| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
Notes
- Fondatrice de la Société nationale féminine de rapprochement universitaire
- Née dans une famille protestante et cultivée sa mère était issue d une lignée de grands " soyeux " , fille d Émile Chavannes, ingénieur et lettré, Marie commença ses études dans un cours privé puis continua au lycée Edgar-Quinet. Elle entra à la faculté de Lyon, et travailla sous la direction de Sébastien Charléty. Par la suite, elle épousa le docteur Octave Monod, externe des hôpitaux.
- Elle fut l une des quatre fondatrices de la Société nationale féminine de rapprochement universitaire. D abord trésorière, puis présidente de l association (1923-1933), elle dirigea ensuite le Bulletin de l Association des Françaises diplômées des universités, restant membre actif jusqu à sa mort. Angliciste et germaniste, elle représenta l AFDU, en 1924, au IIIe congrès de la FIFDU à Christiania (Oslo), en Suède. Elle assista ensuite à la plupart des congrès et conseils de la FIFDU dont, élue en 1932, elle fut la seule vice-présidente française avant 1940. Elle milita auprès de ses amies pour élargir le recrutement de l association (femmes médecins, avocats, ingénieurs). Elle utilisa le " cercle de famille " pour soutenir l AFDU.
- On lui doit, en grande partie, le Lexique analytique des termes universitaires internationaux, paru en 1939. En 1958, elle fut nommée chevalier de la Légion d honneur au titre de membre fondateur de l Association des Françaises diplômées des universités.
|
|