Suite à la plage

    Après le petit déjeuné on est parti à la plage la main dans la main, on s'est isolés tout au bout loin de regard indiscret.  Carole porte un petit 2 pièces minuscules qui tiennent avec des cordons noués, tout de suite nous somme rentrés dans l'eau et je lui ai donné un baiser tendre, elle s'est serrée tout contre moi j'ai senti sa poitrine durcie, l'effet est immédiat j'ai sent mon sexe prendre du volume.  Je serre Carole plus fortement contre mon membre durci, elle m'a embrassé tout en mettant ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille je défais un des cordons de son slip de bain et je commence à caresser une petite chatte toute douce.  Mes doigts jouent avec ses grandes lèvres, je les tire, les malaxes, je frotte son bouton d'amour.  Carole jouit sous mes attouchements, je glisse un doigt puis deux dans sa grotte d'amour sa jouissance est telle que nous manquons de tomber dans les vagues de la Grande Bleue.  Après quelques instants elle laisse ses jambes lâcher leur étreinte et elle pende autour de mon pénis toujours en érection et qui dépasse ses fesses elle l'installe confortablement contre son sexe elle écarte ses grandes lèvres son clitoris pose sur mon pieu et elle entame un mouvement du bassin d'avant en arrière, elle me masturbe contre sa chatte, je ne suis pas long à jouir à mon tour.  De retour sur la plage, elle se met seins nus, allonge les jambes ouvertes j'en profite pour lui dénouer le reste de son maillot, elle glisse sa main sur sa chatte, aussitôt mon membre reprend vigueur, je la caresse ma langue se perd entre ses jambes et rentre profondément dans son vagin Carole gémis et joui.  Je m'allonge sur ma cousine et frotte ma tige contre sa chatte je suis au bord de sa grotte je pousse tout doucement, je sens une résistance, je force, et j'entre de moitié dans cet antre de plaisir, Carole étouffe un cri de douleur et me serre très fort dans ses bras une larme coule sur son beau visage et se perd dans ses cheveux blonds.  Je reste immobile quelques instants et je reprends mon chemin dans son ventre, je m'enfonce doucement j'arriver au fond de son corps ma cousine à déjas quelques kilomètre au compteur elle a engouffré mes 28 centimètres avec une relative facilité.  Carole met ses jambes autour de ma taille, je me retire lentement pour savourer cette grotte étroite où je suis emprisonné après quelques mouvements lents j'accélère mes couilles ont frappé ses fesses, mon membre cogne au fond de son vagin, Carole a balbutié quelque mot "encore""ouiii je jouis" je redouble de force pour rentrer le plus loin possible dans ce sexe brûlant et en proie aux désirs à mon tour je jouis, je sens mes couilles se contracter et envoyer ma semence dans ce ventre rempli de plaisir. Nous sommes restés l'un sur l'autre quelques minutes le temps de reprendre nos esprits. Nous, nous sommes rhabillés et avons pris la direction la mer pour faire disparaître les traces de nos ébats. Nous sommes rentrés manger à la villa comme si de rien n'était main dans la main.  Après le repas tout le monde a fait la sieste Carole et moi aussi!!! Enfin c'est ce que les autres ont cru.  Allongés dans le lit sa tête sur mon ventre, sa main a caressé ma queue sa langue a titillé mon gland et le happé de temps à autre sa bouche chaude a enrobé mon gland, son mouvement de la tête se font plus ample ma tige de chair a disparu presque complètement dans sa bouche et est descendue dans sa gorge, pendant ce temps je joue avec sa chatte je lui mets un puis deux doigts je l'astique à fond elle a joui encore une fois après quelques minutes de ce jeu, elle se retourne, se lève, et enfile son long tee-shirt et sans dire un mot elle est allée à la sale de bain. Revenue, elle m'e dit d'un ton impératif "il est 15 heures on va à la plage".  Elle ne porte que son tee-shirt et rien en dessous. De retour à la même place sur la plage elle a étalé la couverture et se met nue sur le ventre "dans le sac il y a de l'huile solaire, met-moi en sur le dos" j'ai obéis à cet ordre je me suis mis entre ses jambes et ai fait couler l'huile sur son dos au passage mes mains se sont égarés sur ses fesses, je les caresses, mon doigt s'est aventure sur son anus, sur sa chatte je suis sur son petit trou et grâce à l'huile solaire je glisse doucement un doigt à l'intérieur j'imprime de lents vas et viens.  Carole a gémis doucement je tourne mon doigt tout en le rentrant, elle adore, je remets de l'huile et introduit deux doigts dans son cul elle grimace un peut, je la pistonne avec les doigts et Carole jouit. Je lui dilate son cul au maximum pour savoir introduire plus tard mon sexe de gros diamètre les parois de son cul se dilate bien. 

Je mets de l'huile en vitesse sur mon sexe et relève doucement Carole pour la mettre à quatre pattes je presse ma queue sur sa rosette le gland entre doucement dans ce passage étroit Carole gémit de plus belle se fut au tour de la partie charnue et dure à entrer. Doucement.  Je me suis plié sur son dos la tenant par la taille je l'ai tire lentement vers moi je me suis redressé mon sexe la pénètre lentement mais sûrement un râle s'est échappé de sa gorge tel un animal blessé je suis au quart de ma longueur carole encore vierge du cul essaye de ma repousser, je la tiens fermement et tous se réussi à faire en se débattent c'est de l'enfoncer plus profond dans son cul je réussis à la calmer, on ne bouge plus la douleur de Carole disparus doucement je continue à entrer dans sons boyau j'étais maintenant presque aux trois quarts de ma longueur je ne  reste immobile pour donner le temps à ce bout de boyau de se dilater.  Carole pleure de douleur et se débat mais je la maintenais fermement au bout de quelques instants ses pleurs ont cessé, j'en profite pour lui dire des mots doux, la rassurer, la caresser et remettre de l'huile sur son anus je me retire doucement puis j'avance son cul se dilatait sur le trajet de ma queue. Je peu pousser plus loin mon ventre est contre ses fesses mes couilles cognaient contre sa vulve humide.  Je l'ai limé pendant près de 10 minutes nous avons jouis ensemble. Nous rentrons à la villa vers 17 h pour le dîner morts de fatigue et heureux.

A suivre... ma tante et moi !

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