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Dispensaire d'assistance médicale à Jucuarán

Clinica Parroquial
de
Jucuarán

Salvador
Mis à jour le 11 octobre 2005

Marie-Claire, Adeline, Hervé, José, Pedro, Marvin, Dolores...
sans oublier les
anciens de Jucuaran

Si vous êtes volontaire pour partir en coopération mettez-vous en contact
avec la DCC
avec la SCD
ou l'équipe médicale du dispensaire de Jucuaran:

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Nouvelles de Jucuaran Circulaires et lettres

Qui était Mgr Romero?
Site de Monseigneur Romero

De l'université Manuel Cervantes avec la phonotèque des homélies de Monseigneur Romero

Actualités - Noticias

  • Les nouvelles des catastrophes naturelles au Salvador et Amérique Centrale - Le 08 10 05
    Beaucoup demandent des nouvelles du Salvador en entendant toutes les informations sur les catastrophes naturelles qui y sévissent en ce moment.
    Tout d’abord merci de votre amitié, votre prière, votre solidarité qui se manifeste de cette façon.
    Rappelons quand même que les inondations sont malheureusement monnaie courante à cette époque de l’année, avec leur lot de drames humains. Le Mitch ne date que de 7 ans (30 octobre 1998) et la genèse de la clinica de Jucuaran vient des inondations de l’année suivante…
    Rappelons aussi que les populations les plus touchées sont souvent les mêmes : sociologiquement (« colonias » quartiers marginaux où les gens ont édifié leur maison dans les « quebradas » c'est-à-dire les ravins autour des fleuves sans règles de construction très strictes) et géographiquement (en particulier en ce qui concerne le Salvador la région du « bajo Lempa » dans le département de Usulutan, celui de Jucuaran)
    Rappelons aussi que la géographie du Salvador, c’est 21000 km2 dont l’altitude varie rapidement du niveau de la mer à plus de 1000 mètres, et une densité de population de 150 habitants au km2
    Cette année est pire que le Mitch. En effet, lors du Mitch, beaucoup d’eau était tombée en 3 jours, avec beaucoup de vent. Le monde entier en avait parlé mais la saison sèche arrivait et une partie des récoltes étaient déjà faites. Début Octobre 2005, nous en sommes à près d’un mois de pluies ininterrompues, la quantité d’eau tombée est déjà largement supérieure à ce qui était tombé en 1998, et surtout il reste encore un mois de saison des pluies et les récoltes sont détruites… Et l’éruption du Llamatepec n’arrange rien !!! Et la secousse d’hier non plus… « il ne manquerait plus qu’un tremblement de terre » disaient les gens… La secousse n’était pas un tremblement de terre mais a quand même fait bien peur.
    A Jucuaran même (situé à l’opposé géographique du volcan entré en éruption), il y a eu quelques glissements de terrain mais pour l’instant à priori pas de morts liés à Stan (nous disons à priori car vous imaginez bien que les communications ne sont pas nickel…) Pas ou peu de maisons détruites, mais toutes les cultures atteintes : celles des zones au niveau de la mer sont inondées, mais même celles des zones de plus haute altitude (Jucuaran étale aussi ses 250 km2 entre le niveau de la mer et plus de 1000 mètres d’altitude) ont été abîmées par les précipitations : le mais ne devrait donner que la moitié de la récolte habituelle et les haricots rouges sont détruits. Les prix ont déjà augmenté et il n’y a pas besoin de faire de dessin pour comprendre qu’il va devenir de plous e n plus difficile de nourrir sa famille en ayant moins de récolte et des prix plus chers…
    La clinica va donc être prochainement soumise non seulement à toutes les épidémies de bronchites, dengues et maladies de peau secondaires à ce genre de situation, mais aussi à la nécessité de développer des aides alimentaires, tous les efforts du pays étant dirigés vers les zones encore plus sinistrées, en particulier le Bajo Lempa tout proche où les habitants de Jucuaran ont déjà fait parvenir nourriture et vêtements dans le pick up de la paroisse tant il est vrai que les pauvres sont les premiers solidaires quand ils sentent plus pauvres qu’eux.
    L’OSSALV va évidemment rester en contact étroit avec le village et débloquer toute l’aide possible grâce à vos dons.
    Merci d’avance.
    Ouest Solidarité Salvador 4 rue d’Arcole 72000 Le Mans
  • Circulaire n°26 - Octobre 2005
  • Carta a los bienhechores - Lettre aux bienfaiteurs - juin 2005

  • email collectif de Miko - 25 juin 2005

  • Soirée thématique d'ARTE le 12 avril 2005
    "Eglise Catholique : La Fin D'Un Monde"
    Les journalistes d'Arte sont passés par le Salvador et le dispensaire de Jucuaran. Nos coopérants ont été filmés et nous pourrons découvrir tout le travail de l'église locale

  • Création d'une nouvelle association: Ouest Solidarité Salvador (OSSALV) - Bulletin d'adhésion
    Le 11 mars 2005 a eu lieu l’assemblée fondatrice de la nouvelle association qui soutiendra financièrement, moralement et spirituellement le projet ainsi que d’autres projets au Salvador.

  • Comment nous aider? Mise à jour de la rubrique, 11 octobre 04

  • Actualité sur le Salvador

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Clinique parroissiale Monseigneur O.A. Romero
Historique du projet de pastorale de la santé à Jucuaran

Naissance du projet

Ce projet est né après une « minibrigade » dans la Communauté du Carrizal, canton de Jucuarán, organisée par Thomas Orellana, dentiste et Michèle Damay, Oblate du coeur de Jésus, en relation avec la paroisse, pour les populations isolées du département, avec l’aide économique de l’AMOCJ, (Aide Missionnaire aux Oblates du Coeur de Jésus, ONG en relation avec l’Institut des Oblates du Coeur de jesus en France).
La majorité des consultations étaient en rapport avec des problèmes chroniques de personnes se sentant abandonnées et loin de toute possibilité d’accès à la santé.
Ainsi, il a paru nécessaire de chercher un projet à long terme.
Les nécessités les plus urgentes demandées lors d’une réunion avec toutes les communautés, se sont révélées être des formations sur la santé et l’hygiène, la possibilité d’avoir des réserves de médicaments dans les zones isolées et l’amélioration des routes. Les besoins de la commune et la disponibilité de Michèle Damay, médecin française en coopération au Salvador, ont conduit à la décision de commencer le projet de la « clinica » (dispensaire) paroissiale en janvier 2001.

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Les premiers jours du projet :

Le tremblement de terre du 13 janvier 2001 a conduit à utiliser une partie des fonds disponibles pour une aide en urgence aux familles les plus touchées…certaines communautés étant presque complètement détruites.
Nous avons loué une maison près du presbytère pour servir de clinique et loger la médecin Michèle Damay.
Les consultations ont commencé le 8 février 2001, avec un principe de gratuité totale et une collaboration libre de chaque patient, ouvrant un dossier pour chacun et notant ainsi ses coordonnées, l’examen clinique et le traitement prescrit. Le patient sort de la clinique avec tous les médicaments prescrits et donne sa collaboration financière selon ses moyens. Chaque jour, une liste établie des patients vus en consultation permet de réaliser l’épidémiologie, les comptes et le suivi de la distribution des médicaments.
Les médicaments provenaient, au début, de dons à la suite du tremblement de terre ou d’achats par l’intermédiaire de la Clinique Siman de San salvador où a travaillé la médecin Michèle Damay jusqu’en décembre 2000.

Arrivée des volontaires de France :

A la fin de l’année 2002 (octobre et novembre), sont arrivées 2 infirmières de France (Nadine Beck et Sylvie Janneau) pour aider à la clinica. En décembre, est arrivée un nouveau médecin français, Sarah Clavier, pour continuer le travail de Michèle Damay… les volontaires, envoyées par des ONG françaises pour la coopération (DCC et SCD), resteront pour 2 ans et 16 mois respectivement. En Avril 2004, Sarah est remplacée par Marie Claire, médecin Belge envoyée par la DCC.
L’idée est de continuer d’accueillir des volontaires d’Europe qui travaillent avec des jeunes salvadorien(ne)s, pour garder un échange de cultures dans ce projet.
Les médicaments proviennent de dons de France, du Salvador et surtout, d’achats.
Nous donnons entre 5 et 6000 consultations par an, dans la clinica ou dans les diverses « communautés » du village

Appui d’un médecin Salvadorien :

En février, un jeune médecin (Angelica Lobo),sortant de l’université de San Salvador et devant faire son “travail social”, est arrivée pour aider à la clinique jusqu’en décembre 2003. Ainsi, l’équipe de la clinique était complet, avec 2 infirmières, 2 médecins et 2 promoteurs de santé (Pedro et Blanca, salvadoriens du village employés par la clinique pour accueillir les patients et donner les médicaments) ; ceci permet de donner les consultations à la clinique, tous les jours de la semaine et de sortir dans les hameaux isolés (appellés communautés) les mercredi et jeudi.
Nous couvrons ainsi les 2 zones (nord et sud) de la commune, comprenant 48 communautés sur une superficie de 250 km2 et représentant 20.000 habitants. Pendant ces sorties en communauté, nous donnons des consultations, visitons à domicile les personnes âgées ou invalides et informons la population sur l’hygiène et la santé.
De plus, depuis juillet dernier, nous réalisons un travail de coordination sanitaire avec différentes ONG , entre autres Médicos Mundi Andalucía, FENACOA, Caritas, Promesa…. Le but est d’établir un comité de santé et de se coordonner dans la formation des volontaires de chaque communauté qui est le vrai relais entre la communauté et la clinique. Nous sommes aussi dans l’expectative de créer un comité sur l’hygiène pour proposer aux autorités locales des solutions sur le traitement légal des poubelles. En effet, les détritus du village et des communautés sont encore jetés dans la nature et contaminent tout le milieu ambiant, en particulier l’eau que les populations consomment au quotidien.
Enfin, l’intervention des infirmières dans les écoles des communautés et le lycée du village permet de toucher les plus jeunes et de les sensibiliser tôt à l’importance de l’éducation à la santé.

Début d’année 2004 :

La clinica poursuit son travail de consultations quotidiennes (30 à 50 patients par jour), de sorties dans les communautés, de visite à domicile des personnes isolées ou invalides, et de formation des volontaires à l’hygiène et la santé, travaillant avec les 2 équipes (médecin, infirmière et promoteur)…
Il reste toujours un gros travail à faire en matière d’éducation sanitaire, de nutrition, de lutte contre la violence intra-familiale et l’alcoolisme, d’aide aux plus nécessiteux pour les remettre dans le « circuit médical » afin qu’ils aient un suivi correct et qu’ils retrouvent leur dignité.

Pourquoi avons nous besoin de votre aide ?

- nous souhaitons garantir le projet de la clinique, (et individuellement le développement du village au niveau de la santé), en construisant une maison pour la clinica. (car nous sommes pour l’instant toujours dans la maison louée…)
- nous avons besoin d’une voiture pour pouvoir sortir dans les communautés en saison des pluies ; souvent, les chemins exigent une voiture avec double traction et nous devons emprunter la voiture prêtée par la paroisse car la jeep d’occasion achetée initialement est en train de rendre l’âme vu les conditions des chemins…
-La collaboration du village ne suffit pas pour couvrir tous les frais de médicaments et de paie aux employés (7 personnes).
- nos frais annuels s’élèvent à 15 à 16000 dollars par an (et le total des collaborations atteint rarement 5000 dollars par an (souvent moins de 1 dollar par consultation)…la clinica continue à vivre grâce aux dons d’amis français mais c’est insuffisant pour assurer la construction et nous devons assurer la sécurité financière de cet établissement qui ne demande qu’à vivre, pour continuer d’aider les populations pauvres locales.

Nous avons besoin de votre aide, quelle qu’elle soit (versement bancaire, médicaments, produits dentaires…)

CLINICA PARROQUIAL MONSEÑOR O. A. ROMERO
MEMORIA DEL PROYECTO DE PASTORAL DE LA SALUD EN JUCUARÁN

Nacimiento del proyecto

Ese proyecto nació después de una mini brigada en El Carrizal en Septiembre 1999, organizada por Tomas Orellana, odontólogo nativo de Jucuarán y Michèle Damay, Oblata del Corazón de Jesús, en relación con la parroquia para poblaciones damnificadas del municipio, con ayuda económica de AMOCJ, (Ayuda para las misiones de la Oblatas del Corazón de Jesús, ONG relacionada al Instituto de las Oblatas del Corazón de Jesús en Francia).

Fueron dadas 243 consultas (65 mujeres mayores de 16 años, 12 hombres mayores de 12 años y 166 niños hasta los 16 años). No hubo muchas consultas en los damnificados con respecto a las enfermedades agudas relacionadas con el temporal. La mayor parte fue relacionada con problemas crónicos de gente sintiéndose abandonados y lejos de toda posibilidad de recursos de salud.

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Así pareció necesario buscar proyecto a más largo plazo. Una reunión se dio el 5 de Diciembre del 1999 entre los dos sacerdotes de la parroquia, la doctora Michèle, Tomas Orellana y delegados de las comunidades de la Cabañas, Las Pilas, El Portillo, El Llano, El Encantado, El Jutal, Samuria, El Almendro, Sol y Mar, Gualora, Santa Lucía, El Planom y el Pueblo. Las necesidades más urgentes fueron descritas como capacitación en salud, la posibilidad tener botiquines comunitarios y mejoramiento de los caminos. Las necesidades del municipio y la disponibilidad de la doctora Michèle conducen a la decisión de empezar el proyecto de clínica parroquial al principio del año 2001.

Se reflexionó con los dos demás recursos en salud del municipio la repartición de las organización y actividades en las comunidades rurales: A la clínica Val de Marne de la Ringlera le tocó las comunidades de la zona sur por las cuales nació en Marzo del 2000; A la clínica Parroquial las comunidades de la zona norte; La Unidad de Salud se quedó con la responsabilidad de vacunas, controles de embarazo y niños sanos, escuela saludable, así que laboratorio y consultas en la unidad de salud ubicada en Guazacapam.

Primeros dias

El terremoto del 13 de Enero condujó a utilizar una parte de los fondos disponibles para una ayuda de emergencia a las familias más damnificadas, ya que las comunidades de Samuria, Las Flores, Valle Seco, La Ringlera, Guaycume, y Puerto Caballos (todas de la zona Sur) fueron casi totalmente destruidas. El conocimiento entonces empezo por las comunidades en las cuales la clínica no iba a trabajar de manera sistemática… y por una respuesta a daminficación y no una organización planificada.
Se alquiló una casa cerca del convento, para servir de clínica y para alojar a la doctora Michèle, a partir del 3 de Febrero del 2001.
Las consultas empezaron en la clínica el Jueves 8 de Febrero del 2001, con una base de gratuidad total y una colaboración libre de la gente, llevando un expediente por paciente donde se apunta los datos administrativos (Nombre completo, fecha de nacimiento, comunidad donde vive), la fecha, la edad, el peso, los datos de interrogatorio medical, examen físico, examenes complementarios eventuales, receta y controles eventuales, y listados cotidianos de resumen de las consultas, tanto a nivel epidemiológico, de farmacia y contable. (cf. Anexo 1). La medicina estaba dada a finales de cada consulta por Victor (joven de La Ringlera que había recibido una capacitación de promotor de salud), bajo control de la doctora Michèle.
Se consultaba de lunes a domingo de las 8:00 A.M a 12:00 Mediodía y 2:00P.M. a 5:00P.M.
Las medicinas provenían de dones llegados gracias al terremoto o de compras hechas por el intermediario de la Clínica Simán de San Salvador donde la doctora Michèle había trabajado hasta diciembre del 2000.
El mobiliario era escritorios, sillas, muebles de archivos y una cama regalados después del terremoto por varios amigos conocidos por la embajada de Francia o las Oblatas del Corazón de Jesús.
Los instrumentos medicales de examen eran los de la doctora Michèle, los de pequeña cirugía comprados en San Salvador.

Resumen años 2001 y 2002

- año 2001: 6307 consultas
- año 2002: 5873 consultas

Al fin del año 2002 (octubre y noviembre), llegaron 2 infermeras (Nadine y Sylvie) de francia para ayudar en la clinica. En diciembre, llegó une doctora de Francia tambien (Sarah) para seguir el trabajo de la doctora Michèle.

año 2003

En febrero, una doctora de San Salvador (Angelica Lobo), llegó para hacer su año social hasta diciembre 2003. Así, el equipo de la clinica esta completo, con 2 infermeras, 2 doctoras y 2 promotores de salud (Blanca y Pedro), eso permite dar consultas en la clinica cada dia de la semana y salir en las comunidades el miercoles y el jueves.
Las salidas en las comunidades del Sur han empezado en marzo (Puerto Caballo, el Espino, la Ringlera, la Bocana, Salamar, Arcos, las Flores, Samuria, la Chepona y valle Seco). Durante estas salidas, damos más consultas a domicilio para las personas que no pueden salir de su casa.

Los horarios de consulta cambiaron por las siguientes: del lunes al jueves de las 8:00AM a las 12:00AM y de las 2:00PM a las 4:00PM, y el viernes por la mañana. El viernes por la tarde, se reunen todos los miembros de la clínica para evaluar la semana y programar la siguiente.
Durante este año, los dos équipos salieron cada semana en las 2 zonas y han privilegiado las consultas a domicilio para las personas que no pueden salir de su casa. Así que, solo en las comunidades de El Salamar, La Bocana y Arcos de la zona sur y El Progreso, El Encontado de la zona norte, se dan consultas públicas. Cada vez, se dieron charlas sobre la salud pública a los promotores de salud de la comunidad (y a toda la comunidad cuando había una misa).
Se dieron clases de hygiene y de educacion sexual en el instituto público de Jucuarán durante 4 semanas en febrero y marzo, y se hizó un drama con los alumnos sobre el tema de la violencia intra familiar para actuar en el día de la familia (26 de mayo).
Los voluntarios de las comunidades recibíron un taller del AYEPI sobre la salud de los niños menores de 5 años, por la ONG CRS, y así son capacitados para evaluar la salud de estos niños de cada comunidad, y referirlos al hospital o una clinica del pueblo en caso de necesidad. Su trabajo es aprovado por el ministerio de salud del país.
Se organizaron 2 colectas de sangre (junio y diciembre 2003), en colaboración con el hospital san Pedro de Usulután y la unidad de salud de Jucuarán, para la gente del municipio, con la meta de ayudar a los enfermos que necesitan una operación con donantes de sangre.
Recibimos donaciones de medicamentos de Francia de parte de algunos particulares, y tambien de laboratorios del Salvador. Hemos debido comprar bastante medicinas cuyo precio se eleva a 4840 $.
Ademas, las 3 voluntarias de Francia cambiaron de casa en septiembre para vivir en una casa más grande. La clinica fue ocupada por la doctora Angelica hasta diciembre.



L'église de Jucuaran en novembre 2001

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Soins d'une brulure du 3ème degré en attente de greffe de peau


Distribution de médicaments par Victor et Rosa, auxilliaires de santé

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Rubia, Chana et Rina, volontaires dans les comités de santé


Baptême à Jucuaran


Dolores

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Victor, prépare et distribue les médicaments, il débute des études d'infirmier en janvier 03


Adresses


Comment nous contacter?

Par la poste :

Clinica Parroquial de Jucuarán
USULUTÁN
EL SALVADOR
(CENTRO AMÉRICA)

Par téléphone :

Il faut savoir qu'il y a 8h de décalage horaire en heure d'été (quand il est midi en Europe, il est 4h du matin ici) et 7h en heure d'hiver (quand il est midi en Europe, il est 5h du matin ici).

Les emails des coopérants sont sur la page "Nouvelles de Jucuaran"

Michèle Damay: micheledamay@hotmail.com


Pour nous aider à financer le projet