Mise en garde: Cette rubrique n'est pas destinée à porter atteinte à la crédibilité de l'Armée de Terre, de la Gendarmerie ou des forces de Police. Bien au contraire... ;-)
L'ECLIPSE DE SOLEIL un grand classique de la Royale.
Le
lieutenant de vaisseau au premier-maître:
Comme vous devez le savoir, il
y aura demain éclipse de soleil, ce qui n'arrive pas tous les jours.
Laissez
monter les hommes à 8 heures, en tenue de service, sur les passerelles et les
spardecks.
Ils pourront voir le rare phénomène, et je leur donnerai les
explications nécessaires.
S'il pleut, il n'y aura rien à voir: dans ce cas,
laissez les hommes dans les batteries.
Le premier-maître au second-maître:
Sur recommandation du
capitaine, demain à 7 heures, il y aura éclipse de soleil en tenue de service.
Le capitaine donnera aux spardecks et aux passerelles les explications
nécessaires, ce qui n'arrive pas tous les jours.
S'il pleut, il n'y aura
rien à voir; dans ce cas, laissez les hommes dans les batteries.
Le second-maître au quartier-maître:
Par ordre du capitaine, demain
à 6 heures du matin, ouverture de l'éclipse de soleil sur les spardecks et les
passerelles en tenue de service.
Le capitaine donnera dans la batterie les explications nécessaires sur ce rare phénomène, et parfois, il pleut, ce qui n'arrive pas tous les jours.
Le quartier-maître aux matelots:
Demain à 5 heures, le capitaine
fera éclipser le soleil en tenue de service avec les explications nécessaires.
Si parfois il pleuvait, ce rare phénomène aurait lieu dans les batteries, ce
qui n'arrive pas tous les jours.
Les matelots entre eux:
Demain à 05 heures, le soleil sur le
spardeck fera éclipser le capitaine dans les batteries avec les explications
nécessaires.
Si parfois il pleuvait, ce rare phénomène aurait lieu en tenue
de service, ce qui n'arrive pas tous les jours.
Donnez une mission à :
-
Un fantassin : Il ne comprend pas,
il exécute et rend compte
- Un cavalier : il ne comprend pas, part au grand
galop et revient en criant, "tout est perdu, sauf l'honneur..."
-
Un sapeur :
il sourit, vous croyez qu'il a compris, non il a trouvé des objections....
- Un aviateur : il n'écoute pas et part dans sa voiture de sport boire un gin
au mess
- Un officier d'Etat-Major : dès qu'il ouvre la bouche : foutez le
camp !
- Un marin : ......... Il se démerde !
Chez les légionnaires:
Un type est bizuté, et les
légionnaires lui disent:
- Bon tu prends une chèvre dans ce troupeau et tu te
la tapes.
Le type après négociations infructueuses y va, et là, les
légionnaires éclatent de rire.
Il se révolte :
-
Je comprend pas ce qui vous
fait rire ?
Les légionnaires:
- T'as pris la plus moche.
Dans l'armée, pour les uniformes il y a deux tailles :
Trop
grand et trop petit.
Un sous-marin est amaré au port et le grand public y a
accès.
Toto n'arrète pas de poser des questions au marin responsable de
la visite :
"Cest quoi ça?"
"Comment ça fonctionne ce machin?", et ainsi
de suite sans discontinuer...
Jusqu'au moment où la visite arrive dans la
chambre des torpilles du sous-marin. Et comme depuis le début Toto a une
question pour le sergent qui commence à le trouver assez fatiguant:
- Dites
M'sieur, lorsque la torpille sort du sous-marin, comment se fait-il que l'eau
n'entre pas lorsque vous ouvrez la porte?
Et le marin de répondre:
- Et
toi petit, quand tu es dans ton bain et que tu pètes, est-ce que l'eau
rentre?
Du temps où l'armée ne recrutait pas encore parmi la gent féminine...
Un frère accompagnait
sa soeur qui voulait se déguiser en homme
pour se faire se faire recruter.
Le frère lui dit:
- Mais dis-moi, tu sais
que tu devras t'habiller avec les garçons et prendre la douche avec eux!
-
Oui, je sais
- Et tu ne penses pas quils vont découvrir le pot-aux-roses?
-
Si, mais qui parlera?
C'est
un sergent qui est en train de
s'exercer au tir avec son Famas.
Il est couché sur le sol et balance quelques
balles en coup par coup.
Lorsque le première classe Dutrou va contrôler les
cibles, il crie à lintention de son sergent:
- AUCUNE BALLE DANS LA CIBLE, MON
SERGENT
!
Alors le sergent regarde son arme... puis regarde la cible... puis regarde à nouveau son arme... puis encore la cible.
Ensuite, il met son index gauche
au bout du canon et à l'aide de son index droit, il presse la
détente.
Naturellement, son doigt est pulvérisé.
À ce moment là le sergent
hurle en direction du soldat:
- D'ICI ÇA PART CORRECTEMENT ! LE PROBLÈME
DOIT SE TROUVER LÀ-BAS !
Un
colonel prend ses fonctions dans un fort militaire
de l'Atlas (montagne du Maroc).
Ali, son aide de camp lui fait visiter les
lieux.
Puis, une fois à l'écart :
- Msieur le colonel, ti sais, les hommes
ji sais c'que c'est. Si ti a besoin, jti prête la chamelle.
- Ali, je suis colonel de l'Armée Française ! Je suis capable de me contrôler !
- Comme ti veux M'sieur l'colonel.
Un mois se passe.
Ali voit bien que le colonel, bien
qu'il soit de l'Armée Française, n'en est pas moins un homme.
Il lui propose à
nouveau la chamelle et celui-ci refuse, mais avec moins de véhémence.
Un
autre mois se passe.
Le colonel finit par trouver Ali pour lui demander la
chamelle.
Il part à l'écart du camp, fait s'asseoir la chamelle, se déculotte,
se place derrière la chamelle, mais celle-ci se lève et fait quelques pas.
Il
trottine, pantalon sur les chevilles, rejoint la chamelle, se remet en position,
et celle-ci avance à nouveau.
Le manège se poursuit, et au détour d'une dune, il rencontre Ali, plié de rire.
- Tu trouves ça drôle Ali?
- M'sieur
l'colonel ti as pas compris ! La chamelle, c'est pour aller au bordel
!!!
Toto fait son service dans un régiment d'infanterie.
Sa
soeur vient de mourir dans un accident de voiture, mais il ne le sait pas
encore.
Son colonel l'apprend via la brigade de Gendarmerie et fait appeler
l'adjudant de semaine :
- Adjudant Baudru !
- A vos ordres mon Colonel !
-
Oui, dites-moi Baudru, la soeur d'un de nos hommes est décédée ce matin.
Je vous ai
fait appeler pour que vous lui annonciez la nouvelle avec beaucoup de tact.
Toto est
un garçon sensible, et je suis sûr que vous saurez le ménager.
- A vos ordres mon Colonel !
Baudru sort du bureau du
colonel et fait sonner le rassemblement.
Une fois devant la compagnie
rassemblée, il vocifère :
- Les keusses dont la soeur est morte, un pas en
avant !
Personne ne bouge...
- Toto ! Vous m'frez quinze jours de trou pour non obéissance aux ordres !
L'art de la correspondance militaire:
"Me référant à votre lettre du..." devient à celle-là ou une autre, mais il faut bien
commencer par quelque chose.
"Urgent" devient j'aurai dû y penser plus tôt, mais maintenant
c'est vous qui êtes en retard.
"Transmis pour information" devient nous, on s'en fout, cela vous intéresse-t-il
?
"Transmis pour exécution" devient
démerdez-vous !
"La question est en cours d'examen" devient nous recherchons activement le dossier.
"La question fait l'objet d'un examen attentif" devient le dossier est définitivement égaré.
"Abordant la question sans idées préconçues" devient j'ignore totalement le sujet.
"Il y a lieu
de rappeler que..." devient je ne vous
l'avais jamais dit, mais je me couvre.
"Il est rappelé que... " devient si je ne l'ai pas dit, je le répète.
"En
temps opportun" devient aux calendes
grecques.
"Selon une opinion qui commence à s'accréditer" devient celle de deux officiers de mon service.
"Selon une opinion généralement admise" devient celle de trois officiers supérieurs de mon
service.
"A classer" devient vous
pouvez vous le mettre où je pense.
Un garçon de ferme un peu
benêt fait son service dans les paras.
Le
grand jour arrive : il va faire son premier saut en parachute.
Le sergent lui fait les
dernières recommandations avant le grand saut dans le vide:
- Tu vas sauter
en automatique.
Cest à dire que la tirette de ton parachute dorsal sera
automatiquement tirée lorsque tu sauteras hors de l'avion.
- Oui sergent.
- Cependant, si rien ne se passe, tu tireras la tirette de ton parachute ventral et tout ira bien.
-
Oui
sergent.
- Une fois que tu auras atterrit, un camion de ramassage passera te prendre pour te
ramener à la base.
- Oui sergent.
Alors la recrue respire un bon coup et se lance dans le
vide.
Mais au bout de 10 secondes, aucun parachute ne s'est ouvert.
Alors le
gars tire la poignée du ventral, mais là encore rien ne se passe. La
malédiction quoi.
Forcément, le gars regarde le sol arriver à vitesse grand V
et il se dit:
- Ouais. Au train où vont les choses, vous allez voir que le
camion de ramassage ne sera pas là lui non plus.
C'est l'histoire d'un type qui va s'engager dans la Marine.
Il
arrive à la caserne et là un Quartier Maître lui demande:
- Est-ce que vous savez
nager ?
Le type répond:
- Pourquoi il ny a pas de bateaux
?
Combien de temps ça prend à un flic pour faire une inscription sur un gâteau d'anniversaire?
- 6 heures et demie...
- Une demi-heure d'écriture, et 6 heures pour sortir le gâteau de la machine à écrire.
Pourquoi les généraux sont-ils si bêtes ?
- Parce qu'on les
choisit parmi les colonels. (Elle serait d'Anatole
France)
Trois groupes de militaires, de gendarmes et de policiers s'ennuyaient.
Ils décidèrent alors de faire un concours de chasse au plus gros lapin.
Les militaires partirent et ramenèrent un beau gros lapin d'un moins 3 kg.
Les gendarmes à leur tour ramenèrent aussi un lapin mais hélas d'à peine 2
kg.
Au tour des policiers. Une heure passée, deux heures passées... trois
heures, quatre heures...
Les militaires et les gendarmes commencent à
s'inquiéter et partent à leur recherche.
Ils les trouvent finalement autour d'un cochon qu'ils sont en train de passer à tabac, en le
bastonnant sans
merci et en répétant à tour de rôle: "Avoue que t'es un lapin !"
Cest le général en
chef des forces de l'ONU qui inspecte un régiment multinational.
Il
s'approche d'un soldat russe qui est au garde à vous raide comme un piquet.
Il
prend sa Kalachnikov et lui met un grand coup dans le dos.
Le soldat ne bronche
pas et le général lui demande :
- Tu as mal ?
- Niet Kamarade général.
- Pourquoi tu n'as pas mal ?
- Parce que les
soldats russes ne craignent pas la douleur.
Il sapproche alors de l'américain
prend son colt et lui met un grand coup sur la tête.
Le soldat ne bronche pas
et le général lui demande :
- Tu as mal ?
- No mon général.
- Pourquoi tu
n'as pas mal ?
- Parce que les soldats américains ne craignent pas la douleur.
Il sapproche alors du français, prend la
baïllonnette de son Famas et la lui plante dans le pied.
Le soldat ne
bronche pas et le général lui demande :
- Tu as mal ?
- Non mon général.
-
Pourquoi tu n'as pas mal ?
- Parce que je chausse du 39 et ces cons de
l'intendance mon donné du 44.
Un général et un amiral qui ne peuvent pas se blairer se retrouvent ensemble chez le barbier de l'état major chez qui ils se font raser tous les matins.
Tous les deux ont fini d'être rasé en même temps et le troufion qui rasait le général s'apprête à lui passer un peu
d'après-rasage...
mais le général s'écrie:
- PAS DE CE MACHIN SUR MOI
MALHEUREUX! SINON MA FEMME VA CROIRE QUE JAI ÉTÉ CHEZ LES PUTES...
Alors
l'amiral se tourne vers son troufion barbier et lui dit:
- VAS-Y TU PEUX M'EN
METTRE À MOI. MA FEMME NE SAIT PAS CE QUE ÇA SENT UNE PUTE!
Garde à vue à la PJ, salle des interrogatoires :
- Tu vas
avouer salopard !
Le type est assis sur une chaise au milieu de la pièce avec
les lampes allumées en plein dans la tronche depuis 12 heures.
Il est
impassible.
Tous transpirent sauf lui.
Le patron, The Boss, en a plein les
pompes :
- Bon les gars, je vais aller faire dormir les yeux...
tâchez de le faire avouer...
employez les grands moyens...
balancez lui les watts
plein la gueule...
il me faut ses aveux demain matin.
Le lendemain, le
patron, The Boss, entre dans la salle :
- Alors les gars... Il a avoué
?
- Ben patron... tout ce qu'il a avoué, c'est qu'il a été 10 ans gardien de
phare !
Ça se passe en
Corrèze. ;-)
C'est le grand jour car le fils
aîné d'une famille de paysans va à la ville passer les examens pour devenir
gendarme.
Il revient tout fier le soir :
- Papa, Papa j'ai été reçu, je suis
gendarme!
Le père:
- Milmiliardedvindiou faut fêter ça !!!
On va tuer l'cochon !!! Mais qu'est ce
qu'ils t'ont demandé ??
- Ils m'ont demandé combien faisaient 3x7 et j'ai répondu
20
- Mais cré nom d'une pipe 3x7 ça fait 21 !
- Peut-être papa, mais c'est moi
qui étais le plus près du résultat !
Un adjudant réunit sa section dans la cour de la caserne.
-
Rassemblement par ordre alphabétique, les plus petits devant !
C'est un amiral qui, après avoir sillonné 35 ans toutes les mers du globe, vient de prendre sa retraite en achetant pour l'occasion une belle propriété en Sologne dans laquelle il s'adonne sans compter à sa passion: La chasse.
Un
jour l'amiral invite un ami à chasser le canard.
Celui tombe en
admiration devant le chien de l'amiral, un superbe Labrador appelé "Chef" qui est capable
d'aller rechercher les canards au beau milieu d'un étang, qui marque l'arrêt à
la perfection et qui sait lever le gibier comme personne.
L'ami est
impressionné par les qualités étonnantes du chien. Aussi, l'année d'après, lorsque l'amiral
l'invite à nouveau à la chasse, il s'inquiète de ne plus voir le beau "Chef".
L'amiral lui répond en grommelant:
- J'ai du m'en séparer et en prendre un
autre.
- Et pourquoi donc?
- Il y a quelques mois, un général est venu chasser
le faisan avec moi.
Il ne se souvenait plus du nom du chien, et pendant toute
une
journée, il n'a fait que l'appeler "Colonel"
À la fin de la journée, le chien ne
savait plus rien faire d'autre que de rester assis sur son cul à aboyer.
Dans une caserne, plusieurs appelés rentrent en retard de leur permission.
Le commandant appelle le premier
- Alors ptit gars, motif du retard ?
- Ben mon commandant, vous allez rire, je suis fiancé à une fille de la campagne et là- bas, cest pas comme chez nous, on discute, dot ...
Enfin bref, on a tellement discuté avec le beau père qu'on a pas vu l'heure passer. Alors le beau père m'a ramené au galop à la gare, avec la charette et le cheval, mais bon voilà, à cent mètre de la gare, le cheval qui était vieux est mort, j'ai raté mon train à quelques secondes et y'en a qu'un par jour.
Ému le commandant passe l'éponge et appelle le deuxième
- Alors ptit gars, motif du retard ?
-
Ben mon
commandant, vous allez rire, je suis fiancé à une fille de la campagne et là-bas, c'est pas comme chez nous, on discute, dot ... Enfin bref,...
le beau
père ...
a pas vu l'heure passer. ..
m'a ramené au galop à la gare, avec la
charette et le cheval, mais bon voilà, à cent mètre de la gare, le cheval
qu'était vieux est mort, j'ai raté mon train à quelques secondes et yen a qu'un par
jour.
-
Bon... admettons.
Et il passa au troisième.
- Alors ptit gars, motif du retard ?
- ...
commandant, ...
rire, je suis fiancé ...
fille
...
campagne ...
pas comme chez nous, discute ...
dot ... Enfin
bref,...
le beau père ...
a pas vu lheure .....
ramené ...
à la
gare, avec ...
charette ...
cheval, mais ...
cent mètre ...
gare, le
cheval ...
vieux ...
mort, ...
raté mon train à quelques secondes et
yen a qu'un par jour.
Et ainsi de suite jusquau 30ème qui rentre.
- Bon alors
????
- Ben mon commandant...
- Je sais... je vais rire, vous êtes fiancé à une fille de la campagne...
- Oui mon commandant
- Là-bas on prend le temps de discuter et vous navez pas vu lheure passer...
- oui mon commandant
- Alors votre beau père vous a ramené à la gare...
- Oui mon commandant
- Mais bon voila, le vieux cheval est mort à cent mètres de la gare...
- Euh ???? Non mon commandant, mon beau père na pas de cheval il à une 4L
- Alors vous, vous navez aucun motif, petit salopard !
- Ben cest que ... vous allez rire mon commandant, à cent mètres de la gare il y avait un tas de chevaux morts au milieu de la route...
Le produit du grade par le travail est une constante.
Cest un adjudant chef qui est à son bureau,et qui attend que la journée se passe.
À un moment, une araignée sort de son tiroir et commence à se balader sur le bureau.
Il la regarde puis faisant le premier effort de la
journée,il va pour l'écraser...
et puis en fin de compte, il la laisse en
paix.
C'est alors que l'araignée se transforme en une superbe fée qui lui
dit:
-Tu m'as épargnée, tu auras 3 voeux
Il réfléchit un instant.
-
Ok, je
veux être sur une plage avec les 1000 plus belles filles de la terre
POUF, il se retrouve immédiatement sur une plage du Pacifique entourés de superbes filles
Bien.
-
Quel est ton 2ème voeu ?
- Je voudrais de la bière jusquà la fin de
ma vie
POUF, des camions remplis de fûts de bière sont alignés en rang dans un coin de la plage.
-
Et maintenant ton dernier voeu?
- Je voudrais ne plus rien
faire de ma vie
POUF, il se retouvre assis à son bureau.
Le
Para selon E. Bergot :
Le para ne porte pas de béret
rouge, il arbore un béret amarante.
Le para ne dort pas, il récupère.
Le
para ne mange pas, il restaure ses forces.
Le para ne boit pas, il se
désaltère.
Le para n'avance pas, il progresse.
Le para ne monte pas à
l'assaut, il bondit.
Le para ne fuit pas, il se replie en combattant.
Le
para ne se planque pas, il manoeuvre.
Le para ne s'abrite pas, il se
camoufle.
Le para ne rampe pas, il utilise le terrain.
Le para ne tire
pas, il rafale.
Le para ne conte pas fleurette, il évoque ses campagnes.
Le para ne saute pas, il passe la portière.
Le para ne saute pas au
combat, il plonge dans la mêlée.
Le para n'a jamais peur, même s'il lui
arrive de baliser parfois.
Le para n'a pas d'opinion, il n'a que des
certitudes (qu'il est le meilleur par exemple).
Le para ne méprise personne,
il lui arrive d'admettre qu'il puisse exister d'autres bataillons paras que le
sien.
Le para ne joue pas des coudes, il roule les mécaniques.
Le para
n'est pas immodeste, il a tout simplement conscience de sa valeur.
Le para
n'est pas un héros, il est para, ce qui ne veut pas dire la même chose.
Le
para n'a jamais de rhume de cerveau, il a des crampes aux mollets.
Le para
ne meurt pas, il exécute son ultime saut.
Le para ne va pas au ciel, il y
retourne.
Et d'ailleurs, un para est un para, et réciproquement.
P.S.: La Marine possède elle
aussi des unités para.... ;-)
Un adjudant est au pied d'un arbre où sont embusqués des soldats.
-
Combien êtes-vous là-haut?
- Trois, mon adjudant !
-
Bien, que la
moitié descende.
C'est un para en plein exercice de camouflage en forêt.
Celui-ci
- qui sétait déguisé en tronc arbre - abandonne soudainement son poste à un
moment crucial des manoeuvres.
Le sergent l'engueule un bon coup et lui demande
pourquoi il a quitté son poste:
- Espèce de sagouin!
Tu te
rends compte que tu as mis en danger non seulement ta vie mais aussi celle de
tous tes copains de la compagnie?
Au combat, l'ennemi nous découvrait tous par ta faute!
As-tu une explication pour ta conduite?
- Oui sergent:
Autant je n'ai
pas bougé d'un poil quand un couple de pigeons m'a pris pour cible.
Autant je
n'ai rien dit et je suis resté immobile quand jai vu un serpent ramper à mes
pieds.
Autant
je n'ai rien fait quand vous m'avez pissé dessus.
Mais quand ces deux écureuils sont rentrés dans mon treillis et que
j'en ai entendu un dire: "Mangeons en une tout de suite et gardons l'autre pour cet
hiver" là j'ai craqué!
Deux sous-marins nucléaires font surface côte à côte au large des côtes cubaines.
L'un est
russe et l'autre
américain. Non ce ne sont pas l'Octobre Rouge et l'USS Dallas
;o)
Les deux commandants apparaissent sur le kiosque de leur sous-marin et
engagent la conversation:
- Tovarich Amerrrikan! Ca fait du bien de respirer un
peu d'air frais après une année en plongée. Nous les russes, nous faisons
décidément de bons sous-marins.
- Ce n'est rien, répond l'américain sans
se démonter. Nous
venons de faire surface alors que cela faisait deux ans que nous étions en
plongée!
Et à ce moment là, un troisième sous-marin fait surface entre les
deux autres...
Un commandant barbu sort sur la baignoire et lance :
- Heil Hitl**! Y-a-t-il un endroit
pour refaire le plein par ici ?
La troisième guerre mondiale a éclaté.
L'Armée
de Terre a
trouvé le moyen d'inventer un ordinateur ultra puissant, auquel les généraux
doivent soumettre un problème tactique particulièrement ardu.
Lui ayant fait
ingurgiter les données, ils posent la question fatidique :
Faut-il attaquer
ou sonner la retraite ?
L'ordinateur émet quelques cliquetis, une série de
bips, ses diodes se mettent à clignoter en pagaille et soudain, la réponse jaillit :
-
OUI.
Les généraux se regardent, perplexes.
L'un deux décide d'agir :
Il sapproche
du clavier et tape une autre question :
- Oui quoi ?
L'ordinateur répond,
instantanément :
- OUI MON GÉNÉRAL !
Le ministère de l'Intérieur veut savoir qui - des trois organismes qu'elle finance pour apréhender les criminels - est le plus efficace.
Il est décidé de
procéder à un test grandeur nature.
On lâche donc dans 3 bois différents un
lapin.
Charge à chacun de retrouver le lapin en question dans son bois.
-
Les espions de la
DST placent des micros, engagent des lapines bien roulées, soudoient des
renards, truffent des carottes et font de l'intox dans les clairières.
Après 3 mois d'enquête, ils concluent
"l'affaire est close, ce lapin n'a jamais existé".
- Le GIGN arrive, encercle
le bois, fait une sommation rapide et mitraille tout, fout le feu au bois,
vaporise toute trace de vie.
Tout fiérots et sans s'excuser (alors qu'une
certaine presse prétend avoir les photos du lapin les bras en l'air) ils arborent le cadavre carbonisé du lapin et déclarent : "mission
accomplie".
- La police arrive avec son panier à salade, fait une rafle dans
une clairière et se ramène le lendemain matin avec un blaireau bien amoché qui
dit : "Ok, d'accord, je suis un lapin."
Comment reconnait-on un Belge dans un sous marin ?
... C'est le seul avec un parachute !
Comment reconnait-on un Suisse dans un sous marin ?
... C'est le seul qui court après le belge pour lui prendre son parachute !
Proposée par Le Foudroyant
AUTHENTIQUE :
Un maréchal Russe est en visite en France.
Il passe en revue nos troupes, puis rencontre un capitaine et lui demande son âge:
- 35 ans.
-Vous savez qu'à votre âge, j'étais déjà général ? dit le Russe.
-Oui, et Napoléon était déjà maître de l'Europe à mon âge, répondit le Français.
Le Russe prit bien cette réponse.
Proposée par Laurent
C'est deux types pleins comme des outres qui sont à l'arrêt de bus cramponnés au poteau.
Le bus arrive, et nos deux compères se hissent péniblement à l'intérieur du véhicule.
A l'intérieur se trouvent trois matelots et un aspi qui les regardent d'un air amusé.
Le premier de nos deux buveur s'adresse à son copain avec un air paniqué :
- Hé, Raymond descend vite, on en tient une trop sévère, on s'est planté, on est monté sur un bateau de guerre ! ....
Proposée par Bruno Cervara
Cette histoire est donnée pour vraie :
Transcription d'une communication radio entre un bateau de
la US Navy
et les autorités canadiennes, au large des côtes de Newfoundland en Octobre 1995.
Américains : - "Veuillez vous dérouter de 15 degrés Nord pour
éviter une collision - A vous".
Canadiens : - "Veuillez plutôt vous dérouter
de 15 degrés Sud pour éviter une collision - A vous".
Américains : - "Ici le
capitaine d'un navire des forces navales américaines.
Je répète "veuillez
modifier VOTRE course - A vous".
Canadiens : - "Non, veuillez VOUS dérouter
je vous prie - A vous".
Américains : - "ICI C'EST LE PORTE AVIONS USS
LINCOLN, LE SECOND NAVIRE EN IMPORTANCE DE
LA FLOTTE NAVALE DES ETATS UNIS D'AMERIQUE. NOUS SOMMES ACCOMPAGNES PAR 3 DESTROYERS,
3 CROISEURS ET UN NOMBRE IMPORTANT DE NAVIRES D'ESCORTE. JE VOUS DEMANDE DE DEVIER VOTRE
ROUTE DE 15 DEGRES NORD OU DES MESURES CONTRAIGNANTES VONT ETRE PRISES POUR ASSURER LA
SECURITE DE NOTRE NAVIRE. A vous".
Canadiens : "Ici c'est un phare. A vous".
Proposée par BE
CDans la Marine on salue tout ce qui bouge... et on peint le reste !
Proposée par Cactus4
Vous avez une histoire drôle sur la Royale ou sur les autres corps d'armée ??
>> ENVOYEZ MOI SIMPLEMENT UN MAIL ICI ( sub_scope@yahoo.fr ) <<
Elle sera publiée le plus rapidement possible ;o)