De l'inquiétante invention toute Orwellienne de la « résille algorythmée », en remisant le crayon du créateur au profit du mulot,  reproduit à l’infini et jusqu’à l’abrutissement le même schéma géométrique.


Les couleurs utilisées par Mangin et empruntées à Rem et Winy n'ont aucunement les valeurs fonctionnelles qui existaient chez les Hollandais : Transparence/Dessus-Dessous/Intégration par la couleur d'éléments aussi dissemblables que possible.
Faire penser que Mangin a intégrer avec intelligence des concepts de Mass ou Koolhass tient de la désinformation.


Pire en créant une trame de tout petits modules et en la coloriant, sous couvert d'une demande liée à l'éclairage nocturne, ce projet (car il s'agit désormais bien d'un projet et non d'un schéma) tente de se réapproprier la totalité de la surface y compris le rdc de l'ex futur carreau, et cela malgré le cadre de sa mission. Les architectes arrivant par la suite étant piégés si ce projet est validé. Le dessin a changé de dimension maintenant chaque document correspond à un avancement du projet.


Cette trame est un véritable instrument de pouvoir .
Tout doit lui céder, qui ne rentre pas dedans devra y passer, trémies, fontaines, têtes, individualités, c'est désolant .


Cela fait penser à la grande époque de la reconstruction, traumatisme s'il en est, qui a séparé une nation de son architecture, où tout était sacrifié au systématisme, grâce à un moulage unique permettant des assemblages, on couvrait "pour le bien de ses habitants" des hectares de paysages urbains et notamment la banlieue.


Qui de surcroît pourra affirmer que cette forme bizarroïde a un intérêt plastique pour elle même.
Mangin l'a bien compris, une fois le moule approuvé il n'y aura plus de limite à la destruction de tout être et forme lui étant étranger.


Et pour avoir confisqué la parole avec le jardin des éléphants L'Association Accomplir condamne les petits enfants à faire des pâtés de sable avec ..... les même petits moules.