Economie hightech au Maroc

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L'économie au Maroc

 

Dans un pays du Sud, l’artisanat est la meilleure translation du vecteur label local pour se positionner en facteur de croissance. Depuis que l’artisan a reçu ses lettres de noblesse, qu’il s’est modernisé et a commencé à vendre, et, même mieux, à exporter son produit sous d’autres cieux, le cachet du pays est devenu limpide. Tout n’est cependant pas rose. Il existe d’importants points de croissance à conquérir. Ce n’est pas en continuant à adosser l’artisanat au tourisme qu’on y arrivera. Certaines branches ont d’ailleurs trouvé le filon. A côté d’opérateurs venant de différents secteurs, qui se rapprochent davantage de l’Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale (OMPIC), aujourd’hui heureusement, plus nombreux, la corporation d’artisans, que dis-je, le secteur de l’artisanat gagnerait beaucoup à faire breveter ses divers produits. C’est légitime et tout à fait plausible. Qui oserait dupliquer, par exemple un discobol, un boomerang australien, ou autre lustre italien, sans risquer d’être poursuivi auprès des tribunaux? Puisque l’art détermine le label local, il est grand temps de lui reconnaître sa créativité. Ce serait une galéjade que de laisser sur la seule responsabilité de l’export le succès de ce pan entier de l’économie, la consommation locale doit entamer et pérenniser ses débouchés. La vitrine du web a déjà fait ses preuves. Les produits qui y sont exposés élargissent le spectre des oeuvres et désenclavent les artisans demeurant dans des patelins reculés ou isolés. A force de travailler et de mettre en concurrence les mêmes métiers sur les mêmes marchés, l’art local deviendra encore plus pourvoyeur de devises fortes. A Augusta per Augusta !

 

 

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