Fuu / 15
ans
Jin / 20
ANS
Mugen / 19 ans
Fuu, jeune orpheline qui part à la recherche du
"Samouraï qui sent le tournesol". Suite à une promesse réalisée
dans des conditions plus que douteuses, deux ronins, Mugen et Jin, se retrouvent
à suivre Fuu dans son périple dans le Japon du dix huitième siècles, lorsque
celui-ci était encor fermé aux étranger ! Jin est un samurai respectueux
du bushido, calme et concentré, personnalité qui s'oppose totalement à celle
de Mugen, rebelle, révolté, parfois violent.
Une malheureuse partie de dés conduisit, Fuu, tout
droit dans un bordel, Mugen s’étant encor pris la tète avec Jin, la jeune
orpheline se retrouva bien seul. Sans ses deux porteurs de sabre Fuu se demanda
comment elle allait se sortir de là. Elle pensait quand jouent, ses derniers Chou
(monnaie sou l’air Edo), pour pouvoir bouffée, elle emprunta un peu
d’argents a un usurier qui travaillait pour le compte des yakusa du coin. Il
s’empressa de revendre sa dette et deux porteurs de sabre encadrant un homme
entre deux ages qui portait une moustache vin la ramasser dans le casino
clandestin.
_Tu es Fuu ! Tu me dois vingt chou ! tu paye maintenant ou…
_Ou quoi ! Vous allez me briser les deux bras ?
_Non ! Tu es trop ravissante ! Tu va passer un bon moi dans un de nos bordels !
_Quoi mais sa va pas du tout ! Espèce de malade !
Les deux gorilles l’attrapèrent par les bras et la
soulevèrent du sol, elle se débâtit et poussa des cris. Un des deux hommes de
main, lui bâillonna rapidement le bouche avec sa main droite.
_Silence ! Tu es pour
un moi l’ôte du club le plus chic du quartier Nord ! Aller ont emmène
cette petite ! Ses nos clients qui vont êtes contant, sa faisait un moment
qu’on n’avait pas de chaire fraîche !
Alors que les deux gorilles, retenait Fuu, leur chef
glissa sa main sou son Kimono, la jeune fille tenta de se débattre. Le deux
balaise calmèrent Fuu en la menaçant de lui cassé les deux bras, la main de
leur chef frotta vigoureusement, sur le vagin de l’adolescente. Il titilla son
clitoris, elle poussa de petit cri qui mirent la gaule aux deux gorilles.
_Je suis sur que tu es vierge ! Je te planterais bien ma pine dans ta petite chatte qui mouille sou mets doigts !
_Non ! Ne faite pas ça !
Il la regarda d’un air lubrique et il retira ses doigts de son vagin et la gifla !
_Ta gueule ! Tu feras ce qu’on te dira ! Agenouillez là !
Ses deux sbires plaquèrent au sol Fuu, une main ferme
sur ça nuque, elle se demandait comment elle allait sans sortir
Le caïd retira sa ceinture de son kimono et sortit son sexe il se branla
devant le visage de Fuu.
_Allez petite SALOPE ouvre la bouche ! Suce mon sucre d’orge !
La jeune fille grimaça devant le sexe en érection qui s’agitait devant son visage. Il lui pins a le nez, Fuu ouvrit la bouche, il lui maint la mâchoire ouverte et glissa son sexe entre ses lèvres.
Fuu, meugla sa haine contre son agresseur, avait entré
la totalité de son membre dans sa bouche. Il lui ordonna d’aspiré et de léché
le bout de son gland, en lui disant ce qu’il lui ferait si elle ne le faisait
comme il l’entendait. Il donna des coups de reins, Fuu eu rapidement mal alla
mâchoire. Elle sentit la pine qui lui lavait les dents, il se mit à faire des
va et vient sur sa langue comme si
s’était un rail. L’adolescente commença à avoir du mal a respiré, elle
tapa contre le sol du poing et tenta de se débattre. Voyant que la jeune fille
devenait tout bleu, il sortit sa queue de sa bouche quelques secondes pour
qu’elle puisse respirer. Elle reprit sa respiration, très excité par
et se dépêcha de la remette entre ses lèvres.
_Mais ses qu’elle a une bouche de feux cette petite !
_Chef ! Nous ou si on peu s’amusé avec cette pouf !
_Attend que je me décharge et tu pourras prendre ma place !
Il comment ça des va et vient rapide, en lui tenant son visage a deux mains, il eut une crispation au visage et joui dans la bouche de Fuu ! Elle dû avaler trois puisant saccades, qui faillit la noyé, il se retira et gicla une dernière fois sur son visage, avec un large sourire, il regarda ses acolytes.
_Sa bouche est a vous les gars, surtout pas de pénétration du vagin ! Un pucelage sa va nous rapporter un Max !
_Chef peu lui défoncé son petit trou !
_Attend ! Tu va la déchirer, je passe en premier !
Coincé a quatre pattes Fuu tenta de se débattre,
mais des deux balaise lui prit la tête et l’obligea à lui pompé son
phallus. Leur chef souleva le Kimono de Fuu, et enfonça son pouce dans le
rectum, l’adolescente hurla ou plutôt meugla entre ses lèvres le gros
phallus lui déformait le visage ! Très pressé
le caïd enfonça rapidement son sexe dans le trou de balle, Fuu gorilles
u n’en pouvait plus en senti l’entré de son anus se déchiré !
Heureusement pour elle il jouit tout de suit sans avoir fait de va et vient. Le
balaise qu’il l’obligeait a sucé son phallus lui aussi éjacula dans sa
bouche. Il céda a son collègue qui laissa quelques secondes a Fuu pour
reprendre sa respiration, avant de lui faire engloutir son sexe dans sa si jolie
bouche.
Apres que tous lui est passé dessus, ils emmenèrent
Fuu dans un bordel ou ils là vendirent a une matrone. Fuu, fut lavé par une
autre pensionnaire de la maison
close, elle fut apprêtée en Makuras, on la mit dans une sorte de grande cage
en bambou avec d’autres filles, des hommes qui agitait des liasses de billet
les admirait avec lubricité ! Un
homme assez obèse lui souri et donna plusieurs billet a là matrones, qui fit
signe à Fuu de sortir de la cage.
Elle, suivit la matrone jusqu’a une chambre ou un
baquet d’eau chaude, ainsi qu’un grand futon l’attendait son client était
derrière elle, il là poussa à l’intérieur.
_Tu va aider à déshabiller cet homme ensuite tu te déshabilleras, tu le laveras et tu le rejoindras dans le baquet. Il demandera de faire des choses cochonnes avec toi et tu feras tous se qu’il te dire ! Ses comprit !
_Et merde ! Faut que je couche avec ce gros lard !
_tu feras tous se qu’il
vœux ! Il a payé très cher pour ça !
Le shoji se referma en fusillent du regard l’adolescente et l’homme la sera contre lui. Un peu dégoûter, elle déshabilla le gros homme, il avait une énorme trique il sana servi pour écarté le kimono des cuisses de Fuu, il constata avec ravissement qu’elle était nu sou son kimono et que sa chatte était rasée ! il entra da le baquet un banc était posé au fond il s’assit dessus. Fuu, se déshabilla et en cachant son intimité et sa poitrine elle entra dans le baquet d’eau chaude.
Elle prit le savon et lui lava le torse, ce qui visiblement excita beaucoup le gros lard.
Il prit les mains de Fuu,
et lui fit astiquer son membre, la jeune fille de plus en plus dégoûté.
Visiblement le phallus grossissait sou les doigts de l’adolescente qui le
lavai. L’obèse lui attrapa la tête et la rabaissa jusqu'à ce que les lèvres
de Fuu touche le bout de son gland.
_Aller ma jolie, tu va me sucer mon gros poireau ! Aller fait pas là difficile ouvre dont ta bouche ! Aller avale ! Ma petite douceur !
_Non !
Je vœux pas…non ! Muffff!
Nomummm…Hummm…
la tête plongée sou l’eau Fuu, pompait le phallus de son client, elle tenta a plusieurs reprise de recraché la colonne de chaire et de reprendre sa respiration ! Mais les deux mains ferme, l’une qui lui tenait les cheveux et l’autre par son menton.
Il jouit dans ça bouche et la jeune fille avala une grosse saccade, il relâcha la pression pour qu’elle puisse respirer avec la ferme intention, de l’obligé à continué, à lui lécher son sexe !
La fenêtre en bois vola en éclat Mugen, surgit avec
son sabre, l’obèse sortit du baquet et tenta de prendre son sabre. Mugen, fût
plus rapide que lui et donna un coup de pied dans le sabre de l’obèse. Dépité
le gros homme, voulu étranglé Mugen avec ses grosses mains, Fuu l’assomma
avec le banc qui était au fond du baquet.
_Se salaud ma forcé a lui sucé le bambou sou l’eau ! Sale gros porc !
_Aller viens j’ai réglé mes comptes avec Jin ! Il nous
attend en bas avec de chevaux !
Fuu se rhabilla rapidement, Mugen lui sa main droite, et ensemble il sautèrent par la fenêtre.
Jin rattrapa dans ses bras la jeune adolescente, Mugen
lui atterri sur la croupe du cheval et hurla !
_Crétin ! Je t’avait dit d’atterrir sur le sol et ensuite de sauter a cheval !
_Haï ! Haï ! Mes burnes ! Mes pauvres burnes !
_T’inquiète Mugen ! Quand on s’arrêtera, je te les masserais tes burnes ! Je viens de faire des progrès en massage des appareilles génitales !
Fuu monta derrière Jin et le ronins donna un coup de talon dans les cotes de son cheval, Mugen en fit autan ! Fuu et ses deux porteurs de sabras fuirent la ville de Okayama, dans la nuit !
A suivre…
PELOPS
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