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 Voyage Intime

On dit souvent que dans la vie, il se produit parfois un déclic qui va en modifier radicalement le cours. Et que souvent, ce déclic se produit comme ça, sans prévenir, on ne le remarque presque pas, juste une sensation nouvelle de soi. Pour moi, ce déclic arriva un jour comme les autres, dans une salle de classe banale et pendant un cours toujours aussi barbant. Du primaire à l’enterrement, en passant par tous les stades de la scolarité, l’intelligence est présentée comme étant un splendide atout. Pourquoi alors ceux qui en sont plus dotés que la moyenne sont-ils à ce point dénigrés et moqués par la société ? J’étais un de ceux-là. On pouvait dire que j’étais plus intelligent que la moyenne, pas un génie mais selon l’expression consacrée : pas trop mauvais. Je le savais, et ça m’embêtait plus qu’autre chose. D’un côté, l’avantage de pouvoir mener une vie de glandeur sans pour autant sacrifier les études, une révision rapide me permettant d’obtenir au moins la moyenne. Le gros soucis, c’était la réputation d’intello qui me collait à la peau et ne voulait pas me lâcher, quels que soient mes efforts. Bon, d’accord, parfois je tenais des discours un rien « excentrique » mais je ne passais pas ma vie à bosser. En tout cas, cette réputation me rendait très populaire avant les examens mais un véritable paria auprès de la gente féminine. Tient, voilà que je recommence à parler comme ça. Enfin, une image d’intello coincé, rien de tel pour gâcher une scolarité : aucun rencard, rien, nada, le vide total. Je me contentais donc, comme beaucoup de célibataires sans doute, d’un ordinateur et d’une connections adsl pour satisfaire mes besoins. Ce qui avait amené une véritable fascination pour le sexe, sous toutes ses formes, de la plus bestiale et humiliante à la plus romantique et douce. Je cherchai sans cesse de nouvelles expériences, explorer ce monde fascinant, en connaître les tours Du primaire à l’enterrement, en passant par tous les stades de la scolarité, l’intelligence est présentée comme étant un splendide atout. Pourquoi alors ceux qui en sont plus dotés que la moyenne sont-ils à ce point dénigrés et moqués par la société ? J’étais un de ceux-là. On pouvait dire que j’étais plus intelligent que la moyenne, pas un génie mais selon l’expression consacrée : pas trop mauvais. Je le savais, et ça m’embêtait plus qu’autre chose. D’un côté, l’avantage de pouvoir mener une vie de glandeur sans pour autant sacrifier les études, une révision rapide me permettant d’obtenir au moins la moyenne. Le gros soucis, c’était la réputation d’intello qui me collait à la peau et ne voulait pas me lâcher, quels que soient mes efforts. Bon, d’accord, parfois je tenais des discours un rien « excentrique » mais je ne passais pas ma vie à bosser. En tout cas, cette réputation me rendait très populaire avant les examens mais un véritable paria auprès de la gente féminine. Tient, voilà que je recommence à parler comme ça. Enfin, une image d’intello coincé, rien de tel pour gâcher une scolarité : aucun rencard, rien, nada, le vide total. Je me contentais donc, comme beaucoup de célibataires sans doute, d’un ordinateur et d’une connection adsl pour satisfaire mes besoins. Ce qui avait ammené une véritable fascination pour

le sexe, sous toutes ses formes, de la plus bestiale et humiliante à la plus romantique et douce. Je cherchai sans cesse de nouvelles expériences, explorer ce monde fascinant, en connaître les tours et détours. Mais voilà, je me suis vite rendus compte qu’ils se contentaient, tous, de rejouer la même partition à l’infini avec quelques changements par-ci par là, une plus forte ou plus petite poitrine, avec 3 ou 4 partenaires. Bioen vite, je me suis retrouvé désabusé : ne pouvait-on donc pas allez au-delà, explorer toutes les facettes du sexe ? Cette question ne me quittait plus, j’y pensais jour et nuit, quelque soit l’endroit ou l’instant. Repousser les limites socialement reconnues du sexe, pour aller plus loin, aller chercher. Je n’étais ni pervers ni obsédé selon moi, je voulais aller plus loin, plus haut, plus fort !

Et au lieu de pouvoir travailler sur ce projet, je me retrouvais à divaguer en faisant mine d’écouter un cours mortellement soporifique. Mais qu’est ce que j’avais fait pour mériter ça ?

Réduit à divaguer au lieu de chercher, imaginer au lieu de créer, fantasmer au lieu d’appliquer. D’ailleurs, mes théories me semblent même à moi un peu déplacées, je me demande parfois si ce n’est pas juste un mirage que je caresse, tel une maîtresse aimante, afin de compenser toutes les moqueries et petites humiliations que j’ai subies de la part des filles depuis tant d’années ?

Sans doute, vu qu’elles me fascinaient et me dégoûtaient en même temps.

 

Mais au fait, pourquoi est-ce que je pense à tout ça en cours de socio moi ? Et là, ce fameux déclic, l’étincelle qui allait enfin donner un sens à mes rêves : si je voulais explorer les profondeurs du sexe, il me fallait le faire moi-même et ne pas attendre un improbable miracle !

Avec du recul, je me dis que c’était une solution évidente mais sur le coup, c’était la foudre qui tombait à mes pieds. Quoique. Problème suivant : après tant de tant passé sur internet, merci le 21e siècle, je me savais capable de très bien faire l’amour. Mais il faut un partenaire (élémentaire non ?) et ça, avec ma réputation, ça posait un sacré problème. Un nouveau mur devant mon objectif. Plusieurs jours durant, je me suis creusé la cervelle à la recherche d’une méthode qui me rendrait désirable et désiré. Je savais que même une métamorphose en ce que l’on appelle communément « beau gosse » ne suffirait pas. Mais alors, que faire ? Des films et séries me donnèrent la réponse : tous parlaient de parfums aphrodisiaques capables de transformer une sainte en salope, de télécommandes érotiques, de pouvoirs débouchant sur des rapports frénétiques, ce genre de pouvoirs/objets/moyens qui pourraient tellement rendre nos vies plus agréables. Mais tous ces moyens restaient pure fiction, un rêve hors de porté. Il fallait donc trouver une variante, quelque chose d’approchant mais marchant vraiment.

 

 

 

Et finalement, après plusieurs mois de tâtonnements, d’échecs, de fausses routes, j’ai finit par atteindre mon but. D’abord, après pleins de test, j’ai mis au point le plus puissant stimulant sexuel au monde, transformant un eunuque en véritable bête de sexe (pas mal hein ?). Pris à dose répétée, ce produit entraîne non seulement une certaine accoutumance mais aussi rend les sujets plus...libérés. Je comptais grâce à cela faire des filles de véritables esclaves du sexe, soumises à mes désirs. Pervers ? Peut-être. Frustrés ? Sans doute. Animés d’un esprit de revanche ? Certainement. Avec cette formule sous la main, il ne me restait plus qu’à passer à l’action. Mais qui choisir comme premier sujet ?

 

 

Lorsque je me levais ce matin là, j’étais hyper-tendus. Et si mon sérum ne marchait pas ? Et si je me faisait attraper ? Et si je n’arrivais pas à imposer ma volonté à la fille, qui raconterait tout ? Le stress m’empêcha quasiment d’avaler quoique ce soit avant de partir au bahut. En franchir l’enceinte me fit l’impression de pénétrer dans une autre dimension. M’asseoir à ma place fut une épreuve commandos. Dans aucun film, série ou anime, on ne voit le héros stresser avant de faire un truc salace. Vraiment, la réalité, c’est moche. Et si elle ne venit pas ? Incroyable, la première fois que je souhaite que cette fille vienne, c’est pour tenter de la transformer en une salope obéissante. D’ailleurs, si je l’avais choisie, c’est  qu’elle ne manquait jamais une occasion de me mépriser, de me rabaisser, de la jouer hautaine parce qu’elle était canon. Plus qu’une poignée de minutes. Et ouf, enfin, la voila. Elle s’assoit deux rangs devant moi, en jean moulant comme d’habitude, ses cheveux bruns mi-long noués dans une belle queue-de-cheval, son haut mettant en valeur des seins épanouis, plus gros que la moyenne sans pour autant ressembler à des pastèques obèses. Alors qu’elle tourne la tête pour parler avec une de ses amies, je peu détailler son beau visage, volontaire mais délicat, ses yeux bleus océans, son sourire charmeur. Des airs de saintes ni touche mais un comportement très provocateurs, mettant les hommes au défit de la draguer. Mais avant ce soir, sois je suis en tôle, sois elle sera devenue mon toutou. C’est cette idée, perverse je suis d’accord mais au combien agréable dans la vengeance, qui me permet de tenir la matinée. Le flacon, glissé dans ma poche intérieure, me semble brûlant lorsque sonne enfin le signal du déjeuner. Je sais que, aujourd’hui, elle va prendre rapidement un plateau à la cafèt’, le manger dehors avant de filer à son cours de soutien en mathématiques (elle se croit supérieure mais elle est nulle en classe). De loin, je la surveille. J’attends le moment propice pour pimenter son repas sans que personne ne me voie agir. Elle mange rapidement, jette les restes dans la poubelle et va s’en aller lorsqu’une de ses copines l’appelle ; Et machinalement, elle oublie sa bouteille sur les marches où elle était assise. Il faut agir, et vite. D’un pas pressé, je me dirige vers la bouteille, à sa hauteur je fais mine de refaire les lacets d’une de mes pompes. D’un mouvement rapide, je saisis la bouteille, dévisse le bouchon, verse ma surprise et remet tout en place. Et a peine ais-je fait quelques pas que je vois la brunette venir rechercher sa bouteille et boire une grande gorgée d’eau…spéciale. Il n’y a plus qu’à la suivre et, en cas de succès, passer aux choses sérieuses.

 

 

Le bahut à en gros une forme de U, un bâtiment à trois branches et haut de 6 étages. Les cours de soutiens du midi se font au 4e. Sans se presser, il faut bien 4 à 5 minutes pour y arriver. Et mon produit met en gros ce laps de temps avant de commencer à agir (ba oué, la rapidité dépend de la concentration du dosage, et là il est très concentré). En prenant garde de ne pas me faire voir, je la suis dans les couloirs. Petit à petit, je vois sa démarche devenir plus hésitante, elle respire plus fort, s’appuie même une ou deux fois au mur pour respirer. Hum, j’aurais trop chargé la dose ? Quoique, elle le mérite. Je peux presque sentir le désir monter en elle, dans des vagues de plus en plus puissantes et irrésistibles. Quel spectacle magnifique de la voir ainsi être déchirée entre son envie et les règles sociales (imaginez, se faire prendre en train de se masturber vigoureusement en plein couloir, ça décourage). Mais je sais que mon produit est le plus fort. La preuve, la voilà qui tombe à genoux, incapable de faire un pas de plus. Je la vois se recroqueviller, à genou et penchée en avant elle tente de résister mais peine perdue. L’instant attendu si longtemps…Dans un bruit métallique, sa ceinture tombe sur le sol. Frénétiquement, elle déboutonne son pantalon et le rabat sur ses genoux. De là où je suis, je voit maintenant son très beau cul se dandiner comme un fou. Elle porte un mignon petit strip rose, déjà tout détrempé par son liquide féminin. J’entend maintenant clairement ses gémissements alors qu’elle tente désespérément de retirer ce petit bout de tissus qui l’empêche de se soulager.. A peine celui-ci succombe-t-il que déjà deux doigts fins entrent en action, arrachant non plus des gémissements mais presque des cris à la brunette. Je vois presque les gouttes de mouilles voler tellement elle se branle fort, cherchant le réconfort ultime. Mais même une branlette ne semble pouvoir l’apaiser. Toujours à genoux, elle se redresse et enlève prestement manteau et chemisette. Voici le soutien-gorge, rose également dont le tissu laisse entrevoir une poitrine généreuse et ferme. Bientôt, je peux admirer les deux collines de chair sans être gêner par quoique ce soit.. Les cris redoubles, suffisamment faibles cependant pour ne pas attirer un curieux. De toute façon, à cette heure-ci, personne ne se balade dans les couloirs, trop occuper qu’ils sont à s’empifrer. Je vois cette fille jadis hautaine se cambrer à chaque mouvement de doigts, je la vois se tordre furieusement les mamelons sans pour autant parvenir à mettre fin à la chaleur qui la consume. Elle roule sur le sol, la voilà sur le dos : la vue est superbe, je ne manque rien de ce spectacle si particulier. Son visage, crispé d’un désir infini, miroir des efforts répétés de la fille pour se soulager me semble le plus beau du monde. Enfin, je tiens ma revanche. Aux soubresauts qui agitent son corps désormais trempé de sueur, je vois qu’elle ne va pas tarder à jouir. Une véritable fontaine jaillit d’entre ses doigts, l’éclabousse de son propre fluide, se répand sur le sol du couloir. Et elle, qui continue, qui ne trouve pas le repos. Et moi, je n’en perds pas une miette. Je sens ma verge prête à exploser dans mon pantalon. Allons, du courage ! Tout en prenant soin de continuer à filmer le spectacle avec mon caméscope, je m’approche de la furie qui ne remarque pas ma présence, perdue dans la quête d’une délivrance que je sais illusoire. Je suis maintenant à côté d’elle, je peux distinguer chacun des petits frémissements de son corps. Sans doute fatiguée, elle ne crie plus mais gémit comme une chienne, cherchant par de grande inspiration à reprendre son souffle. Ses jambes se croisent et se décroisent sans cesse, au rythme de ses orgasmes. Je souris largement, je la sais en mon pouvoir. Après tant  d’effort est venus le temps de la récompense.

<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->Alors Inès, des problèmes ? Elle gémit en retour, rendue aveugle et sourde par le plaisir. Intéressant. Jetant un regard sur son intimité, je vois des lèvres complètements trempées activement travaillées par 3 doigts. Elle est en sueur, se branlant frénétiquement dans une flaque de sa propre mouille, les jambes écartées comme pour supplier de la prendre. Mis je veux  encore jouer. J’installe le caméscope de manière à continuer de filmer la scène, puis sort d’une de mes poches un morceau de solide ficelle. Rapidement, je saisis sa main en train de masturber un de ses magnifiques seins. De force, je la force à se retourner, la voilà à quatre pattes ; Je réunis la deuxième main à la première et les attachent solidement dans son dos.

<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->Nooooooooooon, gémit-elle.

<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->Alors comme ça on aime la branlette en public ?

<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->Laisse moi, je n’en peut plus, il faut que…

Je baisse le zip de mon pantalon et sort ma verge dure comme du béton. Contemplant sa magnifique croupe, je frissonne d’anticipation. Lentement, je fais glisser mon gland entre ses lèvres détrempées, je la titille. Je fais mine de la pénétrer.

<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

La verge s’arrête dans son mouvement et se désengage. Je recommence ce manège plusieurs fois, je veux la pousser plus loin encore.

<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->Sois gentil, aide moi, baise moi, baise moi.

Je me croirai presque dans un rêve, enfin la voilà en train de me supplier ; Je la saisi par sa queue-de-cheval et l’oblige à se redresser en la tirant par les cheveux, ce qui lui arrache un petit cris de douleur. Je me met devant elle et voit ses beaux yeux bleus me supplier de la baiser, je vois ses tétons si dur, je vois son corps si agiter de spasmes que je la sais désormais à moi. Mes mains s’avancent vers ses seins, saisissent chacun un téton et commencent à les titiller, les tordes, les pincer. Chaque mouvement excite un peu plus Inès qui n’est plus qu’une boule de nerfs chauffés à blancs. En guise de dessert, je lui lire les tétons puis les tords très fort, lui arrachant un cris de douleur et de plaisir. Un coup d’œil à sa chatte, un petit flot de liquide féminin vient de couler comme une petite cascade. Mais le temps passe, il me faut conclure avant la fin de l’heure du déjeuner. Je lui appui sur la tête, la forçant de nouveau à se mettre à genou. Penchée en avant, les fesses hautes, elle attend sa récompense. Mon index parcourt sa fente glissante, s’arrête sur le clitoris tellement gonflé que je craint de le faire exploser en le touchant. Je laisse ensuite divaguer mon doigt vers un lieu encore plus intime, petit trou discret. Je trempe mon majeur dans sa chatte, puis le ressort et le dirige vers son cul, que je commence à branler. Le corps d’Inès s’agite encore plus. Sans m’arrêter, je guide ma verge gonflée à bloc sur le chemin des rêves. Sans aucune difficulté, les lèvres s’écartent sur mon passage. Soudain, je rencontre comme une résistance. Se pourrait-il que…Je m’assure que ma caméra filme parfaitement la scène, puis donne un grand coup de reins. L’hymen de la brune se déchire d’un coup, son cri de douleur n’est pas feint. Alors que quelques gouttes de sang tombent par terre, je commence à faire des allers-retours dans son ventre. A chaque fois, je retire presque entièrement ma verge avant de la renfoncer violemment, je la baise selon mon désir, d’une manière brutale. L’agrippant d’une main par les cheveux, je la redresse un peu, la voila parallèle au sol. Mon autre main, qui a quitté l’anus de l’ex-pucelle vient s’occuper d’un de ses seins. J’ai le contrôle total, je fais ce que je veux de ce corps sublime. Chacune de mes pénétrations provoque un râle chez Inès. Je sens ses parois intimes chauffées à l’extrême, elles se contractent à chacun de mes mouvements. J’accélère encore ma cadence, un véritable pilonnage en règle de la chatte. Et quelle sensation ! Enfin, j’ai baisée une de ces garces qui m’avaient pourris la vie, enfin je ne suis plus puceau.

<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->Oui, oui, oui, oui oui…

Elle le répète sans cesse, comme une prière pour que je ne stoppe pas. Je la relâche et alors qu’elle tombe je place chaque main sur ses hanches et je vais de plus en plus vite. Un, deux, trois, quatre orgasmes, je la vois jouir sans cesse, son organisme galvanisé par mon produit. Et je sens la sève monter en moi, je vais si vite que je semble atteindre ses intestins. Enfin, dans un ultime coup de rein, je jouis, je me répand dans son intimité, inonde sa chatte de mon sperme, tapisse chacune de ses parois d’une couche blanche. Je continu encore quelques instants, je veux que tout sorte. C’est comme se faire aspirer, tout part, comme si la mœlle épinière s’écoulait part un petit tuyau. Mais, bien que terrassé par la félicité post-coïtale, il ne faut pas oublier qu’il ne me reste plus beaucoup de temps. Je me rhabille en vitesse, oblige Inès à faire de même. Des mouchoirs règlent le problème de la flaque de mouille et de sang. Mais, avant qu’elle ne se relève, je lui ai enfoncé dans la chatte un petit cône de plastique pour empêcher le sperme de s’écouler. Cône lui-même commandé par une micro télécommande, capable de faire vibrer le gode à plusieurs mètres de distance. Étape finale de mon projet, faire de la fille un objet avec lequel il est possible de jouer à tout moment. Nous nous éloignons, je la soutiens car l’expérience l’a vidée de ses forces. Arrivé dans un lieu suffisamment à l’écart, je m’écarte et la laisse partir. Elle m’est déjà toute dévouée, et en cas de résistance j’ai une vidéo assez compromettante pour la contraindre à m’obéir. Simple précaution à prendre, au cas ou. Maintenant, je sais que ma formule fonctionne, je peux commencer à me mettre sérieusement au travail. Pas à dire, la vengeance combinée à la soif de découverte, c’est un puissant stimulant.

 

A suivre…

De Mirabel

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