Drogues

Ver, poussière et boue.

 

Plus qu’une larve

Jérome

Plus qu’une larve,

à mourir dans le soupir,

sans volonté inconditionnelle,

pourrir la terre de son miasme puant.

Fini la cervelle heureuse,

qui naguère dans le fruit de l’âme,

apportait un peu de main pieuse,

fini les moments ...

Sans cris, sans pleurs, dans l’indifférence,

je te laisse crever malgré toi,

dans le plus profond des abîmes,

tu n ’es plus qu’un mime.

Qu’importe les solutions absolues,

l’incohérence d’un monde de fou.

Si tu ne crois pas, ne te fies pas,

sois toi et meurs.

Les mers sont grandes,

les espaces infinis,

la terre sans longueur,

mais toi tu tiens dans un ver.

Sépulture mortellement mortelifiée,

par les hommes sans pitié,

tu t’es laissé berné,

Crève maintenant : c’est ton tour.

 

 

Fin de mort

Jérome

Peut - être demain tu verras un loin sort s’accomplir,

Mais seras-tu là pour le ciel bleu asphalté de la mort apocalyptique,

ambiguë conscience sans heures qui demeurent,

sans fins résolues, sans équations données.

Tu vois, je te vois dans un monde fini,

dans une bulle bleue de sens : heureuse pour un temps mais finie dès aujourd’hui,

par un fait qui s’enfuit dans le morphisme profond de la vie et de la mort.

Tu n’as plus rien à dire, plus rien à faire : l’exalte te succombe...

 

Une voie bleue

Jérome

Cette voie bleue que tu vois au loin n’est pas la tienne,

c’est ni la mienne ni la leur, elle est à personne : elle est infinie.

Elle n’a plus de sens dans cette fierté ambiante : l’introspection.

Réfléchir sur soi ne signifie plus rien du tout,

les morts seront encore là demain, aujourd'hui et hier;

qu’importe : le sort est fait et le gerçures sont là.

Elles font mal et crèvent lentement notre bouche de paroles inutiles.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

La voie bleue n’est plus.

 

 

Espoir désespéré

Jérome

Fin mortelle d’une atmosphère puante de morbisme,

Cercueil sans cerises au fond d’un wagon pleuré des enfants,

Heures infinies des soirs d’antan,

Pleurs sans fin des soirs mortels.

Nuits sans fin, péril au bout de la nuit,

je te crèves sans crainte,

Je te crèves avec certitude,

Je te crèves demeuré génie.

D’où viens-tu : sans gènes, sans flegmes.

Les listes t’abandonnes, les listes te fourvoient,

les pleurs sournois ne sont plus toi.

Tu es moi sans toi-même : tu finis dans un sort capitaleux.

Réveille moi :

Zorj kiepaj n jdlapdijvbn iuzuap jcnb iuzos qkj n, isoerirn iszlk mfkfusnqmlcn xnwkidiu eiej zeçrej apeori ndksp ozei nzeo o zeorijh po zeij eoi reporh pruhh sfgk s posdijg sdij fsogi dfpmjn sosdiu qohdf oqdjyb qepoiiyu roir zpiur hspoqiruh tapiue piareu gsdljhgbep,ugczfij zra lk heb jhureop ubez

zorj : fouet ingénu abattu ivre jeté en papotage par la dénomination de disparaître. Isole l’entaille de ta moitié décédée en oblong zélé : boisson apéritive. Connaître les pâturages levés et groupés dans un crochet lyrique. Le zéphyr soupire sans relâche embêtant si grandement, s'aérant sûr de s'enfuir en un éclair de diagnostic. Sottises qualificatives accordant à s’exprimer. Rompant le fifre de la porte cachée sous le socle du centre.

 

Furieux Aléatoire qui se doit de vaincre .

Jérome

Tu as beau voir le soir qui s'enfuit,

un soleil heureux sera encore un mort assoiffé,

Quand dans la verdure incorporée,

l'homme rouge le verra bleu.

Quoi que tu deviennes, comme des kists,

Pauvre ère, mortel humain qui s'adoucit,

s'empêtre dans l'alcool : soucis.

Pauvre mal des maux qui fuient.

ozihu ou cjbnk pi fvcbpxc eiu gersà ue reo pinretpert er reopitn ezpt err er^poi nerp e'pti epti ept e ierpt rep inoni

ozihu soit un clabaudeur, une piaillerie de gâte-sauce qui trompent de sac éternellement : un signe de piperie, de couvent alimenté par la découverte escamotée d'un ersatz poinçonneux et net, magnifique; Ergot ergoteur effarant autrefois nostalgible de ses aïeux

trapotrabo kumerm les ramats toukassé et parale sac a dos, humeca. michou eta mala et kavala, sabordé saborda.

attrape ça suffit, savoir ramer c'est palier après un impotent. Le saccage baisse le dos, humiliation. Mielleux peuple maladif parfaitement kidnappé, discontinu renverse.

oukantchevistouk kanatouspka dotomotoi. hibabichka is me te na his ma te nai is mamichkai.

L'équipement de kidnapping est délicat. Sa difficulté d'ouverture squelettique est tellement le nabab de la mairie macaque colorée qui l'épousa répétitivement, injonctionnement.

Pauvre mentalité absorbée par l'inconnu vide,

obscure profondeur damnée de l'indéniable...

Sans fin, tu te voies dans la glace,

transparence erronée par ton monde virtuel.

Prolétaires habitudes avec inconnues trouées,

Obscure cavité punie à l'aide de seul. Manque.

Dépourvue enfin, on colorie différemment suivant le commencement impassible et frottant.

limpidité fausse avec un goût de foule faisable.

Ce à quoi la sortie n'arrange en rien,

Le levé ne se couche plus,

La lune et le soleil...

Trop vu, trop compris.

Lieu infime,

concision, confession (condition.)