit
que Quentin explique son idée a ses deux collègues ! De l’autre coter
de la rue, au premier étage du café
"CAT’S EYES". Une ravissante jeune
femme qui tenait, des jumelles da ses mains, lisait sur les lèvres de Quentin
et répétait a sa jeune sœur le plan du policier. »Bon ! Maintenant
tu pourrais te rhabiller ! _Oui ! Tu a raison ma chérie ! »
Sylia, était habiller d’une simple serviette de bain ses cheveux était encor
mouiller et sa petite sœur Alex, était encor en uniforme de son lycée. vingt
minutes plutôt, Alors qu’Alex, arrivait a peine du lycée. Sylia, lui avait
demandé de tenir le bar tendit qu’elle prendrait une douche. Un client, du même
âge que son père et que Sylia avait trouvé une ressemblance. Lui avait
renversé, sur ses vêtements le café, alors, qu’elle allait lui faire une
petite fellation ! Il faut dire a la décharge du client, qu’il fut
surprit par l’arrivé d’Alex dans le café.
Sylia,
lui caressait la bitte, en même temps qu’il tentait de boire sa tasse. Alex,
entra se moment là, et le client jouit dans les mains de Sylia, en poussant un
petit gémissement de jouissance. L’adolescentes s’était retourné sa jupe
de son uniforme d’été se souleva et il entrevu sa petite culotte
blanche. Il eut un soubresaut et tenta de se levé et la tasse rebondit sur la
table, reversant son contenue sur la tête de Sylia. Elle avait commencé a lui
léché la tige, mais le café bouillant dans ses cheveux l’arrêtant nette la
caresse des parti génital de l’homme. Celui-ci, laissa trois mille yen sur la
table et sorti en vitesse. Alex, écalât de rire, tendit que les cheveux de sa
grand sœur, dégoulinait de café. « Hi ! Ha ! Hi !
_Sa va ! Occupe toit du bar je vais aller, faire un brin de toilette ! »
Le
téléphone retentit, La lycéenne, décrocha s’était Tam, qui appelait et
avertissait, ses deux sœurs, que la police avait reçu leur carte ! Alex,
alla fermer la porte du café et mettre l’écriteau "fermer pour cause
exceptionnel" ! Elle grimpa, jusqu’au premier pour dire a sa grande
sœur d’aller espionnée la conversation, entre Quentin, et ses collègues !
Sylia, pouvait lire sur les lèvres et une des chambre du premier étage, donnai
pleine vu sur le bureau du commissaire Bruno. « Bon ! Maintenant,
qu’ont connaît leurs plans ! On va pourvoir faire le notre ! Mais
avant, je vais terminer de ma laver et toi appel monsieur Durieux ! Qu’il
vienne se soir !» Tam, arriva, une demi-heure plus tard, suivit de l’étrange
Monsieur Durieux. Homme, semblait bien connaître
leur père et comme ses filles il était désireux de retrouver Michael Heintz !
A
l’étage il y avait une pièce secrète, c’est la que les trois filles de
Heintz, préparaient leur coup. Elles que l’ont traitaient de voleuse, ne
faisaient que récupéré leur héritage. Leurre père, qui était grand
collecteur d’art et un artiste lui même mondialement reconnue. Il avait
disparut, peu après là naissance d’Alex, ainsi plusieurs de ses toile et
d’objet de la collection qui avait rassemblé !
Quinze
ans plus tard, des toiles et on commencé a apparaître
sur le marcher parallèle. Presque toutes, son entre les mains de gangster ou de
mafiosi, quand on vole un voleur on pense qu’il appel ra pas la police.
C’est la raison, pour laquelle, les trois fille de Michael Heintz, sou le nom
de "Cat’s Eyes", prévienne toujours la police ! Avant
d’aller reprendre les divers d’objet d’art, a chaque fois elle espère que
le possesseur a une information qui pourrait les intéresser !
C’est
Monsieur Durieux, qui a accès a un comte secret de Michael Heintz, qui fournit
les fond pour le coup de récupération.
Sylia,
qui connaît parfaitement le musé, explique le plan à ses deux sœurs devant
monsieur Durieux. Alex, prépa rapidement le matériel et demande à monsieur
Durieux de fournir pour le coup, un camion et un petit hélicoptère qui sera à
l’intérieur. Trois heur plus tard a la nuit tombante, la police a déjà mit
en place son dispositif, malgré la réticence du directeur
du musé. « Monsieur l’inspecteur ! Je vous assure que mon musé,
ne craint pas "Cat’s Eyes" ! Mais gardiens son…_Monsieur
Musomi ! La police a l’habitude de ses voleuses ! Nous somme en
mesure de les empêcher de vous voler ! À moins que vous puissiez me dire
comment le "souvenir d’été" ! Un tableau, que Michael Heintz,
a peint ! Et qui faisait partie de sa collection privé ! Peu, avoir
atterrit entre vos mains ! Alors, que toute la collection a disparut,
depuis près de quinze ans ! »
Le
directeur, se tu et essaya de réfléchir, a une réponse qui ne le métrait pas
dans l’embarra, vis, a vis de la police. Il savait que la toile était voler,
car il l’avait acquit dans un marcher a une enchère secret. Organiser par la
mafia. Il bredouilla une explication qui ne tenait pas la route et finalement
abdiqua. « C’est bon ! Vous pouvez faire tous ce que vous, voulez
temps, que je garde la toile ! _ Vous inquiété pas ! je vais moi même
veiller sur cette croute ! » Sur une colline, qui domine le musé,
les trois "Cat’s Eyes", observe le dispositif. « Dix, policier
devant la grande porte ! Sept autres, plus cette sorcière d’Assaya !
_Hurrr ! Hummm ! Tu
pourrais être plus révérencieux Enver cette jeune femme ! Alex !
_Moi tu ses Sylia ! Je ne l’aime pas beaucoup ! Quentin a dit quoi
au juste ! _ il a dit qu’il allait rester toute la nuit dans le noir a
planter devant la toile ! »
Les
trois filles, étaient dans leur combinaison, ultra moulante, allonger sur le
ventre, Monsieur Durieux était derrière eux et matait leurs fesses. Le plan,
était très simple, Tam et Sylia, entrerait dans le musé et Alex viendrait le
récupéré sur le toit avec l’hélicoptère ! Sylia, était chargé de
faire diversion et c’est Tam, qui décrochera le tableau du mur. Les deux sœurs
attendaient qu’il soit minuit avant de passer à l’action. Alex, en profita
pour préparé le petit hélicoptère et vérifier la télécommande. Monsieur
Durieux, la regardait travailler d’un air bien veillant. Il savait que pendant
la demi-heure où ses frangine serons occupé, il pourrait jouer a papa et a la
maman, avec l’adolescente.
Le
chef de la "B.R.B.", était assit dans un fauteuil en cuir dans un
bureau, qui était contigüe a celui de la surveillance. Il affichait, un sourit
béa, ses mains se cramponnaient au bras du fauteuil et une tête s’agitait
entre ses cuisses en faisant un bruit de ventouse. Il adorait, être en
compagnie d’Assaya, sa nouvel collaboratrice. Là jeune Inspectrice, savait très
bien astiqué son phallus, ça langue était chaude et ses lunette lui donnait
l’impression, qu’elle était plus soumise que les autre femmes ! Cela,
lui remontait le moral, De se faire pompé par une si jeune femme a son âge,
surtout que sa femme était une vrais mégère, qui passait son temps a gueulé
sur lui.
Là
jeune femme, en tailleur bleu, était à quatre pattes, dans une position assez
humiliante, une main très ferme avait guidé sa tête, contre son service trois
pièces, de son supérieure. C’est lunette la gênait dans ses va et vient de
sa bouche sur le colosse qu’elle astiquait. Elle aurait, aimer les enlevés
pendant, qu’elle effectuait la fellation. Mais, le commissaire Bruno, avait préféré
qu’elle les garde, il disait que ça l’excitait plus !
Ça,
première mission de police, avait été de dresser des convenances, en uniforme
réglementaire. Beaucoup de ses
collègues, dés le premier jour s’était amusé a lui caresser les fesses.
Le commissaire de quartier, était entré subrepticement, dans les
vestiaires des femmes. Il était arrivé derrière elle pendant qu’elle se
changeait et lui avait alors empoigné sa poitrine. Elle s’était débattu et
avait un peu crié, mais cela ne l’empêcha pas de continué a lui peloté et
lui caressés les seins ! Comme elle était là seul femme du commissariat,
personne n’était venus a son secours, il avait baissé son pantalon et
l’avait fais se mettre a genoux entre ses cuisses. « Mademoiselle Assaya !
Voyons voir si il est vrais que les femmes a lunette ! Son des femmes a quéquette !
Avalé-moi cette bonne queue ! _Non ! Je ne vœux pas ! _ Mais si
tu va me sucé ! si les femmes, qui obtienne une promotion dans la police !
Faut bien quelle suce un peu ! pour pouvoir monté ! »
Assaya,
avait refusé ouvrir la bouche, il lui avait alors pincé le nez, elle n’eu
pas le choix pour pouvoir respiré. Elle ouvrit la bouche en grand et a la place
d’une bouffé d’air, ce fut la grosse queue du commissaire, qui pénétra
dans ça bouche. Assaya, ne savait pas quoi faire, elle était prude et ne
connaissait rien au sexe, elle trouvait que la bitte du commissaire sentait la
bitte. « Aller ! Aspire ! Petite chienne ! Bouge t’es lèvres
sur ma verge ! Monte et descend ! Aller suce ! Suce ! Comme,
un esquimau ! T’aime bien ça les glasses ! Une salope ! _
Hurrr ! Harggg ! M’étoufummm…Mummm ! Mummm ! » Là
jeune femme, en Uniforme,
fit se qui lui ordonna, il avait peur qu’après il n’abuse d’elle. Elle se
servit de son intelligence et se dit que si elle lui vidait les couilles, il
n’irait pas plus loin !
Assaya,
mis dix minutes, pour coordonné ses mouvement et faire une fellation presque
correct ! bien sur, le commissaire, là l’insultait et là traitait de
petite chienne a lunette et que toutes les femmes étaient des salope ! Assaya, réussi néanmoins a lui faire sortir sa semence et
il l’obligea à boire sa semence ! « Aller ! Boit mon nectar !
Petit garce ! Comme, c’est ta première fois ! Il faut, tout avaler ! »
Ce fut la premières pipe, qu’elle faisait et cela ne lui permit pas de monté
en grade ! Au contraire il là menotta dans les toilettes des hommes et
cinq de ses collègues, se firent un plaisir de ses servir de sa bouche comme
d’une vide couille. Cela, lui donna du métier, elle savait maintenant sucer
et quand se présenta une meilleure occasion, elle put être plus efficace.
La
deuxième fois, qu’elle pompa un supérieur, ce fut pour elle plus
promotionnelle ! Elle avait aligné une voiture, de la préfecture. Un
grand ponte de la police, était venu lui passer un savon, en pleine rue,.
Assaya, se sentit humilier, devant les passants qui voyait la scène. Surtout
qui lui pelotait les fesses et lui interdisait de protester ! Elle se
retourna, comme même, pour lui dire qu’il faisait du harcèlement ! La
il était tomba son charme. Il, lui avait proposa de la rejoindre dans son
bureau, pour avoir une explication. Il s’assit dans un fauteuil et Assaya, se
sentait pas très rassuré. L’homme devait avoir dans les quarante ans, il lui
dit d’enlever ses vêtements. Elle retira son uniforme de pervenche, elle
reste en porte jarretelle noir, elle posa un doigt sur ses lunette pour les réajusté !
« Superbe ! Tu es très bien foutu ! Tu ne voudrais pas !
Passer inspecteur a la "B.R.B." ? _Eu… Eu ! Oui !
J’aimerais bien ! _Alors viens et passe sou le bureau ! Il y a un
truc qui, voudrait faire connaissance avec t’est lèvres ! »
Assaya, s’accroupis et se glissa a quatre pattes sou le bureau. Après avoir
pompé le divisionnaire, elle s’aperçut qu’il était marié, elle se dit
qu’il serait obligé de lui donne le poste ! si non elle le ferrait
chanter ! Mais, il tien parole et dés le lendemain elle dit adieux a
l’uniforme et aussi au commissaire véreux. Surtout que toute la semaine les
policiers du petit commissariat, avait bien profité d’elle.
sa
tête entre les cuisses de son supérieur ! sa jupe fendue sur arrière et ses
fesses bougeait au même cadences que sa tête. Bruno, adorait là soumettre et
lui faire petite fellation, pendant qu’il lui caressait les cheveux, comme on
le ferrait avec une chienne. La brune a lunette, avec le gland dans la bouche,
leva ses yeux ver la tète du commissaire, son aire de chienne battu le faisait
bander comme un âne ! L’avoir si soumise lui changeait de sa femme. La
jeune femme a lunette. Pompai le phallus de son supérieur avec un certain
raffinement.
Minuit
une, Sylia, se met à courir a balançant des fumigène, se qui attire tout les
policiers, en faction devant la porte principal. Les fumigènes, ne font pas que
produire un brouillard épais, il font tomber de sommeille toute les policier
lancé a la poursuite de la pulpeuse Sylia ! L’aîné
des trois sœur, fonce droit vers, une fenêtre, que la veille elle avait pré découper.
Les caméras, l’on filmées, et le préposé, n’a pas manqué de mater les
gros seins, de la belle voleuse, qui se balançait pendant qu’elle courait. Ni
n’on plus le roulement de ses fesses ! Mais, la caméra, qui filmait son
visage, ne put rein montré. Là très belle amazone en tenue très sexy,
portait un petit masque qui là protégeait du gaz somnifère, qu’elle avait
rependu. Aucune identification,
n’était possible. Mais sa empêcha pas le gardien de sortir sa bitte pour se
branler, en repassant la bande quand elle courait dans le jardin !
Miss,
Assaya, avala une énorme saccade de sperme qui sortait de la bitte du
commissaire Bruno ! Elle se releva et baissa sa culotte
qui glissa les long de ses jambes. A la grande satisfaction du chef de la "B.R.B.",
qui salivait déjà, de tringlait la jeune femme. Elle s’assit sur ses genoux,
pour continué de lui chauffé la bitte, il déboutonna son chemisier. Il
constata, quelle portait un soutien seins, plutôt qu’un soutien gorge !
Le commissaire Bruno, embrassa ses tétons, en les léchant, il se dressait sou
sa langue. Quand l’alarme, retentit, il se remit debout, en projetant au sol là
pauvre Assaya. « Haï ! Haï !
Doucement, chef ! »Le contact avec le sol, avait été
douloureux pour les fesses nus de la jeune femme a lunette. Le commissaire
Bruno, raga son braquemart dans son caleçon et remonta rapidement son pantalon.
Fièrement, il tira pour finir sur sa fermeture éclair en déclarant :
« Plus, le temps pour ça ! Miss Assaya ! Occupé vous, de
rassembler nos hommes ! Pour attrapé ses maudite voleuse ! »
Assaya,
se massait les fesses un peu douloureuse, elle se dit que ses pas aujourd’hui
qu’elle prendra son pied. Là jeune femme, réajusta ses lunettes et remonta
sa culotte, avant de sortir du bureau. Sou, les ordres pestiférés
du commissaire Bruno. Assaya, se précipita dans la pièce où était les
moniteurs, les cheveux en pagaille, ça petite culotte était trempée. Par
l’excitation d’attrapé enfin les "Cat’s Eyes" !
Le
préposé, rangea rapidement sa verge dans son pantalon, en voyant Assaya entré
en furie, dans la pièce. Elle, que tous ses collègues appelait la mal baiser,
quand il était entre eux, dans les vestiaires des hommes. La jeune femme, était
pas très aimer, pourtant, ils rêvaient tous, de tringlé ! Miss Assaya,
s’approchait de lui. Il bandait, comme un âne, il lui ferait bien goûter
son foutre ! Assaya donnait des ordre, dans un Talkie-walkie. Le jeune
policier qui matait les écrans vus une bave blanche sur les lèvres de
l’inspectrice. Il fit le rapprochement, avec les râles de son chef et les
petits gémissements étouffé, qu’il avait entendu. Un petit sourire, se
dessina sur ses lèvres. Les caméras du jardin montraient, que tout le policier
était neutralisez. Assaya, battit le rappelle, en leur donnant l’ordre
d’aller ver la porte principal. « Aller ! Nous aussi on y va !’
Dit-elle, au jeune le préposé, en passant sa main devant sa bouche, pour
essuyer la bave de sperme.
Cinq,
minutes plus tard Tam, là sœur cadette, alla droit vers la porte principal,
qui n’est plus garder. Elle cour aussi vite qu’elle le peu, le gardien se décide
a sonné l’alerte quand il fini par éjaculé sur le moniteur. Les portes, se
referme derrière Tam, et les policiers avec Assaya en tête fonce vers l’entré
du musé. Tam, bondit dans un coin sombre et les laisse lui passé devant.
Sylia, rejoins sa sœur au premier étage, Mais Assaya, qui avait comprit où
"Cat’s Eyes", se dirigeait, les rattrapas ! « Où êtes,
vous maudite "Cat’s" ! » dit en hurlant Assaya, qui
accompagné d’un seul policier en tenue. Les autres, était retrouvé coincé
dans un filet, que Quentin avait mit a l’intention de "Cat’s
Eyes". Ce qui fit sourire Tam et Sylia, sur leur perchoir, juste au-dessus
des deux policiers. Le fameux piège, du fiancé de Tam avait bien marché, mais
il s’était retourner contre ceux qui l’avaient installé. C’set ce que
Sylia, avait lut sur les lèvres de Quentin plutôt dans la journée, quand il
avait expliqué son plan, pour la capture des célèbres voleuses.
Pendant ce temps, dans la cabine du camion, Monsieur Durieux, faisait caresser, son braquenard, par la plus jeune des trois sœurs. « Oui ! Ma petite chérie ! Maintenant penche toi ! Je sui sur que t’es lèvres vont adorer sucer ma grosse bitte !_M’oui ! Monsieur…Murrmmmm…Mummm ! » Le Veille homme, aida prestement, la jeune fille a pencher sa tête, pour embouché son gland. Pressé, qu’il était pour qu’elle lui pompe le phallus !« Ne parle pas la bouche pleine ! Hummm ! T’es lèvres son chaude ! Et étroite ! Ohooo ! Tu fait sa bien ! Petite ! _ Murrrmmm…Muuuhummm !_ Tu es une divine suceuse ! Ohooo ! Petite chienne ! Ahaaa ! Ne me fait pas jouir trop vite ! Tu pourras tous avaler ! Ohooo ! OUI ! OUI ! ! ! Ohooo ! Qu’elle petit langue tu à là !» Alors, même si, il avait cinquante ans et elle seulement dix-sept, elle ferrait aussi bien qu’une professionnelle !
La
bouche de l’adolescente, avait beau être ouverte au maximum, Alex, ne pouvait
que sucer le gland du phallus. Elle savait que l’homme qu’elle suçait,
voudrait ensuite l’enfilé par tout les trous ! Mais elle, n’avait pas
peur, de cette énorme verge, après tout ses autres sœur a son âge avait réussit !
Elle avait surprit, plusieurs fois monsieur Durieux, défoncé le petit cul de
sa grande sœur. Les deux frangines, avaient d’ailleurs après, ensemble léché
le colosse de du veille homme ! Alex, savait bien que l’aide de monsieur
Durieux, n’était complément gratuite.
L’adolescente,
de toute façon n’était plus vierge, elle avait plusieurs fois utilisé ses
charmes, lors de coup ! Sans, compte un ou deux joueur de football américain,
de son lycée. Alex, était sorti avec les deux, pour ne pas qu’il se fâche
pour une fille, car il éteint tout les deux, amis d’enfance. Elle les suça
dans les vestiaires, après une rencontre qu’il avait gagné. C’était
d’ailleurs Alex, qui avait marqué les deux derniers points, elle était
aussi bonne élève, que sportif ! Il avait passer la nuit dans un love hôtel,
il n’avait par arrêter de faire des truc a trois ! Le lendemain elle,
s’était fait enguirlander par ses deux frangines. Maintenant, elle ne
couchait plus, elle préférait le faire avec des adulte, pour pouvoir en retiré
un bénéfice et joué aux lolitas !
Son
petit ami, était le premier de sa classe, il faut dire qu’elle trichait pour
ne pas être la première. L’adolescente avait peur, qu’il en soit vexé,
son conscient intellectuel, dépassait les cent cinquante.
Alex,
léchait de bas en haut l »énorme sexe de monsieur Durieux, elle
s’appliquait si bien que sa petite langue pourrait le faire jouir sans a avoir
à pompé le gland ! L’adolescente, était très doué et savait joué de
ses charme enfantin, auprès du vielle homme, il lui doigt les trous du cul,
pendant qu’elle lui suçait un peu le gland ! Monsieur Durieux, sentit
qu’il allait jouir, il eu du mal, à empêché Alex, de continué, a le sucé.
« Arrête ! Ma petite chatte ! Je vais jouir trop vite ! il
faut pas gâcher ! tu ses bien que j’aime essayer touts les trous avant
de vider mes valseuse ! » Elle releva le tête et son buste, elle
avait un petit sourire, de fillette qui avait envie de la sucette !
Il
la souleva de son siège et l’assit sur lui, sur un de ses genoux nus. Il
avait baissé son pantalon et son caleçon, était sur ses mollets. Le veille
homme, ressemblait a un grand-père dans un parc, avec sa petite fille sur les
genoux. A par, qu’il ne pensait cas lui défoncé, chacun de ses orifices !
Monsieur Durieux, enleva les bretelles, qui retenait la combinaison moulante de
l’adolescente. Il peu découvrir ainsi sa poitrine, elle n’était pas encor
très développé, en comparaison, avec celle de ses deux sœur aînées.
Mais, elle promettait de le devenir, une bonne concourante. Il se dit qu’elle
devait fait au moins un bon quatre vingt huit, de poitrine ! il se mit a les
tripotées en tous sens, ses mains devenait moites, tendit qu’il malaxaient
les deux seins. Il porta a sa bouche chacune des deux tétons, pour les embrassé
et leurs faire un suçon. Alex, gémissait comme un petite fille qu’elle était
encor, monsieur Durieux, adorait les jeunes filles en fleur. Il était aux
anges, il demanda Alex de s’asseoir
sur son énorme phallus et de commencé astiqué en faisant des va et viens dessus
entre ses cuisses !
Dans
le musé, Sylia avait déshabillé le policiers en tenue et l’avait attaché
sur une chaise. Elle avait aussi, mit une cagoule sur la tête d’Assaya et
l’avait attaché avec ses propre menottes, au pied de la derrière chaise !
Ainsi, l’inspectrice ne pourrait la reconnaître. Mais Sylia, avait une petite
fringale et comme elle était "bis", elle se dit qu’elle pourrait un
peu s’amuser.
Elle
fit tombé ses brettelle et laissa glissé sa combinaison le long de son
splendide cops ! Devant la beauté de là jeune femme et la pulpeuse
poitrine, le jeune policier se mit à bander comme un fou. Sylla,
s’approcha de lui et prit le visage de l’homme entre ses grosses miches. Il
jubilait et il se mita embrasser ses gros mamelon il lui suça même ses téton !
Assaya, essaya de se détaché ne comprenant pas se qu’il se passait, les
bruits de succion et les gémissements féminins, lui disait rein qui vaille…
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