Les
premières lignes
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240p. éditions du Rocher, 1997 (première
présentation publique à la librairie Tschann bd
Montparnasse Paris)
Je n’ai jamais su écrire le récit d’une relation ou d’une rencontre immédiatement après l’avoir vécue. Sans doute que je n’aurais pas pu la raconter d’une façon strictement factuelle, c’est à dire en rapportant seulement ce dont j’aurais été témoin. |
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PATHETIQUE SUN
148p.
Critérion, 1991
(roman dialogué, voir Théâtre)
LA SUIVE 360p. Imprimerie nationale éditions, 1989 (première présentation publique à la librairie La Hune bd St Germain Paris) Mon nom est Aimé Victorin, cela a toujours été. Il fallait s'y faire et je m'y suis fait. C'est que toujours j'ai eu le sentiment d'avoir un drôle de destin. Sans cependant n'avoir jamais donné la moindre importance à ce vieux concept que sûrement je percevais comme un simple précipité d'années et d'événements, même si j'avais conscience qu'il pouvait être très agissant. |
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RAPT D’AMOUR 112 p. P.O.L. éditeur , 1986 C ’était drôle, à ce moment précis, d’avoir fixement présente cette phrase d’une simplicité égarante - « Les rêves ne sont pas toujours ce qu’on croit » - que j’avais dû lire dans une revue générale pour femmes et hommes d’intérieur. Quand justement je n’arrivais pas du tout à distinguer si je rêvais ou vivais hors rêve. |
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RAUQUE LA VILLE
176 p. éditions de Minuit, 1980 préface de Marguerite Duras Jove disait qu’elle voulait s’éclater. Ca faisait rire tout le monde, parce qu’il y avait dix ans et davantage qu’on ne le disait plus. Mais c’était justement pour ça qu’elle le disait. Jove s’éclatait en dansant, sur la musique très dure du moment. |
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