REVUE DE PRESSE :
Film : Les anges de thermidor
Mensuel "Le journal du Périgord"
n° 11 décembre 2004 :
Cinéma : "Les anges de Thermidor" par Pascal Serre
En réunissant
plus de 400 participants dans la réalisation de leur film sur la révolution,
la famille Labroue a signé une mémoire exceptionnelle et une
oeuvre inédite, originale qui ramène le cinéma aux portes
du phénomène social...
Une année de travail trouve ici leur aboutissement. Une idée
folle comme les aiment Michel L. et son épouse Monique... Lundi 8 novembre
sur l'invitation de Monsieur Le Procureur, de Madame La Présidente
du Tribunal de grande instance, Marie-Paule Lafon et de Madame Le Bâtonnier,
Claire Delmotte-Lauzet, c'est tout le monde judiciaire qui se rend dans la
salle habituelle de leur travaux pour découvrir, en avant-première
le film. Le lendemain ce sont les acteurs qui, pour la première se
rendent à l'amphithéatre de la bibliothèque municiaple...
Véritable tour de force de Michel L. lequel, témoigne de sa
capacité à réunir "ce qui est épars" autour d'un
projet qui est, à ce niveau, un véritable phénomène
social. Les "Gueules périgourdines" avec leur spontanéité,
leur jeux, prouvent que l'on peut vivre intelligemment ensemble en Périgord.
C'est enfin un remarquable et original "trombinoscope" du barreau périgourdin
en ce début de troisième millénaire. Des avocats qui,
de toute évidence, sont aussi d'excellents acteurs. Michel L. a confié
la musique originale à un compositeur, Bernard Wystraëte qui surligne
les images avec talent. Ce film qui n'a rien de l'amateurisme développe
durant une heure et demie une histoire comme on les aime, un peu dans le style
de Stellio Lorenzi dans ce fameux Jacquou qui a marqué les esprits.
Une époque où la télé avait un sens et cultivait
une vision où l'émotion se voulait populaire et le récit
instructif.
(7 pages, 35 photographies en couleur, présentation du scénario).
Un film d'actualité : ... autrement dit, la trame dramatique rassemble
des faits historiques et constitue un roman ne s'écartant pas de la
réalité d'un passé vécu et subi. Le personnage
omniprésent reste la guillotine dont le sort enfin sera définitivement
réglé par la loi du 9 octobre 1981 abolissant la peine de mort.
Cette tranche de notre histoire qui a vu se partager les citoyens et le clergé,
n'est pas à la gloire des hommes de la première République,
ni à celle des conventionnels égarés et délirants
qui se condamnaient eux-même... En Dordogne, l'évènement
a été terrible, mais bien moins encore qu'à Bordeaux,
Nantes, Lyon et Paris. Depuis l'Etat et l'Eglise font chemins séparés
dans de nombreux pays, pas tous encore. C'est en cela que ce film est d'actualité.
Journal "Sud-Ouest" du jeudi 18 novembre 2004
:
Quoi de neuf : "Film"
Encore 150 spectateurs
mardi soir pour "Les anges de thermidor", projeté une dernière
fois hier à Jean-Moulin. Jean Boussuges, lui, est allé
à toutes les séances !
Journal "La Dordogne Libre" du jeudi 18 novembre
2004 :
"Les rues gourmandes de Jean-Claude Allard"
Durant les trois jours
du Salon du Livre Gourmand, l'association Le Quai de l'Espace Louis-Aragon
accueille une exposition d'une trentaine d'oeuvres du peintre périgourdin
Jean-Claude Allard... Qui plus est , l'affiche du film "Les anges de thermidor"
sera également exposée...
Journal "Sud-Ouest" du mercredi 17
novembre 2004 :
Quoi de neuf : "Cartes"
Jean-Claude Allard vient
d'éditer des cartes de ses affiches révolutionnaires pour
le film "Les anges de thermidor". Bons baissers de l'échafaud !
Le chiffres du jour : "418"
C'est le nombre d'acteurs
et de figurants qui ont joué dans "Les anges de thermidor" projetté
encore ce soir...
Journal "La Dordogne Libre" du vendredi 19 novembre
2004 :
Monsieur écho "... a constaté"
Que toutes les vitrines
des magasins ne sont pas dédiées au Salon du Livre gourmand.
Beaucoup étaient aussi en tricolore cette semaine pour annoncer
le film de Michel Labroue, avocat professionnel et cinéaste amateur,
sur la terreur en Périgord. Il faut dire que l'aventure a rassemblé
des centaines d'acteurs bénévoles sur la ville.
Emission de "France Bleu Périgord"
du mercredi 17 novembre 2004 à 14 heures 30 :
Sophie
Piette dans son émission reçoit M. Labroue : Présentation
du film, extraits musicaux, Sujet sur la révolution française.
France
Bleu Périgord en direct.
Journal "Sud-Ouest" du lundi 15 novembre 2004
:
Quoi de neuf : "Bougies"
Les bonnets Phrygiens
des sans-culottes des "Anges de thermidor" ont été tricotés,
sans lunette, par Elise Labroue, 100 ans dans un mois.
Journal "Sud-Ouest" du vendredi 12 novembre 2004
:
Le piéton : "A été tellement impressionné..."
... par la guillotine
dessée sur son estrade de la Clautre dans le film "Les anges
de thermidor" projeté mercredi soir encore, qu'il a failli tourner
de l'oeil hier au pied de la cathédrale. Il traversait en effet
la place plutôt déserte en ce 11 novembre sous la pluie
fine, lorsqu'il entendit un dur crissement. Le couperet allait-il s'abattre
sur son pauvre cou ? Que nenni, c'était le frottement aigu, contre
une bordure de trottoir, d'un enjoliveur de voiture cherchant à
se garer. Inquiétant, non ?
Journal "La Dordogne Libre" du vendredi 12 novembre 2004
:
"Figurants sauce Thermidor", par Ludovic
Ibarz
Mardi soir, la projection
du film "Les anges de thermidor" s'est déroulée à
l'amphithéatre Jean-Moulin en présence de quelque-uns des
figurants. L'oeuvre de M.L. en compte près de 350. Ils se souviennent
d'un tournage agréable et convivial et beaucoup se sont dits impressionnés
par la guillotine... Parmi eux Jean Fabius. Ami d'enfance de M.L., il
a également côtoyé l'épouse du réalisateur,
Monique L., sur les bancs de la faculté de Droit de Bordeaux.
"Michel m'a parlé de son film et j'ai accepté de jouer
dedans. j'ai réussi à faire venir six membres de mon association,
"Condat en avant". Moi, je fais partie de la populace. Le tournage a été
sensationnel, M. et Ph. Labroue ont fait preuve de précision, explique-t-il
peu avant la projection. J'ai vraiment hâte de voir le film. C'est
surtout la partie musicale que j'aime entendre". Jean Fabius a eu le trac
lors du tournage. "C'est vrai que c'est tout de même impresionnant
! Surtout dans la salle d'assises où une partie du tournage a eu
lieu. Et dire qu'un an auparavant j'étais dans cette salle en tant
que juré. Dans le film, je vocifère plus que les autres, c'est
certain. Je suis d'accord pour refaire un film avec M.L.. Mais cette
fois, il faudra que j'aie le premier rôle", lance-t-il avec humour.
"On oublie vite la caméra. Après tout ce n'est qu'une boîte".
Qui plus est, la Révolution Française est l'épisode
historique favori de ce figurant. Il a même, en compagnie d'amis,
réalisé des costumes avec l'aide du système D...
Jean-Marc et Danielle Virac ont également participé à
l'aventure. Le premier a un petit rôle. "C'est moi qui amène
les condamnés à la guillotine. Je peux vous dire que c'est
assez impressionnant ! Surtout lorsque le couperet tombe ! Je me suis
vite mis dans la peau du personnage", indique-t-il. Quant à son
épouse, si elle a également fait un peu de figuration, elle
s'est occupée de la conception des costumes et de tout ce qui était
administratif... Egalement présente, Martine Armant joue le rôle
de La Grenouille, tenancière d'estaminet et favorable aux curés.
Son personnage finira d'ailleurs au cachot pour ses idées séditieuses
sous la France de la Terreur. "On oublie très vite la caméra.
Après tout, ce n'est qu'une boîte. Je crois que le plus difficile,
c'est de coordonner les gestes, la parole et le regard. La première
fois que j'ai vu le film, je l'ai trouvé intéressant, mais
pour mon cas, je n'ai vu que mes défauts, explique-t-elle. Je garde
un excellent souvenir du tournage. Il y a eu une grande amitié entre
nous". De son côté, Hervé Bruneaux interprète
le rôle d'un marquis condamné à la guillotine. "J'étais
dans la peau du personnage. Je revivis ça avec un mélange
de peur et d'incompréhension. Ce n'est pas la machine en elle-même
qui m'impressionne. Ce serait plutôt le symbole. Cette époque
est une véritable orgie de sang", conclut-il.
"Un film à découvrir", par
Ludovic Ibarz
Le film reprend une tranche
de la vie de l'histoire périgourdine sous la Terreur. L'ambiance
de cette époque est bien retranscrite avec les sans-culottes,
fanatiques de la République et bouffeurs de curés à
tel point qu'ils emmènent au cachot la tenancière de leur
estaminet favori. Les points d'orgue restent les procès devant le
tribunal révolutionnaire. Ce ne sont pas des fictions. Ils se
sont réalisés à cette époque. Bâclés,
laissant peu la parole à l'accusé qui n'a que sa parole comme
défense, la sentence est toujours la même : la mort. La véritable
héroïne de cette histoire, c'est la guillotine. Imposante,
elle fait froid dans le dos, surtout lorsque le couperet tombe. Bien qu'amateurs,
les acteurs s'en sortent bien, surtout Arnaud Le Guay qui est excellent
en Roux-Fazillac quant à Jérôme Athanase, son interprétation
du curé réfractaire est juste. "Les anges de Thermidor" est
un film à découvrir.
Journal "Sud-Ouest" du mercredi 10
novembre 2004 :
"La terreur vue d'ici" par Pauline Pierri
Histoire locale. La
"grande famille judiciaire", dont est issue la majorité des acteurs
des "Anges de thermidor", a découvert lundi le film de Michel Labroue.
Ce soir, les périgourdins pourront découvrir le nouveau
film ... Une tranche douloureuse de l'histoire locale, que ce passionné
de cinéma a transposé en images. Lundi soir, dans la salle
des assises du palais de justice, "la famille judiciaire" en a eu la
primeur. L'ancien bâtonnier a en effet naturellement puisé
dans son entourage professionnel et amical pour composer son casting.
Le plaisir était donc double, lors de cette avant-première,
pour les magistrats, les avocats et les auxiliaires de justice : à
l'intérêt du récit, qui évoque la mise en place
du tribunal révolutionnaire à Périgueux, s'ajoute
le jeu du who's who, qui réserve de savoureuses surprises. La prestation
de Jean-Michel Tailhades, avocat et élu municipal, qui joue le
rôle de l'évêque défroqué, ne s'effacera
pas si tôt des mémoires... Arnaud Le Guay, avocat et maire
d'Excideuil, incarne remarquablement le conventionnel qui instaure la
Terreur en Dordogne en 1793 et 1794. elle s'abattra entre autres sur un
jeune prêtre, très justement incarné par Jérôme
Athanase, également avocat. Dominique Nay (comité départemental
du tourisme) qui ouvre et clot le récit, incarne avec une belle
prestance "l'ennemi de la mort", qui avait déjà inspiré
Eugène Le Roy. Hervé Brunaux, jeune marquis de Valady, mérite
plus qu'une mention, tout comme Jean-François Capoul en maire de
Neuvic, ou encore Bruno Guyot, pauvre hère qui sera le premier à
partir à l'échafaud. Et si Me Nathalie Landon n'est pas la
prochaine effigie de Marianne que se choisit la nation, c'est qu'il y
a quelque chose de pourri au... royaume de France ! ... Les périgourdins
... suivront ce récit porté par une musique composée
spécialement par Bernard Wystraëte, qui a signé de
nombreuses musiques de film. Mais surtout, ils reliront une page d'histoire
qu'on vécu leurs ancêtres, tous les faits relatés étant
tirés des archives préservées de cette époque
agitée. Elles sont consignées dans deux tomes, que le bâtonnier
Albel Lacombe, beau-père de Michel Labroue, lui avait confié
en lui soufflant : "méfie-toi toujours des tribunaux d'exception".
La démonstration en est faite avec "Les anges de thermidor", qui
constitue aussi un implacable réquisitoire contre la peine de mort.
La guillotine est en effet un personnage à part entière du
film. Il se termine d'ailleurs par le rappelde la date de son abolition en
France, le 9 septembre 1981. C'était il y a à peine plus de
20 ans.
"L'habit a fait le moine" par Pauline Pierri
Jérôme
Athanase s'est quelquefois produit en public, en accompagnant les formations
de jazz à la batterie, instrument qu'il pratique depuis environ
18 ans. Mais sa seule expréience approchant le théatre
a duré trois jours, durant sa formation professionnelle : avec
un comédien, qui apprenait aux jeunes avocats à se présenter
en public, à poser leur voix, à présenter leurs arguments
de façon à convaincre, à moduler leur plaidoirie et
à terminer un discours. Un enseignement qu'il a manifestement bien
intégré et qu'il amis à profit dans son rôle
de vicaire réfractaire. "J'ai été surpris lorsque
Michel Labroue m'a proposé ce rôle, il y a environ deux ans.
Mais je pense à la réflexion qu'il a fait son casting lors
de la revue du barreau, qui donne aux avocats l'occasion d'interpréter
des sketches sur scène" ... Du tournage, Jérôme Athanase
garde un excellent souvenir, même si certaines scènes ont été
tournées dans des conditions difficiles : "Je me souviens d'une soirée
glaciale le long de la rivière... Et même s'il faisait très
beau le jour où nous avons tourné les scènes avec la
guillotine, l'odeur de sang (de veau) qui montait du baquet où tombaient
les têtes donnait la nausée... Cette dernière scène,
tout comme la comparution devant le tribunal révolutionnaire, est
celle qui l'a le plus marqué. "Face à l'accusateur public,
avec soixante-dix personnes autour, c'est très impressionnant !".
Il n'est pas le seul des comédiens à faire cet aveu, alors
que l'essentiel des grands rôles du film est interprété
par des professionnels du droit. "Grâce à un tournage étalé
dans le temps, on a appris nos rôles, scène après scene.
Michel labroue nous donnait des indications, surtout pour les tirages d'exposition.
Quand il y a des moments forts, c'est plus facile. Mais il nous laissait
aussi une part de liberté : j'ai écrit moi-même le texte
qui précède mon passage à la guillotine". On n'attendait
pas moins d'un ancien bâtonnier qu'il laisse au condamné
le soin de rédiger son testament...
Journal "La Dordogne Libre" du mardi 9 novembre 2004 :
"Les anges de thermidor, souvenir de la
terreur à Périgueux"
Un vicaire qui refuse
de prêter serment en pleine terreur, sous la révolution,
et une novice qui l'accueille chez lui pour le protéger, c'est l'histoire
des anges de thermidor, tourné à Neuvic, Mussidan et Périgueux.
Les réalisateurs et producteurs ... ont présenté
le film, hier, dans la salle des assises du tribunal. Acteurs principaux
et collègues du barreau étaient présents, pour le
découvrir et se découvrir à l'écran. C'était
l'occasion d'évoquer les souvenirs de tournage, bon enfant aux
dires des acteurs. Me Athanaze tient le rôle du vicaire. "Les anges
de thermidor", c'était ma première expérience d'acteur.
"C'est enthousiasmant, mais cela prend beaucoup de temps", commente-t-il.
Mais pour le vicaire qui perdra finalement sa tête, le souvenir le
plus marquant reste la guillotine. "Cest surprenant, intense. Il faut essayer
de se mettre dans le contexte, dans la peau du personnage. On se rend
compte qu'onpeut peut perdre la tête pour pas grand chose". Celle
qui joue le rôle de "La Grenouille", recevant les sans-culottes dans
son café alors qu'elle n'épouse pas la religion républicaine,
elle, se souvient surtout du cachot dans lequel elle est enfermée.
"C'était une scène très dure. On m'a aidé
à monter et à descendre, sur le sol, ce n'était pas
très propre"... "Un super souvenir"...
Journal "Sud-Ouest" du lundi 8 novembre
2004 :
"La révolution au Palais", par alain Bernard
Ce soir au tribunal,
la salle des assises va résonner du bruit du couperet de la guillotine.
Séance historique ce soir au Palais de justice. Il n'est pas déjà
si courant que la salle des assises devienne salle de cinéma, même
si on y a déjà tourné des scènes de "Jacquou
le Croquant" et du "Crime d'Escoire". Mais il sera surtout beaucoup question
de guillotine pour l'avant-première de "Les anges de thermidor"
sur la terreur en Périgord. Destinée, comme dit Michel
Labroue le réalisateur, "à la famille judiciaire, pilier
du film"... Déjà les internautes ont pu, sur le site www.labroue.com,
découvrir 100 photos du film. Dans les rues, on a pu admirer une
dizaine de figures révolutionnaires géantes dues au pinceau
de Jean-Claude Allard, "Papô" Mesnard et Michel labroue...
Journal "Réussir le Périgord" du vendredi 5 novembre
2004 :
Périgueux, "Projection du film Les anges de thermidor"
Monique, Michel et
Philippe Labroue ont réalisé un nouveau film "Les anges
de thermidor" qui raconte l'histoire d'un vicaire, pendant la Terreur,
refusant de prêter serment à la Convention. La plupart des
personnages sont interprétés par des comédiens amateurs.
le film a été tourné à périgueux, Mussidan
et Neuvic. Le film sera diffusé ...
Emission de "France Bleu Périgord" du vendredi
5 novembre 2004 :
Monsieur
Bernard Guyot reçoit M. Labroue : Présentation
du film, extraits musicaux, calendrier des scéances de
projection.
France
Bleu Périgord en direct.
Journal "L'écho Dordogne" du mercredi 3 novembre
2004 :
"Un film dont on va parler dans le landernau
Périgourdin", par André Champeaux
... Effectivement
la distribution des rôles principaux, souvent tenus par des
avocats du barreau de Périgueux ont une belle prestance
oratoire et gestuelle, on pense particulièrement au vicaire
réfractaie (Jérome Athanase), au rôle de Roux-Fazillac,
le conventionnel (Arnaud Le Guay) et l'évêque conventionnel
Pontard (Jean-Michel Taillhades), ce dernier dans une prestation
physique remarquée. Une bonne dizaine d'avocats et de juges
sont également associés, souvent dans les rôles
au tribunal, ils ont eu donc à juger. Il est impossible de
passer sous silence tous les autres rôles tenus par des figures
et des "gueule" Périgourdines... La musique composée
pour la circonstance est exceptionnelle. Elle est de Bernard Wystraëte,
un flûtiste international, il a composé avec tous les
grands du jazz et du classique, et ici, il apporte à cette dramatique
des tonalités contemporaines qu'il distille d'un rythme soutenu.
Quelque 200 ans après, alors que l'Etat et l'Eglise ont fait une
séparation et que l'actualité frappe de nouveau à
la porte et que seul ou presque, Anatole France a traité de la
terreur avec "les Dieux ont soif". Heureusement que depuis la peine
de mort a été abolie.
Journal "Sud-Ouest" du mardi 2 novembre 2004 :
"Affiches et cocardes"
Dans les "sucettes"
Decaux et les vitrines fleurissent les affiches des "Anges de thermidor",
tourné par Michel labroue avec des centaines de Périgourdins.
Projections publiques la semaine à venir.
Diverses émissions sur "Radio Périgueux 103"
dans la semaine du 1er au 7 novembre 2004.
Journal "L'écho Dordogne" du
mercredi 27 octobre 2004 :
"Les retrouvailles de la Double", par
André Champeaux
24 ans après,
les comédiens de "l'ennemi de la mort" sur les lieux du tournage...
Le soir à neuvic, dans la toute nouvelle salle multimédia,
tout le monde s'est retrouvé autour du film et on parla du docteur
Charbonnière et de l'inspiration historique qu'a dû avoir
Eurgène Le Roy, autour de la dramatique histoire du docteur Pierre
Delor. Originaire de "Puy de Pont" à neuvic, de la famille Delor
décimée pendant la terreur, le fils de Pierre après
des études à Périgueux et à Paris revient à
Echourgnac. Il mena une vie de médecin dévoué au peuple
jusqu'en 1862. Un film "Les anges de thermidor" réalisé
par Monique, Michel et Philippe Labroue retrace cette histoire. Eugène
Le Roy s'empare de cette épopée et donne une suite, qu'il
écrira dans "l'ennemi de la mort". La boucle est bouclée...
Journal "Sud-Ouest" du mardi 26 octobre 2004 :
"Anges et bourreau à l'affiche",
de Christine Heim
Les 400
Périgourdins qui ont, de près ou de loin, participé
à la réalisation du film « Les Anges de Thermidor
» vont enfin pouvoir découvrir le résultat de
ce travail collectif de longue haleine ! ... Et si les scènes
d'exposition apparaissent par moment trop longues, embarrassées
d'explications grandiloquentes et superflues, toute la deuxième
partie du film instaure un rythme, une tension par instants, qui laisse
intact l'intérêt du spectateur, jusqu'à la fin.
Le site du journal Sud-Ouest.
Journal "La Dordogne Libre" du mardi
26 octobre 2004 :
"Les anges de thermidor", de M.R.
Le film
tourné à Neuvic, Mussidan mais surtout Périgueux,
raconte l'histoire d'un vicaire (Jérôme Athanaze,
avocat au barreau de Périgueux) refusant de prêter
serment à la convention et d'une novice (Céline Muller,
infirmièrre) qui va lui offrir asile. Une intrigue qui
se déroule pendant la Terreur. A l'origine du film, la
découverte par Me Labroue des dossiers du tribunal révolutionnaire.
"C'était dans la bibliothèque de mon beau-père",
explique-t-il, "Depuis longtemps je me disais qu'il y avait quelque
chose à faire."... Un long-métrage qui, grâce
à ces dossiers et à des recherches dans les archives
personnelles de l'avocat, à la bibliothèque, aux archives
du tribunal et dans des manuels d'histoire anciens, "colle à l'histoire,
dans les faits et dans les lieux".
E-mail de la dordogne
libre.
Journal "Sud-Ouest" du lundi 25
octobre 2004 :
"Bernard-Pierre Donnadieu sans écran", par Alain Bernard
(Lors de la rediffusion
de l'Ennemi de la mort, téléfilm inspiré en 1980
d'Eugène Le Roy à Echourgnac et Neuvic) ... Le maire François
Roussel rappela aussi que Pierre Delor, ... rescapé de la terreur
et héro des "Anges de thermidor" tourné et bientôt
projeté à Périgueux, inspira directement le personnage
du docteur Charbonnière.
Journal "Sud-Ouest" du samedi 23 octobre 2004 :
Quoi de neuf : "Révolution"
En vitrine du Palais
de l'ameublement, rue Louis-Mie, un salon Directoire trône pour
promouvoir le film "Les anges de thermidor" sur la révolution à
Périgueux. Les projections publiques auront lieu début novembre,
notamment pour les 400 périgourdins qui y jouent. En attendant, hier,
une dizaine de dessins, huiles et fusains de 1,70m et 1,20 m signés
Labroue, Allard et Mesnard, sur la révolution, ont été
amenés à la mairie pour affichage sur les sucettes Decaux.
Remerciement à toute la presse et à leurs journalistes
et chroniqueurs.
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