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Ranma ½

 

                        Qui sui je ?  

        Ranma été rentré des hautes montagnes, en pleine forme mais préférant ne pas repenser a roland. Il se sentait si honteux, d’avoir tant apprécié ses caresses et son sexe la pénétrant, bandant ou mouillant selon sa forme a chaque fois qu’il y repensé. Il se dirigé vers le resto de bambou et sa grand mère, bientôt midi et un repas gratuit ne le dérangé pas. Il arriva devant le magasins et vu une pancarte : Fermeture exceptionnel. Quel manque de pot ! Il allait passer la journée a jeun, Annabelle étant partie voir une cousine toute la journée. Il se retournât pour rentrer à la maison quand il entendit une voix :

-         Ranma chéri…

-         Bambou ! dit Ranma très surpris…

-         Oui, elle marchée en direction de lui, avec des sacs qui lui encombrai les mains.

-         Que faites vous ?vous êtes fermées…

-         Oui, Ranma chou… mamie et partie en Chine car on a fini tout notre stock d’herbes aromatique… moi je prépare des nouvelles recettes pour cette été et suis allée acheter des nouveaux légumes.

-         Tu veux que je t’aide ! proposa Ranma

-         Oui, tu serai si gentil…Bambou lui tendit les sacs et ouvrit la porte du restaurant.

Ils entrèrent, Ranma suivant Bambou vers la cuisine. Celui-ci déposa les sacs sur le

comptoir. 

-         c’est vraiment dommage que tu sois fermé, je suis venue pour manger un bout, mais tant pis… dit Ranma qui sentait son ventre gargouiller

-         attends mon amour, je vais te cuire un truc rapide

-         oh oui bambou, tu serai un ange, je meurs de faim !

-         pour toi je ferai n’importe quoi…

Elle commença a cuisiner des nouilles, un bon bol de Ramens, elle chantonner en cuisine et Ranma l’observé. Elle été si mignonne, bien que plus jeune son corps été très bien fait. Quand celle-ci le servit Ranma se jeta sur son repas, elle été si heureuse de lui faire plaisir. Une fois finit Ranma reprit son souffle, il poussa le bol sur le comptoir et dit :

-         c’était délicieux bambou…

-         mais ce n’était rien, tu veux dessert ?

-         oh oui !

-         alors j’en ai un très spécial pour toi…

Elle s’assit sur le comptoir, défit sa ceinture et retira son pantalon. Bambou n’avait pas de culotte et Ranma avait vu sur sa chatte, un pubis totalement  imberbe, laissant voit ses longues et fines grandes lèvres.

-         mais… dit Ranma la voix tremblante…

-         pas de mais Ranma ! fais moi plaisir, tu sais que je ferai n’importe quoi pour toi et toi que serai tu prêt a faire pour me faire plaisir…

-         d’accord Bambou, mais je te promet rien…

Bambou attrapa un flacon derrière le comptoir, du sirop  de sucre pour les glaces, le fit coulait doucement sur sa vulve. Ranma commença a  lui lécher les lèvres, recueillant le sirop, bambou savourer ce moments. Les doigts de Ranma glissèrent contre ses cuisses, les écartant légèrement, ses pouces écartèrent ses lèvres. Sa vulves soyeuse et rouge briller, son  petit clito se redresses et ses nymphes brillèrent. La langue du jeune homme s’engouffra dans l’intimité de Bambou, celle-ci jouit de plaisir, elle sentit ses seins se raffermir et se les caressa intuitivement… Ranma appliqua toutes les leçons que lui avaient appris les filles Galant. Rapidement Bambou eu des contractions vaginales, le plaisir été intense, elle se sentit décollée. Jusqu'à a bout elle eu un orgasme, contractant tout son corps.

-         ça t’as plut Bambou ? demanda Ranma

-         euh… o… oui… dit bambou  qui reprenait son souffle… je vois que tu t’entraînes bien avec les Galants… rajoute elle en souriant…

-         quoi ! euh… je ne… balbutiai Ranma…

-         t’inquiète pas… je ne t’en veux pas trop, si tu me donne en échange des gâterie comme celle-ci…

-         d’accord ! dit Ranma un peu bête…

-         tu sais je suis vierge exclama Bambou

-         à bon dit Ranma surpris !

-         oui ! et je veux l’être jusqu’au mariage… alors épouse moi !

-         quoi ! je t’ai dit non…

-         tans pis, se sera pour plus tard alors…mais je veux une autre gâterie…

-         quoi ?

Bambou descendit du comptoir, elle défit le pantalon de celui-ci et le laissa tomber au sol. La jeune fille descendit le  slip de Ranma et avala son sexe dressé comme un pic. Elle le fit glissait entre ses lèvres abondamment humidifié de salive. Ranma  avait le sexe en feu, après avoir léché sa chatte et maintenant se faisant sucer. Bambou se relava et se retourna contre une table :

-         vient ! prend moi Ranma…

-         mais je croyais que tu voulais resté vierge… questionna Ranma

-         Oui, ! Mais met moi son gros sexe derrière s’il te plait… répondit Bambou

-         Euh… okay !

Il se mit derrière elle et regarda son soleil rosé, il été si appétissant. Il posa son gland encore humide sur son anus et l’attrapa par les hanches. Il se rappela de ses multiple expériences, se qui le fit encore plus bander, il s’enfonça  doucement, car lui c’était comme ça qu’il préféré.  Son gland écarta sa rondelle, bambou qui ne l’avait pas avoué avait un peu peur car c’était ça première fois. Bambou poussa un petit cri quand le gland bouillant de Ranma se fut introduit dans sa croupe. Ranma entreprit de se retirer pour mieux s’y réintroduire, plusieurs fois il fit ainsi  et bambou à chaque laissa un nouveau petit cri sortir de sa gorge. Ranma commença à s’enfoncer dans son cul, il poussa sur ses cuisses et Bambou sentit dans ses reins s’enfoncer un puissant chibre. La queue enfoncée jusqu’au couilles, Ranma sentit le plaisir inondé son esprit, repensant à Roland, il reproduit la scène, défonçant d’un coup et violemment l’anus de Bambou. Celle-ci cria !

-         Non ! Non… Ranma tu me fais mal… dit Bambou en pleurant…

Mais Ranma ne l’entendait plus, il la serra plus fort aux hanches et mit toutes sont énergies a lui enfoncer sa queue, tirant toujours plus fort sur ses bras et claquant toujours plus fort son bassin sur les fesses de la pauvre bambou. La queue de Ranma glissait si aisément entre les belles lunes de la jeune fille  qu’il atteint la même vitesse que le coup des châtaignes.

-Arhhhhh… ohhhh….. Ah…ahhhhhhh….. Cria Bambou

Bambou sentait vraiment bien la queue de Ranma qui  lui lustré l’anus, elle avait la chatte trempée, qui coulait abondamment  tel une fontaine. Son anus aussi mouillé tellement, de long filet de cyprines et de jus coulait le long de ses cuisses, Bambou maintenant jouissait comme une folle, son anus lui donné tant de plaisir, mélangé de douleur ! 

-         encore… ahhh…. Oooooohhh… encore… cria maintenant Bambou toujours en pleurs…

Ranma à bout après presque plus d’un quart d’heure, se contracta si violemment qu’il souleva bambou  et éjacula aux plus profond de ses reins. Celle-ci été suspendue dans les airs par la queue de Ranma et ses mains sur les hanches, elle sentit sa queue  si profond, à un endroit qu’elle n’avait jamais pensé sentir un jour. Bambou sentit aussi du feu couler au plus profond elle, du sperme bien chaud. Ils tombèrent ensemble à terre, couchés sur le sol  et reprenant leurs souffle. Ranma reprit ses esprits, il regarda Bambou qui lui tournée le dos mais entendit ses pleurs. Il compris qu’il lui avait fait mal et se sentit si gêné, il se releva et dit :

-         bambou… ça va ?

-         laisse moi ! va t’en…

-         mais, bambou, pardonne moi, je ne sais pas ce qu’il c’est passé dit doucement Ranma

-         tu m’as fait très mal… c’était la première fois, je voulais que tu sois doux…

-         pardon bambou !

Elle s’assit aussi mais eu du mal à rester sur ses fesses, alors elle s’appuya sur ses cuisses. Se retournant vers Ranma elle le gifla !

-         pourquoi ? tu m’as fait ça !

-         car…parce que… j’ai pensé… finit Ranma

-         a une autre fille ? dit elle vexé

-         non…et oui ! j’ai pensé a moi ! à Ranma Chan

-         comment…

-         j’ai reproduit ce que j’ai vécu, j’ai laissé le plaisir de  Ranma Chan me pénétrer et je te fais ce que je voulais !

-         tu voulais être prise comme ça ?!?

-         la première fois je ne voulais pas, on m’a forcé… j’ai résisté mais c’était pire, alors je me suis laissé faire, plein de dégoûts et de honte.

-         Oh Ranma ! dit Bambou avec compassion

-         Mais ensuite je l’ai refait, pour faire plaisir ou parce que finalement j’ai adoré me faire sodomiser… c’était fort et violent et j’ai tellement jouis !maintenant des fois la nuit je n’arrive plus a dormir car j’espère me faire prendre par derrière et ça n’arrive pas…

-         Tu sais moi… aussi j’ai eu du plaisir… ça doit être normale ! essaya de rassurer Bambou à Ranma…

-         Non, ce n’est pas normal et je ne te souhaite pas être comme moi… je suis un monstre

-         Non Ranma, elle se blottis dans ses bras et continua. J’ai eu mal mais j’étais si contente au fond que je me suis laissée totalement faire. Je suis comme toi, j’avais si honte et se sentiment de dégoût… mais il ne battait pas le plaisir qui m’envahissait ! peut être comme toi demain je rêverai encore de sodomie brutal… Tu n’es pas un monstre, juste tu es le seul qui peut hésité entre lui et sa transformation. Ni moi ni Roland pouvons hésité à être des animaux, mais toi tu deviens un humain, une fille…

Elle pleurée  et Ranma en fit de même

-         tu sais Ranma, si tu veux avoir des relations annales ou sexuelles, avec des hommes ça ne me dérange pas ! Même si je voudrais que tu me sois fidèle, je préfère que tu laisses faire ton corps. Il faut que tu t’acceptes car il n’y aura jamais de remèdes, je l’ai compris et tu dois le comprendre. Tu dois accepter ta condition et vivre avec le mieux possibles.

-         Mais qui suis-je alors ? répondit Ranma

-         Tu es Ranma Vincent, et tu es Ranma Chan, deux entités qui doivent vivre maintenant en harmonie. Ensemble et chacun a leurs tours ! donne a chacun un espace et apprend a les faire vivre en communion.

-         Merci Bambou, j’avais besoin d’entendre ça !

Bambou se leva et alla prendre une carafe d’eau, marchant difficilement, quand elle revint elle arrosa Ranma qui été toujours assit par terre.

-         qu’est qui te prend dit Ranma Chan tout surprise…

-         j’ai un cadeau pour toi !

-         quoi ?

Il ne l’avait pas vue mais elle avait pris aussi dans une boite un peigne de décoration pour cheveux.

-         tiens ! dit fermement Bambou

-         un peigne pour moi, Ranma Chan le mit dans cheveux soulevant sa frange gauche

-         il a appartenue à une princesse chinoise, victime d’un sort, d’une malédiction. Quand la nuit arrivée elle devenait hideuse, on ne sut jamais comment, alors un mage créa ce peigne. Un peigne qui ne marche que pour les femmes, plus particulièrement pour les princesses.

-         Pourquoi tu me le donnes ? dit Ranma Chan très curieuse

-         Car, tu as du oublié sûrement mais le gardien des sources te la dit, le bassin où tu es tombée ! est celui où une princesse au cœur brisé c’est jeter. Donc quand tu te transforme, tu te transforme en princesse… alors ce peigne devrait marcher sur toi alors que sur moi non.

-         Tu as essayé

-         Evidemment, si il marche avec toi, il bloquera la transformation quand tu le porteras !

-         Comment ça ?

A ses mots Bambou alla chercher une bouilloire et arrosa de nouveau Ranma Chan, mais rien, Ranma resta la fille à la natte rousse. L’eau chaude coulait sur son corps, sur ses seins, son ventre, son pubis mais rien. Figée, elle resta Ranma Chan.

-         comment ça ? je vais rester une fille dit Ranma toutes déconfis…

-         mais non, que si tu portes le peigne…répondit Bambou

-         ouf…tu m’as si peur, mais pourquoi tu me le donnes maintenant ?

-         car avant tu ne voulais jamais être en fille, alors que tu es très belle, là en discutant je me suis rendu comptes que tu en aurais besoin… avoir des rapports sexuel avec un tiers sans risquer de te transformer

-         merci dit Ranma toute penaude

-         attends c’est pas fini…

-         quoi ? encore un cadeau

-         non une vengeance bien mérité

Bambou souleva Ranma dos au comptoir, elle lui bloqua les poignées et les attacha à une bar avec l’un des ses nœud de cheveux. Ranma Chan été bloquée, contre une poutre du comptoir, ne pouvant ni s’asseoir au sol ni se soustraire. Elle été debout et prisonnière, les mains attachées un peu plus haut que ça tête.

-         qu’est ce tu fais Bambou ?

Nu l’une face a l’autre, Bambou l’embrassa, collant ses seins contre ceux de Ranma, passant ses mains sur ses fesses. Des filets de baves coulait entre les lèvres roses de bambou et Ranma chan. La bouche de bambou glissa sur les tétons dorés de la fille à la natte rousse, lui mordillant tendrement, ses doigts glissèrent entre les grandes lèvres au pubis roux. La chatte de Ranma été vite trempée, elle coulait plein de cyprines.

-         maintenant je vais être moins douce, dans mon village les femmes se vengent au centuple… dit sadiquement Bambou

Elle prit deux bouteille de vin, Ranma Chan comprit très vite, mais ne dit rien, finalement elle le mérité, finalement elle le voulait. Bambou commença par enfoncer le goulot de l’une des bouteilles dans son anus doré, sans ménagement, elle l’enfonça par à-coups. Deux cm par deux cm, Ranma Chan chouinner, l’embout faisait deux cm de large, mais quand il s’évasa. Elle sentit son anus se dilater violemment, la bouteille glissa vite, son trou du cul tout trempé. Bambou enfonça la bouteille a moitié entendant les cris étouffé de sa prisonnière. Ranma Chan se laissa pendre à la poutre, incapable de se retenir avec ses jambes. Bambou souleva une de ses cuisses et la cala par-dessus le dossier d’une chaise, ouvrant sa chatte de plus belle. Elle commença par enfoncer ses longs doigts dans le vagin inondés de la rouquine, puis sa paume et fini par y mettre son poing. Avançant et reculant a souhait pour sentir ses contraction vaginal. Le corps de Ranma Chan pouvait tout subir, Bambou enfonça la deuxième bouteille mais par le culot, la ou elle été la plus large. Elle s’enfonça plus difficilement, mais aussi alla à la moitié de la bouteille. Bambou déplacée les bouteilles de façon alternée, un coup l’une s’enfoncé et l’autre ressortait, et inversement. Ranma Chan avait les yeux écarquillaient, pleins de larmes et râlait de plaisir, une demi-heure durant, elle jouirent ensemble, l’une de plaisir, l’autre de sadisme…

Par Ch-d

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