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Le CEIR (Centre d'Etudes Internationales sur la Romanité)

. La culture scientifique à La Rochelle ::   (Espaces de recherches/CEIR)

            Le CEIR présente une double particularité : il travaille en réseau et l’essentiel de ses activités se déploie en partenariat avec des instituts étrangers, dans le cadre européen et hors européen. Ce travail est le résultat de plusieurs années de partenariat. Mais si la forme juridique s’est modifiée au fil du temps, la réalité des activités est toujours demeurée la même.

            L’axe fédérateur de notre recherche est constitué par la notion de romanité. Nous entendons par là une culture méditerranéenne commune, née dans le bassin méditerranéen grâce au relais que constitue l’empire romain. L’objectif poursuivi revient à permettre un dialogue nord-sud autour d’une idée originale, mettant en avant le passé commun que l’on retrouve aussi bien dans les cultures du nord de la Méditerranée que dans les cultures du sud. Ce passé commun peut en effet permettre un dialogue autour de critères partagés tant par des chrétiens que par des musulmans, des citoyens de sociétés avancées que des habitants de pays en émergence.

            Pour mener à bien ce travail ambitieux, il fallait avant toute chose constituer un réseau de partenaires. Dès le début, nous avons créé une synergie qui a permis de rassembler des représentants de presque tous les pays riverains de la Méditerranée. La première forme juridique a été celle d’une association loi 1901, intitulée « Méditerranées » et fondée en décembre 1991. Cette association a organisé de nombreux colloques et édité une revue. La seconde forme juridique a consisté à créer un centre universitaire (le CEIR), tout en conservant l’association ; leur rôle conjoint est demeuré l’organisation de colloques et l’édition de la revue, en ajoutant des cycles de conférences, principalement destinés aux étudiants de La Rochelle. La troisième forme juridique met l’accent sur la signature d’accords de partenariat, l’ouverture d’une collection aux éditions L’Harmattan, tout en maintenant la tenue des cycles de conférences, l’organisation de colloques et la diffusion des résultats de notre recherche auprès des étudiants de La Rochelle. L’aboutissement doit être, à côté de la politique d’édition scientifique, de permettre les échanges de chercheurs et la mise sur pied d’une collaboration en matière d’enseignement nord-sud.

            Tels sont les points qui vont être développés ci-dessous.

 


1° Historique et objectifs du CEIR

 Nature de la démarche scientifique

Le Centre d’Etudes Internationales sur la Romanité (CEIR) est né d’une recherche scientifique ancienne, menée depuis décembre 1991 par deux professeurs de l'Université Paris X-Nanterre : Jacques Bouineau (aujourd'hui professeur d'Histoire du Droit à l'Université de La Rochelle) et Andréas Helmis (aujourd'hui professeur d'Histoire du Droit à l'Université d'Athènes). Cette recherche a pris, dans un premier temps, la forme d’une association, Médi

Le CEIR présente une double particularité : il travaille en réseau et l’essentiel de ses activités se déploie en partenariat avec des instituts étrangers, dans le cadre européen et hors européen. Ce travail est le résultat de plusieurs années de partenariat. Mais si la forme juridique s’est modifiée au fil du temps, la réalité des activités est toujours demeurée la même.

            L’axe fédérateur de notre recherche est constitué par la notion de romanité. Nous entendons par là une culture méditerranéenne commune, née dans le bassin méditerranéen grâce au relais que constitue l’empire romain. L’objectif poursuivi revient à permettre un dialogue nord-sud autour d’une idée originale, mettant en avant le passé commun que l’on retrouve aussi bien dans les cultures du nord de la Méditerranée que dans les cultures du sud. Ce passé commun peut en effet permettre un dialogue autour de critères partagés tant par des chrétiens que par des musulmans, des citoyens de sociétés avancées que des habitants de pays en émergence.

            Pour mener à bien ce travail ambitieux, il fallait avant toute chose constituer un réseau de partenaires. Dès le début, nous avons créé une synergie qui a permis de rassembler des représentants de presque tous les pays riverains de la Méditerranée. La première forme juridique a été celle d’une association loi 1901, intitulée « Méditerranées » et fondée en décembre 1991. Cette association a organisé de nombreux colloques et édité une revue. La seconde forme juridique a consisté à créer un centre universitaire (le CEIR), tout en conservant l’association ; leur rôle conjoint est demeuré l’organisation de colloques et l’édition de la revue, en ajoutant des cycles de conférences, principalement destinés aux étudiants de La Rochelle. La troisième forme juridique met l’accent sur la signature d’accords de partenariat, l’ouverture d’une collection aux éditions L’Harmattan, tout en maintenant la tenue des cycles de conférences, l’organisation de colloques et la diffusion des résultats de notre recherche auprès des étudiants de La Rochelle. L’aboutissement doit être, à côté de la politique d’édition scientifique, de permettre les échanges de chercheurs et la mise sur pied d’une collaboration en matière d’enseignement nord-sud.

Le CEIR fonde son activité sur le constat de l’unité du bassin méditerranéen au temps de l’Empire romain. Il s’interroge sur les influences subies par Rome (Egypte, Mésopotamie, Grèce…) et sur le legs transmis aux siècles ultérieurs, tant dans les pays de la rive nord que dans ceux de la rive sud.

            Quant aux influences subies, elles proviennent majoritairement de l’Orient. C’est pourquoi le CEIR entretient des rapports très étroits avec les spécialistes des civilisations anciennes.

            Quant aux influences transmises, elles doivent s’entendre dans plusieurs directions. Il s’agit d’abord d’influences à destination de ce que nous appelons aujourd’hui l’Europe de l’Ouest. De nombreux intervenants émaillent les rencontres du CEIR ; ils sont choisis de manière à couvrir l’ensemble des périodes historiques. Il s’agit ensuite des influences sur l’Orient. Des spécialistes des mondes grec et slave apportent régulièrement leur éclairage dans les travaux du CEIR. Il s’agit enfin des influences sur le monde musulman. Le CEIR fait intervenir depuis toujours des spécialistes du monde ottoman et de l’Egypte ; plus récemment, il s’est ouvert au Maghreb.

            L’apport du CEIR à la communauté scientifique ne consiste donc pas seulement à étudier l’influence du droit romain sur le droit occidental. Ceci a été fait depuis très longtemps. Il consiste à mettre en perspective les fondements et les transmissions de cette culture romaine au sein d’un ensemble méditerranéen. C’est ce phénomène d’interactions que le CEIR qualifie de romanité.

            Afin de procéder à une étude universitaire rigoureuse, et pour ne pas se laisser déborder par l’ampleur du champ de recherche couvert par l’objectif du CEIR, il a été défini une méthode scientifique scrupuleuse. Chaque thème fait intervenir des spécialistes du plus grand nombre possible de disciplines historiques, dans une construction que nous qualifions de « diabolo » autour de l’idée de Rome :

- Les civilisations antérieures à Rome ;

- Rome ;

- Les civilisations postérieures à Rome.

            Tous nos travaux sont bien évidemment édités. Ils l’ont été dans un premier temps dans la revue Méditerranées, puis aujourd’hui dans la collection « Méditerranées ». Toutes les rencontres se déroulent dans un esprit de dialogue et d’ouverture autour d’une langue commune : le français.

Perspectives de la démarche scientifique

            Pour permettre une réflexion cohérente, nous avons organisé, dans le cadre des activités de l’association « Méditerranées », des journées d’études et des colloques, sur un sujet à la fois précis mais également suffisamment ouvert pour autoriser les comparaisons. Ainsi les différents thèmes retenus ont-ils été :

            - Permanences de l'Antiquité ? (1992 - Paris X).

            - Tyrannicide, régicide et Antiquité (1993 - Paris X).

            - Empires et passés méditerranéens (1994 - Tunis).

            - La citoyenneté : modèles antiques, réalités contemporaines (1995 - Sassari).

            - Individu et Pouvoir (1996 - Paris X).

            - Religion et vie publique (1997 - Bar Ilan - colloque annulé pour cause de troubles politiques au Moyen Orient, mais ayant néanmoins fait l’objet d’une publication).

            - Grèce, Méditerranée et Antiquité (1998 - Aix-en-Provence).

            - Cosmopolitisme et Antiquité (1999 – Komotini).

            - Guerre, paix et Antiquité (2000 – Malte).

            - Commerce et Antiquité (2001 – La Rochelle).

            - Responsabilité et Antiquité (2003 – Alexandrie).

- Personne et res publica (2007 - Montréal).

                            - La laïcité  (2010 - Bari).

 


Activités du CEIR

Année 2003-2004

 

a) Colloque d’Alexandrie :

            Ainsi que nous en faisions état dans le précédent rapport, l’inauguration de la bibliothèque d’Alexandrie, qui a eu lieu en octobre 2002, et qui était programmée de longue date, a conduit le CEIR à entreprendre des démarches pour tenir sa rencontre annuelle dans cette prestigieuse institution. Pour des raisons d’organisation interne liées aux contraintes de l’établissement d’accueil, le colloque a dû être légèrement retardé : au lieu de se tenir comme tous les ans au début du mois de novembre, il s’est déroulé en février 2003.

            La ville d’Alexandrie, par son syncrétisme séculaire, se prêtait tout à fait aux activités qui sont les nôtres et plusieurs des participants à nos colloques précédents souhaitaient se rendre dans la cité d’Alexandre.

            Le thème retenu (responsabilité et antiquité) a permis d’accueillir des chercheurs du groupe « Responsabilité dans l’espace public » de la Faculté de Droit de La Rochelle. Ce colloque a été l’occasion d’associer plus étroitement les membres du CEJLR de La Rochelle.

            Cette rencontre a été préparée pendant deux ans, en raison des difficultés matérielles de son organisation, liées à la fois aux contraintes résultant des activités de la Bibliotheca Alexandrina et au fait que le directeur du CEIR se trouvait en poste à la Faculté de Droit du Caire, et non pas à Alexandrie.

            Le programme de la rencontre se trouve sur le site.

b) Cycle de conférences :

19 XII 03 Louis de Carbonnières (professeur d’Histoire du Droit à l’Université de Lille I) : Droit romain et procédure au parlement de Paris au XIVe siècle. 

3 III 04 Hassan Abd El-Hamid (professeur d’Histoire du Droit à l’Université Aïn Shams du Caire) : La philosophie du droit musulman.

6 V 04 Arnaud Vergne (maître de conférences d’Histoire du Droit à l’Université de La Rochelle) : L’influence des modèles antiques dans la réflexion sur la codification au XVIIIe siècle. 

c) Revue : 

            Durant l’année 2003-2004, ont été publiés les numéros 34 à 36 de la revue Méditerranées ; il s’agit en grande partie des contributions au colloque d’Alexandrie.

 


Année 2004-2005

 

a) Cycle de conférences : 

18 XI 04 Jean-François Chassaing (maître de conférences d’Histoire du Droit à l’Université de Paris X) : Famille romaine, famille chrétienne.

9 XII 04 Constantinos Pitsakis (professeur d’Histoire du Droit à l’Université de Komotini) : les parentés en dehors de la parenté en droit byzantin.

16 XII 04 Hassan Abd El-Hamid (professeur d’Histoire et de Philosophie du Droit à l’Université  Aïn Shams du Caire) : La notion de vie familiale dans les pays musulmans entre le droit classique et la pratique actuelle.

10 II 05 Sophie Lafont (professeur à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes) : La famille en Mésopotamie ancienne.

7 IV 05 Burt Kasparian (maître de conférences d’Histoire du Droit à l’Université de La Rochelle) : La famille en Egypte ancienne. 

b) Revue :

            Durant l’année 2004-2005, a été publié le numéro 37 de la revue Méditerranées. Avec ce numéro a pris fin la publication de nos travaux sous forme de revue. Nous avons en effet entamé des discussions avec notre éditeur (les éditions L’Harmattan), afin de trouver une formule garantissant une diffusion plus souple et plus large de nos contributions.

            La formule a été trouvée dans l’ouverture d’une collection qui, aux éditions L’Harmattan, portera le nom de « Maditerranées » et dont le directeur du CEIR sera directeur de publication.

 


Année 2005-2006

 

a) Journée d’études

La responsabilité de l'enfant

(18 mai 2006)

 

Sebastiano Tafaro (professeur de Droit romain à l’Université de Bari) : La responsabilité de l'enfant en droit romain.

Anne Lefebvre-Teillard (professeur d’Histoire du Droit à l’Université de Paris II) : La responsabilité de l'enfant en droit canonique.

Constantinos Pitsakis (professeur d’Histoire du Droit à l’Université de Komotini) : La responsabilité de l'enfant en droit byzantin.

 Marc Nicod (professeur de Droit civil à l’Université de Toulouse I) : La responsabilité de l'enfant en droit civil contemporain.

 Alain Moreau (notaire à La Rochelle) : La responsabilité de l'enfant vue par un praticien.

 b) Cycle de conférences

25 XI 05 Pierangelo Catalano (professeur de Droit romain à l’Université La Sapienza de Rome) : L'enfant à naître en droit romain.

15 XII 05 Hassan Abd El-Hamid (professeur d’Histoire et de Philosophie du Droit à l’Université Aïn Shams du Caire) : L'enfant en droit musulman. 

9 II 06 Jean-François Chassaing (maître de conférences en Histoire du Droit à l’Université de Paris X) : L'invention du concept d'enfant à la fin de l'Ancien Régime et sous la Révolution.

9 III 06 Sophie Lafont (professeur à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes) : L'enfant en droit babylonien. 

13 IV 06 Burt Kasparian (maître de conférences d’Histoire du Droit à l’Université de La Rochelle) : L'enfant en droit égyptien ancien.

c) Publications :

 

            Premier volume de la collection « Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, sous le titre : Famille et Antiquité.

 


Année 2006-2007 

a) Cycle de conférences

 

BILIARSKY Ivan (maître de conférences d’Histoire du Droit – Université de Varna)

                « Personne et res publica dans l’ancien monde slave »

BOUINEAU Jacques (professeur d’Histoire du Droit – Université de La Rochelle)

                « Personne et res publica en Europe dans les monarchies absolues"

BRUNEAU Jacques (avocat général près la Cour d’Appel de Paris)

                « Personne et res publica : l’exemple du droit pénal actuel »

OKTAY Cemil (professeur émérite de Sciences politiques – Université de Maltepe Istanbul)

            « L’individu et la société politique d’après Tursun Beg (XVe siècle) »

 TOURRAIX Alexandre (professeur d’Histoire ancienne et directeur de la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société – Université de La Rochelle)

            « Le principe de Thrasybule »

BILIARSKY Ivan (maître de conférences d’Histoire du Droit – Université de Varna)

            « Personne et res publica dans l’ancien monde slave »

 

b) Colloque de Montréal (27 et 28 avril 2007)

voir la page colloques

c) Publications :

Un volume de la collection  Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, sous le titre : Enfant et romanité.


 

Année 2007-2008

a) Cycle de conférences

25 octobre 2007 ABD EL-HAMID Hassan (professeur d’Histoire et de Philosophie du Droit – Université « Aïn-Shams » du Caire)

« Etat et religion dans le monde musulman »

13 décembre 2007 TAMM Ditlev (professeur d’Histoire du Droit – Université de Copenhague)

« La conjonction du pouvoir civil et du pouvoir religieux dans le royaume danois à l’Epoque moderne »

24 janvier 2008 GARCíA MARíN José Maria (professeur d’Histoire d’Histoire du Droit – Université « Pablo de Olavide » de Séville)

« La justice du roi en Nouvelle-Espagne »

21 février 2008 KASPARIAN Burt (maître de conférences d’Histoire du Droit – Université de La Rochelle)

« La conjonction du pouvoir politique et du pouvoir religieux dans l’Egypte ancienne »

13 mars 2008 VALLOCCHIA Franco (professeur de Droit romain – Université libre Maria SS. Assunta de Rome)

« Peuple, sacerdoce, magistrature »

b) Publications : 

Troisième volume de la collection « Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, sous le titre : La République romaine de 1849 et la France.

Quatrième volume de la collection « Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, sous le titre : Personne et res publica.



 

Année 2008-2009
 

a) Cycle de conférences :

13 XI 08

JOANNES Francis (professeur à l’Université de Paris I)

                « L’opposition entre pouvoir civil et pouvoir religieux dans le monde babylonien »

 

22 I 09

MAZOYER Michel (professeur à l’Université de Paris I)

« L’opposition entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux : l’exemple de la civilisation hittite »

 

5 II 09

STURMEL Philippe

                « L’opposition entre le civil et le religieux : l’exemple des jésuites »

 

5 III 09

CHARFI Abdelmajid (professeur à l’Université de Tunis)

                « Islam et politique »

b) Publications

Cinquième volume de la collection « Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, Laurent Hecketsweiler : La fonction du peuple dans l'Empire romain. Réponses du droit de Justinien.

Sixième volume de la collection « Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, sous le titre : Pouvoir civil et pouvoir religieux. Entre conjonction et opposition.

 

 

c) Colloques :

 NAVIRES ET GENS DE MER, 2 et 3 octobre 2009


 

 Année 2009-2010

a) Cycle de conférences

20 XI 09

ALVAZZI del FRATE Paolo (professeur d’Histoire du Droit – Université Roma 3)

            « Entre Etat confessionnel et Etat laïc en Italie XIXe-XXe siècles »

 

11 XII 09

BOUINEAU Jacques (professeur d’Histoire du Droit – Université de La Rochelle)

            « Ludvig Holberg et la question religieuse »

 

8 I 10

POTON Didier (professeur d’Histoire - Université de La Rochelle)

            « L’obligation religieuse catholique (1543-1789) ».

b) Publications

Septième volume de la collection « Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, sous le titre : Navires et gens de mer.


 

Année 2010-1011

a) Cycle de conférences

 21 I 11

Maria Teresa SCHETTINO (professeur d’Histoire ancienne à l’Université de La Rochelle) : « ‘Primus hostis transmarinus’ (Eutr. 2.6) : enjeux diplomatiques entre Rome et le monde grec hellénistique au IIIe siècle av. J.-C. »

 

 4 II 11

Philippe STURMEL (maître de conférences d’Histoire du droit à l’Université de La Rochelle) : « Les principautés ecclésiastiques de la rive gauche du Rhin sous la Révolution »

 

11 II 11

Bertrand LAFONT (directeur de recherches au CNRS) : « Cultures et diplomatie dans le Proche-Orient du IIe millénaire avant notre ère: les prémisses d'un système de relations internationales »

 

b) Publications

Huitième volume de la collection « Méditerranées » aux éditions L’Harmattan, sous le titre « Constitutions, Républiques, Mémoires : 1849 entre Rome et la France » (sous la direction de Laurent Reverso).

 

c) Colloque de Bari

voir la page colloques

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