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DENIS LA MALICE

 Une nuit très sexuelle

    Denis, se réveilla au milieu de la nuit il suça les seins sur lesquelles ils s’étaient endormit.  Sa tige se trouvait toujours dans la fente de sa mère il se dit qu’elle ne se rait dérangé s’y il y remettait le couvert ! Il donna des petits coups de reins, et ses va et viens là réveilla, elle le sera dans ses bras en gémissant de plaisirs. Il ne mit pas longtemps avant de ce vidé, sa purée inonda la cage a miel de sa mère ! Elle poussa un râle qui faillit réveiller Henri son mari ! Elle prit son fils dans ses bras sans qu’il eu le temps de se retiré ! Elle le déposât dans son lit et malaxa la tige de Denis avec ses seins quelques minutes. La mère de Denis empoigna la jeune verge, qui était déjà très dur avec une main rendue moite, par le fruit défendu et la branla un peu. Lentement elle rapprocha son visage de la tige et elle ouvrit la bouche. Elle accueillire la verge de Denis entre ses lèvres, elle lécha le gland dans sa bouche. Elle recommença des va et vient entre ses lèvres délicate. Denis, caressa les cheveux blonds de sa jolie mère, qui avait englouti son pénis !  Elle le pompait comme un vrai aspirateur et après quelques minutes il gicla dans sa gorge ! Très contentieuse, elle avala et bus goulûment le nectar qui sortait de la tige de Denis. Le jeune  garçon s’endormi aussitôt, sa mère lui fit un baiser en le bordant. Elle s’essuya les lèvres et alla mater un film X, sur une cassette. A peine le film a-t-il commencé, qu’elle retroussa sa chemise de nuit au-dessus sa taille et fit tomber ses fines brettelles. Madame Michaux, commença est se caressé la poitrine ses doigts descendirent aussitôt sur son vagin ! Elle se caressait la vulve qui gonflait sou l’excitation, elle poussait des gémissements de plaisir. Monsieur Gorge Martin, le voisin des Michaux, entendit les gémissements, le vieux retraité ne dormait pas ! Il laissai volontiers sa femme dormir en ronflant avant d’allé lui-même s’allonger. Gorge Martin, s’approcha de la fenêtre ouverte du salon où Madame Michaux se taquinai la motte ! Il là vu et il admirai ses formes généreuses, elle avait de si beau seins qui se ballottaient au fur et a mesure de ses va et vient dans son clitoris. Gorge sortie son phallus et commença à se branlé en regardant sa ravissante voisine ! A peine avait-il commencé, qu’il se dit qu'il devrait entrer, il escalada le fenêtre sans faire de bruits et empoigna la poitrine de sa voisine !

            _AHAAA…AHAA !

       _NE VOUS INQUIÉTER PAS MADAME MICHAUX ! SES MOI GORGE MARTIN, VOTRE VOISIN !

       _MAIS ! QU’EST CE QUE SA SIGNIFIE ? ? ?

       _SES SIMPLE, JE VOUS EST ENTENDU ! ET J’AI COMPRIS QU’ELLE ÉTAIT VOTRE PROBLÈME ! ET JE VIEN LE RÉGLER !

       _MON PROBLÈME ! QU’ELLE PROBLÈME ?  

        _MAIS? VOTRE ENVIE DE VOUS FAIRE TROUÉE, BIEN SUR !

Sans lui répondre, il la tira ver lui et lui lécha les nichons, madame Michaux ne résista pas. Les mains de la mère de Denis cherchait le sexe de Gorge, elle le trouva et le braque vers l’entré de sa cage a miel ! Gorge, donna un coup de reins pour faire glisser son phallus, ses va et vient brutaux les ramenait au sol sur un tapis en poil blanc ! Ma dame Michaux croisa ses cuises dans le dos de son vieux voisin, qui lui faisait tellement de bien. Le nez entre les seins de sa ravissante voisine, gorge si donnai à cœur joie, ses va et vient le rapprochait du bonheur et du septième ciel ! Il lapa les tétons durcis de sa partenaire, rapidement ses mains les tripotèrent au rythme de ses va et vient ! Madame Michaux, senti le sperme chaux la remplire, et elle poussa un crie qui disait qu’elle avait atteint l’orgasme. Se faisant son mari, Henri se réveilla ne trouvent pas sa femme a ses coter de lui il se leva. Dans le salon, cette dernière vidait jusqu'à la dernière goutte les couilles de leur voisin. Le gros phallus de Gorge, lui faisait pensée à son père, depuis l'age de quatorze ans, elle aimait lui sucé pour l'amadoué pour qu'il lui signe ses carnets de notes !Gorge fut le premier a entendre les pas il repoussa la tête de sa voisine, qui tomba en arrière et il fila sans demandé son reste. Madame Michaux, les vêtements en désordre tenta de se relever, elle pris appuis sur ce qu’elle crut être le rebord du canapé. Une main lui saisi la tête et là cola de nouveau cotre un service trois pièce, elle avala sans bronché la queue qui lui était proposé. Henri fasciné par le spectacle d'une jeune femme qui se faisait prendre en sandwich, l’obligea à le pompé rapidement. La queue de son marie lui rappelait celle de son professeur de Math du lycée, quand sonnait l'heur de la pose elle lui faisait une gâterie, afin de d'entretenir sa moyenne!

_AU MON AMOUR, TES LÈVRES SON SI BONNE CE SOIR ! MUMMM ! POMPE, BOUFFE MOI LA QUEUE ! PETITE CHIENNE, A MOI !

       _MUMFFHENRI…MUMMMFFF !

_ferme ta gueule suce ! ALLER POMPE ! JE VŒUX JOUIR DANS TA BOUCHE SALOPE !

Madame Michaux pompa la bite sans bronché surtout que son mari donnai la note en donna de petits coups de reins rapides ! Henri Michaux éjacula dans la bouche de sa femme, pour elle s’était sa troisième pipe de la soirée et là cinquième depuis le matin.

_A PUTAIN SES SI BON, DE SE FAIRE SUCER ! MAINTENANT, TOURNE-TOI QUE JE T’ENCULE! SALE CHIENNE  !

_OH ! HENRI ! J’AIME QUAND TU ME PARLE COMME SA !

Il saisit les fines hanches de sa jeune femme et fit pénétrer sa queue dans le petit orifice! Sa queue entra facilement dans son rectum il put commencer immédiatement ses va et vient. Elle poussait de grands gémissements, tendit que son mari lui labourait l’œillet, en poussant des cris de fierté ! Après un bon quard-heure il jouit au fond de son ventre il se retira et aspergea ses fesses. Henri attrapa la main de sa femme et l’entraîna vers le lit conjugal et il lui refit l’amour jusqu’au matin.

 SATYRE