Lemons en delire-2007-http://www.lemons-en-delire.com
Les
personnages pour ce Lemon sont : Tam Chamade 22 ans (Hitomi Kisugi), Sylia
Chamade 24 ans (Rui Kisugi), Alex Chamade 17 ans (Ai Kisugi), Quentin Chapuis 24
ans (Toschio Utsumi), Odile Assaya 24 ans (Mitsuko asatani), commissaire Bruno
45 ans(Kacho), Monsieur Durieux 50 ans (Nagaishi),
CAT’S EYES
Après avoir, a son tour été a son tour aspergé par l’hallucinogène des "Cat’s Eyes". Le commissaire Bruno, avait une énorme bosse qui ressortait, entres ses cuisses. Il réussi a sauté et s’accrocha sur les cheville de Tam, elle lui donna aussitôt un coup de pied, qu’il esquiva et lâcha sa proie ! Tandis, qui retombait sur le toit, il se contentait que de la vu des deux magnifiques paire de fesses, qui s’éloignait dans les aires. Il fustigeait, en hurlant, les deux superbes créatures, se mirent à rire aux éclats, devant les crie du vieux policier. Elles étaient des diablesses, pour lui et tous se qu’il pouvait faire était de les voire s’envolées loin de lui ! «Hi ! Hi ! Ho ! Ho ! Hi !_ Revenez, ici ! Cat’s Eyes ! Et je vous baiserais ! Je vous déchirais, vos petits culs ! Je vous ferais, sucé, ma grosse queue ! Revenez ! Salope ! Revenez catins !_ Hi ! Ha ! Ho ! Hi ! » Il ne pansait plus normalement, il désirait, ardemment violer les deux jeunes femmes et au plus vite ! il ne se contrôlait plus, l’érection, que lui avait procuré par l’hallucinogène, était démesuré. Jamais, le commissaire, n’avait autan bander, sa fermeture éclair avait péter et le bouton de son pantalon, ne teindrait pas très longtemps. Le vieux policier, avait un besoin urgeant de se soulager, il lui fallait trouver une femme et vite.
Monsieur
Durieux, caressait son entre cuisses, il bandait de nouveau, une énorme bosse
était très visible sur le coter droite de son pantalon. C’est, la vision des
deux superbes jeunes femmes, qui le mirent dans ses états. Le visage et son
regard, prit un air de vieux pervers, pépère qui a envie de se tapez des
jeunes filles. Un peu sueur suintait de son front, de fine par gouttelette
coulait sur ses joues. Il essuya rapidement et ratait rein du spectacle, ses
deux sœurs chamade, qui atterrissait, dans leurres combinaisons moulante. Les
deux magnifiques voleuses, effectuèrent un petit saut acrobatique avec une pose
très excitante,
l’atterrissage. Alex fit se poser le petit hélicoptère. Dans le camion. Le
rotor et le stator se replièrent, tendit que le haut du camion se refermait.
Tam et sa sœur Sylia, embarquèrent dans la cabine du camion.
Monsieur
Durieux, avec un sourire, félicita les deux jeunes femmes, pour leur exploit.
Tam, affichait un magnifique sourire, son visage rayonnait en montrant le
tableau de peint par son père. « Regarde, Alex ! C’est notre mère !
_ comme elle est belle ! Ses vrais qu’elle te ressemble beaucoup, Sylia ! »
L’ainée des trois sœurs, rougit, devant se compliment, de sa petite sœur. « C’est
vrai ! Que je ressemble beaucoup à notre mère ! _ Ses d’ailleurs !
La raison, pour laquelle, il fallait récupérer au plutôt se tableau !
Quentin, qui a fait le rapprochement entre Cat’s Eyes et notre père Michael
Heintz ! il pense ! Que se son les héritiers ! Spolié de leur héritage !
Qui tente de récupéré, la collection et toutes les œuvres de Heintz !
Un portrait de la femme de Michael Heintz ! Pourrait le mettre sur la voit
de Cat’s Eyes ! »
Les
trois sœur, prirent un air songeur et Tam, se mit a avoir peur. Quentin son
fiancé, est le policier qui l’attendait devait la toile, si il avait le
portrait, la ressemblance avec Sylia, a du le frappé ! Monsieur Durieux,
avec son sourire enjôleur posa une main sur une cuisse de Sylia, il lui caressa
doucement, comme il aurait fait avec une chatte. « Bravo ! En tous
cas ! Bravo ! Les filles ! Tout son bien passé ? _ Non ! »
Répondirent en cœur, Tam et Sylia, fusillant du regard leur petite sœur
Surtout
les yeux de Tamm, qui s’embrasait presque, elle s’était faite carrément
violer par Quentin, cause du gaz. Quand à, Sylia, elle avait prévu depuis
longtemps, se qu’elle avait fait subir a Assaya ! Leurres regard un peu
fou, firent comprendre a Alex, qui il y avait eu un problème ! « Pourquoi ?
Est-ce que vous me regardé comme ça ?_ Ton gaz anesthésiant ! Tu la
testé avant de le mettre dans les sprays ? _ Oui ! _ Alors !
Pourquoi tous les policiers, qui y ont eu droit, se son par endormit ! »
Alex,
eu l’air surprit, les teste avait été concluant sur les cobayes !
« Mais, au contrèrent, il était bien éveiller ! Pendant, qui nous
besognait copieusement ! _ Ha ! C’est ça l’effet secondaire !
Le gaz, normales fait tout oublier ! Et après avoir jouit les cobayes
s’endormaient à chaque fois !» Elle l’avait fait tester sur deux de
ses camarades de classe et il avait eu l’air un peu absent. Après, qu’elle
leur est injecté le gaz, mais elle n’avait pas vus qu’ils avaient la bave a
la bouche, et que leur sexe, avaient doublé de taille ! « Quoi ?
Tu vœux dire que se gaz, qui donne envie de baiser tous se qui bouge a ceux qui
ont été aspergé ! A un effet secondaire ! Et rend les gens amnésique !_
En faite, ses le contrèrent ! Je travaillais, sur une formule d’amnésie
partielle ! Je ne savais pas pour les effets secondaires ! Vous
avez du passé du bon temps ! » Tam, fusilla, Alex du regard, Sylia et
monsieur Durieux, éclataient de rire.
Il
fit, démarré le camion, et s’enfonça dans une petite forêt. Monsieur
Durieux, conduisait doucement s’en faire trop de secousse, sa main droite
toujours posé sur les cuisses de Sylia. Un de ses doigts, le majeur lui
caressait en profondeur, son entre cuisses ! un autre moyen de transport,
était caché dans les sous-bois, ils abandonneraient le camion et embarquerait
dans deux voiture de sport. Sylia et Monsieur Durieux, en prendrait une, pour
aller a la cachette, pour y entreposé le tableau. Tam, conduirait l’autre, en
compagnie de sa petite sœur Alex et rentrerait chez elles !
Sur
le toit le commissaire Bruno, apercevait bien où les "Cat’s Eyes",
avaient atterries. Il vit le camion qui démarrait, son premier reflexe fut de
crié, mais touts ses hommes, étaient soit entrain de dormir soit prisonnier
des déférents filets, disposé dans le musé. Ils avaient été installez pour
capture de "Cat’s Eyes» ! Mais, avertit du piège, les voleuses les
avaient évitez ! Malheureusement, se son les policiers, qui leurs
couraient après, qui s’étaient précipité dedans ! Pour l’heure, il
avait le sexe qui sortait presque de son pantalon. Il n’avait jamais eu une
aussi puissante érection. Il
jurait, contre des "Cat’s Eyes", il avait une envie folle de tringlé,
n n’importe quels femmes, qui passerait a sa portez ! Il revoyait, les
deux magnifiques paire de fesses, qu’il avait vu s’envolé, cinq minutes
plutôt ! Les palpitations, de son braquemart, contre sa cuisse, le firent
sortir de ça rêverie, le commissaire Bruno, reprit son esprit. Une idée lui
sauta aux yeux, ça subalterne, toujours prêté a se faire défoncé le minou.
« A…
SA…YA ! Mais, oui ! Assaya ! Il faut, que je trouve cette
femelle ! Cette, mal baiser ! Qui roule du cul ! En minaudant, dés
qu’elle voie une queue ! » Il l’imagina, entrain, de touché des
bittes en érections des policier en tenue, qui était sou ses ordre ! elle
s’agenouillait, et se mettait a sucé chacun leur tour , et après il la
tringlait en même temps par tous les trous ! «C’est vrais qu’il lui
faut sa ration quotidienne de sperme ! Cette, mal, baisé ! Sans
homme ! Je vais la baiser ! L’enfilée, par tout ses petit orifices ! »
Il bava, encor un peu plus, en s’imaginant, violent sauvagement, là jeune
femme a lunette. Oui, il lui déchirait le cul, lui ferait boire son sperme
jusqu’a plus soif, avant de l’engrossé, comme une chienne a quatre pattes !
Il descendit, les escaliers, pour essayer de retrouvé Assaya ! Il criait
en l’appelant, le vieux policier, ouvrit toute les portes qui se trouvaient,
sur son chemin. « Mademoiselle Assaya ! Venez ! Que je vous
fourre ! ma grosse queue dans le cul ! Petite ! Petite ! Où
êtes-vous ! »
Assaya,
après plusieurs essais infructueux, pour désemmanché, de la queue qu’elle
enfoncé jusqu’a la garde dans le cul ! Elle se retrouva couchée sur le
sol, avec une immense douleur entre les fesses. Elle regardait, le visage, sans
le reconnaître du jeune homme, dont la queue était encor dans son cul il ya
encor une minute. Il était toujours assit sur la chaise, ses jambes attaché
avec des menottes, sa bitte était au garde à vous, même après avoir jouit
dans son petite orifice ! Celui-ci ronflait, en dormant a poing fermé,
depuis qu’il avait jouit, elle aussi avait un peu dormit. Mais, la douleur
d’avoir une bitte tout entière enfoncé au plus profond dans le cul,
l’avait réveillé ! Assaya, fantasmait souvent de se retrouvé dans
cette situation, après une beuverie entre collègue policiers. Mais, se réveiller
et ne se souvenir de rien. Après, une partie de jambe en l’aire, avec un
aussi beau jeune homme. Jamais, elle n’aurait crus, que cela lui arriverait !
Près, d’elle se trouvait un pantalon, l’uniforme de son collègue.
Là
jeune femme, policier, eu un peu de mal a trouvé les clefs des menottes.
Puisqu’elle les avait, dans le dos, Mais, grâce a sa souplesse toute féminine,
elle réussi à faire passer ses mains devant-elle. Ainsi, elle put enfin se détaché,
Assaya, réajusta d’abor ses lunettes, qui était de travers. Très,
intelligente, là jeune femme policier, essaya de se souvenir, de se qu’il
s’était passé. Là jeune femmes, analysa la situation le jeune policier,
l’avait tringlé et par le petit trou en plus !
Elle
enfonça un doigt, sur sa douleur, Assaya, n’avait plus de doute, aussitôt
qu’elle l’avait ressortit il était couvert, de sperme ! Assaya, fit
une grimace et poussa un peu comme si elle faisait ses besoin. Du sperme sorti
de son petit orifice remplit de sperme. « Oh ! Mon dieu ! Je me
sui faite enculé par la bitte d’un inconnu ! » Elle, le regarda
depuis sa position, le jeune homme, était un nouvelle recrût, il avait fait
ses Début
la semaine dernière. Elle se rappelait, bien de lui, il n’arrêtait pas de
l’appelée ! madame ! Se qui, lui déplaisait fort, elle était
encor assez jeune.
Assaya,
se remit sur ses jambes, elle tremblait un peu, elle aperçut sur une autre
chaise le reste de se affaires y étaient. Là jeune femme, tira sur ses les
bretelles de son jupon et recouvra sa poitrine. sa petite culotte, était sur le
sol, elle la ramassa rapidement, Assaya, s’aperçut qu’elle était toute
trempé. Elle décida de ne pas la remettre, elle en avait une autre dans son
sac a main, qui était sur la chaise. Elle enfila sa jupe et sa petite veste, et
récupéra sa deuxième petite culotte de son sac a main et l’enfila. Elle
sortit de la pièce et abandonna le jeune homme, là jeune femme se demandait où
était ses autres collègues policiers ? Où, était ses incompétent et
stupide inspecteur Chapuis ? Assaya, et surtout où était passé
"Cat’s Eyes" ?
Le
musé, était très silencieux, d’habitude Quentin et les policiers en
uniforme. Quand, ils poursuivent les voleuses de charme, font plus de raffut !
Mais, le silence était très pesant, des reniflements, se firent entendre ainsi
que des grognent de plusieurs personnes, qui semblaient dormirent. Elle suivit
le bruit et trouva cinq policiers, en tenue prit dans un filet. Une odeur,
d’anesthésiant, piqua le nez Assaya, aussitôt elle se boucha les narines
avec deux doigts. Mais, elle fut un peu assumer par le gaz. Elle tituba, Assaya,
crut entendre la voix de son supérieur le commissaire Bruno. Elle s’écroula
sur le sol, comme une masse ventre a terre.
Dans
le sous-bois, Alex rassuraient ses deux frangines. « Vous inquiété pas
les filles ! Dans les fumigènes il y avait du vrais gaz anesthésiant ! »
Elle agitait devant ses yeux une petite capsule qui en contenait, force de joué
avec, elle lui échappa des mains. Tam, qui était coté d’elle, essaya de la
rattrapée, mais ses doigts, la brisèrent en s’emparant. Immédiatement,
Sylia, par reflexe essaya de sortir du camion, comme elle était assit près du
chauffeur, elle poussa monsieur Durieux. La porte s’ouvrit d’un coup, ils se
retrouvèrent rapidement en dehors. Pendent, que le camion fit un embardé et
fini par s’immobilisé, contre un arbre.
Monsieur
Durieux, en parfait gentleman, avait prit dans ses bras la belle Sylla, pour lui
amortir le choc contre le sol. Ils se retrouvèrent, allonger, l’un sur
l’autre et ventre sur ventre. Là plantureuse Sylia, avait une de ses
bretelles de sa combinaison arraché. Le vieil homme ventripotent, était loin
d’être de bois, en sentent sur lui la poitrine de là jeune femme. Surtout,
qu’un de ses seins était nue, là grosse poitrine, écrasé sur son torse et
violant érection se fit sentir entre les cuise de Sylia. Là plus
pulpeuse, des trois sœurs chamades, afficha un sourire, elle faisait toujours
de l’effet a cet homme ventripotent. Sylia, savait, que pendant qu’elle,
cabriolait le musé avec Tam, il s’était surement farcit sa petite sœur.
Elle se releva ainsi que Monsieur Durieux et allèrent ver le camion. Tam et
Alex, dormaient a poing fermées, Sylia, éclata de rire en voyant ses deux sœurs,
allongez l’une sur l’autres !
« Ha !
Hi ! Ha ! Hi ! _ Ouf ! J’ai eu peur ! Pur vos sœur !
Ma chère Sylia ! _ Bon ! Maintenant que je sui rassuré sur leurs
sort ! On devrait s’occupé de se ceci ! » Sylia, pointa un de
ses doigt sur le sexe en érection. Elle empoigna l’énorme bosse, que
Monsieur Durieux, avait entre les cuisses !
Elle tira sur sa fermeture éclaire et plongea la main, pour en sortir la
bête qui si cachait. Elle regarda a droite et a gauche, en tournant rapidement
sa jolie tête. En tenant,
fermement le phallus dans ça main droite, elle se déplaça et entraina
monsieur Durieux, avec elle. Sylia, s’arrêta de marché devant le camion, les
phares du camion les éclairaient, il y avait un arbre juste derrière elle.
Elle roula un long baiser mouler au vieux monsieur ventripotent. La jeune femme,
avait gardé dans sa main le phallus de monsieur Durieux et le caressait comme
un petit chaton. Lui, il avait posé une main discrète, sur son sein dénudé
et là pelotait tranquillement, pendent qu’il l’embrassait. Sylia, après se
sulfureux baisé, affichait son sourire espiègle et descendit doucement, en
s’accroupissant. Chemin faisant, elle, lui retira son pantalon et le fit glissé,
sa chute sur s’arrêta sur ses mollets. La pulpeuse jeune femme, empoigna
alors deux mains, l’énorme sexe, et commença a le branler rapidement. Le
phallus de Monsieur Durieux, se gonfla encor un peu sou, la dextérité de ses
douces caresses. Sylia passa un de ses main dans ses cheveux, et ouvrit sa
bouche délicatement. Elle rapprocha, son visage du gland et le goba, en
aspirant entre ses lèvres. Le vieux monsieur, ventripotent se mit a caressé
les long cheveux de Sylia, comme si s’était une petite chatte, bien élever.
Monsieur
Durieux, appréciait beaucoup les lèvres douces et chaudes, de là délicieuse
jeune femme. Sylia, le pompait promptement en avalant un maximum de longueur de
l’énorme sexe. Elle faisait, de temps en temps une courte pause, pour expiré
et inspiré. En même temps, qu’elle avalait de l’air, Sylia aspirait l’énorme
phallus dans sa bouche. En produisant, un son très excitant » Hahhh…HHHfff ! »
Monsieur Durieux, pris appuis su le capot du camion, Sylia, le repoussait chaque
coup de tête, qu’elle donnait en lui pompant le poireau. Le sein nue de
Sylia, ainsi que l’autre se balançait en rythme, de la mémé façon que ses
va et vient. Il avait l’impression quelle lui bouffait littéralement le sexe,
se qui lui faisait très plaisir. C’est lèvres chaudes, qui lui massait le
colosse, par de doux va et vient qu’elle produisait un petite bruit assez
embarrassant, après cinq minutes de pompage intensif, il cracha sa laitance
dans sa bouche. Sylia, but le sperme qui sortait du gland comme si elle avalait
un cocktail.
« Ahaaa !
Ses Bon ! Ahaaa ! Ses Bon ! Se que j’aime votre bouche !
En plus vous avaler tout sans rechigner ! Hummm ! Vous avez raison !
Faut pas gâcher ! Ohooo ! Ahaaa ! »
Monsieur Durieux, lâcha une deuxième
saccade qui fila directement dans la gorge de là jeune femme. Elle déglutit,
et avala, ainsi la semence. Sylia,
recracha le phallus et se mit aussitôt a le léché après avoir reprit une
bouffé d’air ! La langue, de la pulpeuse jeune femme, fit plusieurs fois
le tour de l’énorme colonne de chair, pour lui enlevé la moindre goutte de
sperme. Bien propre, nettoyer de toute trace de la précieuse laitance, le
phallus était près pour la seconde phase.
Monsieur
Durieux, aida Sylia, a se remettre debout il là serra fort dans es bras et fit
un pas de deux jusqu’a l’arbre derrière elle. Il lui retira la dernière
brettelle et avec ses deux mains il fit glissé la combinaison jusqu’a ses
chevilles, en s’accroupissant a son tour.
Monsieur Durieux, embrassa ses cuisses, ainsi que son petit ventre. Ses
doux baisés, le conduire aussi a embrassé à pleine bouche, la cage a miel de
Sylia, a qui il roula une pelle. Là jeune femme, sentit la langue qui bougeait
dans son orifice vaginal, provoqua en elle, une certaine effervescence. Notre,
pulpeuse héroïne, ne pus s’empêché de se mettre à gémir comme une
fillette.
Monsieur
Durieux, s’appliqua a faire une bonne minette bien baveuse a la belle Sylia,
ses gémissement,, était pour lui était une douce musique. Il se releva,
lentement, en là recouvrant de baiser, et des mots de tendresse. « A
ma chère Sylia ! Mummmm ! Smack ! Vous êtes, ma préférée !
J’aimerais tellement être votre père ! Mummmm ! Smack ! Smack !
_ Mais, dans ce cas, se serait un inceste ! _ Oui ! Et cela
m’importerait peu ! Puisque, je vous désir ardamment ! Ahaaa !
Sylia ! Mummmm ! Smack !que vous êtes bonne ! Mummmm !
Smack ! Smack ! » C’est baisé, ses questions malhabiles et la
ferveur de sa queue, qui cognait contre les cuisses. Çà pulpeuse, partenaire
comprenait, qu’elle allait bientôt être saillit Sentez vous ? Mon désir !
Qui cogne contre vous ? _ Oui ! Je sens ! Votre grosse queue !
Qui vœux me bénir ! _oui ! Ma chère, Sylia ! Je vais vous bénir !
De ma laitance ! Je vous engrosserais ! Avec mon énorme bélier ! »
Sylia,
avait saisit le phallus et le caressait doucement, comme si s’était un petit
lapin. Monsieur Durieux, détacha la main, de là jeune femme, elle sans servit
aussitôt pour s’agrippé a l’arbre. Empoignait, lui-même son phallus,
monsieur Durieux, le fit entré dans le doux orifice, qu’il avait préparé !
Monsieur Durieux, enfonçait doucement et sûrement
son braquemart, dans le vagin de Sylia. Là belle, se mit a gémir de plus
belle, tendit que l’énorme sexe lui défonçait la cage a miel !
« Ahaaa ! Ahaaa ! HIIII ! Ahaaa ! Ohooo ! Ahaaa ! Ohooo !»
Se fut, presque comme un chant, remplit d’érotisme. La voix, de sa
partenaire, lui donna une nouvelle de la vigueur, a la fois dans ses muscles et
dans sa verge qui devenait plus dur.
il donna ses premiers coups de rein,
dans la chatte brûlante
de Sylia !
Dans
le musé. Assaya sentit des mains, qui essayait de l’attrapé, dans la pénombre.
Elle se débâtit, mais les mains, réussissait toujours a l’attrapé. Les
mains, empoignait sauvagement sa poitrine et se mit à la tripotée
vigoureusement. L’inspectrice à lunette, voulut criée et donna un coup de
coude dans le bide de son agresseur, qui là relâcha aussitôt ! Elle
Tanta, de s’enfuir en courant mais des mains, là jetèrent au sol. Elle se
retourna, pour faire face à son agresseur, elle avait du mal a reconnaitre son
supérieur la commissaire Bruno. Son visage en sueur et le fait que sa bitte
dressé sortant de sa braguette ouverte. Procurait, a Assaya, une peur
inextinguible, elle se savait perdu. Il allait là violé et elle ne pouvait
rien faire, il était bien plus fort qu’elle. L’adrénaline, qui forçait le
commissaire Bruno, a se comporté comme une bête ! Ne laissant, aucune
chance, a là jeune femme, son regard remplis de lubricité de son chef et les
grognements qu’il poussait tendit qu’elle se débâtait, s’en pouvoir
fuir. Le vieux policier, lui écarta les jambes, en les tenant par les pieds,
avant de se vautré sur elle.
Le
commissaire Bruno, ne se contrôlait plus, avide de sexe, il se jeta sur elle.
Assaya, sentit des mains brutales qui lui retroussaient sa robe et lui déchirait
et arracha sa petite culote. Elle déglutit tendit qui lui léchait le coup et
tentait de l’embrassé sur la bouche. A l’aide d’une seule main, il tenait
les deux d’Assaya, au-dessus de sa tête. Elle se tordait, en tous sens, sa tête
se tournait et se retournait. Le commissaire Bruno, sentait l’alcool, elle
continuait de toute ses maigre force de l’empêché de le laisser l’embrassé
sur les lèvres. Il y réussi pourtant après une minute de congas acharné en
lui saisissant le visage de son autre main ! Il colla se lèvres, sur
celles de la jolie femme a lunette, son Haleine fétide, il fit rentré sa
langue dans sa bouche ! « Mummm ! Murrrummm…Hummm ! _Hummm !
HAÏ ! Salope ! Tu ma mordu la langue ! Je vais de défoncé la
chatte ! »
Avec
son pantalon, la façon de se comporter, on aurait dit un barbare, violant une
pucelle au moyen âge ! Le commissaire Bruno, avait perdu tout sens de
morale, a deux mètre d’eux. Il avait cinq policiers en tenus qui ronflaient,
si l’un d’eux se réveillait, il pourrait peut-être aider Assaya. Ou, pire
pour la jeune femme, il se joindrait au commissaire Bruno, pour là baiser !
Bien, n’installé entre ses cuisses largement ouverte, il glissa ça queue
entre ses jambes. D’un seul coup de boutoir, il l’enfila. Il cria, tendit
qu’il lui déchirait l’entré de son vagin. Il commença ses va et vient,
sitôt planter son phallus bien dure tout entier, dans la chatte d’Assaya !
Elle avait, l’impression, qu’un paquebot, entrait sortait de son sexe en lui
déchirant l’utérus. Heureusement pour elle il jouit très rapidement, le
commissaire Bruno, trop excité, par le gaz, de "Cat’s Eyes". Mais,
une phénoménale quantité de sperme entra dans le ventre, d’Assaya, jamais
il avait jouit en elle, il sortait toujours juste avant. Il préférait
largement jouir sur ses petite fesses, a qui il donnait a chaque fois une
magistral paire de gifle, se qui là projetait sur le sol. Après, il se
saisissait de son jolie minois, pour lui faire avalé sa queue. Afin, qu’elle
lui nettoie bien le phallus, avant qu’il ne le range dans son pantalon. Il
adorait, voir son visage d’habitude remplit de fierté, comme si elle avait un
balai dans le cul. Il adorait l’avoir humilier entre ses jambes, pendant
qu’elle lui pompait le poireau.
À
peine avait il jouit qu’il s’endormit sur sa poitrine, comme terrassé
soudainement par la fatigue. Après, l’avoir besogné seulement cinq minutes,
Assaya, sentait la grosse verge de son supérieur dans son sexe. Elle pouvait a
peine bouger, Assaya tenta de se dégagé, et le commissaire Bruno, mit a ronflé !
il avait relâché ses main et ramenés les sienne au niveau de son torse. Un de
ses main se pausa sur un de ses seins, qu’il pinçait par a coup. Le
commissaire Bruno, se mit à lui sucé le téton droit a travers son chemisier,
comme si s’était son doudou de son enfance. Assaya, en rougit de honte, il là
prenait pour un nounours en peluche.
Dans
là foret toute proche, monsieur Durieux, besognait copieusement le vagin de
Sylia. Là jeune femme, avait croisé ses jambes dans le dos de son partenaire.
Elle se maintenait en équilibre grâce a l’appui de ses mains qu’elle avait
passé derrière son. Sa grosse poitrines nue, montait et descendait a chaque
fois qu’elle rebondissait sur la queue. Monsieur Durieux, avait entièrement
enfoncé son phallus le sexe de la plantureuse jeune femme. Ses coups de reins
faisait, un mal fou a Sylia, qui ne cessait de crié que pour respiré fort
d’une façon suave. De temps en temps lorsqu’il donnait des coups de
boutoirs, la poitrine se balançait assez haut, pour qu’il puisse lui léché
un de ses tétons. Elle, sentait que son sexe s’était pas mal élargie, comme
si elle venait d’accouché. Sylia, qui gémissait, avec force, en hululant !
«Hou…Ouhou ! Hpoufff ! HHH ! Ahaaa ! Mummm ! Hou…Houhou !
_ Han ! Han !oui ! Oui ! Oui ! Han ! Han !
Oui ! Je vais jouir ! Je vais te remplir de mon foutre ! Ma belle
petite chatte ! Ahaaa…Ahaaa ! _Ohooo ! Houhou ! Ahaaa…. »
Elle
descendit du dos de monsieur Durieux, et se retourna aussitôt, en se cabrant au
maximum. Sylia, avait toujours un peu les feux au cul, Devant son magnifique
postérieur. Bien, entretenu par la gym tonic et l’aérobic, monsieur Durieux,
ne pouvait que saliver de plaisir, d’avoir le droit de comblé. Le vieil
homme, emmancha très rapidement son phallus, qui commençait à faiblir après
avoir jouit, dans le petit ognon de Sylia ! Elle ferma les yeux et se
mordit les lèvres, en sentant le gland du phallus lui déchiré l’entré de
l’anus. Ses mains griffèrent le tronc de l’arbre sur lequel, Sylia prenait
appui. Un son, sorti de ses lèvres qui n’avait rien de rassurant pour un
promeneur des bois. Si, il n’y en avait eu un, Monsieur Durieux, pénétra
avec douceur le petit orifice, en faisait de petits a coups pour mieux faire
entré son phallus. Sylia, avait hâte que cela ne finisse, elle était fatiguée.
Là pulpeuse jeune femme, avait l’impression qu’elle pourrait plus s’assoir !
Il lui fallut cinq longue minutes, pour Sylia, pour pouvoir faire entré touts
entier son phallus. Sylia, sentit toute la puissance du sexe de monsieur
Durieux, dans son trou de balle. A peine était-il entré qui jouit dans la
profondeur de son œillet.
Il
se retira aussitôt, et lâcha son sperme, sur les belles petites fesses de
Sylia. En poussant, un râle de mâle en rut, après une bonne saillit. Là
jeune femme, aussi poussa un cri, mais lui s’était de soulagement, en se
redressant elle se caressa les fesse de façon très vigoureuse. Sylia, se
retourna devant lui, en les baissant jusqu’a se qu’elle touche se propre
pied. «J’aurais besoin d’un bon massage de se coté la ! _Je vais vous
en faire un ! J’ai tous, se qu’il vous faut ! » Monsieur
Durieux, s’agenouilla derrière elle et il lui massa les fesses et enfonça
ses doigt dans son trou du cul. Il avait, l’art et la manière et les doigts
enduit d’un petit tube, remplis d’une pommade, qu’il avait dans la poche
intérieur de sa veste. « Ohooo ! Sa va mieux ! Oui ! Ses
bons ! Oh ! Monsieur Durieux ! _ J’ai toujours, sur moi cette
crème apaisante ! Je ses très bien ! Les ravages, que je fais !
Avec ma grosse queue ! Ah ! Ah ! Ah ! Oh ! Ah ! _Ah !
Hi ! Hi !Hi !» Il se mit a rire, suivit par celui plus sulfureux
de Sylia !
Elle
lui sauta au cou et l’embrasa sur les joues et de sa là plus voix sulfureuse.
Sylia, remercia monsieur Durieux, de l’avoir bien baisé. Ils remontèrent
dans le camion et repris leur chemin. Arrivé a une clairière, ils réveillèrent
les deux sœurs de Sylia. « Tam, tu peu conduire ? _Oui ! _
Alors tu va ramenez Alex ! À la maison ! Moi et monsieur Durieux !
On va à la planque ! _Ok ! » Tam, grimpa dans la Porsche suivit
par une Alex, très fatigué, elle frottait ses yeux pour essayé de se réveillé.
Sylia remonta dans le camion et il redémarra en direction des docks où se
trouvait l’entrepôt où il entreposait tous se qu’ils avaient récupérez
de la collection de leurs père…
Fin
de l’épisode.
PÉLOPS
Accueil | Les News | Lemon | Auteurs | Oeuvre Original | Liens | Envoyez vos Oeuvres | Vos commentaires sur le site
___________________________________________________________________________________________
Lemons en delire-2007-http://www.lemons-en-delire.com