SÉJOUR AU JAPON

S’était-il à un an, j’étais allé à Tokyo pour récupéré des échantillons pour mon boulot. Je travail pour société d’électronique, et une boite au japon proposait un circuit moins cher que celui que n’ou proposait notre fournisseur habituel. Un membre de la société, m’attendait a l’aéroport, il me conduisit a un hôtel tout prés du siège de ça société. Il me laissa seul et me dit qu’il viendrait me chercher le lendemain a huit heures. Il était seize heures quinze et je me dit que je pourrait allez faire un tour, je prit une douche avant de descendre. Dans la rue je me rendit vite compte que peu d’étranger faisait du tourisme. Je me débrouillais en anglais et j’en profitais pour demandé s’il avait un parc dans le coin. Après plus de douze heures d’avion, je sentais décalé j’avais besoin de voir un peu de verdure.

Dans le parc je m’assit sur un banc et je vit pour la première fois des collégienne en uniforme, elle discutait et se marrait. De temps en temps, un mot d’anglais et j’essayait tan bien que mal de comprendre de quoi elle parlait. Je fais parti de ses européens, qui aimerait bien couché avec une de ses jeune fille, avec le costume Sailor Fuku (costume de marin en vigueur dans les école, collège et lycée au japon).

Je suivi une de ses adolescentes qui prit un chemin différent, elle quitta le parc, ces je vit une contractuelle japonaise. Elle verbalisait un automobiliste qui ait grillé un feu rouge, je la trouvai sexy dans son uniforme. La jeune contractuelle était penché sur le capot de la voiture et j’apercevait un porte jartelle, sou sa mini-jupe fendu. Ses bas noirs, et ses talons aiguilles, son chapeau que je trouvait ridicule me faisait bandé. Elle devait avoir autour des vingt ans. Je décidais de l’abordé après qu’elle est laissée le conducteur repartir.

Je traversais la rue, elle finissait de remplir son procès verbal, j’étais juste derrière elle. Je ne put m’empêcher de lui prendre entre mes mains ça poitrine. Elle me donna un coup de coude, je formulais en parlais en anglais et elle me dit de circulé. Je lui disais qu’elle était y jolie et je lui demandait si il y avait quelqu’un dans sa vie. Elle rougit et comprit que j’étais français !

_OH ! VOUS ÊTES FRANÇAIS ! J’AIME BEAUCOUP LA France PARIS LA TOUR EFFEL, ET LES GRANDS MAGASINS !

            _JE VOUS OFFRE  UN THÉ OU UN CAFÉ !

Elle rigola, et me dit que normalement, elle  n’avait pas le droit de quitté son poste, mais elle me trouvait assez gentil.  On alla dans un petit  salon de thé qui se trouvait non loin de la. Elle commanda pour nous deux, je lui caressais les genoux. Ma main baladeuse alla jusqu'à sa petite culotte noire, très réglementaire ! Elle me parla d’un séjour qu’elle avait fait en France, et je lui parlais de la solitude des étrangers dans un pays lointain. Là contractuelle me sourit en rougissant, Mon indexe fouillait a pressant sa cage a miel. Elle poussa une exclamation de plaisir, elle me proposa de me faire une petite gâterie dans les toilettes. Je me leva et lui attrapa la main, elle me suivit de bon cœur.

On entra touts les deux dans les toilettes réservées aux femmes, je m’assit sure le trône et elle s’assura que la porte était bien fermée et elle s’accroupit ente mets cuisses. Je lui déboutonna sa veste et la retira, je lui dégrafais son chemisier blanc, elle enleva mon pantalon.

 Il me tomba sur les genoux, je baissais ma tête et jouais un instant avec ses seins dont j’avais retiré le soutien-gorge. Elle s’appelait Hitomi, elle me branla un moment ses doigts étaient chauds sur la ma verge. Elle pencha sa jolie tête sur ma verge et lécha de sa petite langue mon gland.

Elle ouvrit en grand ses lèvres chaudes, et avala ma verge d’un coup, elle l’enfouit jusqu'à mes testicules. Je hottai son petit chapeau, et lui caressait les cheveux, ils étaient court, et d’un noir brillant. Décidément Hitomi me plaisait vraiment beaucoup, ses mouvements de tête qu’elle faisait me rendaient fou. Elle accéléra la cadences de ses va et vient toujours en gardant bien enfoncé mon gland dans sa bouche. Elle s’arrêta au moment ou j’allais jouire, et se mi a léché mon gland, sa langue s’insinuait a rentré dans mon urètre. Elle avala une nouvelles fois ma verge et cette fois-ci, elle me fit jouire dans ça bouche. Elle enfouit jusqu'au fond de sa gorge ma verge, qui cracha son sperme en saccades. Elle avala tout, ma verge sortit de sa bouche et elle se tin la gorge quelques secondes en tenant mon pénis. Elle me sourit et je pris ses deux et la mit sur ses jambes. Hitomi se retrouva face à la porte et je lui embrassais la raie de ses fesses. je me mi et honneur de lui faire relui son l’anus.

 Je lui doigtais le trou de bal, ses parte jartelle m’excitai de plus en plus je me leva et lui pénétra sans attendre son petit œillet. Elle poussa un gémissement, un grand coup de rein fit glisser ma queue au fond de son rectum. Mes mains s’accrocha a ses hanches et je lima plusieurs petits coups, mais va et vient la firent crié. Je me r’assit sur le trône et j’entraînais ma partenaire avec moi. Ma queue entre plus profondément dans les entrailles de la contractuelle. Ses seins étaient dressé, ferme mais très agréable, et les voir monté et descendre aux rythme de mes va et vient !

Mais main la pelotait, je pouvais m’empêcher de lui tripoté ses mamelons, elle faisait presque du quatre vingt dix !

            _ta BEAU sein tu sais ?!!!

_ah ! oui ! je sai ! je sai ! on me pelote SOUVENT quand je PRENDS les TRANSPORTs en COMMUN ! ahaaa ! je sui plus TRANQUILLE quand je sui en uniforme ! ahaaa ! ses bon !

Je jouis dans son adorable petit cul, elle poussa un long gémissement, et j’en profitais pour lui tripoté son clitoris. Elle mouilla abondements entre mes doigts, Hitomi se désemmancha de ma verge et s’assit sur le trône. Je m’assit entre ses cuisses et lui lèche la moule, son miel à si bon goût je lui en fait la remarque elle rougit de plus belle. Hitomi se rhabille pendant que je me lava les mains, elle me propose d’allé chez elle, elle était en sueur et voulait prendre une douche.

Je payais à la caisse avant de sortir, sou l’œil inquisiteur de la patronne, qui nous avait vu sortir des toilettes réservées aux femmes. Elle habitait une petite maison traditionnelle, elle me laissa seul dans le salon pendant qu’elle allait prendre sa douche. Je l’attendais impatiemment assit sur des coussin autour d’une table basse, quand j’entendit une voie fluette qui souhaitait le bonjour dans le patio. Une jeune fille en uniforme de lycéenne avec deux nattes tressé dans le dos, entra dans le salon, elle fut étonné de me voir là ! Mais en entendant fredonné sa sœur sou la douche, une chanson qui parlait d’amour entre un étranger et une princesse nippone, elle compris qui j’étais.

            _vous êtes français ! ma SŒUR ELLE a toujours de la chances !

Elle me dit tous sa dans un français presque aussi parfait que celui de sa grande sœur, avec un petit accent très sexy ! Je lui dis que je venais de rencontré sa sœur et me questionna sur ce que je lui avais fait ! Je restais assez obscure, elle s’assit a coté de moi je vis sa petite culotte blanche, et ne pu empêcher une érection, surtout quand elle posa une main chaude entre mais cuisses !

            _SES VRAI QUE LES FRANÇAIS SON DES CHAUD LAPIN ?

            _QU’EST-CE QUE TU VŒUX DIRE ?

_JE PARI QUE TU BANDE DEJA SOU MA MAINS ! J’AI BEIN ENVI DE VERIFIER !

Elle tira sur ma fermeture éclaire, et sorti sans grand mal ma verge qui se dressait devant son regard intéressé ! Elle me dit qu’elle là trouvait belle et baissa sa tête et me lécha le gland. Elle semblai expérimenté, elle me lécha là totalité de ma verge et mes testicules. Puis elle engouffra dans ça bouche mon sexe, sa langue s’enroula autour de ma queue et comment ça de petits mouvements de tête. Kaori, la jeune sœur d’Hitomi, ne semblai pas avoir honte de sucé la bite d’un homme qui venait de faire l’amour avec sa grande sœur et qui était plus âgée qu’elle ! Je ne dit rien d’autre que de petits râles, me regarda droit dans mes yeux quand j’éjaculait dans sa bouche. Le Bruit de la douche avait cessé ! Hitomi allait surment ne pas tardé, Kaori agitait ma verge devant son visage en la sucent comme une glace. Une saccade de sperme jaillit et lui atterri sur le front.

Hitomi entra dans le salon habillé d’une simple serviette de bain, je m’attendais a ce qu’elle soit en colère ! Mais elle vint sur les coussins et s’assit près de sa sœur et lui lécha le sperme qui était sur on front. Les deux sœurs s’embrassèrent sur la bouche, leurres langues s’entremêlèrent, les deus sœur me regardèrent d’un aire très sulfureuse. Je les bais blairèrent toutes les deux, Kaori, n’était plus vierge cela surpris sa sœur. Et quand je la pénétra à son tour ça sœur lui avoua qu’elle voyait une de ses camarades de classe.

 Après une douche que je prit avec Kaori, que je sodomisais et les massages de mammaire de Hitomi dans mon dos, j’avais très faim. Il était vingt heures, je les invitèrent toutes les deux, a mon hôtel pour dînée, le repas fut agréable Hitomi, m’avait caressé les testicules avec ses pieds en bac de soie. Sa sœur jalouse a la sou la table au moment du dessert et me pompa la queue. Hitomi, qui avait abusé du champagne ne tenait plus debout, décidait de la faire dormir dans ma chambre, aidé d’un membre du personnel de l’hôtel. Kaori et moi nous avons refait l’amour pendent que sa grande sœur dormait.

Quand le lendemain on vin me chercher pour la présentation des échantillons je cachais tan bien que mal la présence des deux sœurs dans ma chambre ! Je laissai un mot sur la table de nuit m’excusant et leur demandant de me laissé un numéro de téléphone. Quand je revint le soir vert six heures, Hitomi dans son uniforme, m’entendait assit dans un fauteuil en cuire dans l’entré de l’hôtel, elle me dit que sa sœur ne pourrait pas venir. On monta dans ma chambre et pendant que je prenais ma douche et vin me rejoindre. Et elle savonna puis ses moi qui la savonna, bien sur, je ne me contenta pas de la lavé, nous avons refais l’amour. Le lendemain je lui annonçais mon départ, elle pleura et on alla faire des photos plutôt cochonne. On se les partagea, sur le seuil de l’aéroport mon guide fut surprise de ma conquête. J’embarquais en se promettant de se revoir. J’espérais revenu le mois suivant mais notre fournisseur nous un meilleur pris pour l matériel électronique. On s’écrivit et les deux sœur purent venir en France pour les vacances d’été.  J’en profitais pour épousé Hitomi, et trouvé une école pour Kaori. Maintenant je sui pleinement heureux, j’ai une femme japonaise de vingt deux ans, et une maîtresse de dix spet ans.

A oui, Hitomi a réussi a se faire engager comme contractuelle, et de temps en temps je lui fais l’amour contre une voiture qu’elle vient de verbalisé.

ORESTE