Lemons en delire-2007-http://www.lemons-en-delire.com

Les personnages pour ce Lemon sont : Tam Chamade 22 ans (Hitomi Kisugi), Sylia Chamade 24 ans (Rui Kisugi), Alex Chamade 17 ans (Ai Kisugi), Quentin Chapuis 24 ans (Toschio Utsumi), Odile Assaya 24 ans (Mitsuko asatani), commissaire Bruno 45 ans(Kacho), Monsieur Durieux 50 ans (Nagaishi),

CAT’S EYES

L’AFFAIRE DU MUSSE D’ART ET DE SEXE 2

Pendant que Alex, jouait les lolitas perverse, avec monsieur Durieux, a l’avant d’un camion. Ses deux sœurs aînées, avait endormit les policiers, qui gardaient le musé. Sylia, fit déversions et captura Assaya et un jeune policier en uniforme. Excitation du cambriolage lui donna envie de sexe ! Là jeune femme, avait attaché le jeune policier après l’avoir déshabiller et assit sur une chaise. Là pauvre Assaya, était encagoulé derrière la chaise, elle avait un peu froid. En effet, elle aussi avait été déshabillé, là jeune policière était en jupon. Malgré, la cagoule, elle entendait les petits gémissements que poussait d’une voix sulfureuse "Cat’s Eyes" et les cris jubilatoires de son collègue. Sylia lui faisait sucer ses gros seins, en même temps qu’elle le masturbait ! Enfin Tam était tombé sur Quentin qui gardait le tableau de leurs pères, "souvenir d’été". Où, plutôt ses lui qui était tombé sur elle, en empoignant sa poitrine a pleine main.

Quentin, visiblement très excité d’avoir capturé de "Cat’s Eyes", il avait le pantalon baissé et bandait comme un âne ! Le jeune inspecteur, lui malaxait les seins de ça prisonnière, après avoir retiré ses bretelles,. La poitrine nue, Tam déglutis en sentant les mains moite de son fiancé, qui s’amusait a lui pétrirent ses nichons. Après ça, Tam, qui était "Cat’s Eyes", sa fiancée ne le laissait jamais joué avec son opulente poitrine. Il avait l’impression, que ceux là étaient plus gros que ceux de Tam ! Le jeune inspecteur, sentit que ça prisonnière, était excité, ses seins se gonflaient et devenaient plus fermes. Il joua un peu avec ses tétons, qui ressortait bien dresser et bien dure. Quentin, décida de lui mètre une main sur la moule. Il enfonça un doigt avec un peu de tissu de la combinaison dans la vulve, elle était trempé à l’intérieur !"Cat’s Eyes", là jeune femme, mouillait abondamment, pas de transpiration, mais belle et bien d’excitation !

 « Alors ! Ma belle, chatte ! Tu es faite ! Et... Tu es à poil ! La dessous ! et en plus tu mouille comme une chienne ! ! !  Ça, t’excite de cambrioler ! Un ! Petit salope ! » Tam, essaya de ne pas parler ou d’émettre le moindre son, Quentin, là connaissait trop bien. Il devinerait que c’est elle, dans la pénombre où était plongé la pièce.  Le jeune inspecteur, fit sentir sa virilité en collant sa bitte sur la raie des fesses de Tam. Il fit glisser sa combinaison le long de son superbe corps !« Je crois que je vais me payer de ses deux années, humiliation ! Ont, va bien s’amuser ma belle chatte ! » Elle sentait qui l’embrassait dans le cou. Elle avait des frissons partout, en sentant palpité la verge de Quentin, sur son petit œillet ! Tam, avait peur et en même temps était très excité, elle aimait le jeune inspecteur, mais pas au point de se faire arrêté, ou enculer ! Là jeune femme, savait qu’il allait la pénétré debout, sans aucune hésitation. Quentin la poussa en avant elle, s’accrocha sur une chaise qui se trouvait là ! Il saisit sa queue et l’enfonça dans un grand cou de boutoir dans son cul !

Tam, ne comprenait pas pourquoi Quentin, était encor debout. Elle l’avait pourtant aspergé de somnifère, il semblait être mieux monté que d’habitude. Est-ce que par hasard, Alex se serait trompé dans la formule ! Où, alors il portait un masque, il donnait une succession de petits coups de reins. Ce qui fit entré sa verge tout entière, dans l’ognon de Tam ! Là jeune femme, ne pus plus se retenir elle cria et se mit a geindre sans réserve… « AHAAA ! OHOOO ! Non ! Noooon ! HAI¨ ! HOUILLE ! Sa très fait Mal ! Ahaaa ! Vous m’enculer presque a sec ! Monsieur l’inspecteur ! _Tu la sens ma grosse queue ! Depuis, le temps que je voie ton cul me filer entre le doigt ! Il était temps ! Que je le sodomise ! Se cul ! J’en rêve la nuit ! Je savais que tu étais nue, son ta combinaison noir ! Petite salope ! « Quentin, l’avait souvent vu s’envoler, au moment où il allait l’attrapé. Deux fois, il l’avait frôlé, il avait eu droit, a un savons par le commissaire Bruno.

Maintenant, qu’il le tenait, il allait prendre sa revanche, se petit cul qui l’avait temps n’arguer allait passer un sale quard heure ! il gigota, un peu les cuisses, pour faire glisser son pantalon, pour pouvoir complètement l’enlever ! Il était en chemise, ça cravate un peu débraillé. Çà prisonnière, nue, sa combinaison était coincé sur ses mollet, retenu par ses botte a talon aiguilles !  Quentin, là violait, sent retenu, le gaz dans le spray qu’elle lui avait aspergé, lui avait enlevé, toute barrières psychiques !« Je te défonce, le trou de balle !  Tu aime ça ! Une petite chatte ! Tu aime la bitte de monsieur l’inspecteur Chapuis ! _ Non ! Ohooo ! Ahaaa !_Te voila bien enculer ! Ma grande chatte ! » Quentin, semblait être dans un état seconds, la drogue devait être un hallucinogène, et donnait un coup de fouet a l’envie de baiser ! Tam, en conclu, que Quentin, ne savait plus ce qu’il faisait, il ne pensait plus se sert vidé les couilles. Il là laissera partir, avant de s’endormir comme une masse ! Pour l’instant, Tam dégustait, il avait la bitte qui avait doublé de taille et était dure comme du bois !

Il lui labourait le cul pendant dix longues minutes, pour Tam, avant d’en sortir, il aspergea ses fesses, justes après. Tous les deux était en sueur et haletait très fort, il lui attrapa les mains et les menotta dans le dos.  

Tam tomba sur le plancher, Quentin là retourna et lui écarta les cuisses il les rabattit, sur la tête de Tam. Il avait ainsi le champ libre, pour pénétré le sexe bien luisant de là jeune femme. L’inspecteur, l’enfila sa chatte comme une perle, Sa queue, entra très facilement dans le sexe de sa prisonnière. Elle gémissait, tendit qu’il faisait glisser sa bitte dans son vagin. L’inspecteur, ne regarda même pas son visage, concentré qu’il était à faire des va et vient dans le sexe de sa prisonnière. Cette dernière gémissait en suppliant d’arrêter de là violer. Mais seul l’instinct de procréation, demeurait, dans la tête de Quentin ! il accélérait ses va et vient, La chatte de Tam, était en feux, sou les frottement du sexe de Quentin !« Arrête ! Inspecteur Quentin ! Ahaaa ! Tu me fait mal !_ sale chienne ! Ohooo ! Tu es bien étroite ! T’es BOONnenene…ne ! Oui ! » Il lui enfonça ses vingt centimètre de verge dans le vagin, et se va et viens devenait plus lent et plus profond !

 

Dans le Camion, sur la colline qui surplombait le musé, monsieur Durieux et la plus jeune de sœur Chamade, était eux aussi entrain de baiser ! Monsieur Durieux, essayait dans bien que mal de faire entré son phallus, qui fais cinq centimètres de diamètre et trente de longueur dans l’orifice étroits qu’était le minou de l’adolescente ! Le vieil homme, tenait, les deux fine hanches d’Alex. Celle-ci poussait sur ses bras, ses cuises étaient écarté aux maximum. L’énorme phallus, avait du mal a entré dans la chatte, très étroite de l’adolescente, elle criait sans se débattre, monsieur Durieux, lui avait promit de lui acheté une moto si, il pouvait la baisé ! Elle avait accepté, mais le regrattait que sa bitte ne soit pas moins grosse !

Mais après, plusieurs essai, monsieur Durieux, réussi a rentré dans le vagin, de la jeune fille. Alex, ne cessai de crié, qu’il était trop gros et que ça pourrait pas entrer. Mais le gland, franchit la porte de ses grandes lèvres, ce qui là fit hurlée de douleur. Il commença de petits va et viens, a l’intérieurs, se qui argumentait sa souffrance de l’adolescente. Après, deux minutes, la douleur, s’atténue, pour laisser place au plaisir. Il essayait, d’enfoncé toujours plus profondément son phallus, dans l’étroit orifice de la jeune fille. Mais, a par les dix premier centimètre, monsieur Durieux, ne réussi pas a aller plus loin !

 

Dans une pièce du musé, Sylia, détacha du pied de la chaise miss Assaya, elle l’installa sa tête au-dessous de l’autre policier qui était sur la chaise. « Et maintenant ? Qu’aller vous faire ? » Demanda, le jeune policier. Sylia, rebondit en caressant son magique corps et en se dandinant. « Moi ! Je vais me faire lécher le minou par cette pouffe ! Et après tu va m’enfiler ! » Le jeune policier, déglutit et rougit de plus belle. Sylia remonta la cagoule au dessus des lèvres d’Assaya et S’accroupit. « Aller ma petite inspectrice ! Sortez, votre langue ! Et faite la glisser dans mon minou ! » Sylia, prit ça vois la plus sulfureuse, en se malaxant les seins, et en faisant de clin d’œil au jeune policier !  « Lèche-moi la chatte ! _Non ! Je ne vœux pas ! _ aller mademoiselle Assaya ! Faite se que vous dit "Cat’s Eyes" ! » Insista, Le jeune policier, a la perspective de pouvoir baiser, là superbe jeune femme, aux grosse seins !

Assaya, avait l’impression que son corps était en feu, la sueur perlait sur son front, elle avait sentait qu’elle avait la fièvre. La fièvre, était artificiel, ses l’hallucinogène, qui lui donnait envi de se faire défoncer par tous les trous. Sylia, se pencha en avant en tenant, un matraque dans la main, elle souleva le jupon de la jeune femme. Le jeune policier, avait pleine lune, sur les fesses de sa geôlière et surtout sur son trou du cul. Sylia, glissa deux doigts, dans le vagin brulant d’Assaya. Elle constata, que l’inspectrice à lunette était bien mouillé, elle porta a sa bouche la cramouille, comme pour gouter. « Mummm ! Tu a une grosse envi d’un truc bien dure entre les cuisses ! _ Non ! Oui ! Non ! Oui ! Enfoncé moi, quelques choses vite ! vite ! Je meure d’envie, de me faire baiser ! par n’importe qui ! » C’est mots ne tombèrent pas dans des oreilles de sourd. Le jeune policier, se promit en lui-même que des qui le pourrait il enfournerait sa bitte dans l’orifice de l’inspectrice !

« vite, s’il vous plait !  vite ! J’ai si chaud ! _Mais, oui ! Ma chérie ! Et tu va avoir se que tu vœux ! Précisément là ! »

Sylia, enfonça la matraque dans le sexe de l’inspectrice, qui gémissait comme une chatte e chaleur. Le policier, s’agitait sur ça chaise, comme si il aurait voulu être a la place de sa matraque. Si, il pouvait se lever, il aurait aussi glissé sa bitte dans le cul là de "Cat’s Eyes". Ça, bitte était dresser comme une lance avant une charge, il ne pensait plus, cas aller enculer le cul, de là plantureuse créature de rêve, qui l’avait attaché a la chaise ! Sylia, aussi avait le feu, elle s’accroupit sur la tête d’Assaya, en lui disant de léché, ses grosses lèvres. Elle empoignait ses seins, Et portaient chacun leur tous, ses deux pis, a ça bouche. Assaya, léchait comme une folle, sa langue entrait et sortait de la vulve de Sylia. Cette, dernière, prit doucement la tige du jeune policier, entre se deux miche ! Le policier, se cru au Paradies, les grosse mamelles, était entrain de le branlé. Sylia, faisait émerger de temps en temps le gland et le portait en bouche. Elle le suçait brièvement et le faisait replonger entre ses deux mamelons !

Dans la sale où se trouvait l’objet convoité des voleuse, Tam, était ne mauvaise posture. Quentin enfonça sa queue, entre ses fesses, de là "Cat’s Eyes", il avait du mal à glisser le premier centimètre ! Là jeune femme, ne devait pas crié, car le jeune inspecteur pourrait reconnaître sa voie. « Oui ! Ma petite chatte ! Ton cul ! Hummm ! Tu est si étroite, de cette orifice ! Hummm ! Ahaaa ! ton petit ami ne doit pas souvent de prendre par là ! Ohooo ! _Mummm ! Hummm ! » Elle ne pouvait s’empêcher de gémir, car il est vrai que son fiancé, qui n’était autre que le policier ! Ne la prenait jamais par, cet étroit orifice, il avait déjà du mal, a pouvoir lui caresser les fesses ! Alors, la sodomisé, Tam, ne lui aurait pas permis, même en temps normal ! Une ou deux fois, Monsieur Durieux, l’avait sodomisé, avec son énorme phallus. Mais ça remontait a plusieurs moi !

L’inspecteur Chapuis, poussa en donnant plusieurs coups de rein, et sa bitte entra jusqu’a la moitié dans le petit ognon de Tam ! Elle, sur le moment en sentant l’entré de son anus craqué, Tam, ne put, s’empêcher de hurler, ce qui réjouissait ce cher Quentin. Un petit sourire, se dessina sur se lèvres, alors qu’il commençait des va et vient a l’intérieur du petit cul de ça prisonnière ! « Houille ! Houille...youyoulle ! HAÏ ! Ah ! Ahaaa… _Ah ! Enfin un son ! Han ! Han ! Oui ! Hummm !  Tu n’es donc pas muette ! Génial ! Han ! Han ! Je vais te lire t’es droit ! Han ! Han ! Ohooo! » Quentin, s’agitait comme il pouvait dans le cul de Tam, il continuait d’enfoncé sa verge!  « Han ! Han ! Tu a le droit d’ouvre en grand ton cul ! Han…Han ! Et de crié, a tant péter les corde vocales ! Han ! Han ! Putain, ce que t’es étroite ! Han ! Han ! j’ai du mal a bouger dedans ! ! ! »

Après dix minutes, ses couilles tapaient enfin, contre les fesses de sa prisonnière ! Il haletait très fort, il était en sueur, vautré sur là jeune femme ! Il sentait qu’il ne tiendrait pas longtemps, maintenant, qu’il avait sodomisé "Cat’s Eyes", il n’avait plus qu’une envie, qu’elle lui suce la bitte. Quentin se retira doucement en continuant ses va et viens, Tam, commença à avoir moins mal. Enfin il se quitta son œillet, il rabaissa ses cuises ver le bas, pour lui dégager le visage. Il avait positionné ses cuise vers le haut pour facilité la pénétration. Mais vus la taille de l’orifice et le peu d’effort de sa prisonnière, sa n’avait pas changé grand-chose. Il et sauta sur sa poitrine en tenant sa bitte en mains. Il essaye, de la faire entré da sa bouche de sa prisonnière, mais elle sera les dents. Il giflait son visage avec son pénis, il se décida a lui pioncé les nez, pour qu’elle ouvre la bouche. Se qu’elle fit et son sexe pu entrer dedans, il enfonça, la totalité de sa verge dans la bouche et la gorge de la belle brune. Tam avait du mal a respiré, il commençait des va et vient très rapide, il se foutait qu’elle aspire ou non. Tous se qui comptait, pour lui s’était de lui baiser la bouche comme il l’avait fait avec ses autres orifice !

 Sur la colline, au pied du camion il y avait un arbre, Alex et monsieur Durieux, étai sorti de la cabine. L’adolescente en combinaison orange, était a quatre pattes, sa tenue moulante ne descendait pas plus bas que ses botte a talon aiguille. Monsieur Durieux, sorti de sa poche, un petit flacon, qui contenait, une huile pour aider a la pénétration des petit orifice anal...

 

À suivre…

  PÉLOPS

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