L'anniversaire de Caligula FRH
Les dessous de l'affaire des petites culottes
L'Enigme du Mont Palatin


Yvus Rognus qui a l'habitude de se vanter au sujet de ses exploits amoureux s'approche de Caligula et lui dit :
- Par Carambar ! toutes les femmes sont folles de mon corps.
- Par moi-même ! répond Caligula. Nous sommes au moins deux. Moi, aussi je les rends dingues. Elles n'en peuvent plus quand je jette mon dévolu sur elles... Tiens, pas plus tard qu'hier Maria Claudia, la pilierissime Maria Claudia, a frappé plus d'une heure à la porte de ma chambre ! Elle suppliait, la cochonne lubrique, que je lui ouvre... Hé bien, je te jure, par moi-même, que je ne l'ai pas laissée sortir !

Caligula   "Oderint dum metuant."

Afin que les générations futures aient la meilleure vision possible de cette époque formidable, il est de mon devoir de rétablir la vérité historique en complétant cette anecdote plutôt résumée.

Yvus Rognus qui a l'habitude de se vanter au sujet de ses exploits amoureux, ne trouvant personne d'autre à qui parler, se résigne à s'approcher de Caligula et lui dit :
- Par Carambar ! toutes les femmes sont folles de mon corps.
- Par moi-même ! répond Caligula. Nous sommes au moins deux, mais moi, c'est dans mes rêves ... Moi, aussi je les rends dingues, à ma manière. Elles n'en peuvent plus quand je jette mon dévolu sur elles... Vus mes 124 kilos, je les comprends quand elles me disent que suis lourd !. Tiens, pas plus tard qu'hier Maria Claudia, la pilierissime Maria Claudia, a frappé plus d'une heure à la porte de ma chambre ! Elle suppliait, la cochonne lubrique, que je lui ouvre... Hé bien, je te jure, par moi-même, que je ne l'ai pas laissée entrer : elle voulait me casser la gueule parce que je lui avait piqué une petite culotte en dentelle. Je voulais seulement pouvoir rêver qu'elle l'avait laissé chez moi après une nuit torride ... C'est pas juste !
La vérité devait être rétablie.
Maria Claudia


 
Maria Claudia me trouve bien pesant.
(Cent vingt-quatre kilos nous dit-elle en passant.)
Crénom et putain con ! C'est d'une Phocéenne
De tout exagérer. Était-ce une murène
Ou bien une sardine, ô ciel, je ne sais trop,
Qui du Vieux Port bloqua l'accès à tout cargo ?
Voilà de quoi l'on rit dans les bars de Marseille
Où un fait anodin se transforme en merveille.
A moins que ce fût l'effet de mon humour 
Qu'elle voulut taxer, sous ces kilos, de lourd.
Mais notre Marie-Claude emprunte sans vergogne
Des perles sur un site envié d'Yves Rogne.
Est-ce sens de l'humour qu'un trésor emprunté ?
Non ! C'est donner raison à un sot perroquet.
 
Caligula   "Oderint dum metuant."


 
Marie-Claude ne peut aller sur Internet
Ni poster le week-end ? Il faut piger. C'est net !
Ses employeurs rusés ont dû, vaille que vaille,
Empêcher cet accès afin qu'elle travaille.
Songez donc, en effet, combien leur coûterait
Une informaticienne au modem satisfait !
Elle irait, gratis, voyager sur les sites,
Resterait plus longtemps que les heures prescrites,
Non pour faire du zèle ou finir un labeur...
L'imaginerait-on commettre cette erreur ?
Mais les blagues qu'ici Marie-Claude balance
Sentent l'emprunt. Pourquoi nie-t-elle l'évidence ?
NTK :

Marie-Claude, notre rival, 
Fred le Provençal 
A-t-il réussi à te découvrir ?

Caligula bouillant du désir
De te baiser (les genoux) 
Est triste et jaloux.
 
 

Caligula   "Oderint dum metuant."

(Un frhien que je laisserai dans l'anonymat avoua que son poème posté pour Marie-Claude n'avait en fait pas été écrit pour elle, mais n'était que le copier/coller d'une vieillerie.)

Donc pas pour moi ! Sniff, moi qui croyais inspirer les poètes romantiques en plus de ceux de la Rome Antique.

Marie-Claude, Muse au chômage


*        *        *

Que nenni Marie-Claude ! Une Muse au chômage
Dites-vous ? J'en frémis. Recevez cet hommage
Que ma plume empressée aura vite tracé
Sur le blanc parchemin de mon cœur empourpré.
Vous le savez bien que nulle flatterie
Ne pourra remplacer les cris de ma folie.

Grands dieux ! Mon trouble est grand et mes tourments profonds
Dans l'immense frayeur, où nu je me morfonds,
Quand l'ombre de la nuit sur les marbres de Rome
Glisse son noir manteau mouillé de cinnamome.
 Bondissant de mon lit je parcours les corridors
Hantés par la terreur de mes nombreux remords
Qui dépêchent mes pas vers la haute terrasse
Couvrant le Palatin où Elle se prélasse.

Marie-Claude allongée auprès d'un blanc autel
Éclairé par les feux d'un rayon éternel
Et sélénite et bleu se love sur sa couche
En un long abandon qui m'émeut et me touche.

Mais lorsque de mon pas lent et silencieux
Je m'approche calmé à n'en croire mes yeux…
Tout alors disparaît dans un feu d'étincelles
Pour laisser à mes pieds un tissu de dentelles.:-)
 
 
 
 
 

Caligula   "Oderint dum metuant."

Malgré son air plus que sévère,
Caligula manie les vers.
C'est un régal pour mon esprit
Qui croit ainsi au paradis.
Continue, Ô mon empereur,
Et montre encore ta valeur.

Marie-Claude, Muse qui s'amuse

(Lors d'un défit proposé par Marie-Claude sur le thème de "O rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie", nous pûmes lire ce qui suit.)
 
- Version "Pour Caligula" :

O mage, ô gloire à Caligula mon ami
Ai-je vraiment vécu avant de lire tes écrits ?
 

Marie-Claude
- Version "Regrets éternels":

O rage, ô désespoir, ô seins de ma ribaude !
Pourquoi n'ai-je vécu auprès de Marie-Claude ?
 

Caligula


- Version amoureux transis avec un rival :  ;-)
 
Volage Marie-Claude, Toi mon inspiratrice,
N'ai-je donc tant écrit que pour cette injustice,
Et ne me suis-je fendu de rimes impromptues
Que pour voir mes efforts demeurer méconnus ?

Otage d'un coeur noir, Ô toi mon égérie,
Penses-tu que vraiment il est de toi épris ?
Et dois-je encor jeter quelques vers à tes pieds
Que pour voir ce César récolter les lauriers ?

A vous lire on dirait une idylle naissante,
Mon coeur en est serré de jalousie blessante.
Pourquoi faut-il que seul à tes yeux trouve grâce
Ce cruel Empereur et ses propos salaces ?

C'est sans pudeur aucune qu'il évoque tes seins,
Il vole tes culottes, mais quel est son dessein ?
Caligula n'est point digne d'écrire une ode
Lorsque négligemment il t'appelle "ribaude".

Bon, je ne vais pas faire plus long car vous allez finir par bailler... ...aux corneilles.
 

Yann Gaudy   "Homo homini lupus"

Connaissez-vous l'origine du mot croque-mort ?
La recherche dans les textes en vieux français, permet de trouver la réponse.
Dans les temps anciens, pour s'assurer qu'une personne était bien décédée, l'usage voulait que la personne en charge de cette vérification, le croque-mort donc, mordait violemment un des doigts de pied de la victime (en général un gros orteil) ; si rien ne se passait, la mise en terre était inéluctable.
Cette fonction de croque-mort, qui était en fait une vraie charge, (comme pour les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps. Or il arriva une 1ère catastrophe : le dernier croque-mort, bien qu'ayant eu de nombreux enfants, n'eut aucun garçon. Sa fille aînée reprit donc sa charge, après réunion et aval favorable du conseil des sages compétent dans ce type de question. Et seconde surprise, la première victime qu'elle eût à traiter avait une grave maladie, qui l'avait conduite à être amputée des deux pieds... Pire encore, la gangrène l'avait en partie gagnée et on lui avait coupé les deux jambes jusqu'à hauteur des cuisses...  La jeune fille examina la situation.. et mordit donc avec précaution le premier membre inférieur qu'elle put trouver...
Ce fut à cette époque et dans ces circonstances, très précisément, qu'on passa de l'expression "croque-mort" à ... "pompe funèbre" !
A quoi tient l'évolution de la langue !!!

Marie-Claude,  Croque-monsieur


 
Croque-monsieur vous dites et je veux bien le croire
Mais un doute m'habite et j'aimerais savoir :
S'agissant de croquer, parlez-vous de dessin ?
Voulez-vous évoquer le bel art du fusain
Qui consiste à figer sur un bout de papier
Du visage d'un homme, l'expression et les traits ?
Caricaturez-vous de mon sexe les membres,
Est-ce donc bien cela que je devrais comprendre ?
(Le mot est ambigu quand je parle de "membres"
Et c'est "représentants" qu'il faut bien sûr entendre).
Je n'ose imaginer, n'ayant l'esprit bancal,
Que ce "croque-monsieur" ait un sens plus buccal...
S'agirait-il alors soit de moeurs cannibales,
Soit de douces caresses beaucoup plus qu'amicales ?
Je vous prie, Marie-Claude, d'être plus explicite
Si vous ne voulez point que d'un accord tacite,
Avec Caligula venu voler vos slips,
Nous arrivions chez vous réclamer une p... !
 
 Yann Gaudy   "Homo homini lupus"

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