Ran Mouri /
16 ans
Sonoko
Suzuki / 16 ans
Sonoko, avait proposé a sa
meilleure amie si elle voulait pas passer la soirée et la nuit chez elle. Ran,
accepta, là jeune lycéenne avait le cafard et pleurait tout le temp. Là
disparition de son grand ami d’enfance et qu’elle avait toujours aimé.
Conan, qui l’avait vut pleuré avait du lui téléphoné en prenant la vois de
Shinichi. Et depuis qu’elle avait entendu Shinichi au téléphone, Ran était
encor plus malheureuse. Sonoko lui prit la main et colla son visage sur les
joues de Ran, elle posa sa main droite sur un des seins et le pelota.
_sonoko ! là je CROIS que tu exsagèrent un peu !
Ran fusilla du regard son amie, en lui parlant du voie
grave et renfrogné. Sonoko continua et lui lécha les lèvres. Et lui murmura a
l’oreille.
_tu a un gros chagrin ! et tu a besoin de QUELQU’UN qui te réconforte !
_sniff ! shinichi, sniff…m’appalé… mais s’était
pour me dire qu’il ne revenait pas avant un long moment !
_ si il t’a appelé, s’était pour que tu aille mieux et tu
est en pleine dépression !
_oui ! ouhain ! ouhain ! je sui si MALHEUREUSE !
sniff !snif
Ran, éclata en sanglot, en enlaçant sa copine, qui
n’attendait que ça elle la sera dans ses bras et lui caressa les fesse.
Plusieurs passant en regardant la scène, surtout les hommes, s’excitait déjà
a voir les deux lycéennes en uniformes qui se pelotaient au milieux de la rue.
Un des hommes, tapota sur l’épaules des Ran et leurres fit une proposition
indécente. Ran, se retourna et lui fit un magnifique copier retourné. Elle
assomma nette le pervers, qui tomba sur le sol en faisait un drôle de bruit.
Sonoko, prit la mains droite Ran qui allait achevé le pauvre pervers d’un
coup poing dans la gueule. Elles coururent a en perdre allène, les deux lycéennes
s’arrêtèrent cinq minutes a une fontaine d’eau dans un parc.
_tes belle et forte, tu ses défendre notre honneur, fasse aux hommes !
mais t’AIS pas obligé d’assommé tous les mecs qui nous abordes ! si
ça se trouve on AURAIT pus se faire un max de blé avec se gus !
_ta PLEINS d’argents ! ton père a pleins de relation !
et tu en a jamais assez !
Sonoko, fixa son amie d’un aire comique en tenant
ses lèvres de chaque coté avec son index. Elle fit comprendre, à Ran
qu’elle avait claqué tous son argents de poche de la semaine au karaokés !
_je t’avait dire de ne pas boire autant ! ta dépensé plus de
mille yens, en une seul soirée !
_je sais et mon père ne me donnera rien d’AUTRE avant lundi
prochain ! et on n’est que mercredi ! mais je crois qu’il me
donnera une rallonge si…
Les yeux de Sonoko, plissèrent et elle prit un regard
intéressé en regardant Ran. Là lycéenne, rougi comme si on la déshabillait
du regard, elle se sentit toute nue. Sonoko, prit le doux visage de Ran entre
ses mains et elle sortit là langue de ça bouche. Ran desserra ses lèvres, et
Sonoko lui roula une longue pelle. Ran n’avait jamais était embrassé conne
ça , elle en rougit. Sonoko lui prit là main et ne la lâcha pas jusqu’a se
qu’elle arrive chez elle. Les deux lycéennes, pénétrèrent dans la
somptueuse demeure de Sonoko. Son père était dans le salon et discutait avec
un des ses riches client et amie.
Sonoko embrassa son père sur les deux joues, et il en
profita pour lui caressé les fesses, Ran eu le même traitement. Elle sortit du
salon sou le regard très intéressé, des deux vieux pervers.
_ta fille est très jolie en uniforme ! et son amie est TRÈS
apétissante ! et puis j’ador les jeune fille qui porte des bas !
_moi aussi je me ferait bien ran NOURRI ! je lui FERRAIS bien
taté de mon phallus dans son anus ! ah ! ah ! ah !
_ ah ! ah ! ah ! TRÈS drole ! pour un père
qui se fais SOUVENT suçée par une lycéenne en uniforme !
_oui ! et en plus sonoko est une gourmande ! contre la
modique somme de cinq mille yens ! elle me fait une bonne petite gaterie
tous les samedi SOIRs, quand sa mère me fait le coup de…j’ai mal a la tete !
si elle savait que sa fille, était une aussi bonne SUCEUSE de bite et qu’elle
POURRAIT lui donné des leçon a cette garce !!!
_ ses bien vrais ! vive les adolescente en uniforme !
j’AIMERAIT bien SAVOIR se qu’elle fon toute les deux !
_on vas les espionné !!! j’ai envie de te montré, a QUEL
point j’APPRECIE ma fille !
Les deux hommes grimpèrent a l’étage en marchant sur la pointe des pieds. Les deux adolescentes s’étaient assise sur le bord du lit, les deux lycéennes, s’enlacèrent sur le grand lit de Sonoko. Les deux jeunes filles s’embrassèrent a pleine bouche. Sonoko, qui était plus vicieuse que Ran, lui souleva sa petite jupe de son uniforme et lui retira sa petite culotte. Ran écarta les cuisses et s’allongea sur le lit, la tente de Sonoko, s’activait entre ses jambes. Sonoko, lécha le minou de sa copine, qui commançait a couinée comme une petite chatte en chaleur. Les deux hommes s’excitèrent en entendent les couinements et le bruit de lapement des deux lycéennes. Ils entrouvrent la porte de la chambre, leur main empoignèrent leurs membres.
Ran, était toute mouilla abondamment, Sonoko
proposa un soixante neuf a sa copine, elle retira sa petite culotte et son
chemisier. Sonoko, monta sur le lit et en foui sa tête entre les cuises de Ran
et recommença a lui léché le minou. Ran, prit les hanches de Sonoko qui était
au-dessus de sa tête et les rapprocha de ses lèvres. Les deux filles, excitait
de plus en plus les deux vieux pervers qui commençait a sortirent leur verge.
Ils se mirent à se branlé en les regardant se léché mutuellement ses deux
adolescentes.
Sonoko, sentit sa cyprine coulé hors de son corps et
être aspiré dans la bouche de Ran, Elle se retourna et frotta violemment en
faisant des va et vient chatte contre chatte. Leurres clitoris se dressèrent
sou l’excitation et se touchant, ils accentuèrent le plaisir des deux lycéennes.
Les deux hommes ni tenant plus entrèrent dans la chambre, Sonoko surprise
releva la tête d’entre les cuisses de Ran. Le père de Sonoko, prit les mains
de sa fille et la fit se mettre a genoux, et lui mit son phallus dans sa bouche.
Ran, qui avait de la fièvre ne résista pas a l’assaut du deuxième homme. Il
s’allongea a coté d’elle elle lui caressa le clitoris tout en frottent son
sexe sur sa jambe droite. Sonoko, avait du mal a respiré son père était si
excitait qu’il ne pensait qu’a jouire rapidement entre ses lèvres
_sonoko ! ohooo ! ma petite fille cherie t’EST lèvres son
de si doux foureau a ma grosse queue !
_mummm…pammpa !!!
umffff! mufffmm...
_alléz BOUFFE-MOI la bite ! avala bien au fond de ta gorge !
ohooo ! ses VRAIMENT genial de se tapez une lycéenne !!!
_n’est ce pas monsieur takema !
_vous avez raison ! elles sont si MERVEILLEUSEs ! et
leurs crit son une si bonne musique a mes oreilles ! ont a envi de leur
ENFONCÉ notre gland entre leur grosse lèvres !
Et il écarta le minou de Ran et introduit subitement
son phallus de dans ! Ran, hurla mais elle mouillait si abondamment que le
sexe de monsieur Takéma, lui transperça ses grosses lèvres d’un coup. Son
phallus tout entier la pénétra et il comment ça de petit va et vient en
elle ! Le père de Sonoko éjacula dans sa bouche, une main ferme pausé derrière
sa nuque il garda son sexe enfoncé tout entier dans sa bouche !
_t’INQUIETe pas je de DONNERAIS dix mille yens ! tu les
PARTAGERAS avec ton amie !
_MUMMFff !snif !
_ ah ! oui j’OUBLIAIT !
il relâcha la pression et Sonoko recracha le phallus de son paternelle. Elle essaya de reprendre son souffle et de vomir le sperme qu’elle avait avalé de force. Takéma, jouit rapidement dans le corps de Ran, il sortit juste après, et caressa les lèvres de Ran avec son sexe suintant de sperme. Ran, desserra ses lèvres et ouvrit en grand la bouche et monsieur Takéma lui fit avaler son phallus. Ran, aspira la trique dans sa bouche, Takéma, pris la tête de Ran dans ses mains et enfonça sa verge dans la gorge chaude de l’adolescente. Il fit de petits coups de reins en gardant entre ses mains la jolie tête de Ran. Il baisa la bouche de la lycéenne pendant dix bonnes minutes avant de lui lavé les dents avec son sperme. Pendant ce temps là, Sonoko subissait les assauts répétés de son père sur son petit cul. Elle avait les deux mains appuyé contre une chaise les cuisses écarté et son père avait retroussé la jupe de son uniforme de lycéenne. Il lui laboura l’œillet, en donnant de grand coup de boutoir qui la faisait hurler.
Monsieur Takéma, après avoir baisé le sexe de Ran
ainsi que sa bouche s’intéressa un long moment a sa poitrine. Assit au bord
du lit il l’avait assit sur ses genoux et lui avait ôté son chemisier. Il
remonta les deux bonnets du soutien-gorge sur les gros seins de Ran et les
malaxa. Ran, gémissait sou les caresses de ses glandes mammaires. Takéma, lui
pinçait les tétons, et jouait avec ses mamelons. Les mais de Ran tripotait la
grosse verge qu’elle avait entre les cuisses, les mains du pervers lui
caressaient aussi sa vulve. Monsieur Takéma, léchait les joues de Ran, ses
mains soulevèrent ses fesses. Il l’empala sur son phallus, Ran poussa un
petit cris en sentant son rectum se déchiré, le sexe de Monsieur Takéma était
bien plus gros que ceux qu’elle connaissait déjà !
_haÏ ! ouhou ! wouhaa !
sniff !hummm ! ce qu'elle est grosse ! haÏ ! ahaaa...
_t'est étroite ! sa fais du bien par ou ça passe , ma petite chérie,
hein ?
Ran, ce sentait rebondir sur les genoux du vieux
monsieur, plein de fic. Il lui susurrait des mots d’amour a l’oreilles, tout
en lui doigtant la vulve, Takéma poussait des râles a chaque fois que son
phallus entrait entièrement dans le petit cul de la lycéenne. Sonoko sentait,
la semence de son père dans son rectum, son père lâcha un cris de jouissance.
Il retira son phallus de l’œillet de sa fille, et lâcha une dernière
saccade sur le petit cul rebondit de Sonoko !
_apres cette bonne petit sodomie je me ferait bien une petite chatte !
tekema ! tu me FERAIS pas une petite place dans la petite fente de ran !
_pas de problème ! elle est TRÈS chaude, cette gamine !
plus tu l’ENCULE plus sa moule mouille ! vient vite elle va mais le
sentire ton calibre !
Monsieur Takéma, écarta la petite moule de Ran, il déchira
sa jupe et lui enleva sou soutien gorge. Le père de Sonoko se branla un instant
devant Ran, cette dernière cria ça désapprobation devant la grosseur du sexe
du paternel du père de Sonoko !
_non ! pas deux a la fois !non
je ne VŒUX pas !
_allez ma petite ran ! il est pas si gros que ça ! et
puis tu est si bien gaulé ! j’ai envie de tes sucé tes nichons, ma
grande !
_je vous DIS que non ! je…non !!! ahaaa ! ohooo !humm !
_ahaa ! oui tes etroit de se trou là ma petite ran ! ahaaa !
t’INQUIÈTE pas je DONNERAIS une prime pour ça ! hum !ahaaa !
oui !
Le père de sonoko, enfila comme une perle la moule de Ran, celle ci gémissait. Il les mains de monsieur Takéma pelota les seins de l’adolescente, pendant que le père de Sonoko lui suçait les tétons. Il la prirent en sandwich cinq minutes avant de l’aspergé de sperme ta a l’intérieur cas extérieur. Les deux hommes couchèrent le corps de Ran sur le lit et aidèrent Sonoko fourbu par la sodomie et la déposèrent a coté de son amie. Les deux vieux pervers sortir de leur poche une liasse de billet et les lancèrent en l’aire, ils retombèrent en pluie sur les deux jeunes filles. Monsieur Takéma, sortit de ça poche un cigare, que le père de Sonoko s’empressa d’allumé a l’aide de son briquet. Ils sortirent de la chambre en riant et refermera la porte !
PELOPS
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