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DECOUVRIR : Découvrir... une autre conception de la politique, une alternative de futur.

(Accès direct à un titre de la page : I Qu'est-ce que le MLC , II Les fondateurs , III Quelques Précisions...)


I Qu'est-ce que le MLC ?

   Le MLC (Mouvement de Lutte pour le Changement) est un parti politique résolument tourné vers un changement radical de la société et des mentalités. La volonté du MLC est d’appliquer une politique sociale visant à terme à transformer une société actuellement marquée par les inégalités sociales et le non-respect des individus qui la composent les uns vis-à-vis des autres en une société marquée par le respect mutuel des individus qui la composent et des inégalités moins importantes, en tout cas moins injustes qu’elles ne le sont actuellement.
    Afin de construire une telle société, le MLC a préparé un programme fondé notamment sur une réforme radicale de l’éducation donnant une importance cruciale à l’éducation civique et aux débats à l’école, qui permettront de former des citoyens plus aptes à penser par eux-mêmes et à respecter les valeurs de la République, à savoir la liberté, l’égalité et la fraternité, ainsi que sur une amélioration du milieu et du cadre de vie des classes défavorisées afin de déclencher une réaction en chaîne permettant à terme le recul de l’importance des communautarismes, l’éradication du racisme en France, et aboutissant à ce que chaque individu ait les mêmes chances de réussir quel que soit son milieu social sans avoir recours à la discrimination positive.
    Ce parti se caractérise par une grande ouverture d’esprit : le débat et la remise en cause constante constituent un point fondamental de la ligne politique de notre parti afin d’endiguer tout risque de dogmatisme au sein du parti.
    Bien que sa politique soit sociale, le MLC se refuse à être rangé dans une catégorie (gauche, droite, centre), mais se positionne politiquement à l’opposé des partis extrémistes de droite comme de gauche, qui attisent la haine et se nourrissent des préjugés.
    Le but de ce parti n’est pas seulement de changer la société actuelle, mais aussi de faire découvrir aux Français une autre conception de la politique, dans laquelle le mensonge est absent ou en tout cas considérablement moins présent, afin que les Français se sentent plus impliqués dans la vie politique de leur pays.
    Le but ultime du MLC est en fait de créer une société qui serait plus conforme aux valeurs de la Déclaration des Droits de l’Homme, qui mériterait d’avoir pour devise celle qu’elle a actuellement, à savoir « Liberté, Egalité, Fraternité ».

(Article 3 du statut de l'association disponible dans son intégralité dans le menu " Connaître " du site)


II Les fondateurs

 Le Mouvement de Lutte pour le Changement est un des très rares partis politiques en France fondé et dirigé par des jeunes. Ne supportant plus de vivre dans un pays marqué par les injustices sociales, le racisme et l'intolérance omniprésents, l'irrespect mutuel des individus, et l'incapacité des gouvernements se succèdant sans jamais résoudre ces problèmes majeurs, Jérôme Bloch, Monib Alaoui et Simon Ebersolt, tout trois lycéens, décidèrent de changer les choses en fondant le MLC. 
Les fondateurs-dirigeants du Mouvement de Lutte pour le Changement s'expriment :


°Jérôme Bloch - actuel président du Mouvement de Lutte pour le Changement.

- Pourquoi le MLC ?
J.B. : Tout simplement parce que je ne pouvais plus supporter de vivre dans mon propre pays. Plus j'observais et m'intéressais à mon pays, à mon peuple, à la vie politique, et plus je constatais à quel point le racisme, la bêtise, le mensonge, la haine, la superficialité, l'égoïsme étaient omniprésents. J'avais fini par avoir honte d'être Français. Lorsque je dis ça, la plupart des gens me répondent que c'est ridicule, que la situation est encore pire ou en tout cas n'est pas meilleure ailleurs. Si tel est le cas, est-ce vraiment une raison d'être fier ? Car force est de constater que le peuple français l'est : il n'hésite pas à critiquer ses voisins à tout va, mais oublie toujours hélas de se remettre en cause... Personnellement, je trouve cela scandaleux : comment peut-on oser critiquer sans arrêt ce qu'on ne connait pas et rester aveugle aux problèmes internes de notre propre pays ? Nous avons trop de choses à changer chez nous pour faire la leçon : là est peut-être la raison qui m'a personnellement le plus motivé à fonder le MLC. J'aimerais un jour pouvoir être fier de mon pays et dire : "Oui, la France est bel et bien le pays de la Liberté, de l'Egalité et de la Fraternité".

- Vous présentez le MLC comme un parti politique différent des autres. En quoi l'est-il ?
J.B. : En fait, notre politique étant sociale et profitant à première vue plus aux classes défavorisées qu'aux classes aisées, je pense que l'on peut dire que la politique du MLC est plus une politique 'de gauche' que 'de droite'. Seulement, cela ne signifie pas que nous sommes proches des partis de gauche. Notre conception de la politique est différente : à gauche comme à droite, les hommes politiques sont trop souvent animés par leur ambition personnelle. On le voit bien aux luttes incessantes au sein de chaque parti et à la démagogie dont ils font preuve. Au MLC, nous ne voyons pas la politique comme une simple lutte pour le pouvoir : nous luttons non pour le pouvoir, mais pour un changement radical de la société. Si ce changement tel que nous le concevons a lieu sans que nous n'accedions au pouvoir, sincèrement tant mieux. Nous voulons simplement avoir assez d'influence pour changer les choses. Par ailleurs, le MLC est différent des autres partis politiques tout simplement parce que cette catégorification 'gauche'/'droite' n'a pas lieu d'être : nous, les membres fondateurs du MLC, avons tous les trois des penchants politiques différents, et cela ne nous à pas empêcher de fonder un parti commun. Personnellement, je me situerais plutôt au centre droit tandis que Monib Alaoui est plutôt à gauche et que Simon Ebersolt très à gauche. Pourtant, sa réflexion et sa vision du monde est bien différente de celle des partis extrêmistes sectaristes de gauche. Nous nous voulons plus nuancés que les autres partis. De plus, les partis politiques se présentent pour ce qu'ils ne sont pas : les partis d'extrême gauche par exemple se présentent comme dignes descendants de Marx, alors que le message qu'ils véhiculent est totalement différent. Pire encore pour les partis d'extrème droite, qui se présentent comme représentants de la vraie France alors que le message qu'ils véhiculent est à l'opposé de l'idéal français de la démocratie et de notre devise ! C'est vraiment insupportable... Tout cela nous pousse à nous écarter un maximum des partis extrêmistes biensûr, mais aussi des partis modérés. Nous nous voulons plus ouverts : l'importance que nous donnons au débat, aussi bien dans notre programme en ce qui concerne la réforme de l'éducation qu'au sein même du parti, nous pousse aussi à nous écarter des autres partis, car qui dit débats dit idées nouvelles. Et peu nous importe que ces idées soient plutôt 'de gauche' ou plutôt 'de droite' tant qu'elles vont dans le sens de nos valeurs.

- Définissez en quelques mots ce qu'est le MLC
J.B. : Je définirais le MLC comme un Parti un Parti moderne et humaniste. Nous n'avons pas réussi à construire une société conforme aux valeurs véhiculées par la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, et aujourd'hui nous sommes presque arrivés à un point de non-retour. Nous avons créé ce parti en prenant en compte la réalité actuelle et en réfléchissant sur la manière la plus réaliste de transformer notre société de telle sorte à ce que le changement soit profond, radical, mais surtout qu'il soit possible, qu'il ne s'agisse pas d'une utopie irréalisable.
Je pense que le MLC est plus à même de représenter et d'oeuvrer pour les jeunes générations, qui ne sont pas tombées dans une logique de scepticisme constant et de défaitisme et sont ouvertes aux nouvelles idées, à une nouvelle approche du monde. Le MLC peut permettre de construire une société dans laquelle les gens, quel que soit leur origine ou leur milieu social, se sentiraient épanouis et goûteraient enfin au bonheur, ensemble.
Ce qu'apporte le programme du MLC, c'est la Fraternité dont il est question dans la devise de notre pays et qui est pourtant absente de notre société...


°Simon Ebersolt - actuel vice-président du Mouvement de Lutte pour le Changement.

- Pourquoi et qu'est-ce que le MLC ? En quoi est-il un parti différent des autres ?
S.E. : En constatant objectivement la société dans laquelle nous vivons, je me suis rendu compte que celle-ci est profondément incensée et absurde.
    Notre société est en effet caractérisée par une grande multitude d’injustices sociales sur lesquelles est fondé notre système économico-politique.
    Notre société est caractérisée par les préjugés qui aliènent moralement et intellectuellement l’individu, et qui empêchent notamment celui-ci à exercer l’esprit critique, ce étant un des principaux fondements de la démocratie. Je considère ainsi –en considérant le sur-plus de pouvoir du président de la République, l’augmentation des abstentions, le décalage structurel entre représentés et représentants, etc– que nous assistons à une dégénérescence de la démocratie dans notre pays. Cependant, certains (souvent des journalistes aliénés), en lançant des préjugés, des mots d’ordre dignes des régimes dictatoriaux, se bornent à dire que notre régime est véritablement démocratique et en bonne santé. Ceux-si nous incitent à ne pas exercer notre esprit critique et à faire en sorte qu’on ne puisse plus remettre en cause l’état actuel des choses, comme si les institutions politiques actuelles seraient parfaites, comme lorsque les autorités soviétiques faisaient croire au peuple qu’il vivait dans le « paradis socialiste ». Je crois justement que la démocratie n’est pas une fatalité, que la démocratie se situe toujours devant nous, que nous devons la renforcer perpétuellement. Ainsi, nous devons réfléchir pour élaborer une nouvelle alternative vers un régime plus démocratique.
    Je voulais alors m’exprimer, dénoncer l’etat actuel des choses, entretenir des dialogues constructifs afin de penser la politique. Ainsi, j’ai écrit des articles dans le journal du lycée mais j’ai voulu davantage m’engager et m’investir... Jérôme Bloch et Monib Alaoui m’ont proposé de créer un parti politique original, fondé sur la tolérance, le dialogue, la démocratie interne, constitué de plusieurs courants politiques différents (Bloch étant libéral, Alaoui socialiste). Je ne suis pas entré dans un parti politique important (comme le PS, pour prendre un exemple parmi tant d’autres) car je voulais m’ouvrir le plus possible aux idées qui ne sont pas les miennes : les partis politiques traditionnels ont souvent tendance à se fermer sur eux-mêmes, n’ayant pas la volonté d’écouter des avis contraires aux valeurs d’origine de leur parti. Ce que je recherchais justement, c’était de trouver un lieu dans lequel il y aurait la confrontation d’idées, qu’elles soient antagonistes ou pas, car j’ai la conviction ferme que le mouvement dialectique des idées peut faire aboutir à des idées nouvelles, originales et intelligentes. Le MLC qui privilégie le débat et qui veut faire du parti une tribune de la démocratie directe offrait cette valeur.
    Le MLC est un mouvement politique progressiste qui désire une société fondée sur la justice sociale, le bien- être matériel et intellectuel. Pour créer une telle société, Alaoui, Bloch et moi pensons qu’elle n’est possible que par la réforme profondément radicale de l’éducation, au sens le plus large du terme : bien-sûr, cette réforme concernera principalement l’éducation nationale mais aussi tous les organes concernant la socialisation qui conduisent l’individu dans la société. En constatant l’étymologie du mot « éducation » (ducere signifie, en latin, conduire), on peut aisément se rendre compte de l’ampleur de la réforme visée.
    Nous, fondateurs du MLC, considérons que les idéaux révolutionnaires de 1789 ont dépéris au fil des deux siècles écoulés. C’est pour cela que nous voulons non seulement faire renaître ces idéaux mais aller plus loin pour créer une société plus juste et démocratique digne de ce nom.
    Ainsi, le Changement désiré par le MLC est fondé sur la renaissance politique et la réforme structurelle de l'éducation.

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III Quelques précisions...

 Face aux premières réactions auxquelles nous avons été confrontés à la suite de la création de notre parti, il nous parait important, pour ne pas dire crucial, de tirer au clair certains points qui semblent avoir été mal compris.

1) LE TITRE DE NOTRE PARTI : "MOUVEMENT DE LUTTE POUR LE CHANGEMENT".
   Nombreux sont ceux qui font tout de suite le rapport entre notre parti et les partis d'extrème gauche, notamment à cause du mot "lutte". Ces personnes n'ont de toute évidence pas lu attentivement notre statut et notre programme... Pour éviter les amalgames, nous vous proposons une analyse de chaque terme du titre du parti :
      -MOUVEMENT : un mouvement est une action collective orientée vers un changement politique et social. Un mouvement est caractérisé par une cohérence idéologique.
      -LUTTE : l'erreur est ici de penser tout de suite à la lutte des classes. Ni dans la vision du monde actuel qu'il soutient, ni dans son programme, le MLC ne fait référence à une lutte des classes, bien au contraire : nous voulons créer une société dans laquelle personne ne mépriserait l'autre parce qu'il possède plus ou moins que lui-même. Nous voulons une société dans laquelle la tolérance règne.
Par "lutte", nous voulons clairement exprimer qu'il s'agit d'actions menées pour défendre une cause précise. Changer la société n'est pas chose aisée : c'est un véritable combat. Dans le titre du MLC, le mot "lutte" montre que nos idéaux se heurtent à la réalité. Le mot "lutte" montre que nous avons conscience de la difficulté rencontrée afin d'atteindre notre but, tout simplement.
        -CHANGEMENT : pas d'amalgames possibles pour ce terme. Une lecture, même rapide de l'article 3 du statut montre notre volonté de transformer notre société.  Le changement que nous voulons va dans le sens d'un plus grand respect mutuel des individus et d'une plus grande justice sociale notamment.

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