Conan et le club de détective juniors, enquêtait sur le vole du sac a
main de leur maîtresse. Entre temps cette dernière, alla trouver monsieur Mouri a son bureau,
elle le trouva légèrement émécher. Il avait avalé un pack de bière et il
entamait un nouveau quand elle frappa à sa porte. « Bonjour ! Je sui
mademoiselle Sumiko, Kobayashi ! Là jeune maîtresse d’école de Conan
Edogawa ! Il ma dit de m’adressé a vous pour… » Là jeune
enseignante, de vingt-six ans, sans petit amie avec un aire moitié innocente,
moitié coincé du coter sexe ! Elle portait des grosse lunette fine et
noir, un pantalon en fuseau et un petit pull blanc moulant. Elle avait un air
inquiet, et semblait avoir peur de quelques choses !
Kogoro,
la trouva bandante, mais alcool, lui tournait la tête, même un cageot
l’aurait exciter, elle bne ressemblait du tout au maîtresse de son enfance.
IL se leva et alla ver elle, mais ses jambes, ne tiens pas longtemps en équilibre.
Il tomba, au pies de la jeune femme, elle eu peur et poussa un cri, Kogoro, leva
la tête et s’aperçut que la jeune enseignante avait un certain charme. Son
esprit était embrumer par l’alcool et il n’avait vu que ses grosse lunette
et ses cheveux noir couper cour. Aux pied de la jeune femme, il voyait très
bien, qu’elle possédait une belle poitrine, qui n’avait rien à envier a
celle de sa femme ou de sa fille. Il tenta de se relever et sa main droite
empoigna le sein droit de la jeune femme. Elle poussa un cri et Kogoro ne se gêna
pas pour tâter la marchandise, comme il ne lâchait pas son sein mademoiselle
Kobayashi, le gifla !
Kogoro,
tomba en arrière sur le bureau, par reflexe il avait attrapé l’épaule
droite de mademoiselle …, qu’il entraina dans sa jute. Elle lui tomba dessue
et ses lèvres entrèrent en contact avec celle du détective. Celui ci n’hésita
pas une seconde a y mettre sa langue. Là jeune femme rougi, pour elle s’était
une première fois !
Elle
s’écarta du détective rapidement en se relevant. Le baiser mouiller fit
reprendre ses esprit a Kogoro. »Heu…Heu ! que me vau l’honneur de
votre visite ! Conan ! Se sale garnement aurait t-il causer du tord ?
_Eu !!! Non, il ma dit que vous pourriez
m’aider ? » Elle lui raconta ça mésaventure qu’elle
avait eu il y a deux jour en prenant le métro. Comme d’habitude mademoiselle
Kobayashi, prend le métro, en pleine heur de pointe comme elle na qu’une
station elle reste debout contre la porte. Ses là, qu’une main baladeuse
d’un pervers ses mit a lui caresser les fesse ! Comme la jeune femme
n’a pas crier il sen était dit qu’il pourrait aller plus loin et empoigne
sa poitrine et commença par lui presser les deux seins. Il les malaxa en tous
sens, elle rougit de honte mais n’osa pas crier. Une main lâcha un de ses
seins et alla se placer sur son entre jambe. La main frotta vigoureusement
contre son sexe, elle était vierge et ne pratiquait pas la masturbation !
La jeune enseignante, se mit a poussée de petits cris, car cella l’excita
beaucoup. Elle mouillait abondamment. Le pervers sembla se calmer, mais en faite
il avait déplier sa gaulle. Il la glissa dans l’entre jambe de la jeune femme
et comma ça des va et vient. Il fit craché rapidement son phallus et du sperme
jaillit sur la porte vitré du métro. Au moment ou le train arrivait en
station, Mademoiselle Kobayashi, fut expulser hors du wagon et se retrouva sur
le quai. Elle était, en sueur et ses là qu’elle constata, qu’on lui avait
voler son sacs a mains !
« Et
bien mademoiselle Kobayashi, qu’elle drôle d’aventure ! Vous, avez, eu
là ! Avez-vous portez plainte a la police ? _Non ! j’ai eu
trop honte ! » Mademoiselle Kobayashi,
se mit a fixer l’entre jambe du détective, Kogoro sen rendit compte.
Le récit de la jeune enseignante l’avait fait bander comme un âne ! Il
se mit a rougir, comme il était un peu inhiber par l’alcool il lui proposa de
drôle d’honoraire ! « Je prend, vingt mille yen par jour ! ou
une petite gâterie ! _Quoi ! mais…Mais ! ses quoi une gâterie ? »
Kogoro, se leva baissa son pantalon et caleçon, son phallus se dressa aussitôt
devant l’enseignante. « Je ses que vous n’avez pas de quoi me payer !
alors arrangeons nous au mieux ! _Que doit je faire ? _ retiré votre
pull s’il vous plait je meure d’envi de voir vos seins ! » Elle
retira aussitôt son pull et Kogoro s’approcha d’elle ses mains firent
glisser le soutien gorge de la jeune femme en-dessous de ses nibards !
Il embrassa les deux seins a plusieurs reprise en essayant de sucer les tétons.
La jeune femme poussait de petits gémissements, Kogoro, s’arrêta et prit la
main de l’enseignante tendit qu’il alla s’assoire sur un des deux divans.
Il écarta les cuisse et posa la main qu’il tenir sur le phallus !
« Caresser
le ! n’hésiter pas a utiliser vos deux mains ! » Mademoiselle
Kobayashi, fit se qu’il lui demandait, il lui demanda de serre sa colonne de
chaire entre ses mains et de faire un mouvements de va et vient. Comme
mademoiselle …, était intriguer par l’énorme sexe de Kogoro, elle se
rapprocha de lui. Kogoro, attrapa le visage de la jeune maîtresse
d’école et mit ses deux pouce dans sa bouche et s lui écarta la mâchoire.
Elle ne comprenait pas se qu’il voulait faire, il lui tenait a présent sa tête,
avec ses deux mains, là guida vers
son sexe.
« ouvrez
en grand la bouche et laisser vous guider ! » Kogoro, enfila son
phallus dans la bouche de là jeune femme, elle commença a étouffer. Il lui
rappela qu’elle doit respirer normalement avec son nez, et surtout ne pas
mordre. Rentra au trois quarts, ses vingt-cinq centimètres de chaire, dans sa
bouche et commença ses va et vient. Il en sortait dix centimètres et a chaque
fois essayait dans mettre plus ! Là jeune femme le fixait dans les yeux,
elle avait le regard d’un biche affoler avec ses lunette. Ses deux mains poser
de chaque coter des genoux de Kogoro essayait de résister, mais il là tenait
bien. Il lui baisait la bouche comme s’il il aurait baiser son sexe !
elle beuglait avec se gros sexe entre les dents, Kogoro haletait très fort et
prenait un malin plaisir a se qu’il lui faisait !
Là
jeune femme, crus plusieurs fois mourir étouffer, pendant les va et vient.
Kogoro, réussit a tout mettre dans sa bouche au même moment qui fit cracher
son sexe, il là maintien ainsi pendant quinze secondes, avant de là relâcher.
Elle se dégagea, en se tenant la gorge pour tenter de vomir le sperme, mais
trop tard pour reprendre son souffle elle avait déglutit. « Tous avaler !
J’ai tous avalé ! Votre sperme ! » Kogoro, s’approcha de
son visage en sueur ses lunette était embrumer par la vapeur, il se masturbait
rapidement. Il gicla dessus et aspergea ses lunette et ses seins. »
Wouhaaa ! S’était génial, Mademoiselle … ! si vous, vous voulez
prendre une douche maintenant avant qu’on aille sur les lieu de votre
agression ! » Elle se leva attrapa son pull, et alla dans la
direction que lui indiquait Kogoro. Une demi-heure plus tard il sortait du bâtiment
qui abritait l’agence de détective Mouri. Ses a ce moment là que Conan et
ses trois ami du club de détective arrivèrent avec le sac a mains, de
mademoiselle … . Conan, était aller a la police de la gare et un pervers
avait été interpeller
a flagrant délit. Là police avait perquisitionner cher lui et avait retrouver
une dizaine de sacs a main de jeune femme. Il les avait agresser d’abord pour
les voler, mais il s’était dit qu’il pourrait tout aussi bien les violer !
Conan, avait demander a inspecteur Sato, qui était en charge de l’affaire, de
lui rendre le sac de sa maîtresse
et il avait accepter !
Fin
de l’épisode…
PÉLOPS
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