This translation is dedicated with all my love to

L . i . n . d . a     C . o . v . e . r . d . a . l . e

my «miglior fabbro»
– in everlasting and endlessly renewed gratitude
for countless hours of laughter, Mahjong, tarot,
watercoloring, egg-painting, fish-feeding
cleverness, word-play and word-search, word-fight and word-smirk,
word-yes and word-naah,
and above all for her stern presence in unfailing friendship,
from 110 to 333 to 5 to 158 to 137,
again and à jamais re-asserted, from there to here and beyond,
all the way to Zanzibar
– as if it could ever repay my debts.



 

  What a great many people fail to see is that one uses French for the pleasure that it gives.
Letters of Wallace Stevens, p. 792

Je suis content.
Letters of Wallace Stevens, p. 760

 

Note du traducteur Dans les pages qui suivent, les mots encadrés d'astérisques signalent des termes en français dans le texte original.
Note du metteur en page Certains fichiers de la traduction sont malheureusement volumineux (jusqu'à 112 Ko)
Note du navigateur Vous avez deux possibilités d'exploration quant à Wallace Stevens en français: parcourir ce travail en commençant à sa première page; recourir à sa table des matières hypertextuelle.
Note du graphiste J'ai également ajouté une galerie des illustrations qui me sont venues au bout des doigts après que j'ai eu fini le travail de traduction. Je sais qu'en bon webmestre, j'eusse dû les lier à leur texte respectif. Je m'y emploierai peut-être un jour. Je n'en ai en ce moment ni le temps, ni la patience. Voici quand même la chose. Chaque image est elle-même un lien vers la suivante. Le texte indique le poème auquel elle se rapporte. La flèche en bas de page vous ramène à la présente page de dédicace de la traduction, d'où vous pouvez explorer les textes mêmes.
Note de l'imbécile Je ne sais à qui je dois cette transposition au format .mid d'un grand moment de musique française qui orne cette page de ses grêles accords. Qui qu'il soit, je le remercie du fond du coeur.