ANUBIS     

 

 

 

               

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Originaire du XVIIe nome, il est le quatrième fils de Rê ou parfois celui d'Osiris et de Nephthys. Il assimile les divinités funéraires Oupouaout, Ha, Amentit et Sokaris et devient le dieu des funérailles. A partir de la cinquième dynastie, il est supplanté par Osiris et en devient son assistant en pratiquant l'embaumement. Dans le tribunal divin, il veille à la pesée du ka du défunt.

La légende veut qu'il soit l'enfant adultérin de Osiris et de Nephtys (la soeur d'Isis). Nephthys l'ayant rejeté il est recueillit par Isis. Autrefois dieu des morts, il avait un rôle très important. Il est ensuite remplacé par Osiris et devient le dieu du culte des funérailles et du soin des morts. Il a inventé l'embaumement pour reconstituer le corps d'osiris démembré par Seth.

Il est mentionné comme "le conducteur d'âmes", il avait pour rôle de conduire les morts dans l'autre monde et de veiller sur les sépultures. Il préside également la pesée de l'âme des défunts (Ka) dans la chambre des deux vérités. Durant la cérémonie de l'embaumement un prêtre égyptien portait un masque d'Anubis. Sa couleur noire représente la couleur des morts après l'embaumement et il est identifié au chacal, animal rôdant dans les cimetières. Anubis est identifié au dieu grec Hermés


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Dieu chacal, Anubis, (Impou en egyptien) fut particulièrement adoré dans le dix-septième nome de la Haute-Egypte, nome sur lequel on a conservé un intéressant document de topographie religieuse, le papyrus Jumilhac. Anubis, fils d’Isis et d’Osiris, était le dieu du désert et de la nécropole ; il introduisait les morts dans l’autre monde et veillait sur les tombes. Souvent honoré de l’appellation « seigneur de la nécropole », il était représenté sous la forme du chien sauvage ou chacal, animal qui rôde dans les nécropoles. Anubis était aussi embaumeur, « celui à qui est la bandelette », la légende lui attribuant l’embaumement d’Osiris.



 



Dans l’Ancien Empire, Anubis est le dieu funéraire par excellence, comme on le voit par les formules d’offrandes funéraires et souhaits de survie, qui, dans les plus anciens mastabas, s’adressent à lui. A la fin de cette époque, il fut supplanté par Osiris dont il devint l’aide, introduisant le défunt auprès du dieu juge. A l’époque gréco-romaine, Anubis continue d’être l’introducteur du mort auprès d’Osiris et gardien des portes du monde de l’au-delà (l’Amenti). C’est pour cette raison qu’il est souvent représenté avec une clé à dents, soit tenue à la main, lorsqu’il est représenté en homme debout à tête de chien, soit au cou, attachée à un collier, lorsqu’il revêt la forme du chien assis particulière à ce temps. Mais, à toutes les époques, il est représenté sous la forme d’un grand chien noir couché en train de veille. Il fut parfois assimilé par les Grecs à Hermès, sous le nom d’Hermanubis.





Le Conte des deux frères, que rapporte le Papyrus d’Orbiney, renferme également des éléments mythologiques : ses deux personnages principaux, Anubis et Bata, sont deux divinités. Le thème est banal : la femme d’Anubis est amoureuse de son beau-frère Bata ; furieuse de voir ses avances repoussées, comme Putiphar ou Phèdre, elle le discrédite auprès de son mari. A ce premier récit qui se distingue par une fine analyse psychologique, mais dont le véritable sens n’est apparu que par la publication du Papyrus Jumilhac relatif aux mythes du XVIIIe nome de Haute-Egypte, a été amalgamée une seconde composition où prédominent en revanche la magie, le merveilleux et les métamorphoses.

 

 

 

Le chien vénéré en Égypte comme nous le montre Anubis, est aussi un auxiliaire précieux.
Utilisé pour la chasse, la garde et la défense, il est charognard nettoyant les abords des villes
Il inspire aussi les artistes égyptiens, lesquels nous ont laissé de nombreux témoignages

Dans la ville de Cynopolis (Henou) dont il était la divinité principale un temple lui est consacré.