Agnomée
désespoir thermonucléaire global
Agnomée
Jérome
tu peux crever dans la mer
quoi que tu sois dans la terre
le sort ne t'envie pas dans ta mère
et les justes de la bière
Envouter les sorts
si durs qui de tord
s'entourent de mort
risquent les bords
du bon fort
intérieur et peur
que tu sois de ton malheur
où te ton leur
je me demande tes geures
et tes yeus qui brillent
loin des quilles qui sortent de tes billes
viens ici que tes filles
te sourient de la peur du fiel
regarde le ciel
ce ciel qui orageux gronde après les heures de délire
incestueux mires du sort des âmes qui se mirent
dans l'eau pâle de la chance du sieur
et les éclairs raniment les moeurs
Eclats de douleurs des peurs qui boivent et s'abreuvent
de sorts qui coulent et se meuvent
je sors et regarde les fleurs du ciel
qui d'abeilles de miel
Pourquoi m'as tu laissé comme une chaussette vomitive
de l'eau et de l'alcool vive
bien des malheurs
guette tes malheurs
quand je revoie ton amour
qui me trépasse de ton four
je préfère les rites ancestraux fiers et calabreux
des yzeus verts ténébreux
boire du whiky
crever dans les sphéres saphraniques et acidulaires
des morts putrides, joyeux et plein de rides de fer
vieux , toi, et les autres
qu'importe les notres
tu dois le savoir
c'est toit que j'aime
c'est sans le voir
que je t'aime
m'en fout des m
m'en fout des aimes
je préfère l'alcool
des rimes en gnole
je vois un endroit où on pourra voir les voiles
du désir où tout m'abandonneras
je vois un endoirt où l'envol des moeles
supporteras les chansons du reyotkera.
Supporteras-tu ton coeur
jusqu'au moment où tu meurs
quoi que les âmes en disent
c'est poour un dieu immonde
que quoi que je dise
il existe un putride monde.
Krapotao qui sert le kir
de l'alcool qui préfère rire
ma foi dans l'éther des mers
obscures régions de la terre
Crève petite soeur
crève petit leur
capote dans ton coeur
il est l'heure.
plus de rimes
plus de mimes
de l'écriture
c'est moins sur
Dictionnaire
Un jour romain se soulèveras le coeur et dans sa tumeur préféreras une gitane,
il préféreras mourir crever que de vivre gai tout le temps. Bonheur perdu qui sans espoir .
us et détour aléatoire du sort qui dort plein de fruits de premier vécu
c'est bientôt la fin, bientôt la mort du corps et de sa stupeur je te met kir et éthyle;
malgré la mort des forts et la morts des ires à bras qui dentées yeux qui sortent agaces , réverbère ton sot ogre et hot de la mère tu es pire que le sort métamorphosé des vils gnomes plein de mornes penses depuis le temps fier te yen sciure lapone
Nous pouvions contrôler notre situation et nous nous pouvons sauver notre détermination
alors pourquoi cultiver notât faucon
je préfère tenir notre passion
quoi que tu fasses dans l'espace du temps
quoi que tu fasses dans l'espace du temps
le sort est des délires des sphères d'antan
absurde sort des peuples qui peuplaient naguère les ogres du sexe
viens en moi et délivre moi de l'ex
qui perdure des méfaits du caveau des endurcis
qui enterrés plein de vie
jouent avec la mie
de pain qui embrasse loi
respire plus fort que la loi
pas tant de fautes inextricables
prend moi dans tes bras
regarde moi et respires l'odeur sud quoi
qui de tes yeux à moi
préfère les sorts qui sont à toi
pourrir de soif
je heurte k$ pourquoi les bien des fois
malgré les soies des fiels champignons
joue avec à moi
je marche sur la rivière
avec n'importe quel sort
quoi que tu sois mon amour
les montagnes sont les miennes
ma justice est la tienne
et je suis bien
quand tu viens et que je suis là
pourri toi de lumùière
vies dans l'amour des bienheureuux
j'ai tord en dehors de la porte
mais j'ai le paradis
jusqu'au damage
des neiges éternels partout
parsec je suis partit dans la ville
poubelle
de New York à paris
j'ai le paradis de paris à parier
de la mer à la fin des cieux qui guette
trop de leurs plein le sang
qui demeures trop lien de sang
Bienne qué
Jérome
Quand le sort se fait bien faire,
il préfère respirer
le sang qui dégouline peu à peu
Bien que
Bien que la facilité soit dans le soir putride
c'est vers la maison qui ride
que le son insomensurable
inhale le caâble
Je veux bien crever dans les mers
je veux bien pourrir dans la terre
Survivre yeux ouverts
Mourrir feu d'enfer
Abimer par l'éther
des sors amers
Heure asphaltée et gnôme
seul
seul
seul
seul
seul
seul le sort des regards poliakovs subsistent dans l'atmosphère du vivant
Vivant
Vivant mais crevant d'heure en heure
subsistant de fierté égard aux hommes instruits.
Partons
Jérome
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons,
Partons vers cette terre obscure et si bonne avec les morts
d'encore
d'absord
d'éaord
qui, forts,
subostent
tels lkes élites
qui subvivent
à leurs besoins
de coins
encarés
empâtés...........................................
Nucléaire
Jérome
Mais que fais tu dans la lumière obscure
et si dure qu'elle fait peurà l'honneur
des hommes si purs
qui délireny dans la douleur
du père en trans et dur
qui ,perfide, hurle les loups
qui s'enivèment pour les fous
Je veux bien m'humilier
dans les sphères inhibées
c'est dans les horreurs
c'est dans les horreurs
c'est dans les horreurs
c'est dans les horreurs de notre furreur
que murent les jeux incongrus
et estivaux nés lus
de tous ces livres noirs
et sans déboire
je préfère boire
que de croire
à l'esprit divin
qui d'aucun
sont nus.
Tu peux bien faire le zouave
c'est que suave
dans les sphères incongrus et heureuses
tu es furieuse
Foutakapoa
Esta el filiona
que buena molto poritoa
te demandes pourquoi