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SYNOPSIS :
Film : Les anges de thermidor
Film : Les anges de thermidor
Pierre Delor, vieux médecin dans
la Double se souvient :
1793, il a 8 ans, il vit heureux à Puy de Pont, hameau retiré de Neuvic en Dordogne avec son père Jean Delor, paysan propriétaire, sa mère Léonarde, son frère Jacques, malade, et sa soeur Catherine, novice.
Catherine rejoint le Couvent de la visitation à Périgueux.
Dans cette ville, le conventionnel Roux-Fazillac, représentant du peuple, installe la terreur et fait dresser la guillotine toute neuve, place de la Clautre.
Il s'attache la complicité de l'évêque constitutionnel Pierre Pontard pour débusquer les prêtres réfractaires.
Catherine au couvent de Sainte-Marthe rencontre le jeune aumônier de l'Hôtel-Dieu, Antoine Lavergne, vicaire de la paroisse Saint-Silain, théologien, non-assermenté.
Les jeunes religieux méditent sur le sort de l'Eglise.
Roux-Fazillac a installé le Tribunal Révolutionnaire et l'exécuteur des sentences criminelles commence à décoller les têtes.
L'évêque Pontard, dit Pierrot, se marie et les sans-culottes lui apportent, le soir de la nuit de noces, la soupe à l'oignon.
Les sans-culottes Pinkin, Papo, La Plume, Pinceau, Poëte, Ponton fréquentent l'estaminet de la Grenouille; ils font de la politique, "mangent du curé" et démasquent les suspects.
Sur l'ordre de Roux-Fazillac, ils se lancent à la poursuite du vicaire qui n'a toujours pas rejoint les pontons de Rochefort pour être déporté en Guyanne.
"Les têtes tombent comme les ardoises un soir d'orage."
Catherine convainc Antoire, de fuir et de la rejoindre dans la maison de ses parents à Puy de Pont; l'endroit est retiré et calme à l'orée de la forêt de la Double.
Les sans-culottes marchent vers la forêt... La terreur est à son comble... Thermidor approche... Seuls les anges sont heureux !
L'ange de l'Art Notre, Photo (C) Estela
Textes de M.L., "Les anges de thermidor" (Style : film d'époque, drame, (P) année 2004, durée 1h33, langue française, réalisateurs M., M. & P. Labroue).
1793, il a 8 ans, il vit heureux à Puy de Pont, hameau retiré de Neuvic en Dordogne avec son père Jean Delor, paysan propriétaire, sa mère Léonarde, son frère Jacques, malade, et sa soeur Catherine, novice.
Catherine rejoint le Couvent de la visitation à Périgueux.
Dans cette ville, le conventionnel Roux-Fazillac, représentant du peuple, installe la terreur et fait dresser la guillotine toute neuve, place de la Clautre.
Il s'attache la complicité de l'évêque constitutionnel Pierre Pontard pour débusquer les prêtres réfractaires.
Catherine au couvent de Sainte-Marthe rencontre le jeune aumônier de l'Hôtel-Dieu, Antoine Lavergne, vicaire de la paroisse Saint-Silain, théologien, non-assermenté.
Les jeunes religieux méditent sur le sort de l'Eglise.
Roux-Fazillac a installé le Tribunal Révolutionnaire et l'exécuteur des sentences criminelles commence à décoller les têtes.
L'évêque Pontard, dit Pierrot, se marie et les sans-culottes lui apportent, le soir de la nuit de noces, la soupe à l'oignon.
Les sans-culottes Pinkin, Papo, La Plume, Pinceau, Poëte, Ponton fréquentent l'estaminet de la Grenouille; ils font de la politique, "mangent du curé" et démasquent les suspects.
Sur l'ordre de Roux-Fazillac, ils se lancent à la poursuite du vicaire qui n'a toujours pas rejoint les pontons de Rochefort pour être déporté en Guyanne.
"Les têtes tombent comme les ardoises un soir d'orage."
Catherine convainc Antoire, de fuir et de la rejoindre dans la maison de ses parents à Puy de Pont; l'endroit est retiré et calme à l'orée de la forêt de la Double.
Les sans-culottes marchent vers la forêt... La terreur est à son comble... Thermidor approche... Seuls les anges sont heureux !
L'ange de l'Art Notre, Photo (C) Estela
Textes de M.L., "Les anges de thermidor" (Style : film d'époque, drame, (P) année 2004, durée 1h33, langue française, réalisateurs M., M. & P. Labroue).
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