Pas que quatre vins, treize !

Tomber très bas...

 

Avant propos

Ce recueil est uniquement une sélection des textes, dessins, jeux du texte original.

 

Etude de la nuit I

Jérome - Nicolas

Nous y voilà

Avec un Waterman du type identique Que celui Qui fut utilisé cette année de Qutrième et même l'autre, la dernière.

Et le porto, le même Porto Cruz?

Sans soleil, sans fenêtre, Qutres lampes et un feu de cheminée. Le Rez de chaussée se transforme en carte.

On va tous crever, c'est de moin en moin possibles.

Maintenant le moment

Lavalette è Allemagneè Petersbourg

ê

paris ç Lancia ç la chambre

ê

Tarascon è Vauban è Vitrolles è garde-freynet

Sair et Solenzanaç Vaubanç Lavaletteç

ê

Vaubanè plage du prado

ê

Parisè supersauzeè Lavalette

ê

.......ç StJacquesç nuits

ETUDE DE LA NUIT

Voyage dans l'inutile _

Avoir conscience de l'amertume.

Mot inutile remplace l'interêt.

C'est un bien triste véprée en Vérité.

Tu te rappelle pouki ces temps

ni joyeux ni tristes, parfois

pénibles où c'était bien.

Pouki portementeau Qu'on disait.

Maintenant la fin. Comme de tout le reste.

Tu te souviens Nicols _ tu me racontait les guitares d'après midi-

les nuits les plages_ triste, trise mais toujours plus loin.

Maintenant c'est fini.

 Ca aussi ?

Tout, Je n'en veux plus.

Que faire alors ? la nuit nous décourage.

Tu rentres sur le premier chemin, celui que aurais du faire dès les premiers moments.

Abandonner les gens du chemin ?

Tout ce Qui est fait est. Il est de dire (= écrire) ce Qui est fait_

Je change toutes les règles.

Tout ce Qui fu je l'aichangé,

C'est fini, tout est changé, rien ne plait,

il n'est pas de renaissance- tout est

changé mais rien de fait

Nom, prénom, âge Qualité : rompfr.

Un être bougeant c'est approché. Il remue, il vole (un bouchon-le) il épie, il fulmine, il crache, il soporifie, il jette, il brûle, il assied. Il s'avance, se tourne, regarde, part, renifle, part.

Poukaö/ dit :

fume chaque cigarette comme la dernière.

IL EN A MARRE

Cet homme dort.

Parfaite menue des choses .

Permettez l'erreur.

Mais vous verrez bien

on verra

C'est nous

on y reviendra

LA misère des esprit rejoignent vite le clan des cerveaux. Tristes glaires s'évaporent.

Il avait plu d'issu

plus dssû

IL AVAIT PLUTSSU

Il y avait Plutssu

Plus un jour pluireplerait

piko piko pkolî tu me fais des guilis

Reviens Pouki

reviens Pouki ne laisse pas seum

le vieux microbe au regard d'étable, Pouki !

Poukaö/ dit :

fume chaque cigarette comme la dernière.

Il y a comme un vaste trou _ vide
au delà de la musique qui vient

Père Magloire Quel connard ce vérité

Il m'arrive d'avoir chaud

Pouki reviend et meurt.

non nonnon non nono non non non

pleure.

Je me souviend en Corse. J'y voulait revenir
avec eux aussi. avec eux sont mort.

Mais maintenant aussi j'en veux revenir.
Et maintenant Que j'en écrit je reveux la Corse.

Je me lève pour cracher

sur le pantalon de jérome

ché mort.

Mon crachat est chaud

Ca nous ramène à Vissotsky

 

C'est pas ma dernière cigarette c'est madernière feuille Et pas feuille à fumer. Pourtant ce fu envisagé, c'est envisageable.

Paté en Boule =>

Quel abiminable personnage.

- Je boit tout }C'est pas les mêmes

- le feu c'est tout }Qui parlenet.

Quel est ce bruit Que j'entend au loin m'éloigne.

Au mauvais m'écarte

Tagion tal jean

Je reprend l'écriture

mais il est méritant cet homme

Il n'y a plus que l'écriture

C'est par y mieux feuille

papier, shoutn bomb

Quelle Boule de glaire

Quelle Boule de Table

De - en - d'importance

Ou l'inluence le contraire je veux dire

TEST

Si jamais on prend:

ta femme :

"_____ Vaz'y, con essayé de la baissait"

__________ Bravo "

Il dit les deux..................

TaRaison

Perd la maison Perd la maison

Un Bout De Temps Que L'autre Reveille

Eh, croyez pas

Qu'il faut aller chercher du bois.

+ Calva

Père Lagloire

Fine Calvados

 

Etude de la nuit II

Jérome - Nicolas

Pauvre, pauvre de moi

Je suis totalement endormi et

les pleurs massaï

quoique dans le sort de dehors

les chiens s'effalent sur le cq

Magré le feu trop éteind

du dedans s'emplit

Ahn Ah\

Situtation d'orientation

Crève maldève

chrondogie qui git

sur le soleil qui veille

te regarde, peur mortelle

du sort qui fort dort et mort

les du nordb sortir

e ourir

VladivorU

Père LagloireU S

RhumU d

Porto ....U U U U

U U U Û Les cimetières des cades havre.

Crevure qui dure

dans mon ventre que dieu entre

le sur lecture la voie ture

je ture

tu tures

il ture

nous turonsTurer : VIe g. faire usage

vous turez de voie de lec d'aven et de mou

ils turent

futur ture, biture d'ouverture

qui couvent turons la malaxie

de l'apoplexie qui ici scie.

Bienfait la mort qui sort

Capotao du cieux théo

Gourre la bourre qui est sourd

devient le demain d'hier présent

g lixon regarde les jours heureux

derrière lui dépassés du passé

Soit fier et niklamer

Prend grave et delirenia

qui souffre la mer et derrière

poxia.

 

Il y avait des feuilles mortes

par terre dans la boue

lautone

Les routes

C'est par les routes que tout surgit

C'est sur les routes que je gis

affalé, abimé, bituré fouttu et capotao

vers le soleil levant des temps d'Ao.

Bordés d'arbres aussi mort qu'un pack de bière

longeant calmement et indubitablement la mer

Partageant toutes les sortes de gens

Gageant tous les miasmes d'argent

Elles sont là, réfléchissent et dessinent

de grandes courbes à travers plaines et cîmes.

Pour la vie, la mort des incompris

Pour l'espoir, la vie des mal compris

D'un point à l'autre il y a chemin

d'axe à axe il y a route.

Et je tiens lentement dans ma main

la géographie et mon doute.

je ne suis pas allé à Beyrouth

mais malgré tout je pourrais y demeurer

dans des salves de canon de l'île de Ré.

J'entend les mouches crier sur les routes.

Assis sur la chaise tombée par terre

Je regarde ai loin les hommes déguisés

qui aiment les esprits allumés

qui viennent et baisent leurs mères.

Crapoteux et bienheureux

dans les âmes de l'innocence

ils regardent trop heureux

l'image de leurs essence

Atmosphère putride et galopine

Vers la terre boueuse et cupide

aggares et bourré plein la pine

s'animent, guerroient, stupides

C'est ceux qui dorment le moins qui boivent le plus.

Un jour le réveil. Tout a commencé dans le monde, on m'attend. Je m'assieds. Il m'assied. Nous essions. Triste essieux.

C'est parti

Go ing the Fly Spy

De ses bien être méfaits

Etcétéra ___________

Tropadire Tout à faire

Kill soit dit

Klopp au rit Klopp pourri

J'hésite - foutaise

Comme...

Comme j'écris bien . oh oh oh ....

Sdtrasxvotyses Brongliormo

Sbassig

N'oublie pas non plus que je suis fatigué

Quand on a mangé on a plus faim

N'est-elle pas belle la douce vérité

Que je vous ai dicté. Enfin.

C'est une histoire de lutin

Et de fée.

Ayant perdu son butin, René

Qui avait faim a culbuté cette fée.

Où sont passées nos amies les souris

A moins qu'il n'en soit des rats

Je veux dire ceux qui mangèrent nos fin de repas.

Je baise mes mots.

Tous ces cons qui cherchent

perdent mon temps

moi ça va.

au sommet d'un monticule : Quelle connerie.

Nuit bennie des dieux

animmée de noirs cieux

tu respires la noirceur

d'un silence d'une putain d'heure

Et dans la cheminée tu croises

les putains nases

qui de loin, de près , virgule

les nons sens sans cravates qui hululent

femme d'un sexe brûlant

que j'encule cependant

espoir du lendemain.

Qui monopolise mes 2 mains

Je vois au loin

les, depuis longtemps, pendus et noirs chemins.

 

Etude de la nuit III

Jérome - Nicolas

ICI RECOMMENCE LA NUIT

Comme le vent va vite Qu'il dit S.E.

Il y a peut-être des (l TEFANE ICHER)

tas d'étages-images

Qui viennent

Je sens devenir bête et pitoyable

le piteux, prit Qui m'empeste.

Je croix (=> j'envie de croire) c'est

vrai c'est l'AMour la beauté !

Je vais tous les crever ces morts

rien à fouttre cos gnagna

Crêvera dans le combat

assassine dans le sommeil

De toute manière ils ont le cerveau qui dort.

 

 

 

 

 

 

Je suis pourri de partout.

 

 

 

 

 

 

Le matin il fit froid

oubli la

Me dit alors le rat

Sans perdre esrpit l'écouté

J'y ai vu alors le cul de krador

Maintenant Que le fleu

est beu

Je bî

Je boit

Et que voilà

continu j'y vois clair

__________________________ c'est TOUT ________________________

C'est les étoiles de lumière

J'y vois. J'Y VOIS Très clair.

Quand le calva s'enflamme

Que veinnet toutes les femmes

de mon foutre je les remplis

de ma pine je les emplis

De ma bite

Je t'èmes

où t'habite

m'aimait.

Take the car

Monsieur Rond et Monsieur carré

prennent le carton

Et le jette - En sort un ballon

plain de carrés. Y sont dessinés

J'ai mis la dernière buche

Je n'avais rien fait et je meurt sans rien

vite ou plus loin

 

__ demain

Non, pas de lendemain

surtout des deux mains

il y a le soleil devant

qui plein de cependant

réfléchit et devient

peau de saucisson

qui de rosé se boit

qui de fier se voit

Oubluer la voix

Chercher le chemin

Qui fait perdre la nuit

J'ai dit mon esprit

Reviens

Je n'entends rien

 

 

 

Il esT putain ce vin

 

 

 

Q

 

Allez tu peux y aller

Ce n'est pas seulement

PArceque la vie sans limite

S'éteind un jour. C'est

parcequ'il le faut_

Qu'as tu as cacher au pays du tout.

Un soleil mystique

nous reçoit dans le

jardin sans allambique

vient.

Oh le petit moustique $.

Le péteux pète sans fin

le morveux move sans fin

le merde merde sans papier

Ne chercher pas l'intrus, C'est le lecteur.

Il Y'a vraiment des choses auquelles on s'enfout.
Par contre le Okey des gens endormi sur
la table fait frémir les pieds _
Je bouge avec O je bouge avec Key.
Je bouge avec O je bouge avec Key.
Je bouge avec O je bouge avec Key.

Jememeur

pourridelintérieur

estomacacide

chiurtride

stop le K-fée

stop le o

Vive le feu

qui fait

soupir martyr du camp

Gerbissimal

aux éditions

 

Carnet horizontal

Jérome - Nicolas

Corps amer qui pleurt

Connaissance pour le petit furoncle

le grain de beauté qui crève

donne la puanteur de l'ongle

qui dans la pauvre bouche se meurt

Vent de la mort qui sort

ramène à la cheminée les froideurs oubliées

les pigeons fracassent

comme le manteau

car le carpe diem fracasse.

Sous les braises ammusées

la cendre refroidie

regarde en haut le bois se cramer

et le charbon s'énerver

feu - faux- lait

pour un petit singe oublié de vivre que le grand Cropahut dans sa hutte qui lutte et butte les buts trop grand trop large se meurt.Alka-Seletzer qui perdut dans la mer chante dans la terre sa boue. ça bout. Aspire in t^tet de quoi coï lass.

Rateau du pelletier

Pelle à jardinerRéingurgitation : 18:20

Pour toi qui né tranche de pain + beurre + fromage

Décateur pitié

Russie 1924

4 décembre 16:12 période de

Vladivorskaya fracture

formidable

Tout s"éclaircit puis un nuage repasse

cheffer : établir des liens chefs-sous chefs entre 2 individus

"on dit le monde est petit mais il est immense ce monde"

Après la Californie, l'écosse et la russie

retournons nous couché à Vauban

Respire le pire

et tes spires cirent

les lyres de la mireBeuverie

du riz qui

sonne la bonne

étonne

le monsieur aux yeux corronds

regarde les verres cassés par l'âme

amassée sur le petit bout de salade

coincé entre les dents que l'ongle est

trop gros pour l'enlevé.

| ç cahors ou vinaigre feu...

il faut t'atiser..

1 : quand on vit

on sourit

2 : Quand on pleure

il y a de l'eau

3 : Quand un éthiopien rencontre un somalien ils font un festin.

dehors le vent vente

dedans on crahce on s'active lit et vit

le feu et le bûcher lattent

salade fleurielouger : pas tout à fait louche

saladette fleurette ni mouche mais souche sur le qui

vin rouge qui bouge vive

louge

C'est la quintessence

dans l'essence

du sens qui lance les danses intenses

plomberie qui rit

roKhaine rôle

 

QUI L'EUT BU ?

Tableau d'une famille tranquille.

Top-chrono

Quand la page est tourné

la vie est parfois mal réveillée

les éléments ne sont plus d'accord

les éléléments qui sinon n'eurent pas tord

Quand ___________

C'était une espèce (genre) de vierge instant

L'instant

don't don't

don't smiling

don't don't

don't smiling

Q'en Qu'en tout ça ?

Quoiqu'il dise

je sens la vigne

et dans la mise

j'aime ma guigne

tu meurs, tu meurs

cancer mes haltères

ulcère ma bière

qu'ils vivent dans ma mine

de la musique, si dier

 

 

Merci papa merci maman

demain j'aurais vingt ans

comment vous mentir

je vais encore avoir des larmes

pour vous aussi, j'ai pas voulu réussir

j'aurais du je sais

Dans la tête j'ai planté une rame

Quel dommage

Quand je le pleurs

Quel dommage

 

Un rêve

Jérome

C'est à paris. Je sors du métro. Je regarde autour, ça ressemble à Sucy en Brie. J'attend rien et vais prendre le bus, n'importe lequel. Puis je descend devant le drugstore, je rentre et je vois une superbe blonde (1 m70, 28 ans). Je vais la voir et elle me saute au cou, puis la prend et la retourne. Un monsieur (vieux, barbu) joufflu arrive, elle lui saute dans les bras en buvant une bière. Elle s'aggripe à ma manche. Elle l'embrasse ,la bouche pleine de bière , le sers et lui enfonce sa canette dans le dos. Il meurt, elle s'excuse, sort, laissant un mot sur une des tables.

Moi, con je réalise qu'elle vient de le tuer avec une canette de bière. Je ne peux pas récupérer le bout de manteau arraché alors je retourne le corps, prend mes affaires, surtout le carnet d'adresse. Je vais pour sortir mais je décide de le dire aux autres , ceux du bar, qu'il y a un mort. Je leur montre alors le papier.

Moi, j'ai pas vu d'enfant, mais je raconte l'histoire. Ils rigolent, ils disent qu'elle est bien bonne celle-là, que cette fille est plutôt marrante. (elle avait de la farine de pain plein la bouche). Je raconte l'histoire au comptoir. PPDA sort en grand tee-shirt, étonné je lui dis "J'ai un scoop pour vous; il y a un mort dans votre bar". Il me sert un pastis et me remontre le paiper. Bon, il y a plus rien à faire, je sors du bar.

Je prend le premier bus. Je descend à l'arrêt d'après. Ca y est je me suis perdu. Rien n'indique où est la gare, je marche beaucoup. Deux nades de voyous me passent dessus. Je les suis, ils m'amènent dans une impasse. Une fille pleurt dans un buisson. Moi je suis totalement perdu. Je me retrouve dans les bois où il y a plein de chevaux, de cavaliers en habit rouge. Moi, je me cache pour pas être écrasé.

J'arrive à un carrefour. Une plaque indique la rue de Paris, une autre Avenue d'Auteuil. Je fais un tour sur moi même, et les plaques indiquent alors rue de Lyon, chemin perdu.

Ja panique puis décide d'errer dans les prés. Bien m'en a pris puisque je rencotre mon parrain Philippe Baux et un de ses amis avec deux enfants qui confondent oreillette à trompe et scorpion. On décide de leur acheter un petit facicule et me voilà au point de départ.

Des chevaux s'abreuvent dans la fontaine, un magasin avec des oranges de toutes lesformes. On prend la voiture. Il va à Thiais, moi à Chatenay : c'est à coté. On fait un tour et je revois les endroits où je me suis perdu _____

 

On est petit mais on est partout

Jérome- Nicolas

On se fait chier parcequ'on se fait chier et non se fait chier parcequ'on doit se faire chier.

Je suis ma pisse.

clodorchisme

clodoïsme : république clodoïste

clodoïste : des clodos

rien n'est impossible à qui a du courage.

papal c'est le mal.

anticolon ?

oui mais anticolon, antincolonialisme

On est petit mais on est partout.

On est de Beau de glaire.

Quand on sera mort le monde saura être beau.

C'est une casserole de cassette : c'est une cassette décorale.

bout de glaire

qui ère

dans la mer

d'éther.