ASP EXPLORER, une vie bien remplie. |
Né le 18 mars 1932 dans une famille humble mais honnête, j'ai participé qux grèves de 36 et ai fait partie du cabinet Blum comme sous-secrétaire d'état à l'équeutage des chats. En 39, je triche sur mon age pour m'engager dans l'armée où je gravis rapidement les échelons jusqu'au grade de chef de bataillon. A la tête de mon unité de blindés, je participe à la bataille des Ardennes où je réussis, malgré le manque de munitions et de carburant et la supériorité numérique de l'ennemi à cent contre un, à bloquer l'offensive de Guderian pendant 48H, avant de devoir céder, grièvement blessé, pour me replier en bon ordre.
Après la débacle, j'entre dans la résistance et crée mon réseau, «Franche-Comté Libre», sous le sobriquet de «Colonel Marchol». Après quelques péripéties dont je vous passe détail, mais que j’ai résumé dans mon livre «Ma guerre dans les maquis», je fus fait Compagnon de la Libération par le Général de Gaulle, je partis pour les Etats-Unis afin de terminer mon doctorat en physique nucléaire, et j’en profitais pour fonder une petite PME intitulée «International Business Machines», qui connut par la suite un certain succès. Je revins en France en 56 sur les suppliques du Général pour préparer son retour au affaires et l’aider à rédiger ce qui allait devenir la Constitution de la Ve République. Après son accession au pouvoir, Charles me demanda d’être son premier ministre, offre que je déclinais car je pensais être plus utile à mon pays dans les laboratoires qui préparaient en secret la bombe atomique française, qui me doit en grande partie son existence.
Mais je n’oubliais pas d’entretenir le corps d’athlète qui est le mien et participais avec un certain succès aux J.O. de 60, 64, 68, 72 et 76 où je remportais quelques vingt-huit médailles d’or dans pas moins de treize disciplines. Après les événements de mai 68, je pris de nouveau du recul avec la France et participais au programme Apollo sous le pseudonyme de «Neil Armstrong» (je suis fan de jazz). J’oeuvrais ensuite, en tant qu’ambassadeur de l’UNESCO, pour la paix dans le monde, ce qui me valut le prix Nobel en 82.
Je coule depuis
cette époque une retraite paisible et retirée du monde dans un environnement charmant plein de gens très
attentionnés.
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