Eikichi Onizuka / 22 ans

Azusa Fuyutsuki / 22 ans 

Kanéda Nao / 25 ans

 Iroshi Uchiyamada / 54 ans

Urumi Kanzaki / 14 ans

Tomoko Nomura / 14 ans

G.T.O.

(Great, Teacher, Onizuka)

LA DRÔLE DE JOURNÉE DE MADEMOISELLE Fuyutsuki

Comme tous les matins mademoiselle Fuyutsuki, sorti de l’autobus en rougissent. Elle s’était encor fait peloter les fesses, là jeune professeur de littérature, ignorait que s’était le sou-directeur de son collège qui jouait le pervers de service. Mademoiselle Fuyutsuki, avait mit un jeans serré, un chemisier blanc, une petite veste et des chaussures vernis à talon. Uchiyamada, le sou-directeur sortit derrière elle avec un air satisfait, il salua la jeune enseignante. Plusieurs élèves de sa classe sortir également du bus, ils dirent très poliment bonjour. Surprise, là jeune professeur de littérature les saluât a son tour et comme ils s’étaient inclinés pour la salué, elle s’inclina a son tour ! Les quatre élèves en profitèrent pour maté son décolleté, ils se régalèrent les yeux et elle se releva. Les élèves, la suivirent comme des petits chiens, en lui proposent de lui porté ça sacoche. Ils lui posa plein de question sur son prochain cour et s’ils ne pouvaient pas avoir des cours particuliers.

_NON ! N’INSISTER PAS ! JE PEU PAS VOUS DONNER DE COURS PARTICULIERS ! SES TROP PETIT CHEZ MOI !

La pauvre professeur de littérature, s’éloigna de ses élèves gêner, depuis plusieurs semaine les filles de la classe n’assistait plus a ses cours. Les collégiens, qui essayait de dragué leur jeune professeur, avaient finit par excéder les filles et ses dernières faisaient les pires vacheries. Mademoiselle Fuyutsuki, ne savait pas quoi faire, elle avait bien essayé de demandé de l’aide a Onizuka ! Mais ce dernier lui avait dit que, si elle pouvait pas se faire respecter par des ados de quatorze ans, elle devrait quitter enseignement ! Elle l’avait giflé et elle était partie furieuse, a la suite de ses événements mademoiselle Fuyutsuki avait prit plusieurs jours de vacances.

Uchiyamada le sou-directeur, avait convoqué la pulpeuse Tomoko, elle avait été absente plusieurs jours. Il savait que l’adolescente commençait une carrière dans le show-business, il ne voyait passa d’un bon oeil !

_MADEMOISELLE NOMURA ! PEUT-ÊTRE QUE VOS PARENTS VOUS ENCOURAGE A SÉCHER DES COURS ! MAIS MOI ENTEND QUE SOU-DIRECTEUR DE CET ÉTABLISSEMENT ! JE NE TOLÉRAIT PAS CETTE FAÇON DE FAIRE !

_MAIS, MONSIEUR UCHIYAMADA ! MADAME LA DIRECTRICE ET MONSIEUR ONIZUKA, MON OBTENUE UNE DISPENSE ! POUR QUE J’AILLE ASSISTER AU RÉPÉTITION !

Uchiyamada, lui tournait autour d’elle en lui parlant de ses devoirs, elle lui répondait que sa carrière commençait a peine. Elle parla de son manager lui avait dit que ses maintenant qu’il fallait faire des efforts. Le sou-directeur, avait les yeux qui se fixaient souvent sur là volumineuse poitrine de là collégienne. Il se caressa les testicules, Tomoko fut troublé devoir le vieux cochon qui osait se tripoté devant elle. Il s’arrêta de lui parlé comme un pédagogue et se mit a lui parlé de son opulente poitrine.

_ ET EST-CE NORMAL QUE DES ADOLESCENTE DE VOTRE AGE EST AUSSI FORTE POITRINE ! SONT-IL NATUREL ? OU ET QUI VOUS A DONNEZ LA PERMISSION DE VOUS FAIRE GONFLER LES SEINS ? VOS PARENTS ENCOR UNE FOI ! OU EST-CE CE DEGENEREZ D’ONIZUKA ?

            _VOUS- VOUS TROMPER CE SON DES VRAIS ! ILS ONT POUSSEZ COMME ÇA !

_AH ! BON ! ET POUVEZ VOUS LE PROUVER ! JE SUI SUR QU’IL A UNE CICATRICE !

La pauvre Tomoko, ne savait pas quoi faire, elle déboutonna son chemisier et sortit ses seins du son soutien gorge. Elle les manipula pour montrez au sou-directeur, qu’il n’y avait de cicatrice ! Elle lui proposa de les touchez pour qu’il vérifie par lui-même que s’étaient des vrais, et pas des siliconé !

Il les pelota, et prit un plaisir a les malaxé, il savait bien que sa poitrine soit naturelle. Ils les avaient vus un jour qu’il observait des collégiennes qui se changeaient dans le vestiaire avant d’aller à la piscine ! Ce jour là il avait prit des photos et les avait fait voir a d’autres enseignent aussi pervers que lui. Il les tripotait enfin et il pinça les tétons se qui fit crier la jeune adolescente, très surprise !

_BON D’ACCORT SE SON BIEN DES VRAIS ! MAIS IL VOUS FAUT MA PERMISSION POUR SÉCHER DE NOUVEAU LES COURS !

Il ne lâcha pas les tétons et sa main glissa vers sa braguette et sortit sa queue, et se branla sur les tétons de là collégienne ! La jeune fille rougit de honte de faire tripoter par un vieux, et essaya de reprendre contenance ! Elle posa la question que le sou-directeur, lui avait mit dans la bouche !

            _QU’EST-CE QUI FAUT QUE FASSE POUR OBTENIR CETTE PERMISSION ?

_SES TRÈS SIMPLE ! JE VAIS GLISSER MON SEXE ENTRE TES DEUX GROSSES MICHE ET TU VA FAIRE DES VA ET VIEN ! ET AU MOMENT OU, JE LE JUGERAIS BON TU GLISSERAS DANS TA BOUCHE MON GLAND ET… ET PEUT-ÊTRE LE RESTE DE MON GOURDIN !

en même temps qui lui avait dit se qu’il voulait lui faire , il glissa sa queue entre ses magnifiques nichons. Tomoko, ce laissa faire croyant qu’elle n’avait pas le choix, elle prit ses seins entre ses petites mains et pelota le sexe avec. Après cinq minutes y lui dit de sortir sa langue de sa bouche et de lui léché son gland. Tomoko, lécha donc le gland et trouva sa très désagréable et fit la grimace. Uchiyamada, aussi faisait une grimace, mais lui il la faisait en souriant, et l’encourageait à continué.

Tomoko, roula une pelle au gland, sa langue tournait dans sa bouche sur le bout du phallus ! Le sou-directeur, poussa un cri de joie, et donna un cou de rein et fit entrer son gourdin tout entier dans la bouche de là collégienne. Tomoko, avala le phallus sans bronché au début, et Uchiyamada comment ça de petits va et vient à en tenant la tête de Tomoko a deux mains. Il pressait la bouche de l’adolescente qui commençait à avoir du mal a respiré ! Il retient là tête de là collégienne avec sa trique entièrement enfoncée dans sa bouche, il donna quelques coups de reins et joui. Ils obligea Tomoko a avalé son sperme et l’aspirent, Tomoko du ensuite léché la colonne de chaire, jusqu’a ce qu’elle soit tout propre.

Mademoiselle Fuyutsuki, monta les escaliers, ses élèves l’entourait, un plus habile que les autre lui caressa les fesses. La jeune enseignante rougit, elle voulut se retourner pour giflé l’effronté, mais elle se retins. Elle savait que frappé un élève la ferait échouer entent que pédagogue et elle se ferait sur ment renvoyé. Le jeune prof n’insista pas, elle essaya de grimpé plus vite a l’escalier mais elle faillit raté une marche, un autre élève là rattrapa juste à temps en la prenant par la poitrine. Elle rougit encor plus fort, le collégien ne sentait plus que son sexe en érection, il avait touché la poitrine de l’enseignante. Il avait qu’une envie la peloté !

Il se colla à elle et lui fit sentir sa verge dure contre son fessier, ses mains tripotaient la poitrine de la jeune enseignante, Un autre élève qui collait mademoiselle Fuyutsuki, osa mettre une main sur l’entre cuisse de la jeune prof de littérature ! La jeune femme, se défendait  et essaya de se débarrassé de ses envahissants élèves, qui commençait un peu trop s’excité a son goût.

_MAIS ! ENFIN  SA SUFFIT ! LAISSER MOI ! HUMMM ! AHAAA ! LÂCHEZ -MOI! MUMMM…

Elle se débâti un peu plus et pus échappé a l’emprise des deux collégiens qui la tripotait un troisième avait réussi a tiré sur la fermeture éclaire de son jeans et avait essayé de la doigté ! L’enseignant se mi a courir droit dans les toilette réservé aux professeurs

Mademoiselle Fuyutsuki, s’assit sur le trône, elle ressentait une forte chaleur dans son bas ventre. Une envahi irrésistible de se masturbé, elle baissa son jeans et sa petite culotte glissa sur ses genoux. Peu habitué à cette pratique, elle fit entrer son majeur tout entier dans son vagin.

_HAÏ ! MERDE ÇA DOIT PAS ÊTRE COMME ÇA QU’IL FAUT FAIRE ! JE VAIS ESSAYER AVEC MON INDEX !

Elle introduit son indexe et fit des va et vient rapide, sa comment ça a la soulagé, tout en l’excitent d’avantage. Là jeune enseignante, avait plus qu’une envie sentir une bite la pénétré, la sonnerie qui retenti mit un arrêt a ses envies perverses ! Elle remit son pantalon, et elle sentit comme si sa petite culotte avait trempé ! Mademoiselle Fuyutsuki, a l’infirmerie pour demandé de l’aide a l’infirmière Kanéda. Cette dernière, lui apprit rapidement une méthode à elle pour ce calmé rapidement. Ensuite elle alla fermer la porte a double tour, et demanda sa ça collègue de s’allongé sur le lit après avoir hotté son pantalon.

            _BON MA CHÈRE AZUSA ! TU VA ME BAISSER TA PETITE CULOTTE !

            _MAIS ! MAIS ! JE…JE NE PEU PAS VOUS MONTRE MA PETITE FENTE ! SES…DÉGOÛTANT !

_NE SOI PAS SI PRUDE ! DÉTEND-TOI, MA COLOMBE ! JE VAIS TE FAIRE UNE PETITE MINETTE !

            _ÇA VŒUX DIRE QUOI !

Elle lui répondit pas et s’installa entre ses cuisses, qu’elle avait écarté ! Mademoiselle Nao comment ça à lécha la cage a miel de la jeune femme ! Azusa de tortilla en tous sens, la langue de l’infirmière Kanéda, qui glissa son index dans le rectum de ça jeune collègue. L’enseignante se mit à gémirent comme une collégienne, elle  ne tarda pas a mouillé abondamment. La cyprine coula sur sa moule rasé l’infirmière Kanéda, n’eu plus qu’a léché le doux miel d’Azusa !

_BON LA PROCHAINE FOIS SES TOI QUI ME LÉCHERA LE MINOU ! SHULRPP ! SLURPP !

Mademoiselle Nao, était très pulpeuse, elle sortit un des ses gros seins de son corsage, et l’avait porté a ses lèvres. Elle se mit a léché son téton droit comme une glace a la vanille, devant Azusa qui se rhabillait, elle fut outrée ! Elle sortit de l’infirmerie, rouge comme une pivoine, mais très soulagé, elle courut vers sa salle de classe. Là jeune femme, en courant se demandait si elle pouvait se lécher elle-même sa vulve (l’idée lui était venu en voyant l’infirmière se sucé un de ses propre nichons). La jeune enseignante retrouva son calme et put aller faire sont premiers cour avec vingt minutes de retard !

Tomoko, put ensuite aller en cour comme elle semblait triste, Urumi, qui assistait depuis peu au cour vu le désarroi de sa copine ! a la pause Urumi quitta son siège et alla s’assoire a coter de son amie.

            _SA PAS, TOMOKO ?

            _MONSIEUR…SNIFF, SNIFF ! MONSIEUR UCHIYAMADA, MA OBLIGER A LUI SUCER SON SEXE !

            _ET TU TES LAISSER FAIRE ! MAIS POURQUOI ?

            _IL MA DIT QU’IL POURRAIT M’EMPÊCHER D’ALLEZ A MES RÉPÉTITIONS !

_VRAIMENT QUEL SALAUD ! L’ENFOIREZ ! IL FAUT QUE TU DÉFENDE, J’IRAIS PARLEZ A ONIZUKA ! IL TE VENGERA ! IL TE PAIERA SA !

Dès que la sonnerie retentit tous les élèves quitta la classe, Urumi, se leva et alla droit ver Onizuka qui effaçait le tableau. Elle attira, son attention en toussotant, et ne petite culotte atterri sur la tête du jeune professeur, qui se retourna, et vis Urumi qui s’était assit sur une table. Son chemisier était ouvert et ses seins étaient de sortit et ses jambes étaient écartées ! Là collégienne, se léchait un nichons tendit que son autre main caressait sa vulve.

Les yeux d’Onizuka sortir de leurs orbites et il enjamba son bureau et sa tête atterri entre les cuisses de son élève. Onizuka tailla une bavette, Urumi, lui parla de la mésaventure qui était arrivé a Tomoko.

_J’AI BIEN ENVIE DE VOUS LAISSER-ME PÉNÉTREZ SI VOUS VENGER MON AMIE !

_TOUS CE QUE TU VOUDRAS MON CŒUR ! SURTOUT SI TU ME LAISSE METTRE PAU-PAUL DANS TA JOLIE CAGE A MIEL !

Il se redressa et mi une cuise sur son épaule droite, et présenta son sexe en érection a la moule de là collégienne. Urumi, poussa de petits cris de plaisirs et d’encouragements, Onizuka fit entrer sa queue jusqu’au font de l’utérus. Il comment ça de profond et lent va et vient faisant criez sa partenaire a chaque coups de rein qui lui donnaient. Lui aussi poussait des râles et les gémissements de là collégienne, l’excitait de plus en plus. Le regard froid de l’adolescente qui possédait un oeil marron et l’autre bleu, elle lui murmurait entre deux gémissements ;

_VAS-SI MON GROS, TU EST LE PLUS BEAU ! HUMMM ! SES BON CONTINUE ! HUMMM !!! AHAAA ! JE T’AIME MON AMOUR ! MUMMM ! OHOO ! AHAAA !

Onizuka, poussa un cri de jouissance et lâcha la purée dans la jeune moule toute fraîche. Urumi, gémissant en jouissent plus que de raison, Onizuka sortit sa queue du vagin de la blonde aux yeux bridé. Urimi se redressa aussitôt et prit en main la verge et le masturba, elle s’agenouilla et écarta ses lèvres. Elle avala le sexe d’une traite en faisant plein de chose bizarre avec sa langue dans sa bouche. Le jeune professeur d’éducation civique, apprécia beaucoup cette caresse buccale, Urimi mit de l’ardeur a l’ouvrage et tailla une très longue pipe.

Onizuka, éjacula une deuxième fois, la gorge d’Urimi fut rempli de sa semence, Elle avala de bon cœur chaque goutte qui coulait du gland. Épuisé, il s’assit sur son bureau, Urimi remit de l’ordre dans ses vêtements, elle toussota de nouveau !

            _BON ! TU A UN PLANS ! MON CHÉRI !

_D’ABORD ! NE M’APPELLE PAS AINSI ! ENSUITE TU MA VIDÉE LES BOURSES ET LA TÊTE MA GRANDE !

_D’ACCORT JE NE T’APPELLERAIT PLUS COMME CA ! A LA PLACE DE MON CHÉRI, JE VAIS T’APPELEZ MON AMOUR !

Onizuka, se releva et fit semblant d’être fâché, il prit le chemin de la sortit, Urumi lui coura après et s’accrocha à son bras droit. En le supplient de l’aidé et de la laisser l’appelé, comme elle l’entendait et fit quelques essais et refusa tout tour a tour !

A suivre…

PÉLOPS