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.. Francis Marganne à Paris ..
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Table des éditoriaux
 1 : J'ai survécu au CANCER de la gorge.
 2 : Qui plantera en France des arbres qui ne brûlent pas ?
 

 

 1 : Yikingday jeudi 9 mars 2012 : J’ai très bien survécu au cancer de l’œsophage.

Hypothèses innovantes issue de l’angiologue et des recherches scientifiques de l'épigénétique. MAJ du quarto et conclusions 30 mars 2012.

Primo : allons pas à pas dans ce domaine touffu. Il faut faire appel à un spécialiste angiologue pour quelques explications à propos de l’angiogenése. L’angiologue est un spécialiste des vaisseaux sanguins de notre organisme. Prenons un exemple où un angiologue vous explique le comportement naturel de l’organisme lors d’une blessure comme une coupure au doigt, au bras ou jambes. Grâce à Pasteur on aseptise la blessure, puis avec compresses ou agrafes on en rapproche les parois. En suite on attend tout bonnement que cela cicatrise. Il y a toutes les chances depuis bien longtemps que cela va cicatriser, n’est il pas ? L’angiologue explique que les vaisseaux sanguins capillaires (fins comme des cheveux) ont naturellement le génie de se reconnecter les uns au autres à travers les parois remises en contactes par compresses ou agrafages. Puis lentement le phénomène de reconnections des vaisseaux capillaires au moyen de la reproduction de cellules s’arrête en laissant une surépaisseur au niveau de la peau, c’est la cicatrice attendue sans opération ou action supplémentaire. C’est ce phénomène génial et intégralement naturel qui se nomme angiogenése. Reproduction automatique des cellules de chair au bords de la blessure pour reconnecter la continuité des vaisseaux capillaires. Par la suite l’angiogenése s’arrête d’elle-même, la surépaisseur aussi et même diminue car la peau reconstitue son enveloppe naturelle plus lisse, Tout le monde sait de quoi on parle sans en connaître le nom barbare d’angiogenése ? Soit une génération et reproduction des cellules des mammifères après une blessure pénétrante de l’épiderme et du derme. En effet je vous demande qui n’a pas eu, sans pour autant s’inquiéter, une cicatrice, surépaisseur de la peau, à la main ou autre part de son épiderme de mammifère ? Le tout est clair, alors nous allons passer à la « vacherie du cancer ».

Deusio : j’ai eu un cancer à l’âge de 60 ans et j’en ai maintenant 72. Cela s’est déclaré très simplement au moment banal où je déglutissais ma salive comme cela arrive plusieurs fois dans la journée. Quand la salive descend, la trachée artère se ferme au niveau de l’œsophage et la saline est envoyée vers l’estomac au lieu des poumons. C’est d’une simplicité enfantine et réflexe. Mais brusquement, un jour de mes 60 ans, cette banale déglutition m’a surprit au plus haut point. Au moment même où la salive passait au niveau de l’œsophage, une douleur violente et inattendue se produisit au niveau de la pomme d’Aden. Cela ressemblait à une pression horizontal d’un couteau aiguisé à l’intérieur du cou au niveau de l’œsophage. Toutes les déglutitions suivantes produisaient la même douleur virulente à l’intérieur du cou au moment du passage de la salive vers l’estomac. Il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour que je comprenne que j’avais le début d’un cancer au niveau de l’œsophage. Plusieurs tours sur le web m’ont convaincu que la cautérisation par les rayons laser n’était pas une mince affaire, loin de là. Je fume depuis l’âge de 15 ans, donc rien n’était insolite. Le diagnostic d’un début de cancer me parut évident et même flagrant. Une connaissance de bar montrait son trou dans la tranchée artère pour mieux respirer. Il avait grande difficulté à se faire comprendre par un parler désarticulé car ses cordes vocales avaient été amochées par les rayons laser. Je n’osais pas lui demander comment cela se passait pour manger mais je craignais le pire. Je comprenais que le traitement des rayons avait consisté à découper des morceaux de chair en trop en cette localisation. Cela était bien une angiogenése galopante au niveau du branchement de la trachée artère, une cicatrisation qui ne s’arrête pas et encombre par son épaisseur les voies air et aliment. Pour le moment j’avais la douleur d’une blessure ouverte mais je commençais à craindre l’arrivée plus que plausible d’un traitement aux rayons pour faciliter le passage de l’air et des aliments. A l’époque j’étais en relation pair mail avec un suisse de Lausanne. La réponse à mes inquiétudes fut totalement inattendue de ma part. « Le cancer c’est rien du tout, un remède existe en gouttes en Suisse du nom de COBRALACTIN en vente sans ordonnance dans les pharmacies et pas cher ». Je tombais des nues avec mes bottes. Par la suite, mon ami suisse ayant passé la frontière m’indiqua que ce remède n’était pas dans les pharmacies françaises à cause d’un problème de manque d’AMM (autorisation de mise sur le marché de l’organisme afssaps, agence française de sécurité des produits de santé). Je me débrouillais avec une grande pharmacie de Lausanne pour me faire parvenir 3 flacons de gouttes insipides de 50 ml à 20€ pièce. Donc 15 jours après je prenais chaque jour 15 gouttes à jeun matin, midi et soir. Après 2 semaines la douleur violente commença à légèrement diminuer et 2 mois après elle avait disparue complètement à chaque déglutition de ma salive. Je continuais le traitement jusqu’à 3 mois histoire de m’immuniser pour une dizaine d’années comme me disait la notice. Depuis je parle clairement, je mange et je bois très naturellement, et je continue un peu à fumer avec grand plaisir et mes septante deux ans de parisien.

Tertio : Revenons à la définition la plus notoire, compréhensive et connue sous le nom trivial du CANCER. Il y a "mutation du matériel génétique de la reproduction des cellules de l'organisme du phénomène dit de l’angiogenése". Ainsi toute blessure peut se transformer en cancer. Cela devient une multiplication des cellules qui s’organisent pour créer des vaisseaux capillaires supplémentaires qui eux même organisent une multiplication de cellules. Ainsi des excroissances de chair commencent à se produire. Cela devient petit à petit une angiogenése galopante. Production de cellules, production de vaisseaux capillaires, etc. c’est un cercle vicieux. Nous sommes dans un cycle lent mais sans fin. La blessure devient une tumeur qui automatiquement va grossir si on ne fait rien pour assagir ses ambitions génétiques de continuer à le faire. De plus pour le cancer et les tumeurs cancéreuses cela se produit principalement à l’intérieur de l’organisme dans un milieu très aqueux et sanguin. Une blessure dans un milieu aqueux a déjà des difficultés à se guérir. C’est là où une nouvelle science nommée épigénétique va peut être nous éclairer. Par la télévision il y a quelques années j’ai été très surprit par une émission de vulgarisation sur l’épigénétique. Tout d’abord j’ai appris avec surprise que la duplication d’une cellule de l’organisme humain n’était pas du tout instantanée comme on me l’avait enseigné depuis des années. Cette réplication d’une cellule ancienne en une nouvelle demande un « certain temps » évalué à 5 minutes. On est dans une histoire de Fernand Reynaud à propos du temps qu’il faut au fut du canon pour se refroidir, n’est il pas ? La principale raison de cette longue durée viendrait de la duplication de l’échelle des couples de gènes de l’ADN. Cette échelle serait si mes souvenirs sont exacts d’environ 3 milliards de barreaux (chaque couple de gènes).

·         A titre de comparaison, une page A4 peut contenir en tassant bien 6000 caractère de police 10 (60 lignes de 100 caractères), alors pour représenter 3 milliards de barreaux, de couples de gènes par caractère, il faut 500.000 pages A4 de 6000 caractères par page, soit une pile de pages de 50 mètres de hauteur. Cela est la démonstration à l’évidence que ce n’est pas instantané et que 5 minutes est relativement rapide.

Revenons aux découvertes des laboratoires médicaux de recherches des mutations génétiques. Des épiphénomènes nommés épigénétiques peuvent inverser la séquence de 2 couples contiguës de gènes durant la reproduction lente de cellules humaines ou des mammifères. Cela contribue à créant par ce désordre une maladie ou un malaise ou même un changement inoffensif de fonctions antécédentes de l'organisme. Cela peut se produire comme le constate certains labos spécialisés en 'épigénétique'. Ce désordre, inversion de la séquence de 2 couples de gènes dans une nouvelle cellule peut arrivé comme conséquence d’un stress, de période de famine, d’alimentation inadéquate, ou d’autres phénomènes graves de la vie. Ces nouvelles cellules peuvent se reproduire elle-même avec l’erreur et ainsi de suite se propager dans l’organisme impliqué. Mais on constate aussi que certaines nouvelles cellules avec erreur peuvent aussi se reproduire en éliminant l’erreur ! C’est la notion basique et curieuse d’épiphénomène provenant du terme épiphénomène. Les 2 couples contiguës de gènes se remettent alors dans le bon ordre (ainsi comme en arithmétique l'organisme vérifierait et corrigerait une opération au moyen du résultat obtenu par une preuve par 9 de mon enfance). Et ainsi les nouvelles cellules ne portent plus les stigmates d’une maladie et d’un mauvais fonctionnement de l’organisme. L’épigénétique devient une source fondamentale des maladies ou des désordres de l’organisme. Une mauvaise reproduction de cellules qui se propage et aussi la notion d’épiphénomène qui rétablie les cellules dans une bonne reproduction de leurs ADN sans inversion de couples de gènes.

Quarto : avec le cancer on est dans le cœur du sujet de l’épigénétique. On attend que l’angiogenése s’assagisse et même s’arrête et rien ne se passe comme il faudrait. L’ADN des cellules qui se reproduisent sont entachées d’épigénétique. On peut dire que sous l'effet du stress occasionné par une blessure les nouvelles cellules environnantes de l'organisme ont un changement naturel et épigénétique d'ADN pour se reproduire à foison. Mais malheureusement cet épiphénomène, disons naturel dans ce cas, ne revient pas à l'état antérieure et le début naturel de tumeur devient cancéreuse. Puis la reproduction de cellule devient localement invasive. Il n’est pas question ici de virus ni de bactéries. Il est simplement fonction d’un comportement imprévu de la reproduction des cellules. L’angiogenése sur une blessure accélère la reproduction de cellules pour créer des vaisseaux sanguins capillaires réparateurs de la blessure ; ensuite tout le système s’emballe et le processus ne se calme pas. Alors les rayons (cautérisation, ablation) et la chimiothérapie (bombardement allopathique de toutes les cellules de l'organisme entier) intervient à la louche, et semble faire plus de mal que de bien, sans parler de la lourdeur envahissante des traitements pharmaceutiques très onéreux. C’est la raison pour laquelle j’ai choisit sans hésiter le COBRALACTIN recommandé par mon ami suisse en lieu et place de ce que me proposait tyranniquement les hôpitaux et la médecine française de l'afssaps. Jusqu’à présent j’ai eu parfaitement raison et j'ai été immunisé pendant 10 ans.

Conclusions :

·         Se procurer Dr. Reckeweg R17 Cobralactin (Gouttes contre toutes tumeurs) sans ordonnance en pharmacie en Suisse ou en Belgique. Trois flacons de 50 ml coûtant environ 20€ chacun. Prendre à jeun de 20 minutes : 15 gouttes matin, midi et soir.

·         Composition 10 ml : Acidum lacticum D4 1 ml, Cobra = Naja tripudians D6 1 ml, Scrophularia nodosa D2 1 ml, Ethanol 2 ml, Aqua pur. 5 ml. Un pharmacien français peut très bien vous fabriquer ou vous faire fabriquer des flacons de 50 ml.

 

 2 : Yikingday jeudi 2 février 2012 : Qui plantera en France des arbres qui ne brûlent pas ?

avis a qui veut propager cette ideeLe Séquoia appelé "REDWOOD" en Californie au sud de San Francisco, ne brûle pas ! ! !  MAJ 15 fév. 2012

Cet arbre géant poussant rapidement qui ne brûle pas facilement quand il est sur pied, car la texture de son tronc est gorgé d'eau et éteint régulièrement son écorce épaisse et sèche enflammé par un incendie de forêt.
Anti-Incendie et coupe feu à implanter dans le sud de la France et en Corse. Car son tronc est gorgé d'eau par des racines profondes dont la pousse est rapide; de plus une forte ombre étendue opère un débroussaillage naturel. Cela demande des explications et des témoignages pour concrétiser le sujet de ces arbres qui regroupés en bosquets allongés  constituent des barrages évitant naturellement la progression des incendies de forêts.

Durant mes voyages en Californie j'ai visité avec grand intérêt le "Redwood State Park". Il est un parque écologique au sud de San Francisco le long  de la côte du Pacifique. Les guides forestiers sont compétant et aimables. La région s'appelle "Bay area".  C'est une chaîne de basse montagne s'élevant au dessus des rives de l'océan. Ces montagnes de basse altitude, le "Redwood State Park" servent d'une sorte de paravent des vents du Pacifique à la fameuse "Silicone vallée" qui est installée plus dans les terres. La forêt de "Redwoods" (bois rouge, sequoiadendron giganteum) s'étale ainsi comme un plateau sur une centaine de kilomètres le long de la côte pacifique. Ces séquoias sont impressionnants. Ils poussent droits vers le ciel. Ils n'ont pas branches basses dans le premier quart ou le premier tiers de leurs troncs. Ainsi ils se présentent pour les visiteurs comme des couloirs écologiques verts et agréablement frais sous le soleil d'été de la Californie. Dans cette atmosphère fraîche les branches touffues en hauteur empêchent de beaucoup les broussailles de pousser et de gêner la promenade des visiteurs. Ce sont des lieus très agréable en été pour un moment de détente à l'air et au frais. Il y a plusieurs accès bien organisés pour les voitures au "Redwood State Park".

Sur une lisière des bois vers le Pacifique j'ai constaté en me promenant des faits insolites auxquels je ne m'attendais pas. La première fut un séquoia juste abattu de la veille par les forestiers. Là j'ai compris pourquoi on les nommait arbres rouge. Je pouvais voir et toucher l'intérieur du tronc dont l'écorce épaisse et rugueuse avait été enlevé par la ache des forestiers. La texture du tronc était d'un beau rouge orangé. De plus cette texture était grossièrement ligneuse, souple et se laissant arracher par poignées d'épaisses fibre à ma main. C'étais la première fois de ma vie que, comment dire, j'épluchais à la main des fibres d'un tronc gorgée d'eau. Cette texture fibreuse était vraiment gorgée d'eau comme une très grosse éponge rouge et fibreuse. Néanmoins on pouvait se douter que la profusion d'eau allait disparaître en séchant. De très nombreuses habitations des faubourgs de San Francisco sont construites en bois séché, légèrement gris, provenant des Redwoods qui ont perdus la couleur rouge orangé par le séchage. Le séquoia est un bois grossier qui fournit essentiellement du bois de charpente, des cloisons et tuiles d'étanchéité.

La seconde surprise m'attendait un peu plus loin sur une orée de la forêt de la forêt de séquoias. Je pouvais voir plusieurs séquoias attaqués par un feu récent venant de broussailles bien cramées sur la légère pente du versant de l'orée. Cela n'était pas étonnant car l'orée était orientée vers l'ouest sous les vents soutenus venant de l'océan Pacifique. L'écorce épaisse, sèche et rugueuse des arbres était brûlée sur un coté, sur le flan face à la légère pente de broussailles d'épineux et buissons à l'ouest. Les broussailles avaient bien cramées. La rude et épaule écorce des séquoias avait bien brûlée du coté des buissons cramés eux aussi. Le tronc imprégné d'eau avaient été attaqués par le feu de l'écorce mais sans plus; le tronc n'avait pas cramé. De sorte que les séquoias en orée de forêt étaient bien debout avec une écorce cramée d'un côté et jusqu'à mi-hauteur de l'arbre. On pouvait constater que 90% des arbres de l'orée n'avait pas brûlé comme des pins résineux l'auraient fait en ce même endroit, au bord de nombreux épineux très inflammables. Les arbres séquoias étaient finalement un peu blessés. Principalement le tronc des séquoia était à 90% intacte et le tronc ne s'était pas consumé. Il se tenait bien debout, son écorce n'avait brûlée que d'un coté et plusieurs branches au dessus aussi. Sur l'orée on voyait bien que les séquoias avaient constitués une sorte de mur par feu à l'incendie galopant des broussailles d'épineux. Comme de plus sous l'ombre des séquoias les buissons ne développent pas ou très mal, l'incendie avait eu grand mal à se propager sous le sol par les racines. L'ombre puissante des branches en hauteur des séquoias opère un débroussaillage écologique naturel aux pieds des troncs. Nota Bene : certaines graines d'espèces de séquoia ne germent que si leurs solides cosses sont exposés un peu de temps à un incendie. Mais j'ai oublié de la demander aux forestiers de Californie.

                    Tonton7@noos.fr j'attends vos opinions et à qui s'adresser.
 

 

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