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Eikichi Onizuka / 22 ans

Urumi Kanzaki / 14 ans

G.T.O.

(Great, Teacher, Onizuka)

LES TURPITUDES D’ONIZUKA

            Alors que tous les élèves désespéraient qu’Onizuka ne  trouve les huit millions de yens pour le voyage à Okinawa. Miyabi, et ses deux acolytes se marraient bien en lisant les instructions pleines de faute d’orthographe qu’avait laissé le professeur d’éducation civique, sur le tableau. Onizuka, se morfondait le regard livide dans son appartement de fonction, il se voyait en train de pêcher du thon en haute mer, comme lui avait suggéré Madame Sakurada. Onizuka avait bossé toute la nuit, comme terrassier, aux premières lueurs du jour il avait joué sa paye aux courses et avait tout perdu.

Urumi, était furieuse contre sont ancienne amie, elle n’éprouvait plus que la haine pour Miyabi. La jeune collégienne était amoureuse de son professeur principal, elle avait l’intelligence pour l’aider et un plan. Elle grimpas les escaliers qui montaient vers la terrasse, où vivait Onizuka. Elle le trouva affalé dans son divan a moitié nue en train de dormir.

La jeune jolie blonde, s’approcha du divan et baissa doucement le caleçon du jeune prof. L’énorme verge d’Onizuka, se dressa devant elle, la jeune adolescente le toucha du bout des doigts. Puis elle s’assit sur un tabouret en fasse du jeune homme qui continuait à dormir. Lentement la main droite de la collégienne glissa sou là petite jupe de son uniforme, ses doigts effleuraient sa petite culotte blanche. Ses doigts continuèrent leur voyage jusqu’a l’entré de son vagin, son petit index se glissa à l’intérieur de sa vulve. Urumi, poussa un léger gémissement, quand son doigt entra en contact avec son clitoris, là jeune fille continua de le titillé. La jeune fille poussait de plus en plus de gémissements, au furent et a mesure que son index trouvait sa zone érogène.

Onizuka, se réveilla, il avait fait un étrange rêve, il s’était vu à quarante ans, avec un de ses élèves. Dans son rêve il était marié, et il passait ses journées a lui faire l’amour, elle se baladait avec un simple tablier. La jeune fille était autre que Kanzaki, la collégienne là plus intelligente de toute l’école. Là mystérieuse jeune fille blonde, qui avait un oeil bleu et un  autre vert, malgré sa prodigieuse intelligente, elle avait épousé cet homme qui n’avait qu’un petit pois alla place du cerveau. Il était dans ses pensées quand il entendit des petits cris dans la cuisine, il y entra et se réveilla. Devant ses yeux, il vit un uniforme de collégienne, ses yeux se braquèrent et ne quittèrent pas de vus les goutte qui coulait entre les cuisses. Il se redressa d’un coup, sans quitté du regard l’entre cuisse de la jeune adolescente, les mains de la jeune fille firent glisser la petite culotte et la jeta au visage d’Onizuka. Il sen saisit, il en respira les effluves, puis il se reprit et se jeta sur les grosses lèvres ruisselant de miel. Urumi, poussa un cri de joie, suivit de gémissements de plaisirs.

_OHOOO…OHOO ! OUI ! MON CHER…CHERE PROFESSEUR ! MON AMOUR ! MA RAISON DE VIVRE ! OHOO ! OUI ! SES BONS EIKI…EIKICHI !

Onizuka dévorait la cage a miel de son élève, le tabouret craqua sou la fougue du couple qui s’excitait sur lui. Le couple tomba à la reverse, Onizuka, sentait les mains d’Urumi qui caressait ses cheveux. Eikichi, avala tous ses qu’il avait léché. La collégienne lui montré son amour, se jeta à quatre pattes entre ses cuisses et avala d’une traite sa grosse verge. Kanzaki, montrai tant d’ardeur a aspiré et a léché sa queue qu’Onizuka du se cramponné au tissu du divan qu’était derrière lui.

_OHOO…OHAAAA ! OU…HOUHOU…OUI ! OH ! OHHH ! OUI ! URU…URUMI…URUMI, TU…TU VA TROP LOIN ! OHOOO ! OUI ! PUTAIN ! OH ! SES BON ! OH ! OUI ! PUTAIN ! OHOOO…

La jeune collégienne, avait avalé la verge jusqu’a la garde, elle sa langue s’enroulait autour du membre dans sa bouche. La langue de Kanzaki, massait le pénis, tendit que sa tête faisait de léger va et vient, tout en gardant la majorité de la verge entre ses lèvres.  Les lèvres de l’adolescente exercent une plus forte pression sur la verge tout en aspirent la verge, d’Onizuka qui s’accrochait désespérément a la couverture du divan. Il sentait que ses couilles allait explosé, et quelque seconde plu tard son gland éjacula dans la gorge de son élève. Kanzaki, bus une bonne rasade de sperme, et continua a enfoncé la verge dans sa gorge chaude, en fixant droit dans les yeux Onizuka. Urumi, déglutit, et s’assit dans le divan les jambes écarté, Onizuka se releva et alla s’assoire a coté de l’adolescente. Il caressa les fine cuise de son élève, qui bascula pour s’allongé sur le divan. répondant a l’invitation de la jeune fille, il lui grimpa dessus, et posa sa queue sur le ventre de Kanzaki. Elle était si douce il lui fit un tendre baiser sur le front, Urumi se saisit de sa verge et la rapprocha de son vagin. Onizuka posa sa main sur la main et introduit son sexe dans la jeune fleur d’Urumi. La collégienne poussa de petits cris qui ne firent qu’excité davantage Onizuka. Son pénis était entré au trois quart, quant il commença ses va et vient, ses dernier firent gémirent de plaisir la jeune adolescente. Eikichi, bandait comme un taureau, et le fait de pénétré un orifice aussi étroit ne faisait que le rendre plus dure. Onizuka, était tellement excité qu’il lâcha la purée après seulement cinq minute de va et vient. Il avait y travaillé toute la nuit, et toute la fatigue qu’il avait accumulé depuis quatre jour le firent s’écroulé sur le petit corps de son élève.

            _RRRR…ORHRRR !

_MAIS ??? QU’EST-CE QUE VOUS FAITE ! SES PAS VRAIS ! ONIZUKA ! VOUS DORMEZ ! SES PAS VRAIS ! JE VOUS DONNE MON AMOUR ET VOUS, VOUS ENDORMEZ ! En plus vous POURRIEZ pas vous retirez ! SES PAS VRAIS IL DORT DEJA COMME UN LOIR !

Urumi pris son mal en patiente et du attendre trois bonnes heures, quand Eikichi se réveille, il donna de nouveaux coups de reins. Il ne s’arrêta que quand il jouit de nouveau dans son utérus. Onizuka se retira et alla se laver, Urumi, remit sa petite culotte et retourna en cour…

A suivre

PELOPS