On pardonne | ||
Réalisateur: Paul Tergest |
Lien Deezer : |
Scénario :
Par cette belle nuit sans lune, mon cœur est empli de rage et de tristesse. Une
fois de plus, je suis enfermée dans ma chambre, pendant que mes parents
s’engueulent une fois de plus…
Même si ma naissance n’a jamais égayé la vie de mes vieux, j’aime à
penser qu’ils ont pris du plaisir à me concevoir. P’t’être qu’il l’a
trouvée belle ? Elle a dû l’embrasser ? Tous deux ont du croire à une étincelle….
C’est p’t’être con, mais pour moi, c’est important d’y croire…
J’ai jamais demandé à naître, mes parents m’ont toujours considéré
comme un problème. Que j’étais à l’origine de leurs problèmes…
Même mon prénom, Maëlla, fut source de conflit...
Une fois de plus, ce soir, mes parents se déchirent, s’insultent, se font des
repproches, … Je les ai toujours vu ainsi. Je souhaiterais disparaître pour
ne plus les entendre…
Heureusement que j’ai mes amis en dehors du cocon familiale, que j’aspire à
autres choses, que la musique m’aide à m’échapper de mon calvaire
quotidien, …
Avec le temps, on finit par comprendre !. Qu’on est pas des mauvais, ni
innocent, ni coupable. On grandit, on finit par s’en sortir. Et un beau jour,
on pardonne…
Sortie le 01 janvier 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Internet : Le renouveau de la fin | |
Réalisatrice : Virginia Feldman Acteurs : Sebastian Glau / Gwendolyn Chant / Joel Nicotero / Morena Troughton / Eva M'Gonfler / Alisa Torkildsen |
Scénario :
Shiryu est un jeune homme dans la force de l’age, un beau garçon avec pleins
de projets dans la tête, et une vie personnelle et professionnelle comblée.
Mais ce matin là, le jeune informaticien ne se présente pas au bureau…
Kitana, l’une de ces collègues, inquiète de ne pas le voir à son poste, se
rend à son domicile. Trouvant la clé de l’appartement planqué dans un pot
de fleurs, elle se permet de rentrer dans le studio. Sa curiosité fut vite récompensée,
elle croit voir furtivement l’ombre de Shiryu se déplacer. Quand elle accourt
dans sa direction, avec effroi, elle découvre le pauvre homme pendu dans un
coin de la pièce. A priori un suicide…
Une fois ces esprits retrouvées, elle ausculte un peu la pièce, et trouve un
CD avec un mystérieux mot…
Rentrée à son domicile, et espérant trouver les raisons du geste malheureux
de son ami, elle introduit le CD dans son PC, afin d’en lire le contenu. Une
fois de plus, sa curiosité fut mal récompensée, son écran n’affiche que le
reflet de son appartement, avec Shiryu en saccadé se baladant dans la pièce…
Le CD contient un virus extrêmement puissant, qui se propage à travers touts
le réseau informatique nippon, puis contamine le reste de la planète. Ce virus
ne dégrade pas le matériel informatique, mais influx sur le comportement des
gens, avec des graves conséquences…
Ces investigations l’ont amené à une réponse : Un immeuble, à Tokyo, fût
détruit par une explosion, due à une fuite de gaz. Tous les résidents périrent
dans cette catastrophe. Mais les âmes damnés, cherchant vengeance et rédemption,
s’infiltraient dans le réseau informatique via un modem qui fonctionnait
encore…
Dans tout le pays, des gens disparaissent, d’autres se suicident, commettent
des actes irréparables, …
Comment Kitana, va-t-elle survivre à cet apocalypse annoncée ? ?
Sortie le 08 janvier 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Trilogie gay - Volume 1 | |
Réalisateur : Paul Tergest |
Scénario :
Dimanche soir, Yvan (Peter
Miller) termine de faire sa valise. Il est tout contant, car il part demain,
avec sa classe, passer les vacances d’hivers à la montagne. Pour une fois, il
pourra dissocier son anniversaire de Noël, car il aura 17 ans le 27 décembre.
Et compte bien le fêter ! !
Lundi matin, 4 heure. Le réveil est dur ! Le père d’yvan l’emmène au
point de rendez-vous, afin de prendre le bus. Il y rejoint son groupe d’amis,
et particulièrement Mathilda (Elisabeth
Berger), avec qui, il entretien une relation amoureuse…
Tous ces ados montent dans le car, et s’assieds comme sur un échiquier, avec
une certaine hiérarchie. Ce qui veut dire, que naturellement, les p’tits
branleurs se mettent toujours au fond. Et ce blondinet (Raoul
Chant) avec son air supérieur et arrogant, qui se met bien au centre des sièges
au fond…
Le voyage se passe bien, à part, quand même quelques interventions des profs.
Arrivé à destination, tout ce petit monde déballe leurs affaires dans les
chambres respectifs. Naturellement, Yvan & Mathilda ne pouvaient se
retrouver ensemble…
C’est les profs qui ont placé les ados par 4 dans les chambres, pour éviter
trop de débordements. Et Yvan se retrouve avec Hugo (le blondinet arrogant), et
2 autres camarades plus calme.
Et les jours passent, les activités s’enchaînent, sans le moindre incident.
A part, bien sur quelques pitreries d’Hugo (Raoul Chant), qui aime bien se
montrer. D’ailleurs, il aime bien se faire appeler le Boss, en référence au
célèbre parfum…
Ah ce fameux Noël, avec ces copains, Yvan festoie et s’amuse toute la soirée.
Et les 12 coups de minuit se transforment en un baiser langoureux avec Mathilda.
Et les activités reprennent dès le lendemain, jusqu’au 27, jour de son
anniversaire, pour une fois il aura pas ces cadeaux le même jour de Noël.
Donc ce fameux soir, Yvan, comme un peu tout le monde, sont assez excités et légèrement
éméchés. Certains d’entres eux ont fais passer de l’alcool dans le dos
des profs. Mais ces copains ont une idée derrière la tête, il pousse et
enferme Yvan dans une chambre, histoire de rigoler. Mais il se retrouve avec
Hugo, qui était resté là, un peu en retrait ce soir-là…
Yvan est trop soul pour essayer de sortir, puis décide de s’allonger sur son
lit. Il débute néanmoins la conversation avec Hugo. Pour parler, Hugo et Yvan
s’étaient rapprocher. Et la conversation aboutit sur sa relation avec
Mathilda, et Hugo demande si ils l’ont déjà fait… Yvan, gêné, bégaye et
tente de répondre. Mais Hugo, le regarde fixement dans les yeux, et commence à
caresser la joue du jeune homme ébahie et immobile. Puis Hugo, se rapproche
davantage, et ses lèvres se rapprochent de celles d’Yvan qui se laisse
faire…
Au petit matin, Hugo se réveille stupéfait, entrain d’enlacer Yvan avec ces
bras, il se lève aussitôt, s’habille, et part de la chambre.
Plus tard, Yvan subit le dédain et le mépris d’Hugo. Il comprend pas,
c’est Hugo qui est à l’origine de cette nuit. A-t-il honte de ce qu’il a
fait ?
Comment vont se terminer les vacances d’Yvan ??
Sortie le 15 janvier 2011 | Lien Cinejeu |
Idée inspirée de certains courts-métrages "Courts mais gay". |
Trilogie gay - Volume 2 | |
Réalisateur : Paul Tergest |
Scénario :
L’adolescence insouciante est bien loin. Yvan
(Peter Miller) à grandit, et a maintenant 22 ans. Il s’occupe du réseau
informatique dans une grande boite d’expertise comptable. Sa vie est rythmée
par son boulot, ses virées en boite, et la tournée des bars…
Il ne revoit plus Mathilda (Elisabeth Berger), avec qui il à rompu. Suite à
cette fameuse semaine à la neige, il découvrit son homosexualité, et au fil
du temps, finit par l’accepter. Seul ces amis connaissent son orientation
sexuelle.
Lors d’un de ces fameux soirs, où il se trémousse sur la piste de danse, il
entrevoit une ombre furtive se fondre parmi toutes les personnes présentent
dans la discothèque. Curieusement, une sensation bizarre l’envahit, et Yvan
pense connaître cette ombre. Il quitte le dancing floor, et prend place sur le
canapé, prêt de cet inconnu. Très vite, ils se reconnaissent mutuellement, il
s’agit d’Hugo (Raoul Chant) ! Ils ne s’étaient pas revu depuis les
années lycées…
Ces 2 âmes égarés commencent la discussion, et se balance les banalités
habituelles (Qu’est ce que tu fais dans la vie ? Ou habite tu ? Es-tu célib ?
…). Puis de fil en aiguille, ils finissent dans l’appart d’Hugo. Car ce
dernier, a aussi finit par accepter son homosexualité, et en ce qui le
concerne, tout le monde est au courant, amis, famille, boulot, …
Chez Hugo, la nuit est chaude et langoureuse, les draps sont trempés de sueurs,
ils ne perdent pas une minute de cette nuit agitée…
Les jours se suivent et se ressemblent plus pour Yvan, tous deux se retrouvent
régulièrement, un coups chez l’un, un coup chez l’autre… Une nouvelle
idylle nais entre deux anciens amants ennemis.
Yvan veut faire son come-back à ses parents, et veut présenter son nouveau
petit copain à ces derniers.
Comment sa famille va prendre la nouvelle ? Quelles vont être les conséquences
sur sa relation amoureuse avec Hugo ? Si cette relation se poursuit…
Sortie le 22 janvier 2011 | Lien Cinejeu |
Idée inspirée de certains courts-métrages "Courts mais gay". |
Trilogie gay - Volume 3 | |
Réalisateur : Paul Tergest |
Scénario :
Il neige à gros flocons par la fenêtre, un épais
manteau blanc à recouvert toute la ville. Mais Yvan (Peter Miller) ne peut
profiter de ce spectacle, il est immobilisé sur son lit d’hôpital. Hugo
(Raoul Chant), à coté, tient sa main, et tente de se persuader que demain sera
mieux.
Il repense à l’origine de ce drame, quand tout deux sortant de boite, se font
agresser par une bande de jeunes bourrés. Lorsque les provocations se
transformèrent en violence physique. Quand un des jeune prend une planche qui
traînait, et assène un violent coup à Yvan. Se dernier s’écroula au sol,
assommé, se fracassant d’avantage le tête contre le goudron…
Cela remonte à 2 semaine qu’Hugo est dans le coma, suite à un traumatisme
crânien. Il oscille entre la vie et la mort, mais les médecins sont guères
pessimistes. Il ne répond plus à aucun stimulis, seuls des tuyaux permettent
de le maintenir vivant…
Une petite fille (Kristen Lynch) vient régulièrement rendre visite à Yvan, et
en prendre des nouvelles auprès d’Hugo. Elle a une maladie orpheline, et ne
peut quitter l’hospital. Alors pour s’occuper, rend visite aux autres
malades, et s’est pris d’admiration pour ce couple gay…
Hugo contemple avec émotion et pitié l’état végétatif de son ami. Il
repense à ces 3 années de vie commune depuis leur rencontre en boite. Les
hauts et les bas de leur vie de couple. De son intégration difficile dans la
famille d’Yvan…
Mais Yvan donnait très peu de signe de vie à ces parents. D’ailleurs Hugo,
doit les voir aujourd’hui, pour leur remettre des effets personnels. Dans l’appart
du couple, la mère d’Yvan voit un paquet qu’elle avait envoyée pour
l’anniversaire de son fils, et que ce dernier n’avait pas encore ouvert. En
quittant le studio, la mère remet le paquet à Yvan, car, dit-elle, tu peux en
avoir besoin… Quand au père, froid et distant, il lui dit clairement qu’il
ne souhaite plus le revoir, même dans ces moment difficiles…
Mais une décision terrible est à prendre, doivent-ils, oui ou non, débrancher
Yvan ?? Et enfin le soulager des turpitudes de ce monde impitoyable...
Sortie le 29 janvier 2011 | Lien Cinejeu |
Idée inspirée de certains courts-métrages "Courts mais gay". |
Elle pleure ma planète | ||
Réalisatrice : Gwendolyn Molchany |
Lien Youtube : |
Scénario :
Elle pleure, elle pleure ma planète. Pauvre Terre
que vous avez rendue folle. Elle sent que sa fin est proche, à cause de vous,
pauvres fous…
Aujourd’hui, j’ai de la chance, je suis encore là pour pouvoir admirer le
ciel. Mais pour combien de temps ? L’air pure que je respire actuellement se
fait si rare, que même les clebs en ont marre de respirer cette merde à plein
poumons…
Elle pleure ma planète par votre ignorance et votre insolence. Nos conditions
de vie ne feront que de se dégrader, parce que quelques petits cons veulent
gagner des millions…
Nous paierons tous chers notre mépris de Mère Nature. Les frontières de nos
cartes n’y feront rien, que vous soyez français, américains, russes ou algériens,
nous acquitterons de notre vie notre audace…
La Terre en a ras le bol de nous, elle sent que sa fin est proche. La Terre va
se rapproprier la nature, déchaînera sa colère contre les pauvres diables que
nous sommes…
Elle pleure ma planète, ses larmes se transformeront en flots destructeurs. On
donnera des noms à ces colères. On sera la cause de nos prières, et on aura
raison de nos cimetières.
Sur la petitesse de notre espèce, s’abattront les foudres d’une planète,
qui veut se débarrasser de vermines polluant son atmosphère…
L’homme à fait de l’homme cette chose sans vie, et la Terre en a ras le
bol...
Elle pleure, elle pleure ma planète…
Docu-fiction raconté par 2 enfants de maternelle.
Suite à un projet élaboré par l'école, consistant à les sensibiliser sur le
devenir de la planète…
Sortie le 05 février 2011 | Lien Cinejeu |
Un artiste à découvrir... |
Le jeune homme translucide | |
Réalisateur : Klaus De La Boulaye |
Scénario :
Jonathan est un jeune homme sans histoire, un peu
trop sans histoire… Depuis son enfance, personne ne fait attention à lui.
Etant un enfant de la DDASS, il trouvait ça normal. Et en grandissant, sa
non-présence par ce monde, alla à son paroxysme dès son 20ème
anniversaire…
Il avait l’habitude que personne ne fasse attention à lui, mais c’était de
pire en pire. En son fort intérieur, Jonathan sentait que quelque chose
clochait. Et chaque matin, dans son miroir, il se voyait disparaître au fur et
a mesure que les jours avancèrent. Il ne disparaît pas qu’aux yeux des
autres, mais aussi à ces propres yeux. Il devenait invisible !
Dans un premier temps, il ne sortait pas de chez lui. Il était affolé, effrayé,
il avait peur de mourir, de disparaître tout simplement. De disparaître comme
il est né, sans que personne le sache… Jonathan resta cloîtré à son
domicile pendant les premiers jours de son aspect fantomatique.
Au bout de 3 jours, Jonathan se ressaisit ! A priori, ça ne va pas le tuer ! il
tente alors quelques sorties, histoire de voir la réaction des gens. Mais malgré
toutes ces pitreries, personne le remarque. Les gens lui rentre même dedans, vu
que personne le distingue. Et même ça, ça ne lui était jamais arrivé…
En fin de compte, Jonathan à une révélation ! Son invisibilité est une bénédiction.
Et va s’en servir contre ce monde qui l’a toujours exclu…
Retrouvez Jonathan, qui est devenu invisible, et qui va assouvir les plus bas
instincts de l’espèce humaine, afin de se venger des autres…
Sortie le 12 février 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Il venait d'avoir 18 ans | ||
Réalisateur : Paul Tergest |
Lien Youtube : |
Scénario :
(Ron Taufen) Dans la boite gay que j’ai
l’habitude de fréquenter, une amie (Lou Fishburne) me présenta l'un de ces
copains (Charles Lathan). Ce jeune homme séduisant, était à la fois beau
comme un enfant et fort comme un homme. Autour d’un verre, nous avons fais
connaissance. En cette nuit d’été, il me raccompagna à mon domicile.
Devant mon miroir, je me suis repeigné, mis un peu d’eau sur mon visage. Bien
évidemment, ça l’a fait rire. Mais quand il s’est approché de moi,
j’aurais donné n’importe quoi pour le séduire…
Ce jeune étalon venait d’avoir 18 ans, et c’était le plus bel argument de
sa victoire. Il ne connaissait pas l’amour, et ne m’en a pas parlé. Pour
lui, tous ces sentiments sont dérisoires.
Il m'a dit : « J'ai envie de toi », comme il avait vu dans certains films
porno. Et au creux de mon lit, j’ai découvert, émerveillé, la sensualité
de son corps. Du haut de ces 18 ans, il était presque insolent de certitude.
Et pendant qu'il se rhabillait, affalé sur mon lit, vaincu, je retrouvais ma
solitude. J'aurais voulu le retenir, et je l'ai laissé partir sans faire un
geste. Il m'a dit : « Que c’était pas si mal », avec la candeur infernale
de sa jeunesse.
Après son départ, j’ai refait un brin de toilette. Et en me regardant une
nouvelle fois dans le miroir, je constata que j'avais oublié tout simplement
que j'avais deux fois 18 ans…
Sortie le 19 février 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
L'agrafeuse tueuse | |
Réalisatrice : Gwendolyn Molchany |
Scénario :
Sur la place du village, une étrange cérémonie
se déroule. Au centre de cette attroupement de personnes, des flammes se
mettent à danser, tels des serpents au son d’un flûte. Les flammèche, tout
en gesticulant, dans tous les sens, lèchent le gibet de potence, placé au
centre de ce rituel…
Nous sommes le 26 février 2015, et une femme d’age mure, s’apprête à être
brûlée vive, par ces concitoyens. Cette dernière a été dénoncé par son
voisin, le respectable baron Nikolaï Ysokras, pour sorcellerie.
Même à cette époque, de telles pratiques sont monnaies courantes, et ça ne
sera qu’une sorcière en moins parmi tant d’autres…
Malgré les tortures qu’elle a subit, sous la direction du Baron. Malgré ces
jambes qui commencent à prendre feu, sa chair ainsi fondre et se carboniser…
Cette pauvre femme trouve néanmoins la force de psalmodier les convives à
cette fête morbide, et particulièrement le baron…
La condamnée pécheresse utilise ces dernières ressources afin de lancer un
sort sur la foule. Les forces l’ayant quittée, une simple étincelle verdâtre
s’échappa de son corps, et s’échouât quelque part sur la place. Attiré
comme un aimant, c’est un petit objet qui attira le sort de la sorcière. Il
s’agit tout simplement d’une agrafeuse ! Objet qui a dû tombé ici par
hasard…
Cet objet inanimé ne le restera pas longtemps, et une forme d’intelligence
prend forme en lui. Il n’a qu’une mission : liquider tout les habitants de
cette bourgade, et surtout le baron…
L’agrafeuse commence sauter au coup des personnes aux alentours, et à leur
agrafer les jugulaires… Et comme par magie, l’agrafeuse se recharge
automatiquement…
Découvrez le parcours d’une agrafeuse qui cherchera à venger la femme qui
lui a donné vie...
Sortie le 26 février 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Mon incroyable anniversaire, chez les pauvres | |
Réalisateur : Klaus De La Boulaye |
Scénario :
Dans quelques jours c’est mon anniversaire !! Et
une équipe de MTV a décidé de consacré une de leurs émissions à cet événement.
Ca sera la fête la plus démente que le Brésil est connue.
Pour commencer, je m’appelle Roberto, et je vais fêter mes 16 ans. Vu que mes
parents n’ont même pas les moyens de m’acheter la moindre bougie, je vais
me débrouiller avec les moyens du bord.
Avant tout, je vais choisir l’endroit idéal. Tiens ! Ca sera ce terrain
vague, où se déversent les eaux usés. C’est le plus grand endroit du
bidonville que j’ai pu trouvé. D’ailleurs, j’y ai mi un écriteau
interdisant quiconque d’y faire un foot, ou de s’y rendre… (Excusez pour
les fautes d’orthographes, mais j’ai jamais connu l’école…)
Maintenant, que j’ai choisi le lieu de festivité, je vais faire des
invitations pour les copains. Je peux au moins inviter 200 ou 300 personnes. Réflexion
faite, non ! Je les inviteraient oralement. On a même pas de papiers pour
s’essuyer le cul, alors faire des invit’…
Waouh ! La classe ! Une moto ! Ca va épater mes potes ! Certes, elle date des
années 40, mais personne en a ici… Quand ils vont me voir déambuler à
travers les Favelas pour les inviter, ils vont halluciner grave !!
Toujours des casses-couilles pour vous pourrir la journée. Eux, je les
inviteraient pas ! Ils ont qu’à se faire kidnapper par la Mafia locale… Au
lieu d’assister à MA fête, ça sera la leur…
Je veux que mes convives soient tous bien habillé ! Enfin…euh… qu’ils
aient au moins une culotte.
Le jour de mon 16ème anniversaire approche à grands pas, reste quelques préparatifs
à faire. Comme toujours je ne peux pas compter sur la famille, enfin ce qui en
reste… Ma mère à attraper la Syphilis et autres saloperies en faisant le
trottoir, mon père… euh… pas connu, et ma sœur complètement amorphe avec
la coke.
Ca y’est, c’est le grand jour, c’est le grand soir !! Ca va être une teuf
démentielle. Chaque invité a emporté de quoi se restaurer, piquer à droite
et à gauche. Sans oublier les poubelles et trocs au noir.
La nuit va être torride sous la chaleur écrasante du brésil.
C’est mon incroyable anniversaire !!
Sortie le 05 mars 2011 | Lien Cinejeu |
Nouvelle parodie d'une émission de MTV... |
Porno Star Academy | |
Réalisateur : Klaus De La Boulaye Acteurs : Raoul Chant / Rose Flanagan Interdit au moins de 18 ans (sauf si vous voulez vous éduquer…) |
Scénario :
Voici une nouvelle émission présentée par Nick
Emoi.
Le principe est très simple, il s’agira de faire ressortir un couple gagnant
ayant les mêmes affinités.
Pour commencer, un casting de différents candidats entre 18 & 25 ans,
filles & garçons, sera réalisé. Ils vous feront part de leur plus bel
organe. Pour donner du piment au jeu, les personnes castées et sélectionnées
seront hétéro, bi & gay.
Bien évidemment, vous pourrez voire les éliminatoires à la télé, sans
censures. Les candidats se mettront « à nu », ils feront voir leurs attraits
psychologiques et physiques.
A l’issu de ce casting, seul 5 filles et 5 garçons seront retenus.
Les candidats chanceux seront hébergés dans un manoir. Seuls 3 chambres de 3
lits seront disponible. Les candidats se mettront ensemble selon leurs
attirances respectifs, filles & garçons mélangés. Si vous savez compter,
cela fait 9 lits. Le candidat n’ayant pas trouvé de chambre se verra
éliminée du jeu.
Les journées seront ponctués de cours, comme l’art de la drague, connaître
le Kamasutra, les bonnes manières, … Et de défis, afin de partager les
jeunes gens.
Les soirées feront place au libre cours des idées des candidats. Ceci afin de
mieux se connaître. Le gel & les préservatifs sont fournis par la
production. Vous pourrez suivre les ébats (à 2 ou à 3) via nos caméras
infrarouge.
Au bout d’une semaine, un membre de chaque chambre sera exclu de l’aventure
par ces colocataires. Et ces derniers devront redéfinir leurs lits dans 2
nouvelles chambres de 3 lits.
Encore 1 semaine après, 2 nouvelles personnes se feront jetés de leurs
chambrées. Et les 4 derniers candidats se verront partager la même chambre de
2 lits superposés.
La semaine suivante, se sont les téléspectateurs qui élimineront 2 des 4
candidats. Et ça ne sera pas forcément en faveur des candidats…
Les 2 derniers survivants de l’aventure devront consumer l’acte originelle
entre eux, afin de gagner la somme mise en jeu. Et ceci en Prime-Time...
Sortie le 12 mars 2011 | Lien Cinejeu |
Parodie de... |
Tex | |
Réalisateur : Sean Hoskins |
Scénario :
Tex (Weston Lynch) est un gars heureux. Il a tout
réussi dans la vie, mais c’est un célibataire, et un don juan
incorrigible… Il ne pense qu'à s'amuser et à draguer tout ce qui bouge. Rare
sont les filles qui lui résiste...
Tex fréquente le MGM's Bar, une brasserie très réputée et très branchée,
également très huppée. Comme tous les vendredis soir, c'est diner spectacle.
Pour ce vendredi, le patron à décidé de mettre en avant une jeune chanteuse (Jewell
Lillard) totalement inconnue du public, et très prometteuse.
Lorsque Tex s'assoit à sa table habituel, en face de la scène, il en croit pas
les yeux ! Cette nouvelle chanteuse fait son apparition. Quelle bombe ! Quelle
classe ! Quelle somptueuse créature…
Pendant qu’elle chante, qu’elle se déambule, qu’elle se trémousse devant
l’assemblée hébétée, Tex à le cœur qui bat la chamade. Il se met a
cogner du poing sur la table au rythme des paroles de cette splendide girl. Il
se met à la siffler comme un loup enragé.
Gênée, cette créature si frêle dans sa tenue blanche légère, avec des
cheveux roux flammes, ne peut s’empêcher de rougir… Mais reste
professionnelle dans sa chorégraphie !
Mais comment Tex peut résister à des yeux bleus aussi perçant, à ce charisme
exceptionnelle ? Malgré les avances plus que provocante de ce client
indélicat, la jeune fille reste impassible...
A peine le piano tût, que Tex s’empare de la belle, et la force à monter
dans sa limousine.
Le shérif du conté était aussi au restaurant, à admirer ce spectacle
époustouflant. Mais à la rapidité du rapt, il ne put réagir à cet odieux
enlèvement. D’ailleurs, c’est pas un shérif très alerte, avec sa mine de
chien battu.
Il est néanmoins le seul homme de loi, et tous les citoyens ont un grand estime
de sa personne. En tout cas, c’est le seul à pouvoir secourir la demoiselle
en détresse, des griffes de se présomptueux Tex....
Sortie le 19 mars 2011 | Lien Cinejeu |
Fan de Tex Avery... |
Les mystérieuses cités d'or | |
Réalisatrice : Barry Hunter Acteurs : Ron Taufen / Laura Taufen / Virginia Winstone / Christopher Erotas / Yvan Ohé / Sergiot |
Scénario :
Depuis l’année 3042, la Terre n’est que ruine et désolation. Les différentes
civilisations se sont enchaînées pour mieux se détruire…
Les avancées technologiques ont sonnées le glas de la race humaine sur la planète.
Seuls quelques survivants vivent terrés dans des villes fantômes. D’autres
ont pris le large à travers les différents systèmes solaires, afin de fonder
de nouvelles colonies…
Mais du fin fond des méandres de l’univers, surgit une nouvelle menace qui
pourrait mettre un terme à l’humanité. Comme si cette dernière n’avait
pas suffisamment à faire avec les différentes races nouvellement découvertes
à travers les galaxies…
La légende veut qu’il fut créer par l’Enfer. Son aspect cadavérique et
squelettique lui conféra le surnom de Skelétor. Il maîtriserait la plus
grande magie, et disposerait de milliers de vaisseaux spatiaux près à tout détruire
leurs passages…
De retour sur Terre, dans une des ces bourgades sous-terrainnes, Ken, accoudé
au comptoir d’un bar miteux, repense à sa gloire passée en tant que champion
interplanétaire d’arts martiaux.
Un groupe d’individus, à l’aspect mi-humain, mi-animaux, rentrent dans le
bar. Ils s’agit de prophètes à la recherche d’un individu bien
particulier. Leur chef, Starlion, ouvre un vieux parchemin rempli de
pictogrammes, et l’image d’un homme. En tout point, la caricature ressemble
à Ken.
Ce groupe tire Ken de son comptoir, et l’emmène à l’extérieur. Starlion
explique son geste. Selon la prophétie, Ken serait le garant de l’humanité
contre une menace encore inégalée…
Toujours selon la prophétie, Il faudrait retrouver 7 boules de cristal éparpillés
aux 4 coins de l’univers. Une fois réunis, les boules révèleraient
l’existence d’une galaxie lointaine. Cette galaxie serait le résidu de 2
soleils s’ayant entrechoqués, l’explosion aurait fait naître plusieurs
nouvelles planètes à l’aspect dorées. Une très ancienne civilisation y
aurait construit des cités avec les roches dorées des dites planètes, et
serait la seule à combattre le mal à venir. Il serait question de chevaliers
avec des pouvoirs incommensurables, et avec des armures indestructibles représentant
des constellations, des dieux, …
Ken, espérant retrouver sa gloire d’antan, accepte cette mission prophétique.
L’aventure commence plutôt bien, l’une des boules se trouve sur Terre. Le
hic, c’est qu’elle se trouve dans la cité interdite et très bien défendu
du milliardaire excentrique et déséquilibré Matt Trakker. Il a réussi à
assouvir une partie de la population grâce à une technologie piquée d’une
autre planète. Ces véhicules peuvent se transformer à volonté.
Pour ce faire, Ken fait appel à un vieux pote, Edgar. Un virtuose de la
cambriole, un as du vol sans effraction…
Pendant qu’Edgar pare dérober la précieuse boule, Ken se cherche un vaisseau
galactique pour rechercher les autres boules.
Il commence par trouver dans son bar habituel, un vieil homme aigri, emmitouflé
dans un long manteau, et ne découvrant jamais sa capuche. Il s’agit du
capitaine Flam. Mais cela fait des décennie qu’il n’a pas piloter un
vaisseau. Des batailles, il en a vécu, il en a gagné… Pour Ken, Flam reste
le meilleur, mais n’a plus de vaisseaux…
Tous deux demandes à un ancien compagnon d’arme de Flam, de faire parti du
voyage. Cet homme est devenu un mercenaire, un brigandier, … Mais au moins, il
possède un vaisseau : L’Atlantis !
Edgar revient, avec quelques équimoses, auprès de Ken et de ces nouveau
compagnons. Il a réussi à récupérer la boule de cristal. Sur cette
boule figure 3 petite étoiles, et une écriture méconnue.
Tout ce petit groupe embarque à bord de l’Atlantis, en direction de la
galaxie Odysséa. Afin de trouver un vieil ermite, le seul capable de traduire
ces quelques mots. En ce 31ème siècle, c’est le seul linguiste encore en vie
capable de comprendre les anciennes écritures…
Cet écriture est, en fin de compte, que les coordonnées d’une autre planète,
où se trouverait une autre boule de cristal.
Pendant que Ken, avec son équipage part vers l’inconnue, Skeletor avait envoyé
des sbires à travers l’univers afin de préparer son invasion, et de
annihiler toute résistance.
L’un d’eux, Actarus, s’est donné pour mission d’exterminer Ken et ses
compagnons…
C’est ainsi, que Ken et ses amis accosteront sur une planète végétale dominé
par des être mi végétaux et mi animaux. Et ils devront affronter leur chef,
Diskor, et ses acolytes…
Que l’Atlantis devra tenter de s’extraire du champs d’attraction d’une
planète entièrement technologique. Planète où règne une intelligence
artificielle, guidé par des robots pouvant se transformer en toutes sortes
d’engins… C’était d’ailleurs ici que Matt Trakker avait dérober
certaines inventions pour construire ces machines !
Et ainsi de suite, 4 autres planètes seront à découvrir, afin de réunir les
7 boules de cristal. Une fois réunie, un dragon se formera et leur dévoilera
la destination de la galaxie promise.
Il faudra faire vite, car pour détruire le mal incarné, l’Enfer personnifié,
le temps est compté. Et déjà des galaxies sont tombés sous les hordes de
Skelétor.
Une fois la galaxie atteinte, et les mystérieuses cités d’or trouvées. Ils
devront réveiller les chevaliers endormis depuis des temps immémoriaux, afin
de sauver ce qui resterait de l’univers…
Sortie le 02 avril 2011 | Lien Cinejeu |
Les bons vieux mangas... |
Albert | |
Réalisateur : Klaus De La Boulaye |
Scénario :
Comme tous les jours de la semaine, Albert part
travailler à la Défense. Comme tous les matins, le métro est bondé, et il
est assez difficile de se faire une place, surtout quand il fait plus de 100kg.
Travaillez à la Défense, vous vous dites qu'il doit avoir un bon poste et un
bon salaire ! Détrompez-vous, Albert est technicien de surface pour un grand
groupe pétrolier de la Défense. Albert aime bien dire qu'il est technicien de
service à la Défense, c'est toujours mieux que d'affirmer d'être balayeur, ou
ramasseur de poubelles...
Après une journée harassante de smicard, Albert rentre dans son petit studio
de 14 m², sur les rotules. Il est 21h passée ! 3 heures pour aller bosser et 3
heures pour revenir, cela fait de sacrées journées !! Il va se chercher un
truc à bouffer à McDo, d'ailleurs vu l'heure... pas vraiment le choix. De
plus, une fois le loyer et les charges enlevés, c'est le seul truc qui lui
reste abordable pour bouffer...
En rentrant dans le hall de son immeuble, et en se goinfrant de son McMachin, il
ouvre sa boite aux lettres. Facture, facture, et euh... tiens ! Qui est-ce ? En
ouvrant l'enveloppe, il y sort un papier parfumé à la rose, avec une écriture
manuscrite distinguée...
Cette personne, à priori féminine, déclare l'avoir aperçu un soir dans la
rue, la semaine dernière, et l'avoir suivi jusqu'à chez lui. Et qu'elle l'à
littéralement flashé sur lui. Se sachant pas très beau et encore moins
baisable, il chiffonne la lettre et l'envoie à la poubelle. Encore des gamins
qui se foutent de moi, se dit-il...
Les jours passent, et cet incident est vite oublié. Mais il reçoit une 2ème
lettre du même type. Et les déclarations d'amour vont bon train. Il sait que
c'est des conneries, mais ça l'excite tellement qu'il va se soulager dans son
petit meublé. Pour une fois, ça changera d'un porno...
Albert se renseigne auprès de ces voisins, si ya des personnes louches qui
tournent autour de l'immeuble. Mais apparemment, personne ne correspond à ce
critère. Dépité, Albert se met en arrêt maladie, afin de guetter le hall de
l'immeuble....
Non ! Rien de suspect ! Son arrêt n'aura servi à rien... Et pourtant, il
continue de recevoir des lettres enflammées et ardentes. Sur celle-ci, une
p'tite nouveauté : un n° de téléphone !! Il se prête au jeu, pour démasquer
celui ou celle qui se paye sa tête, il appelle.
Une voie langoureuse et sensuelle répond, il s'agit d'Anita. Elle lui donne
rencart à Quick, dans un autre lieu serait difficile, Albert se verrait
refouler de tous lieux branchés...
Albert se fait pas d'illusions, soit c'est une fille avec les mêmes attraits
physiques que lui, soit c'est un canular de très mauvais gout. Il se rend quand
même au rendez-vous...
A Quick, il s'assied à une table, il regarde autour de lui où peut se trouver
cet inconnu(e). Quelques minutes plus tard, une créature de rêve le rejoint à
sa table, il s'agit d'Anita. Albert, rouge de colère et de honte, s'apprête à
quitter cet endroit malsain. Anita réussit néanmoins à le retenir, et lui
explique les raisons de son attirance...
Abasourdi, Albert à quand même dû mal à la croire. Pour le convaincre, Anita
se lève et lui roule un sacré patin. Mais, Albert n'est, de tout façon, pas
vraiment attiré par les modèles de magazines anorexiques...
Comme on dit, l'amour est aveugle, et, la belle Anita, n'a pas décochée toutes
ces flèches pour amadouer Albert..
Sortie le 16 avril 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Scrabble | |
Réalisateur : Karl Torkildsen |
Scénario :
L’aube se dissipe sur les rues désertes de
Paris. Lorsqu’un hurlement retentit et déchire les entrailles des cieux. Ce
cri, emprunt d’effroi, provient de l’un de ces immeubles surplombant La Défense.
Il s’agit d’une femme de ménage qui vient de trouver un employé d’un célèbre
cabinet d’architecte, atrocement mutilé à son bureau…
1 Heure plus tard, la police arrive sur les lieux. Ils découvrent un cadavre
assis sur sa chaise, la tête (séparé du corps) sur le bureau baignant dans
son sang. A ces cotés, 7 jetons du jeu Scrabble sont découverts, de façon mélangé
(RBNILAT). Par contre, 7 autres lettres, disposé sur le front de la tête, sont
disposées afin de former le nom de la victime (AROGOIN). L’autopsie révéla
qu’un cutter avait été utilisé pour la décapitation, et que la victime était
consciente durant son agonie. En effet, une drogue de synthèse bloquant les
muscles a été retrouvé dans le sang de l’architecte décrépi. Et après
quelques recherches dans le bureau, l’arme du crime est retrouvé. Ce qui est
un peu normal, vu que ce cutter était un outil de travail essentiel au pauvre
homme.
Les inspecteurs Cox & Harold furent saisi de l’affaire, et ils commencèrent
leur travail d’investigation. Tout naturellement, il s’intéressèrent aux
lettres du Scrabble. Ils essayaient de former des mots avec chacune de ces
anagrammes, ou en les mélangeant, en comptant les points des lettres, … Mais
rien n’y fait ! Aucune piste ! Même par l’entourage de la victime, les 2
inspecteurs tournent en rond…
Le lendemain, aux premières heures de la journée, la police est de nouveau
appelé pour un crime odieux. Un jeune boulanger est retrouvé carbonisé dans
son four à pain. Les grimaces de son visage, et les contractions de sont corps,
indique qu’il se tordait de douleur durant sa crémation. Le suicide et
l’accident sont vites écartés, car de nouvelles lettres de Scrabble sont
retrouvés. Le 1er jeu de lettre formait le nom de la victime (BRINLAT), le
second formait un mot imprononçable (LCOLHAI).
Les inspecteurs Cox & Harold arrivés sur les lieux commençaient à
comprendre : en dehors des lettres formant le nom de la victime, l’autre
anagramme formait le nom de la prochaine victime. Et à priori, les meurtres
suivent l’ordre alphabétique (p’t’être une coïncidence !) Mais fallait
faire vite pour découvrir ce nom et ainsi protéger cette personne. Car les 2
précédentes victimes ont été tués à l’aube. Du coup, il reste moins de
24h avant le prochain meurtre…
De plus, d’autres questions restaient en suspend. Pourquoi ces personnes ?
Quel est le mobil du tueur ? …
Un jeune policier, qui était sur les 2 scènes de crime, suggéra, en
plaisantant, un début d’indice. P’t’être que les noms des victimes
correspondent à leurs professions respectifs : AROGOIN > Architecte, BRINLAT
> Boulanger. C’est hypothèse n’est p’t’être pas con ! Les
inspecteurs Cox & Harold ont un peu plus d’éléments pour éclaircir le
mystère de ce tueur au Scrabble.
L’heure tourne, il reste quelques heures afin de sauver la prochaine victime
de ce maniaque, dont le nom commence par un C, et qui contient 7 lettres
Sortie le 23 avril 2011 | Lien Cinejeu |
Jeu de société que j'adore... |
Lucinda | |
Réalisateur : Amanda Landers |
Scénario :
Lucinda est une très belle fille, avec des formes avantageuse. Des atouts
physiques à faire frémir n’importe quelle homme…
Mais Lucinda à un mal être profond, elle est même très mal dans sa peau.
Cela fait déjà 6 mois qu’elle se travesti en mec. Non pas pour se déguiser
pour des spectacles quelconques, mais parce qu’elle ne supporte plus son corps
de femme.
C’est pas évident de se transformer en mec, vu qu’elle est très bien gaulée.
Elle est obligé de se cintrer fortement la poitrine pour être la plus plate
possible. Mais ça à l’avantage de lui procurer une voix grave. Elle a met du
coton dans son slip. Terminé le maquillage et les bijoux !! Elle va même à
prendre des hormones masculins…
Elle sait toujours senti garçon au plus profond de son être, et que son
enveloppe corporelle n’était qu’une étape. Mais sa famille n’à jamais
compris son choix, et ses soi-disant meilleurs amis lui ont tourné le dos…
Lucinda s’est enfin décidé à franchir le pas, le temps de se travestir et
de ressembler à un garçon est terminé. Maintenant elle veut en devenir un
vrai. Le rendez-vous a été fixé avec son médecin, l’opération aura lieu
dans quelques semaines.
Mais une fois que Lucinda aura changé de sexe, se sentira t-elle pour autant
mieux ? Trouvera t-elle enfin le bonheur dans la peu d’un mec…
Sortie le 7 mai 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Le livre des noms morts | |
Réalisateur : Karl Torkildsen Acteurs : Bruce Howerton / Virginia Tasz / Carsten Baccarin / Lou Troughton |
Scénario :
Nicky est un détective privé hors du commun, il a toujours résolu ces
affaires de mains de maître. Mais depuis quels temps, c’est vache maigre !
Peu de personne font appel à lui, et c’est souvent de mauvais payeur…
Mais cette nuit là, son destin allait irrémédiablement changé. Un jeune
homme blond, avec un bras metallique, lui demanda d’effectuer un larcin contre
une grosse somme d’argent. il s’agirait de voler un bouquin ayant des
centaines d’années. Nicky part pour le manoir d’un riche
collectionneur excentrique, où le livre est entreposé. Cela fait des années
que le milliardaire, détenteur du livre convoité, n’a été vu en public.
Caché derrière les façades de sa luxueuse résidence, et fort bien protégé
par différentes technologies, personne ne peut dire si il est encore vivant…
Nicky parvient à s’introduire dans le manoir, tout en déjouant les armes
d’autodéfense de la demeure, et autres pièges technologiques placés contre
les intrus. Arrivé dans la pièce d’exposition du fameux livre, Nicky
s’apprête à s’en emparer. Lorsque soudain, une bombe lacrymogène explose
dans la pièce ! A travers les voluptés de ce brouillard asphyxiant, Nicky
arrive à distinguer 3 ravissantes créatures surgirent du haut, fracassant la
vitrine, s’emparant du livre, et repartant par le plafond via leur filins…
S’époumonant, Nicky parvient a quitter la pièce et à courir vers l’extérieur
pour rattraper les 3 félines voleuses. Dans un des couloirs du manoir, son élan
est stoppé par un homme sortant d’une pièce en trombe. Il s’agit du propriétaires
des lieux, avec un bruit de ferraille. En fait, il s’agit d’un clone, d’un
être biotechnologique fabriquée pour protéger le livre, afin que celui-ci ne
tombe pas dans des mains impurs. Ce bonhomme à l’air ahuri, muni
d’innombrables gadgets, n’a pas été entièrement fini, car son maître est
décédé avant. L’aspect psychologique du prototype n’a pas été fignoler,
et ce clone biotechnologique est d’une grande maladresse…. Même dans
l’utilisation de ces gadgets !!
Nicky, interrompu par cet étrange personnage, parvient à s’en débarrasser.
Arrivé à l’extérieur, Nicky ne parvient pas à distinguer le trio féminin,
elles ont dû s’évanouir dans la nuit profonde…
Nicky, dépité, termine la nuit dans une boite de streapteseuses. Au petit
matin, à sa sorti de la boite, titubant dans des ruelles à l’odeur ammoniac,
il est violemment attaqué par un homme d’une exceptionnelle puissance de feu.
Il veut récupérer le livre de son maître qui a été dérobé cette nuit.
Encore un être biotechnologique, Nicky pense t-il. Car, sous le bras de
l’agresseur, se cache un canon scié se rechargeant automatiquement. Nicky à
beau lui dire qu’il n’a pas le livre, rien n’y fait ! Il doit fuir au plus
vite avant de terminer en cendre…
Cet altercation ravive son intérêt dans cet étrange affaire. Apres différentes
recherches et autres investigations périlleuses, Nicky découvrit les secrets
des cette affaire. Notamment, que le livre convoité est un livre magique
apparut en même temps que l’homme, et que toutes personne le détenant aurait
le droit de vie ou de mort en y inscrivant son nom dessus. Egalement, que le
commanditaire de ce vol (le jeune homme blond), est un puissant alchimiste qui
veut s’approprier ce bouquin pour asseoir son pouvoir sur le onde. Et pour
finir, que le trio de voleuses bosse pour cet alchimiste, car ce dernier ne
faisait pas totalement confiance à Nicky, et il préférait utiliser d’autres
cartes dans son jeu de conquête du monde…
Le temps n’est plus à la réflexion, mais à l’action !! Nicky doit
reprendre le livre des noms morts, tout en échappant au clone mercenaire lancé
à ses trousses…
Sortie le 21 mai 2011 | Lien Cinejeu |
Les bons vieux mangas... Et les nouveaux !! |
Crimes & déprime | |
Réalisateur : Peter Winstone |
Scénario :
Le vent souffle en cet après-midi d’automne. Un homme d’une quarantaine
d’années, jean & baskets, sort d’un bosquet à l’orée d’un bois.
Il vient de commettre un forfait, ou plutôt son job…
En traversant le chemin pour reprendre son auto, et s’en se retourner, il
s’enfile plusieurs cachets. Cet étrange personnage, à bord de sa voiture, se
dirige en ville, et s’arrête devant une boutique de prêteur sur gage. Mais
derrière cette petite affaire familiale et légale, se cache une véritable
organisation du crime : une usine à tueurs à gage. Le tueur, prénommé Yuri,
va voir son chef de service et lui dit : « affaire réglé et enterré ».
Cette entreprise, qui est effectivement familiale, est dirigée de main de maître
par une vieille femme aigrie, que même Satan ne voudrait pas comme épouse.
Elle a recruté des dizaines de personnes pour tuer à travers tout le pays.
L’affaire est tellement rentable, que n’importe qui peut faire appel à cet
organisation pour faire disparaître un être indésirable à ces yeux, et pour
pas cher !! Comme cette jeune fille qui a fait appel à l’un de ces tueurs
pour faire disparaître son voisin et son chien, car ce dernier gueuler trop la
nuit, et pour une modique somme d’argent !! C’était le travail de cet après-midi
pour yuri. Mais la journée n’est pas terminé, car il enchaîne sur son 5ème
contrat.
Malgré le nombre d’employés tueurs à gage et de clients, les autorités ne
sont pas au courant. Dans cette boite, la politique de la Peur fait mouche…
Que ça soit dans tous les locaux de la firme, ou dans les brochures adressés
aux clients, chacun peut voir des photos et des vidéos montrant des personnes,
ayant trahi l’entreprise, torturés atrocement pendant des jours jusqu’à ce
que la mort les délivre… Les traîtres, plus leurs familles et amis !
Personnes y échappent…
Les photos qui impressionnent le plus, c’est cette série de clichés sur un
nourrisson, dont les yeux ont été extrait de son vivant… (Une version vidéo
est également disponible !)
Yuri, le sait bien ! En signant ici, il ne pourrait plus jamais partir, la seule
démission possible est une balle dans le tête. Mais là c’est de trop ! A
son arrivé, c’était un contrat par jour, maintenant, il enchaîne 6, 7 ou 8
contrats quotidiennement. Le rythme est trop important, il dort plus, il est
anxieux, dépressif, … A plusieurs reprises, il a failli foirer ses objectifs
! Il broie du noir, se dégoûte, il a de plus en plus souvent des sautes
d’humeur, il s’est même réfugié dans l’alcool…
Ces anti-dépresseurs, qu’ils renouvellent toutes les semaines, n’agissent
plus. Dès qu’il commet un meurtre, peu de temps après, il se met à chialler
comme un môme, en se demandant « pourquoi a-t-il ôter la vie d’un inconnu ?
». C’est tellement facile de braquer une arme sur quelqu’un, que c’est
quasiment impossible de se la retourner contre soi-même…
Cela fait un p’tit moment qu’il est sur la sellette, sa hiérarchie l’a à
l’œil. Mais ces supérieurs ont décidés de mettre un terme à leur
collaboration, qui a été si fructueuse durant toutes ces années…
Comment un tueur à gage dépressif, va-t-il pouvoir sauver sa tête ??
Sortie le 11 juin 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Le nouveau monde | |
Réalisateur : Weston Raven Acteurs : Christopher Quinlan / Marie Bew / Alex Wryn / Christina Buxton |
Scénario :
Dans les années 2300, la Terre n’est que ruine
et désolation. Pratiquement toute la surface de la planète est inhabitable.
Entre autres, à cause de guerres et du changement des courants marins (ce qui
entraîna des changements climatiques radicales). Toute la population se
regroupe dans une petite surface de la planète, appelé le Nouveau Monde (la
Suisse actuelle).
En effet, la Suisse sût anticipé les évènements futurs, et bloqua tous les
fonds et investissements bancaires des étrangers. Et cela pour son propre
compte ! C’est ainsi que le pays tout entier s’est vu doté d’un dôme
défensif (anti-irradiation, changement climatique, armes diverses, …). Mais
vu que c’est un petit pays, tout le monde s’en fout. Pendant que les grands
se faisaient la guerre et se détruisait, qu’ils subissaient la colère des
éléments, la Suisse vivat en autarcie…
Les étrangers qui avaient essayés de récupérer leurs liquidités déposés
en Suisse, le payèrent chèrement de leur vie…
C’est ainsi, que les Helvètes vécurent en dehors du monde pendant des
décennies. Bien entendu, ils acceptèrent des survivants ! Enfin, de riches
survivants…
C’est ainsi, qu’entra le Baron Van Wlodesky, un noble d’Allemagne qui
s’enfuie vers le Nouveau Monde, avec tout son argent pour pouvoir assurer son
entrée. Déjà 20 ans, qu’il est en ces lieux ! Ici, tout n’est que joie,
la décadence du monde extérieur n’a pas atteint les individus de cette
cité. Les gens ne travaillent plus, tout est géré par des machines, et puis
d’autres machines qui réparent le machines défaillantes. C’est comme si
cette société se faisait border uniquement par l’ intelligence
artificielle…
De plus, le problème de la famine a été résolu de façon définitif. Une
pilule violette à été inventé : un individu en prend une le matin, et il est
rassasié pour la journée… Si les gens n’ont plus faim, pourquoi travailler
? Car avant pour se nourrire, fallait bosser… C’est ainsi que cette
société vit dans la joie et la paresse, le tout géré par une intelligence
artificielle.
Mais la baron, a toujours eu une question qui le turlupinait : que deviennent
les cadavres ? Cette question devient de plus en plus importante lorsque les
années passent, car il sent la Faucheuse s’approcher dangereusement à ces
cotés…
C’est en voulant répondre à cette question, que sa vie pourrait se
raccourcir beaucoup plus vite que prévu. Dans cette cité, pas de cimetière,
ni aucun endroit pour déposer les urnes funéraires. Et pourtant, les
crématorium tournent à pleins régime !! Durant ces investigations, il
découvre que les petites pilules miracles sont essentiellement à base de
cadavres. Et aussi, que cela fait des décennies qu’il n’y a plus d’humain
au gouvernail du Nouveau Monde, mais uniquement les machines. En fin de compte,
le droit d’entrée payant à cette cité, est un simulacre, pour faire croire
qu’il y a encore des humains qui dirigent…
Les machines se sont vite rendues compte de l’ingérence du baron, et veulent
le faire disparaître… dans des pilules violettes !! Et ce, sans que ces
concitoyens s’en rendent compte ! Car si les autres le savaient et se
rebellent, il seraient forcément réprimer dans le sang. Et si, il n’y a plus
d’humains, les machines n’ont plus de raisons d’être...
Sortie le 25 juin 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
La dune | |
Réalisateur : Elisabeth Glau Acteurs : Nicolas Erotas / Sharon Neil / Julien Daxi / Kristen Wright |
Scénario :
Après 6 heures de route, ponctués de ralentissements, la famille Faradet
arrive enfin à destination. Ce petit groupe est composé de Georges le père,
Madeleine la mère, Laetitia l’aînée, et Ludovic le cadet tétraplégique.
Après quelques formalités, cette petite famille installe leur tente dans
l’emplacement du camping qui leur a été attribué. C’est un jour
magnifique pour débuter les vacances, pas un nuage !! Mais une chaleur étouffante,
que même le vent soufflant sur les côtes atlantiques, ne peut soulager…
A vrai dire, le lieu de villégiature se trouve dans le bassin d’Arcachon,
dans un camping à proximité de Pyla / Mer. C’est Georges qui en a eu l’idée,
sa femme légèrement soumise ne l’aurait jamais contredit ! quant à Laetitia
qui n’a que 17 ans, elle est là pour squatter la tentes d’autres jeunes
mecs, et plus si affinité… Pour Ludovic qui est en fauteuil roulant depuis 5
ans, à cause d’une mauvaise chute au ski (encore une idée lumineuse de son père
pour des vacances), ça le fait littéralement chier d’être ici.
Georges oblige implicitement les membres de sa famille à visiter l’attraction
du coin : la dune. Il s’agit d’une dune de 117 mètres de haut, et longue de
3 km. Cette dernière avance sur les terres de 1 à 5 mètres par an. Ce colosse
de sable surplombant 4 campings, est la dune la plus haute d’Europe. Sa
formation est dû au sable qui s'est mis en place dans des conditions très
arides, poussé par des vents d'ouest dominants de - 20 000 jusqu'à - 10 000
environ avant J .C.
Hélas pour Ludovic, il ne peut gravir la dune à cause de son handicap, cet erg
étant très abrupt. En rampant à la rigueur…
Resté en bas, il contemple ses parents et sa bécasse de sœur à monter ce géant
sableux via une échelle installée. Au bout de quelques minutes, il ne peut
plus les distinguer. Le soleil aveuglant lui fait baisser les yeux, et la volupté
de la chaleur se mélangeant au sable tournoyant au-dessus de la dune, l’empêche
de distinguer l’extrémité de celle-ci.
Lorsqu’il voit ses parent redescendre beaucoup plus vite qu’a l’allée,
malgré cette chaleur écrasante qui les achevés. Ils sont tellement exténués,
qu’il se laisse emporter par la pente. D’ailleurs, Laetitia, se laissant
trop emporter, s’effondre sur le sable brûlant, et dévale la pente en
roulant la tête en première. Ludovic contemple cette scène désopilante et
navrante, mais Laetitia à quand même de la chance, en arrivant au pied de la
dune, elle a failli se manger un arbre situé en contrebas.
Fatigués de leurs péripéties, la famille se restaure et se dirige vers le
centre névralgique du camping, là où se trouve toutes les animations. Ce soir
c’est disco !! Pour souhaiter la bienvenue au nouveaux arrivants…
Ainsi la soirée se poursuit, Georges regarde constamment sa montre, Madeleine
sourit bêtement aux animateurs, Laetitia s’est rapprocher de ce groupe de
jeunes, quant à Ludovic, il est resté à la tente faire de la console.
Bizarrement, vers 23h, tandis que la fête bat son plein, le ciel étoilé fait
place à des nuages menaçants, et que le vent s’est levé. Ce petit inconvénient
météorologique ne gêne personne, et tous les campeurs dansent sans se soucier
de la colère des cieux.
Le vent s’intensifie en puissance, la pluie s’est invitée à la fête. Les
décors tombent les uns après les autres. Les danseurs d’un soir désertent
la scène, et tentent de rejoindre leurs emplacement. Le DJ essaye de sauver son
matériel…
Les bourrasques de vent, mélangés au sable de la dune, aveuglent les
touristes. Le seul tremble, face au déchaînement des flots qui frappent
violemment la dune. Les tentent finissent par lâcher sous la pression des éléments
en furie.
Comme tant d’autres, la famille Faradet se planque dans des abris en dur. Mais
où donc est passé Ludovic, resté seul avec sa console. Et de Laetitia avec
ces nouveaux copains…
Quant un bruit assourdissant déchire l’entraille des ténèbres, que même le
sifflement du vent et le hurlement des gens n’ont pu couvrir….
Le camping, comme les autres, se met à se remplir de sable. Après des siècles
d’une imposante domination, la dune à finit par se rompre…
Les éclairs permettent de voir le visage de gens terrifiés se faisant avaler
par cette marée de sable que rien n’arrête…
La nuit finit par se poursuivre et se terminer dans le chaos la plus totale. Au
petit matin, les gens qui n’ont pu fuir restent prostrés, comme des condamnés
qui attendent la mise à mort. Les secours sont sur place, il s’agit des
retrouver des survivants dans les décombres, et de dégager les cadavres. Mais
faut faire vite, cette région étant devenu très instable, une nouvelle
catastrophe est à prévoir.
Pour Georges et Madeleine Faradet, encore en vie, il fait retrouver leurs deux
rejetons. A moins qu’il ne soit trop tard...
Sortie le 06 août 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée de vacances, comme ça... |
Les portes de l'inconnue | |
Réalisatrice : Rose Mendel |
Scénario :
Bretagne profonde et mystérieuse ! Evan (Logan Baccarin) est un jeune
adolescent qui vient passé ces vacances chez sa tante maternelle (Marie Caine).
elle vit dans une petite masure à l’orée de la forêt de Paimpont, et à
plusieurs kilomètres du bourg le plus proche. Evan ne vient
qu’exceptionnellement chez sa grand-mère, de ce fait, il n’a pas d’amis
dans le coin. Enfin, il s’en fout un peu, il a toujours été un gamin
solitaire. Et depuis fort longtemps, il a trouvé comment brisé son ennui :
c’est un grand collectionneur ! Raison pour laquelle il n’a pas rechigné à
allé en Bretagne, il espère faire des trouvailles intéressantes dans cette
ancienne région celtique. De plus, l’endroit où vit sa tante est porteuse
d’histoires, de contes et légendes. Il a hâte de faire un tour dans la forêt
de Paimpont, alias Brocéliande. Pouvoir agrandir sa collection, et les pièces
les moins intéressantes, les bazarder sur Ebay pour se faire un peu de blés…
C’est ainsi que, dès le lendemain de son arrivé, Evan s’enfonce dans la
forêt. A chaque Dolmen ou mégalithe croisé, il s’arrête et cherche dans
les moindres recoins. Ces fouilles, ne sont pour l’instant guère probante, il
ne trouve que des os. Il s’enfonce encore plus profondément dans la forêt
sombre et verdoyante, qui ne laisse pratiquement plus passer les rayons du
soleil. Impressionné par cet atmosphère étouffante et pesante, il ne fait pas
attention à ces pas. C’est ainsi qu’il trébuche, et se met à dégringoler
dans une vallée encaissée. La tête dans un p’tit ruisseau, il se relève et
se remet de ces émotions. Il connaît cet endroit, enfin de nom, il s’agit du
Val Sans Retour. Sa tante a déjà évoqué ce lieu mythologique avec les légendaires
Lancelot et Morgane…
Essuyant son visage avec la manche de sa chemise, il regarde tout autour de lui
pour voir comment s’échapper de cette vallée. Il a pas le choix, il doit
escalader les roches… S’agrippant aux parois, il commence son ascension.
Mais à mi-chemin, il dérape et dégringole à nouveau au fond de la vallée.
Durant sa chute, il a fait s’écrouler quelques pierres, et qui laissèrent
entrevoir une cavité. Evan, redouble d’efforts, et parvient à se hisser à
cette grotte fraîchement découverte.
Evan allume sa lampe de poche, et explore cette grotte. Au bout de quelque mètres,
il tombe dans un cul de sac. Il fait un tour sur lui-même avec sa lampe, et découvre
à ces pieds, un peu éparpillés, divers objets. Il ramasse tout, sans se poser
de questions, et range tout ça dans son sac à dos. La journée commence à décliner,
et il voudrait rentrer chez sa tante avant la tombée de la nuit. Il a failli
faire le remake du Projet Blair Witch, vu qu’il s’est perdu 2 ou 3 fois.
Cependant, il a retrouvé son chemin, et est arrivé à temps pour le dîner. Un
peu plus tard dans la soirée, dans sa chambre, il fait le compte de sa journée.
Hormis des os, il y a un verre en gré, des morceaux d’une jarre, des
fragments de colliers, et une dague.
Durant la nuit, une fine lueur bleutée s’échappe de l’un de ces objets étalés
sur le sol. Evan, réveillé par cet étrange phénomène, se lève et saisit la
dague qui est à l’origine de cette lumière. C’est alors qu’une couleur
plus vive et chaleureuse se fait sentir. De l’autre coté de la porte de sa
chambre, la même clarté se fait voir. Evan, tout en saisissant la dague, ne
peut s’empêcher d’ouvrir sa porte et de la franchir, comme si il était
attiré par une force inconnue…
De l’autre coté de la porte, il ne se trouve plus chez sa tante, mais en forêt
! Evan, dans un sursaut de lucidité, se dit qu’il à dû faire du
somnambulisme. Il essaye de retourner à son domicile, mais ne connaît pas le
coin de cette forêt. Après plusieurs kilomètres d’errance, Evan à bout de
souffle se repose. Il est totalement perdu ! Toujours accompagné de la dague,
cette dernière se remet à briller. C’est alors qu’au détour d’un
bosquet, 3 portes flottantes dans l’air font face à lui. Toujours attirés
par cette mystérieuse force, il se doit d’en choisir une, et de la
franchir…
Le voilà projeté dans un autre endroit de la forêt. Au loin, une fumée s’échappe
dans les airs. Il va en direction de celle-ci, et tombe sur un rite druidique.
Caché derrière un buisson, il peut contempler le spectacle gore d’un
sacrifice humain… Terrorisé, il s’enfuit dans la direction opposée, ce qui
manque pas d’alerté l groupe de druides qui se lancent à ces trousses à la
fin de leur odieux office. La dague se remet à briller, et 3 nouvelles portes
font leurs apparitions. Il doit encore en choisir une…
Evan à compris le principe : la dague le prévient de la proximité des portes.
Et il doit en choisir une, jusqu’à arrivé chez lui et à la bonne époque.
Il espère, néanmoins, que le groupe fanatique ne peut pas faire pareil pour le
retrouver…
Trouvera-t-il le mystère de tout ceci ? Durant ces péripéties...
Sortie le 13 août 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Jersey | |
Réalisateur : Elisabeth Glau |
Scénario :
Ludovic n’a jamais connu ces parents, il fût lâchement abandonné au pied de
la mairie de Calais, alors qu’il n’avait que quelques jours. Certainement un
couple d’anglais qui a traversé la Manche pour commettre son forfait…
Ludovic à aujourd’hui 15 ans, et vit toujours dans l’orphelinat de Calais.
A cause de son comportement rebelle, il n’a pu trouver une famille
d’accueil. Les pires sévérités du personnel de l’orphelinat n’ont fait
qu’accroître l’instabilité psychologique de Ludovic…
Le conseil d’administration de l’établissement en a décidé ainsi, Ludovic
sera transféré sur l’île de Jersey. Un orphelinat tenu par des religieux,
avec une discipline ferme à faire pâlir de jalousie n’importe quelle armée
!!
L’île de Jersey se trouve sur les cotes normandes, au large de St Malo. Elle
est néanmoins sous dépendance de la couronne britannique. Quant à
l’orphelinat, il est construit sur un ancien site celtique. Les religieux ont
badigeonnés de croix les quelques dolmens restant dans le périmètre.
Résigné, Ludovic est conduit dans sa nouvelle demeure. Il ne se doute pas
qu’avant c’était les vacances, et que là, c’est l’enfer…
Le jeune homme dépose ces affaires dans ces quartiers, ou plutôt dans le
dortoir collectif. Il s’agit d’une longue pièce au premier étage, faisant
pratiquement toute la longueur de la battisse. Il y a à peu près 20 lits
superposés, alignés sur 2 rangées. Ludovic n’a pas le temps de contempler
cette grande pièce vide et froide, car il est 20 heure pétantes, c’est
l’heure de se rendre au réfectoire.
22 heures ! Extinction des feux ! Ludovic se sent bien seul. Personne ne lui à
adresser la parole au réfectoire, comme si c’était un pestiféré. Il se
tourne dans tous les sens sous sa couette, il n’arrive pas à trouver le
sommeil. Il repense aux recommandations faites à son arrivée : que la vie dans
l’établissement est minuté (chaque chose à une heure précise),
interdiction d’aller au-delà du domaine (même interdit d’être hors de la
portée de vue d’un adulte), obéir aux ordres sans lever un cil, … Sinon,
des sanctions d’une extrême sévérité seront infligées à l’impudent qui
défie l’ordre religieux…
Son sommeil finalement gagné est perturbé par des gémissements. Il s’agit
d’un gamin un peu plus jeune que lui, à moitié débraillé, qu’un
religieux le tenant par le colbach le jette dans le dortoir. Ludovic va le voir
pour savoir si ça va, mais le gamin ne répond pas. Alors il cour vers le
religieux afin d’avoir des comptes. Mais ce dernier détache sa ceinture, et
lui assène de violents coups avec sa boucle de ceinture en métal. Ludovic
agonisant et en sang, reste toute la nuit atrophié sur le sol.
A l’aube, ces blessures n’étant pas encore cicatrisés qu’il est
contraint de suivre ces camarades au réfectoire pour prendre le p’tit déj.
Mais il n’arrive pas à retrouver Damien, le gamin pleurnichard de cette nuit.
Il interroge les autres, va voir les adultes. Mais tout le monde le prend pour
un fou, comme si Damien n’avais jamais existé. Pourtant dans le réfectoire
ou le dortoir, une place reste vacante… Toute la journée, il s’essaye à
trouver des réponses aux évènements de cette nuit, et aux comportements des
autres. Tout en réfléchissant à une vengeance contre le bâtard qui l’a
battu…
Lors de la deuxième nuit, il est réveillé par des grincements de pas et des
messes basses. Il ouvre à peine les yeux, qu’une main se pose fermement sur
sa bouche, que d’autres saisissent ces pieds et ces mains. Il est ainsi
kidnappé et jeté dans une pièce sombre et lugubre…
Remis de ces émotions, il essaye de comprendre ce qu’il lui arrive.
Apparemment, il est au sous-sol. Ne voulant pas se laisser faire, il essaye par
tous les moyens de sortir de là. La porte résiste à ces coups, la terre
argileuse composant les murs de sa cellule restent intacts. Mais dans l’un des
coins, il découvre une infiltration d’eau, et à la force des ces ongles et
de ces petites mains, creuse la paroi…
Au bout de plusieurs heures d’efforts, il finit par faire un trou assez large
pour pouvoir passer. Dès lors, il se retrouve dans des catacombes (de l’époque
celtique). Il suit la galerie, en espérant atteindre la surface. Plus il
avance, plus une odeur insupportable lui monte au nez. D’effroi, il se
retrouve face à une fosse commune, où d’innombrable cadavres y ont été jeté.
Des os se mélangeant aux corps en décomposition, Ludovic ne met pas longtemps
à comprendre, qu’ici, ne gît que des enfants. Prenant son courage à deux
mains, il monte sur l’amoncellement de corps et os, pour escalader le mur, et
atteindre la surface. Durant son ascension, une vision d’horreur manque de le
faire tomber dans l’abysse cadavérique. Il vient de reconnaître le corps
sans vie de Damien, les yeux exorbités par l’horreur de ce qu’il a dû
subir…
Arrivé à l’extérieur des entrailles de l’enfer, Ludovic fait un tour
d’horizon, et remarque qu’il se trouve à 500 mètres de l’orphelinat. Il
doit partir au plus vite, afin de prévenir les autorités. Ludovic sait que les
religieux ont remarqués sa fuite, car il entend les aboiements des chiens
allant vers sa direction...
Sortie le 20 août 2011 | Lien Cinejeu |
Quand la fiction rejoint la réalité... |
Louis | ||
Réalisateur : Ruth Gilstrap |
Lien Deezer : |
Scénario :
Il fait encore nuit sur Paris, Mais Louis est le
premier a être dans la station de métro. A vrai dire, il ne l’a pas quitter
de la veille, c’est ici qu’il dort…
Louis n’a plus de famille, d’amis, ni même de toit. Il se lève de sa
couchette improvisée, et se dirige dans l’un des nombreux couloirs du métro.
Comme hier, et comme demain, il va faire la manche…
Les premiers hommes (pressés) font leurs apparitions, mais ne prêtent pas
attention à ce pauvre Louis. Plus la matinée avance, et plus de monde affluent
dans les galeries. Louis arrive à récolter de la menue monnaie…
Louis repense pour la énième fois aux aléas de la vie, de sa vie, qui l’ont
amenés à vivre dans de telles conditions. A son boulot, qui a été le déclencheur
! Quand il a été licencié pour raison économique, ou plutôt que la boite à
été délocalisé dans un autre pays pour faire de meilleurs profits… Et à
53 ans, il est difficile de trouver un autre job, il a fait le même pendant 20
ans, il ne connaît que ça ! C’est pas l’ANPE, et les nouvelles lois
gouvernementales qui ont arrangés son affaire…
Sa quête auprès des passants va bon-train, il pourra se restaurer ce midi. Il
se souvient de la dépression qui suivait la perte de son emploi. Que sa femme,
cadre dans une grande société, détestant les loosers, le largua comme un
malpropre… Tous ces mis lui tournèrent le dos les uns après les autres. Le
seul réconfort qu’il put trouver dans ce bas-monde, est celui d’un chien,
certainement plus affectueux que n’importe quel humain…
Louis à le ventre qui gargouille, il se dirige vers le snack de la station. Son
chien l’accompagne. Il se prend un sandwich et une bouteille de whisky. Il
donne le casse-croûte à son clebs, et se garde l’alcool…
Louis ne pense pas durer longtemps comme ça, il a déjà penser à mettre fin
à ces jours, mais n’a pas le courage. Il rejoint sa place afin de continuer
à mendier, et toujours accompagné de son fidèle toutou. Mais en plus de son
chien, il a également trouvé du réconfort dans l’alcool.
Maintenant, sa vie se résume au fait qu’il dort pour oublier qu’il boit, et
qu’il boit pour oublier qu’il vit…
Sortie le 03 septembre 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Stars | |
Réalisatrice : Ruth Lathan Acteurs : Joshua Glau / Shannon Colloff / Joel Hardy / Whitney Hemmings |
Scénario :
Hollywood ! La plus grande concentration de stars
au mètre carré…
ans les studios Sergiot Production, se déroule un casting pour une production
à venir. Les rôles principaux étant attribués, les casting sert à
distribuer les petits rôles. Mais un homme en colère, Joël Hardy, quitte les
studios en claquant violemment la porte. A priori, il n’a pas été retenu
pour le film.
Joël, ne supportant pas le moindre échec, et froissé de ne pas être pris,
arpente les rues de Hollywood en frappant dans tout ce qu’il rencontre. Le
regard haineux, il est interpellé par une vieille dame noire, qui tient une
boutique d’herboristerie. Après explications, et comprenant le désarroi de
Joël, la vieille prépare une décoction pour Joël. Selon elle, la potion réglera
tous ces problèmes…
Joël, pressant le pas en direction de chez lui, traverse le Hollywood
Boulevard, la fameuse rue des étoiles des stars. Ne faisant pas attention, et
trébuchant, le flacon s’échappe des mains Joël, et vient se fracasser sur
le pavé. C’est ainsi que le précieux liquide ruisselle sur la chaussée, et
coule sur quelques mètres. Trois étoiles de vedettes sont souillées par la
potion…
Quelques secondes suffisent pour qu’apparaissent un être sur chacune des étoiles.
Il s’agit de Joshua Glau, un acteur prétention et égocentrique, spécialiste
dans les thriller et la SF. De Shannon Coloff, créature prête à user de tous
ces atouts physiques pour être embaucher dans un film, qui participe au film où
on veut bien d’elle. Et de Whitney Hemmings, garce dans l’âme, qui fait un
peu de comédie. Les acteurs qui viennent d’apparaître, ressemble en tout
point à leur modèle original, mais ne sont pas les originaux…
Joël, stupéfait par la scène qui s’est déroulé devant ces yeux, fait
comme si rien ne s’était passé, et continue sa route…
Quant aux trois sosies, nés par accident, ils n’ont qu’une idée en tête :
plomber la carrière de leurs modèles… Foirer les casting, raconter des
conneries lors d’émissions **, jouer comme des pieds, être le plus ingrat
possible avec le public, …
** Note de la production : On devait engager JC Van Damme, mais ils nous aurait vraiment plomber le film…
Joel Hardy, Joshua Glau, Shannon Coloff, Whitney Hemmings : Dans leurs propres rôles
Sortie le 10 septembre 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Gavroche | |
Réalisatrice : Gina Vinding Acteurs : Grant Sbrizzi / Laura Landers / Grant Glau / Brittani Fitch |
Scénario :
Le temps sont durs pendant le XIXème siècle.
C’est en cette période de disette que naît Gavroche (Grant Sbrizzi). Fils
d’un couple de tenanciers, Mme Thénardier le met au monde en l’an 1820. Il
est le cadet d’une famille de 5 enfants, il a 2 sœurs aînées (Laura
Landers & Brittani Fitch) qui sont de vrais pestes, ainsi que 2 petits
frères jumeaux (Grant Glau (les 2 frères)) vendus à un couple
d’escrocs alors qu’ils étaient bébé, pour quelques sous…
Tandis que ces 2 garces de sœurs sont chouchoutés, Gavroche est le mal-aimé
et vit dans la rue. Il connaît tout Paris, et tous les Parisiens le
connaissent. Gavroche est l’enfant des rues, le joyeux luron qui fait sourire
les déshérités. Il a fait de son malheur son bonheur, il ne rend compte à
personne, et se proclame libre comme l’air. Il vit de larcins et de
combines…
Il a prit ces quartiers à la Porte d’Orléans, là où se déroule le marché,
avec ces odeurs nauséabondes. Même si il côtoie très peu sa famille, il a
sauvé à deux reprises son père de la justice. Car ce dernier volait les
clients de son cloaque. L’ingéniosité de Gavroche permit de mettre en doute
la parole des bonnes gens. Sa bonté le perdra !!
Lors de sa neuvième année, il porta secours à des jumeaux un peu plus jeune
que lui. Les gamins lui expliqua, que leur mère adoptive avait été arrêté
pour le meurtre de son mari, et que tous deux se sont enfuis dans les rues de
Paris… Les Titis crevaient de faim, et sans Gavroche, n’auraient pas terminé
la journée ! Gavroche se prit d’affection pour les mômes, et sécha les
larmes de l’un d’eux…
Le lendemain, Gavroche devait rencontrer d’autres personnes, et demanda aux
jumeaux de ne pas bouger. A son retour, ces derniers avaient disparus, et ne les
reverra plus jamais… Il avait beau fouiller le moindre coin de Paris, ces
petits protégés avaient disparus dans les méandres parisiennes…
A l’orée de ces 12 ans, en juin 1832, Paris est à feu et à sang. Une
insurrection a éclatée par les Républicains. Gavroche, malgré son jeune age,
à pris position contre la monarchie. La garde Nationale a repoussé les insurgés
dans le centre historique de Paris. En cette fin d’après midi, il y a presque
un milliers de morts, suites aux violents combats. Les cadavres sont jetés dans
le Seine. C’est ainsi, que suivant le courant, Gavroche aperçu les jumeaux…
Sa haine de l’oppression accrue, l’avait poussé jusqu’aux barricades. Au
loin, rue de la Chanvrerie, il vit sa sœur Eponine. Voulant la rejoindre pour
la protéger des balles perdues, celle-ci s’écroula à terre, touché dans le
front…
A la barricade de la rue, au coté de la dépouille de sa sœur, il se mit à
composer des vers et à chanter…
L’aube rougissant comme le sang des parisiens commença à engloutir Paris,
tandis que Gavroche s’époumone au chant…
Gavroche n’a pas encore dit son dernier mot, à moins qu’une balle ne
l’arrête avant…
Sortie le 08 Octobre 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée comme ça... |
Le viaduc | |
Réalisatrice : Demetra Reyes Acteurs : Joshua Glau / Amanda Jezek / Lawrence Krueger / Whitney Hemmings / Yvan Ohé / Jake Aladal |
Scénario :
Enfin les grandes vacances !! En ce vendredi 06
juillet 2011, Damien (Lawrence Krueger) quitte son école maternelle pour
la dernière fois de l’année scolaire. Damien est très enthousiaste, car
dans quelques heures, il sera en route pour Argeles/Mer. Baignades et bronzette
en perspective…
Ces parents (Joshua Glau & Whitney Hemmings) ont loué un emplacement
de mobile home à Argeles plage, à quelque mètres d’une Méditerranée calme
et bleutée. Le séjour ne durera que 2 semaines, revenus modestes oblige, mais
Damien espère se faire des amis dans ce lieu de villégiature qu’il ne
connaît point !
Le coffre rempli, la petite famille prend la route. Le patère veut rouler toute
la nuit afin d’arriver sur place pour samedi midi, et ainsi, éviter les
éventuels bouchons ou ralentissements. Damien dispose de tout l’arrière du
véhicule, car sa sœur aînée ne vient pas avec eux. Sandra (Amanda Jezek)
à d’autres projets pour les vacances, elle doit partir en Italie avec une de
ces amies, départ programmé pour la semaine prochaine…
21 heures ! Le monospace s’arrête sur une aire d’autoroute afin de faire le
plein des estomacs criant famine. Tandis que les parents s’en grille une avant
de reprendre la route, Damien joue à sa console portable au jeu Painkiller.
Plus tard dans la nuit, Damien et sa mère roupillent. Plus de la moitié du
chemin a été parcouru. Le monospace continue sa route sur l’autoroute en
direction de Millau, afin d’emprunter le viaduc construit il y a à peu près
10 ans. Ceci afin d’éviter la bourgade encaissé dans la vallée et ces
éventuels embouteillages…
6 heures du matin ! Tandis que l’aube rougissant commence à dispersé le ciel
assombrit de la nuit, le monospace s’arrête au péage pour emprunter cet
ouvrage démesuré. La file d’attente à l’air interminable… En effet, un
convoi exceptionnel, précédant toutes les voitures, bloque la circulation. Une
fois le convoi engager sur le pont, les autres véhicules peuvent s’engager
sur le viaduc…
Quelques minutes après, une violente déflagration vient ébranler
l’architecture, et un des piliers vacille en contre-bas. Le viaduc ainsi
fragilisé commence à s’effriter de toutes parts…
Un bout du pont s’effondre ! Tous les automobilistes, affolés, quittent leurs
voitures afin de rejoindre l’autre coté… Mais une seconde explosion
intervient, et le viaduc se retrouve sans extrémités. Déjà plusieurs
véhicules sont tombés dans le néant, emmenant leurs occupants dans une mort
certaine...
Le convoi exceptionnel, est maintenu sur le pont que par ces roues arrières et
son chargement. Mais le poid-lourd peut sombrer d’un moment à l’autre… Le
viaduc perd des morceaux de plus en plus gros, rétrécissant la place des
rescapés ! Le convoi fini par basculer au pied du pond, impliquant une
prodigieuse explosion, avec une force cassant deux autres piliers…
De nouveaux véhicules tombent ! Des cris étouffés disparaissent dans les
abysses de la vallée. Tout le monde est en panique, les plus insensés sautent
dans le vide, d’autres sont recrovillés sous des véhicules, …
Damien et ses parents ont échappés de peu à la mort une première fois. Mais
le jour à peine levé, ils ne sont pas encore sortis d’affaire. A chaque
minutes, de nouvelles pertes humaines…
8 heure du matin, Sandra (la sœur de Damien) est réveillé par un coup de fil.
Il s’agit de Mélinda, sa copine de voyage pour l’Italie. Elle lui dit de
regarder les infos de toute urgence. Elle constate avec effroi, que des
journalistes en hélicoptère filme le drame du viaduc de Millau. Et que dans un
mouvement de caméra, elle a reconnu sa famille…
En vois off, il est dit qu’il s’agit d’un attentat terroriste de la part
d’extrémistes de Greenpeace, qui ont joués coup double. Premièrement, la
cible était le convoi exceptionnel qui transportait un réacteur nucléaire
pour une nouvelle centrale dans le sud. Deuxièmement, ils ont toujours été
contre ce viaduc, qui déformait le paysage…
Sandra pu voir les secours intervenir sur le pont afin d’hélitreuiller les
survivants. Mais entre les hélicoptères télé et ceux des secouristes, un
accident était à craindre…
Deux hélicoptères s’accrochent violemment par les hélices arrières,
tourbillonnant l’un et l’autre ensemble, viennent se scratcher au milieu,
sur le pont. Un immense brasier sépare le viaduc en deux, Damien, terrorisé,
peut entendre les cris des journalistes et secouristes survivants, mélangés
aux crépitement des flammes…
Plus aucun secours ne peut intervenir, le temps de dégager le ciel, et à cause
de cette fumé impénétrable dû au carburant des hélicos enflammés…
Sandra, Scotché à sa télé, se demande comment vont s’en sortir son frère
et ces parents. Car au fur et à mesures que les heures tournent, il y’a de
moins en moins de monde à sauver, comme le viaduc qui se décrépite à vue
d’œil…
Sortie le 15 Octobre 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée de vacances, comme ça... |
Aix | |
Réalisatrice : Ruth Lathan Acteurs : Robert Jones / Amanda Jezek / Nathan Tudyk / Gwendolyn Berger / Jean Cive / Alex Ylophone |
Scénario :
Un groupe de 3 jeune gens (Amanda Jezek,
Gwendolyne Berger, Jean Cive) décident de partir à l’Ile d’Oléron
pour y passer une semaine de soleil, loin de la grisaille Orléanaise… Ils ont
entre 20 et 25 ans, et ont loués un emplacement dans un camping à quelque pas
de la mer Atlantique.
Après 5-6 heures de route, ils arrivent enfin à destination. Ils montent la
tente, et commence à repérer les lieux. Objectif : trouver le coin jeune… En
effet, ce trio, composé de 2 filles et d’un mec, est ici pour draguer et
baiser… Leur cible : les mecs !!
La journée étant sur le pont de se terminer, ils abrègent le tour des
campements, et se rendent au snack du camping pour se restaurer un peu. Ce trio
termine la soirée à zoner dans la partie du camping pas encore explorer…
C’est ainsi que tous trois sont interpellé par un groupe de mecs (Robert
Jones, Nathan Tudyk, Alex Ylophone), pour se joindre à eux, et vider
quelques bières…
A la fin de la nuit, ils ont plus que bien sympathisés, mais les filles ont dû
mal à conclure… Le trio rejoignent leurs tentes respectifs, histoire de
dormir un peu !! Quelques heures plus tard, c’est plage… Tout le reste de la
journée est consacré à la bronzette. Sauf pour leur ami, qui est planqué
dans les dunes à batifolé avec un autre mec…
Le lendemain, le trio est interpellé par le groupe de mecs rencontré la nuit
précédente. Ils vont passer la journée sur l’île d’Aix (au nord de
l’île d’Oléron), et leur demande de les accompagner. Les filles acceptent
avec enthousiasme !!
Direction St-Denis-D’Oléron (à la pointe nord de l’île), pour prendre la
navette vers l’île d’Aix. Le trajet en bateau qui fait 45 minutes, est
néanmoins agrémenter d’une visite commentée de Fort Boyard. La navette les
déposes sur la petite île, et viendra les chercher qu’à 18 heures.
Au dernier référencement, l’île d’Aix était composé de 140 résident à
l’année. Une autre particularité de l’île, c’est que le seul moyen de
locomotion est le vélo, les véhicules motorisés sont interdits…
Le groupe d’amis, comme les autres touristes, partent à la découverte de
l’île…
Mais un peu plus tard, l’île est ébranlé par une forte secousse, suivi
d’un épouvantable raz de marée. Le tsunami ravage toute l’île, la moindre
personne est emportée par les flots, les maisons, les murs, les arbres, …
cassent comme des fétus de paille sous les forces marines…
Le groupe d’amis s’est malencontreusement séparés, certains sont
p’têtre noyés, d’autres s’accrochent à ce qui peuvent. L’eau finit
par se faufiler hors de l’île, mais plus aucuns secours ne peut intervenir,
car tous les ports de la cote atlantique ont été ravagés.
Mais une boule de feu fend l’air, au loin dans les cieux, à priori la
deuxième ! Ce qui présage un autre tsunami, les quelques survivants
comprennent trop tard leurs tristes destinés. Chacun s’agrippent au premier
objet encore ancré sur l’île, afin de faire face à la deuxième vague
destructrice…
Sortie le 26 novembre 2011 | Lien Cinejeu |
Une idée de vacances, comme ça... |