Fiches individuelles


FARGES Guillaume
cultivateur célibataire

Naissance : 14 février 1853 à Gourdon Commune de Murat 19087
Décès : 23 septembre 1899 à Gourdon Commune de Murat 19087

Père : FARGES Jean dit Jacques ( 1823 - 1862 )
Mère : PRÉVOT Jeanne ( 1815 - 1888 )

FARGES Guillaume
FARGES Jean dit Jacques
FARGES Jean
PEYRAUD Jeanne
PRÉVOT Jeanne
PRÉVOT Léonard
ORLIANGES Léonarde




FARGES Jean
cultivateur à Lasmay commune de Veix

Naissance : 3 octobre 1796 à Veix 19
Décès : 13 mai 1870 à Gourdon Commune de Murat 19087

Père : FARGE Jean ( ? - ? )
Mère : FARGE Marie ( ? - ? )

Union : PEYRAUD Jeanne ( 1800 - 1836 )
Mariage : 11 novembre 1821 à Murat 19087

Enfants : FARGES Jean dit Jacques ( 1823 - 1862 )
FARGES Catherine ( 1825 - ? )
FARGES Marie ( 1827 - ? )
FARGES Jean ( 1831 - 1854 )

Note individuelle :
Le patronyme Farge prend un s en 1831

FARGES Jean
FARGE Jean
 
 
FARGE Marie
 
 




FARGES Jean
chasseur 3ème C 3ème B Infanterie légère

Naissance : 31 août 1831 à Gourdon Commune de Murat 19087
Décès : 1 août 1854 à Constantinople

Père : FARGES Jean ( 1796 - 1870 )
Mère : PEYRAUD Jeanne ( 1800 - 1836 )

Note individuelle :
Chasseur 3ème compagnie du 3ème bataillon du 20 ème régiment d'Infanterie légère immatriculé au corps sous le numéro 3727
Acte mortuaire établi à l'hôpital de Constantinople.
Mort des suites de dyssenterie

Guerre de Crimée
quelques points de repaires avec le site Hérodote
  ---  http://www.herodote.net/

Début de la guerre de Crimée
       
  
27 mars 1854 : déclaration de guerre

25 octobre 1854 : la charge de la Brigade légère

8 septembre 1855 : prise de Malakoff

30 mars 1856 : traité de Paris

 
 
  
Le 27 mars 1854, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à la Russie. C'est le début de la guerre de Crimée.

À l'origine du conflit, une querelle surréaliste entre l'empereur français Napoléon III (*) et le tsar Nicolas Ier. Chacun veut assurer en exclusivité la protection des Lieux Saints de Jérusalem, partie intégrante de l'empire turc.

Comme le sultan d'Istamboul semble donner la préférence aux catholiques représentés par Napoléon III, le tsar Nicolas 1er propose à l'Angleterre de se partager l'empire turc en déliquescence («L'homme malade de l'Europe», selon le mot du diplomate Alexandre Gortchakov).

L'Angleterre refuse par crainte que la Russie n'acquière trop d'influence en Méditerranée et en Orient.

Dépité, le tsar attaque et détruit de son propre chef la flotte turque de la mer Noire. Il envahit aussi les provinces roumaines de l'empire turc.

Il profite de l'occasion pour combattre les tribus insoumises du Caucase, en particulier les Tchétchènes regroupés autour du prince (ou imam) Chamyl.

L'empereur des Français, qui avait proclamé à son avènement : «L'Empire, c'est la paix !», est poussé à la guerre par sa jeune épouse, la belle Eugénie de Montijo, désireuse de promouvoir les intérêts catholiques.

Napoléon III et le gouvernement anglais de la reine Victoria font cause commune avec le sultan. C'est la première fois depuis... le couronnement d'Aliénor d'Aquitaine et Henri II Plantagenêt, 700 ans plus tôt, que les deux nations s'apprêtent à combattre ensemble! ! !

Invoquant la préservation de l'empire ottoman, les deux alliés envoient leur flotte dans la mer Noire (*).

Le siège de Sébastopol

Sous le commandement respectif des généraux Saint-Arnaud et lord Raglan, Français et Anglais débarquent à Eupatoria, dans la presqu'île de Crimée, le 14 septembre 1854.

Ils remportent une victoire sur les bords du fleuve Alma avant de mettre le siège devant Sébastopol, puissante forteresse russe, le 26 septembre 1854. Saint-Arnaud, victime du choléra, comme le seront beaucoup de ses soldats, est remplacé par Canrobert à la tête
des troupes françaises.

Bientôt rejoints par des soldats du royaume de Piémont-Sardaigne, les assiégeants, au nombre de 185.000, découvrent la dureté de l'hiver russe et doivent mener une éprouvante guerre de tranchées autour de la citadelle, remarquablement défendue par le colonel russe Franz Todleben.
 
Le 25 octobre 1854 s'engage l'une des principales batailles de la guerre de Crimée, autour de la base anglaise de Balaklava.

Les alliés franco-anglo-turcs veulent faire de ce petit port entouré de hautes falaises le point de départ de leur offensive sur la citadelle russe de Sébastopol, à quelques kilomètres plus au nord.

Au matin de ce jour, les Russes lancent une puissante attaque contre les batteries turques des falaises. Ils s'en emparent mais ne peuvent aller plus loin du fait de la résistance stoïque des Écossais du 93e Highlanders de Sir Colin Campbell.

Un détachement de cavaliers russes tente de contourner le régiment par la droite mais il tombe nez à nez avec la Brigade lourde du général Sir James Scarlett.

Celui-ci, dont c'est à 55 ans la première expérience du feu, fait aligner ses troupes comme à la parade. Tuniques rouges et bonnets à poils. Les Russes sont décontenancés et reculent.

Lord Raglan veut consolider ce succès. Il demande à Lord Lucan, commandant de la cavalerie, de déloger au plus vite les Russes des hauteurs. Il veut les empêcher d'emporter les canons des batteries turques.

Au vu des puissantes défenses russes et ne pouvant compter sur un soutien de l'infanterie, Lord Lucan se refuse à bouger. Mais Lord Raglan insiste. Lord Lucan transmet alors l'ordre à son beau-frère (qu'il déteste !).


Celui-ci, Lord Cardigan, commande une Brigade de cavalerie dite légère. Lui aussi comprend l'inanité de la mission mais il n'ose se défiler devant un ordre écrit du général en chef. Il n'ose pas davantage s'en expliquer devant lui.

Lord Cardigan, qui aurait dû se contenter de la notoriété conférée à son nom par un sweater, conduit ses 673 lanciers au combat.

Ils ont un peu plus d'un kilomètre à parcourir avant d'atteindre les batteries russes.

La première moitié du parcours se déroule comme à la parade... Lord Raglan s'émerveille devant un Lord Cardigan «aussi courageux et fier qu'un lion».

Mais voilà que les canons russes ouvrent le feu. 20 minutes plus tard, la Brigade légère laisse 113 morts et 247 blessés sur le terrain !

«C'est magnifique mais ce n'est pas la guerre», commente sobrement le général Bosquet.

Un poème de Lord Tennyson (1864) et un film de Tony Richardson (1968) ont immortalisé ce fait d'armes inutile...

Et nous n'avons rien trouvé de mieux que d'introduire dans notre langue non seulement le cardigan mais aussi le raglan (paletot à pèlerine), d'après le nom du général en chef britannique.

L'enlisement
L'hiver se fait meurtrier pour les troupes, victimes du froid, du choléra et du typhus plus encore que des combats. Une Britannique de 34 ans, Florence Nightingale, émue par l'abandon des malades, organise avec talent des hôpitaux de campagne. Son talent et son dévouement font la Une des journaux anglais.

À Londres et Paris, l'opinion s'exacerbe devant l'enlisement du conflit. Un consommateur parisien est interpellé pour avoir lancé dans un café : «C'est ici comme à Sébastopol, on ne peut rien prendre !»


Le 8 septembre 1855, le général de Mac-Mahon s'empare avec ses zouaves de la tour Malakoff, qui surplombe la citadelle de
Sébastopol. Ce succès laisse entrevoir la fin de l'épuisante guerre de Crimée, entamée un an plus tôt.

Selon une aimable légende, ce général doté d'une insondable naïveté aurait informé son partenaire, le général en chef anglais, lord Raglan, en lui faisant dire : «J'y suis, j'y reste !»
Le 8 septembre 1855, le général de Mac-Mahon s'empare avec ses zouaves de la tour Malakoff, qui surplombe la citadelle de Sébastopol. Ce succès laisse entrevoir la fin de l'épuisante guerre de Crimée, entamée un an plus tôt.

La chute de Malakoff décide du sort de Sébastopol. Les Russes se retirent de la citadelle deux jours plus tard, après l'avoir proprement incendiée.

Napoléon III exulte

Quelques mois plus tard, le tsar demande la paix. Le traité de Paris, le 30 mars 1856, hisse Napoléon III au pinacle, quatre ans à peine après son avènement. Le bonheur de l'empereur est à son comble avec la naissance de son fils Eugène Louis Napoléon, le 16 mars 1856, pendant le congrès !

L'influence française sort renforcée en Orient et Napoléon III intervient en faveur de l'union personnelle des deux principautés de Valachie et Moldavie, dans l'empire ottoman, d'où sortira le futur royaume de Roumanie.

Mais la Russie humiliée prend conscience de sa faiblesse et reproche durablement à son ex-allié autrichien de ne pas l'avoir soutenue. Le nouveau tsar, Alexandre II, entreprend de vastes réformes. L'Angleterre, quant à elle, déçue par son alliance avec la France, après... sept siècles de conflits quasi-ininterrompus, se retirera dans un «splendide isolement» jusqu'à la fin du siècle.



FARGES Jean
FARGES Jean
FARGE Jean
FARGE Marie
PEYRAUD Jeanne
PEYRAUD Jacques
NICOLAUDIE Catherine




FARGES Jean
Naissance : 16 novembre 1846 à Gourdon Commune de Murat 19087
Décès : 17 septembre 1852 à Gourdon Commune de Murat 19087

Père : FARGES Jean dit Jacques ( 1823 - 1862 )
Mère : PRÉVOT Jeanne ( 1815 - 1888 )

FARGES Jean
FARGES Jean dit Jacques
FARGES Jean
PEYRAUD Jeanne
PRÉVOT Jeanne
PRÉVOT Léonard
ORLIANGES Léonarde




FARGES Jean
Naissance : 20 février 1875 à Gourdon Commune de Murat 19087

Mère : FARGES Catherine ( 1849 - ? )

FARGES Jean
 
 
 
FARGES Catherine
 
 




FARGES Jean dit Jacques
Naissance : 1823
Décès : 5 avril 1862 à Gourdon Commune de Murat 19087

Père : FARGES Jean ( 1796 - 1870 )
Mère : PEYRAUD Jeanne ( 1800 - 1836 )

Union : PRÉVOT Jeanne ( 1815 - 1888 )
Enfants : FARGES Jean ( 1846 - 1852 )
FARGES Catherine ( 1849 - ? )
FARGES Marie ( 1850 - 1867 )
FARGES Guillaume ( 1853 - 1899 )
FARGES Jeanne ( 1855 - ? )
FARGES Jean-Baptiste ( 1859 - ? )

FARGES Jean dit Jacques
FARGES Jean
FARGE Jean
FARGE Marie
PEYRAUD Jeanne
PEYRAUD Jacques
NICOLAUDIE Catherine




FARGES Jean-Baptiste
Naissance : 17 septembre 1859 à Gourdon Commune de Murat 19087

Père : FARGES Jean dit Jacques ( 1823 - 1862 )
Mère : PRÉVOT Jeanne ( 1815 - 1888 )

FARGES Jean-Baptiste
FARGES Jean dit Jacques
FARGES Jean
PEYRAUD Jeanne
PRÉVOT Jeanne
PRÉVOT Léonard
ORLIANGES Léonarde




FARGES Jean-Baptiste dit Baptistou
cultivateur au Bourg et scieur de long

Naissance : 1860 à Les Gouttes de Madranges 19

Union : FROMONTEIL Gabrielle ( 1865 - ? )
Enfants : FARGES Marie ( 1885 - ? )
FARGES François ( 1888 - ? )
FARGES Antoine ( 1891 - ? )
FARGES Marie-Louise ( 1892 - ? )



                     


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