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                        Les secrets de Martin mystères

Mystères, révisions & nuit sombre.

            Un orage grondait et une pluie battante inondée les rues. Dans la nuit sombre qui entoure le bahut de Torrington, une lumière éclairée encore une fenêtre. Une de celles des chambres des filles, dans les toits où les deuxièmes et troisièmes années se logent. Les lourdes gouttes tombaient avec force sur les fenêtres et bâtiments, le surplus d’eau ressurgit des caniveaux. La lumière venait de la chambre de Diana, et pourtant il était plus de minuit. Le tonnerre vibré dans les vieux murs du bâtiment victorien. Derrière la porte de Diana on entendit un cri !

-         MARTIN, TU N’ES PAS POSSIBLE ! Comment fais-tu pour être si bête ? dit, Diana a son frère.

-         Mais puisque que je te dis que j’ai compris, Pythagore était un extra terrestre, comment veut-tu que quelqu’un de normale invente un théorème comme ça !

-         Il est plus de minuit et je dois te faire réviser de l’algèbre pour demain matin, parce que monsieur mystère préfère chasser des vers gluant et puant la veille.

-         Mais, sœurette, il était primordial de bouter ces affreux vers transgéniques, hors de la ville, en se mélangeant à des fragments de météorite, ils sont devenus géants et  accros au bouritos. Dit-il, d’une voix impérieuse.

-         Oh, les malheureux mexicains de la ville, ils auraient dû se passer de bouritos toute une nuit ! Susurre t’elle avec ironie.

-         Tu ne te rends pas compte, un mexicain sans bouritos peut devenir très méchant !

La pluie redoubler de puissance, mais le tonnerre ne gronder plus. Le bruit de l’eau couvrait  tous les autres bruits plongeant le campus sous une épaisse couverture de silence. Les minutes passées et les révisions de Martin devenaient difficiles, alors ils décidèrent de boire un café, le temps de se détendre et de décider si, il fallait continuer. La machine finissait les boissons chaudes mais Diana remarqua :

-         Comment ça se fait que tu n’as pas l’air fatigué toi ?

-         Bien, tu sais entant qu’agent mystère je me dois de pouvoir veiller sans limite ! Haha !

-         Arhhh ! Vantard. Elle lui donnât, un coût sur l’épaule

-         Aie… mais que tu es vilaine quand tu manques de sommeil ! Tiens ! Il lui tendit une pilule verte et blanche.

-         Qu’est ce que c’est ?

-         Ben, quand je me suis rappelait que je devais réviser mon algèbre, j’ai piqué une ou deux pilules au labo de Mom.

-         Quoi tu te drogues ! TU N’ES PAS FOU ! Mais j’ai le plus abrutie des frères.

-         Mais non, sur le tiroir, il y avait marqué «  contre la fatigue »

-         Tu l’as pris quand ? dit sa sœur un peu curieuse

-         Il y a trois jours, et ça fait deux nuits que, je ne ressens plus, la moindre fatigue, sœurette !

-         QUOI ! Trois jours, et si tu devais ne jamais plus dormir ?

-          Ben ! En faite après avoir pris le cachet j’ai lu la notice, chez l’humain ça dure 7 jours, mais tu ne te rends pas compte, en deux  nuits tout ce que j’ai pus faire ! La fête, la chasse aux extra terrestres, les filles, les devoirs, quels pouvoirs !

-         Ah bon ! Elle avait l’air  surprise, mais elle pensait à l’intérêt de se produit, ses notes, les garçons, les soirées un peu arrosé.

Elle tendit la main, pour prendre le cachet  de la main de son  frère, puis l’avala avec

Un peu de café. Sur le coup elle ne sentit rien, mais à peine elle se retourna vers la table pour continuer les révisions qu’elle sentit une chaleur intense la parcourir. Une intense énergie l’envahie, des pieds à la tête, elle retira son pull pour rester en top.

-         OH ! wouah ! sa donne la patate ton truc dit-elle d’un ton énergique

-         Et oui, on va pouvoir démontrer que Pythagore n’est pas terrien.

Une heure passa et finalement ils n’avaient pas avancé plus, le coté euphorisant du

cachet, avait déridé l’atmosphère, Diana avait admis la possibilité que Pythagore été extra terrestre. La bière que Martin avait réservé pour plus tard se vidait dans deux verres alors que la pluie tomber  toujours autant. Il était clair, qu’il ne pourrait pas sortir ce soir, de plus le mardi soir il n’y avait pas grand-chose a faire à torrington. L’ambiance était hilaire, car Martin, délirait sur le monstre de l’égout, un monstre puant et recouvert de déchets, le plus drôles était le faite que Diana riait à ses bêtises. Elle demanda :

-         Tu crois qu’il y a une madame monstre de l’égout ? Haha !

-         Sûrement mais, elle doit gratiner ! hihihi

-         Pas besoin de lui lécher le cul pour sentir de la merde hein martin!

-         Ahhahah ! Ouai! Mais alors si, il lui bouffe la chatte il doit avoir la nausée. Et toi… tu aime qu’on te lèche l’anus ? dit Martin

-         Euh… Comme un peu piégée, elle répondit en rougissant, j’adore !

L’ambiance avait changé, plus silencieuses, mais beaucoup plus chaude.

-         Désolé mais il n’y a plus de bière, dit martin ! bien dix cannettes, gisait au sol

-         je crois qu’il me reste un truc dans un placard

Elle fouillât dans un placard et sortit une bouteille de moelleux blanc français.

-         C’est un coteau de Faye, pays d’Anjou dit Sandra, c’est une copine qui me l’a envoyé de France, il parait que c’est délicieux.

-         Tu es sur, c’est du bon vin et tu préféreras le boire avec un copain !

-         Non, je vais le boire avec mon frère que j’aime ! Elle rougit de nouveau en servant deux verres.

Ils burent un premier verre, qu’ils trouvèrent excellent, un vin très liquoreux. C’est

Martin qui  eu chaud, il retira sa chemise pour être en tee-shirt. De plus le chauffage central se mit en route, les regards se croisés et une tension bizarre s’installa. Diana qui commencé un deuxième verre et avait servit martin, défit le bouton de son pantalon.

-         Qu’est que tu fais ? Dit Martin ! ben, j’ai chaud, et… tu as déjà vue mes jambes quand même

-         oui c’est vrai, mais j’ai cru que…

-         Quoi Martin ? Non ! Rien !

Elle était maintenant en petite culotte rose et en top blanc qui laissé deviné des beaux

Seins ferme et sans soutien-gorge.  Ses formes n’étaient jamais apparues aussi sexy à son frère, ses longues cuisses, ses mollets fins et musclés. Sa culotte l’a serrée, marquant ses fesses pulpeuse et ferme. A la moitié de la bouteille Diana se laissa tomber sur son lit, Martin été assis sur une chaise face à elle. Diana sur le dos, son pubis se dessiner sur, le fin bout de tissu.

  -         Dit moi Didi ! Tu me disais tout à l’heure, que tu aimé qu’on te lèche le cul ! Mais tu aimes aussi quand on te bouffe la chatte ? Dit Martin, assez rapidement mais avec une certaine assurance.

-         Euh ! C’est vraiment agréable, quand un mec te fait le gazon ! Il faut être honnête ! Mais,  s’il veut me faire très plaisir je veux qu’il passe sa langue aussi par derrière. Répondit sa sœur, doucement mais sans le moindre regret, une lueur dans son regard et ses pommettes un peu rougies trahissait son excitation.

-         Tu veux bien que j’essaie, de…

-         J’ai cru que tu le demanderais jamais… Elle sourit et posa  son verre sur la table de chevet

Elle se leva pour retirer son top, ses seins été ferme et ses mamelons bruns pointés, puis

Elle se remit sur son lit à quatre pattes. Ses fesses dirigées face à Martin, celui ci avait retiré son polo et son jean’s. Martin approcha du lit en caleçon  et s’agenouillât au pied du lit, derrière Diana, son excitation le bouleversait, bien plus que quand il chassait les extra terrestre.

-         Qu’est ce que tu attends ? dit Diana en retournant sa tête vers lui

-         Ben, j’ai un peu le trac, c’est la première fois que je vais lécher des fesses, et ce sont celles de ma sœur.

-         T’inquiète pas ! Martin, je vais pas te manger avec mon cul, glisse tes joues profondément dans mes fesses et enfonce ta langue le plus loin que tu peux ! Elle dit ça si gentiment mais si énergiquement qu’il s’activa immédiatement.

Il fit descendre la petite culotte de Diana le long de ses cuisses et elle se cambra pour

Mieux offrir sa croupe. De ses deux mains Martin écarta ses fesses  et commença à approcher sa tête des fermes rondeurs de sa sœur. Un magnifique soleil rosé apparu à ses yeux, dessous les lèvres épilées de sa vulve brillait. Elle avait posé sa tête sur un coussin et en sentant les mains de son frère sur elle, un frisson l’a parcourut. Martin fit glisser le bout de sa langue entre ses fesses, partant du bas pour remonter vers son anus. Il fit parcourir sa langue en rond autour de l’anus sur excité, puis enfonçât sa langue profondément dans celui-ci. Diana, appréciée clairement ses caresses, encourageant son frère a continué. Elle ondulait, son bassin et jouissant abondamment et verbalement. Martin sentait bien les contractions qui battaient dans la fleur de sa sœur, il avait la queue en feu qui sortait de son caleçon, sa langue communiée avec le cul de Diana. Il commença à caresser sa chatte et elle ne bronchât pas le moins du monde, ses doigts glissés entre ses lymphes humides et brûlantes.

-         C’est bon Martin ? dit en râlant Diana

-         Oui! Délicieux !

-         Tu aimes, mon cul ?

-         Je l’adore sœurette.

-         Fais couler du vin entre mes fesses et bois le si tu veux!

Il prit la bouteille sur la table de chevet et se remit à léché le cul de Diana, tout en y

Faisant couler le vin. La couleur jaune du vin rappelée le pipi, mais l’alcool fruité s’y buvait tout seul. D’un coup il se releva, il approcha le goulot près de son anus, l’y frottant et y renversant quelque lichée de vin. Diana continuée à râler de plaisir  et quand martin commença à enfoncer celui-ci dans son anus, elle eut le souffle coupée. Mais elle ne protestée pas, toute la partie haute et fine de la bouteille était entrée en elle, Martin l’a faisait aller et venir et du vin coulât dedans. Quand il essaya d’enfoncer la bouteille plus loin elle protesta :

-         C’est trop gros… Martin, ça fait mal !

-         Attend ! ! ! juste un...Peu plus !

-         D’accord… ha …mais après tu me laisse faire ce que je veux !

-         ok !

Il enfonçât la bouteille presque jusqu’a la partie la plus large, mais l’anus de Diana ne

Pouvait pu se dilater. Alors il retira la bouteille vide.

-         Qu’est ce que tu veux faire ? dit Martin

-         Allonge-toi ! Sur le lit, tu m’as rempli de vin ! Hein ! Alors tu va le boire maintenant.

Elle se mit assis au-dessus de son visage, assoyant son anus sur la bouche de son frère.

 

-         Lèche-moi Martin !  Enfonce ta langue dans mon cul dilaté. Ordonna Diana

Il lui lécha bien profondément le cul, s’abreuvent d’un vin  français légèrement modifié. Diana

Se masturba avec deux doigts, ondulant sur le visage de son frère. Le temps passa, la pluie tombait toujours aussi et couvrait les râles de Diana de nouveau à quatre pattes. Elle se faisait prendre en levrette, la queue de Martin dur comme du béton défoncer son vagin inondé. Il l’avait vraiment grosse et il se gêné pas pour secouer sa sœur.

-         Tu prends la pilule ? dit martin au bord de l’explosion

-         Oui ! T’inquiète pas ! Ahaaa ! ! !Argh…  Je suis protégé, inonde-moi…

Dans de lourdes saccades, il éjacula abondamment, son jus blanc débordé  de tout les cotés.

Touts les deux étaient contracter par un orgasme commun  et tombèrent ensemble dans les draps suaves. Bizarrement ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. Le matin au réveil il se réveillèrent face l’un a l’autre ?

-         AAAAAHHHHHHHH…… qu’est que tu as fait MARTINNNN… je vais te tuer !! Elle commença à l’étrangler, puis à le rouer de coups.

-         Mais je ne sais pas ce qu’il s’est passé Diana je te le jure ARRHHH…

Les mains de Diana étouffées son frère, la rage lui fit oublier quel été encore nu sur son frère. Elle fulmine de rage, comment il avait pu lui faire ça. Bien une heure se passa avant que Diana arrêta d’essayer de tuer son frère, ils étaient enfin habillés et réfléchissaient

-         Montre-moi le flacon ! Terrorisé, il osa pas, bougé! DÉPÊCHE toi martin, qui fit roulait le flacon sur le sol, il ne risquera pas de s’approcher ! alors Diana lut, attention ceci est un médicament pour les Armuliens, chez l’humain il peut entraîner des effets plus longs que souhaitable, sur 7 jours environ

-         Je te l’avais dit ! Dit doucement !

-         Tu as pas lu la suite ? dit Diana

-         Ben non !!

-         Idiots, alors… attention important, il recommander de ne pas prendre d’alcaloïde avec sous danger de trouble lourd, désinibition total des patients, perte de la raison ou de conscience, annulation des effets anti-sommeil du produit. Tu es vraiment nul ! Martin ! Je ne veux plus jamais te voir !

-         Mais Diana, je m’en veux mais, tu sais j’ai aimé ce qu’on a fait ce soir… un long silence tomba avant que Diana répondit.

-         Bon ! On oubli et on en reparle jamais, on continue à travailler pour "Mom" et c’est tout ! ok

-         Oui Diana, merci ! je t’adore

-         Attention Martin, Attention, son visage été ferme mais dans ses yeux la même lueur brillait que lorsque-ils commencèrent, cette folle nuit.

 Elle partit mais lui fit une bise sur la joue, et dit :

-         Oubli pas que tu as un examen d’algèbre, dans dix minutes! Elle sourit enfin et courut dans le couloir, se fut le visage de martin qui se ferma, pensant qu’il n’avait pas révisé tous les chapitres.

A suivre…

  Ch-d

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