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Sonoko
Suzuki / 16 ANS
Ran, avec son amie Sonoko avait fait les magasins pour acheté quelque maillot de bain pour les vacances d’été. En rentrant son père avait tenu a se qu’elle lui montre se qu’elle avait acheté avec sont argents ! l’adolescente très excité par les vacances mourait d’envi de tous les mettre.
_D’ACCOR PAPA ! MAIS TU A
CAS CREE L’AMBIANCE, POUR NE PAS QUE J’ATTRAPE PAS FROID !
_D’ACCOR MA CHÉRIE ! TU
N’A QU’A TE CHANGER-LA !
_HIN ! HIN ! PAPA ! MAIS ARRÊTE! TU N’A PAS
LE DROIT! AH ! AHAAA ! OUI ! CONTINUE ! DEFONC…MUMMM !
DÉFONCE MOI LE CUL !OUI ! OUI ! OUI !!!
_T ‘AIME ÇA ? UN MA
PETITE DÉVERGONDER ! T’AIME SENTIR LA QUEUE DE TON VIEUX PÈRE DANS TON
CUL ! TA MÈRE ÉTAIT COMME TOI ! ELLE DISAIT QU’ELLE AIMAIT PAS ÇA !
MAIS DES QUE JE COMMENÇAIS E LUI METTE MA GROSSE BITE DANS SON ANUS ELLE
BEUGLAIT POUR QUE JE CONTINUE ! AHAA ! OUI ! SA VIEN ! SES
BON ! OUI ! OHOO…OHOOO !
RAN ! PREND ÇA…DANS TON CUL! AHAAA !
Kogoro, vidant ses couille entre les douce fesses trempé de
Ran, qui meuglait en tirant la langue ! Il sortit du petit cul de sa fille
et essuya son sperme sur le maillot de t de bain. Il se releva et se vautra de
nouveau sur son fauteuil le pantalon baissé et la verge pendante !
Ran, se remis debout et tira sur le maillot de bain au niveau
de ses fesses !
_SES MALIN IL EST SALE MAINTENANT !
_SES PAS GRAVE FAIT MAIS EN UN
AUTRE ! TU EN A BIEN ACHETER PLUSIEURS ? NON ?
_ JE VEUX BIEN MAIS TU VA ENCOR ME VIOLER !
_TE VIOLER SES VITE DIT ! TU FAIS DU KARATÉ ! ET TU EST
CEINTURE NOIR PREMIÈRE DAN ! ALORS, VRAIMENT SI TU VOULAIT PAS TU
M’AURAIT MIT K.O. !!! EN PLUS TU MA
ÉPUISER JE NE TE FERAIT PLUS QUE RIEN AUJOURD’HUI !
_O.K. ! JE VAIS EN METTRE UN
AUTRE! LE Bikini ! IL VA TE PLAIRE IL EST GRIS ARGENTER. IL N’Y A QUE
DEUX PETITE FICELLES QUI TIENNE LA CULOTTE DE BAIN ET LE HAUT NE TIEN AVEC DE
FINE BRETELLES !
Ran dit tous ça avec un sourire,
et la description que lui avait fait sa fille lui redonna la gaule ! Le père
de Ran bavait la langue pendouillant en imaginant sa fille dans se bikini !
Ran, se changea de nouveau, son père la voyait entrain de bronzé sur la plage
les jeune hommes se battait pour lui mettre de la crème solaire. Kogoro,
repoussait les prétendant de ça fille et qui allongé sur le dos le laissa
s’asseoir a cheval sur elle ! il défit ses bretelle et commença a lui
massé le dos son sexe bandait si fort qu’il sortait de son short de bain !
Il commença à se frotté sur son dos en prenant ses magnifiques seins entre
ses mains ! Les va et vient de Kogoro, firent gicler sa verge et le sperme
se mélangea a la crème solaire qui étala sur les fesses trempées de sueur de
Ran. Il ne pus s’empêcher enfoncé sa verge dans le petit cul de Ran. Elle
tira la langue avec la bouche grande ouverte, mais aucun son ne pus sortir car
une autre verge se planta entre ses lèvres. Ran leva les yeux et se mit a pompé
l’engin qu’il y avait dans sa bouche. Kogoro leva aussi les yeux et poussa
un cri ! S’était Shinichi Kudo, l’avorton qui résolvait toutes les
affaires difficiles de la police ! Kogoro sortit de son rêve quand sa
fille sortit des toilettes habillées avec le bikini argenté, il était comme
elle avait dit. Kogoro ne là laissa mais pas faire une demi-tour, il se leva
d’un bon, et installa Ran sur son bureau. D’une main il balaya tous se qui
si trouvait et y installa sa fille, qui écartant immédiatement les cuisses prête
à se faire tringler !
_VAS Y DÉFONCE MOI LA CHATTE CETTE FOIS CI !
_TELLE FOLLE ! SI JE TE MAIS
ENCEINTE ! NON ! JE VAIS ENCORE PRENDRE TON PETITE CULE D’AMOUR !
_HIN ! HIN ! MUMM !AHAA! PAP...PAPA!!!
Le père de Ran lui re-fourras sa queue dans son rectum, sou
les gémissants de ça pauvre fille. Kogoro tenait les cuisses de Ran entre ses
mains, Ran qui avait peur de tomber se cramponnait au rebord du bureau.
Rapidement Kogoro pris une vitesse de croisière, se va et vient ralentir. Il Se
pencha en avant et arracha les fines bretelles du haut du maillot de Ran. Il put
ainsi se goinfrer comme un cochon de seins de sa fille !
Ran, appréciait con lui léchait les tétons et son père
sans donnaient a cœur joie ! Ran, se souvenait de son petit copain lui
aussi aimai la pelote quand, il faisait semblent de révisé ! Son père déversa
pour la seconde fois son sperme dans ses entrailles il se retira Ran s’assit
sur le bureau. La jeune fille commença a branler le sexe de son père et se
baissa en avant en ouvrant la bouche, pour l’accueillir entre ses lèvres.
Elle suça, l’engin qui gicla une dernière fois dans son gosier ! Ran
recracha le sexe et tenta de vomir le sperme, sans résulta, elle avait déglutit
et le sperme de Kogoro pris le chemin de son estomac. Sous les éclat de rire de
son paternel, qui se fichait d’elle en lui balançant ;
_HA !HA ! HA§ TU TES
PRIS UNE BONNE RASADES DE MA LAITANCE !HA !HA !HA ! SES TROP
FORT POUR TOI ! HA !HA… PAF !
Ran, qui n’avait sucé le sexe de son père que pour être
tranquille cette nuit, n’avait pas eu l’intention d’en avalé une seul goûte !
Très en hérite de la tournure des événement Ran donna un bon coup de karaté
dans la figure de Kogoro, qui s’effondra !
Le lendemain au lycée, Sonoko lui avoua qu’elle aussi
avait essayé les maillot de bain. Elle se croyait seul dans le salon de sa
grande maison, et avait mit un bikini comme celui de
Ran, sauf qu’il était bleu électrique.
Le sou-directeur de l’entreprise de son père lui avait sauté dessus,
le vieux pervers l’avait attrapé et tiré sur lui, alors qui étai assit sur
un fauteuil du salon ! il l’avait fait rebondire sur lui jusqu’a se
qu’il jouisse et n’inonde son vagin. Ses gémissements et les râles que
poussait le sou-directeurs avaient attiré un des domestiques. Celui-ci était
intervins, mais au lieux de la libéré, il lui fit avaler sa verge de force en
lui pinçant le nez. Les deux hommes après cette amuser chacun leurs tour dans
ces divers orifices, l’avaient pris tous naturellement, en sandwich. Aux
moments où il se vidait mutuellement les couilles dans son corps son père est
entré ! Il a aussitôt mit a la porte le sou-directeur et le domestique !
Ensuite alors que je me nettoyais de cette souillure il est entré dans la salle
de bain et ma baisé comme une bête ! Il disait que si j’étais en age
de me faire tringler ses a lui de le faire temps je ne sui pas marié ou fiancé !
_LES HOMMES SES TOUS DES PORC !
_OUI, TU A RAISON RAN ! ET
SURTOUT NOS PERVERS DE PÈRE ! HA ! AH !HI ! AH!
Les dues collégiennes en riants de leurs mésaventure
sexuelle en famille aillèrent en classe…
A suivre
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