Mieux qu’être , je suis ce que je pense.
 
Et je passe, terrasse, ma voix me lasse.
Je défie les tendres sans qu’un mot ne passe.
Complais, je gis adossé à une fausse surface.
Je suis à l’aise dans mon temple seul maître de l’espace.
Le conformisme malheureusement est en chaque personne, blasée.
Communique sa paresse, abolit les pensées.
Le changement est traître pour le jeune faible,
oublierais-tu qui tu es, vois ma rage terrible.
 
Je prends de l’altitude, cette porte ouverte vers la solitude
et j’ai cette certitude, d’être interprète de l’habitude.
 
Mais j’observe, j’agis en conséquence
car plus d’un jour se passe et passe ma patience à attendre cette différence.
Certes observable chez ces ballons qui montent
poussés par l’air chaud de l’indifférence.
Reste stoïque MARCUS ouvre l’âme de ceux qui montent loin dans les cieux,
ils négligent leurs racines.
Car n’oublie pas qui tu es, voyageur on Ganja air,
tu dévies tes cibles et triches l'impossible.
 
Je prends de l’altitude, cette porte ouverte vers la solitude
et j’ai cette certitude, d’être interprète de l’habitude.
 
Tu rases les toits, tu changes de toi, te mélanges
planes parmi les anges au dessus des lois.
Mais pas les lois : justice. les lois : respect.
Des choses primordiales en fait et toi tu les jettes.
Tu te sens grand, ça te rassure, maîtrises man,
cela révèle ta vraie nature chacal paix à ton âme.
N’oublie pas qui t’a fait et qui t’a aimé,
c’est pour eux que tu dois te battre au lieu de chômer sur toi.