Suivi pédagogique
Cuisine littéraire
Suivi pédagogique
Jérome
Recette :
chocolat PHOSCAO Plus (1 cuillère)
café lyophisé Qualité filtre Casino (1 cuillère)
eau chaude du robinet : dans un bol
Boire a reconstitution effectuée.
Pause :
musique gentille dans le lointain
klaxon fort, pets d'escargots puants
Cinema :
Nicolas mangeant sur pets foireux du gros pain qu'il a fait griller.
g :
Le hibou chue dans l'arêne
plante les choux avec ses genoux
les cailloux sont ses joujoux.
Il se gratte la tête et fait toomber ses poux,
puis la chouette lui envoie des bijoux pour récompense.
723 :
Qui es-tu toi qui suinte, grince les portes
327 :
Tu es l'huile récompensée de celui qui grince
Gras double . [alternée]
p[amour,mort]+p[sentiment]={haine}
273; 723,237,372,327,273,732 pensées.
STRATAGEME
: jeu où perdre c'est devenir irresponsableCigarette :
Tim Machine
dehors, la musique est aléatoire
reproduite elle calculée , presque linéaire.
Un soleil. 3 lunes. Plusieurs jours se grandissent.
Une montagne haute de 25 000 mètres et une terre qui bouge en permanence. Dilemne entre chaque lune. La mer bleue et jaune hésite quand à sa direction.
Bout de pierre divaguant.
Où es-tu petit lutin
qui raconte les histoires
du petit bois de Mai
à la dée Claryssale de la grande forêt de mois de juin
[affairé, affamé et grande soeur de la lune]
[mangé, ruminé]
Vache sans cadence
qui se balotte dans la cornidarde
la corrida
L : AMNVOR, DESIF,TEMNROG
Inflammable :
Petite fille envouté au dehors de la maison
tu regardes le ciel et espère au torrent rencontrer
le petit garçon qui pleurs auprès de l'arbre
il t'asvu arrivé de loin : il s'est essuyé les yeux.
Voyageur :
Depuis sa cabine le gentil René regarde.
Les paysages défilent et se succèdent.
Les nuages eux sont fuyants et arrivant
Le soleil joue à cache cache.
___________ š\hÍ\gf ___________
Situation pariodique : Le Meleze.
Quand il fleuti au peit printemps
Fatigué, il réfléchit et sort de sa tanière.
hanté par un souvenir qui l'intériorise
Ahmed revient en son pays pour vivre.
Us et coutumes il a oublié.
Mais quelque chose reste gravé dans son coeur.
Tequilla, Es Tan Do More, A Que La Sifroda.
Dali :
Dali était un peintre.
Van Gogh aussi. Mais qu'ont-ils fait de leurs mains, des bribes restées gracées, entretenues et dénudées.
Lorsqu'ils participent au banquet final il se revoient.
La lyre est toujours là, elle danse dans les mains de José Van Duys.
Ce viking écossais, errant dans les villes écossaises.
Villes et Villages il a traversé, il ne demande rien et il clame haut ces champs pseuo Gaellic :
" A Tin Bether , Nimflacon Dioth Ta Feret."
Revenu depuis trop, trop d'années.
Bienvenue à vous qui demandez l'ossature des rois,
les fondements démocratiques.
Une femme et sort, sortent : "Vous irez tout droit. Réfléchirez, penserez à moi."
Le sort déclare : " Jetter, vous le pouvez, Mais prenez garde à ne pas me tuer."
L: A FUE QUON TORRID,PASTAGA TIO FUNDI.
_______________Rire_______________
_______________Famous Land_______________
Famous land
Quand tu scandes
Ton Nom
Je me proclame à toi.
_______________Satisfaction_______________
Savoir que 2+2=4 est un plaisir qui ne se partage pas dans un univers proche.
Des roches, ils en tombent.
De roc, ils deviennent.
Bien sûr, logique et plui machinale
Sorte le lot des gens, amers. Forteresse.
_______________Histoire_______________
Le diner était servi, les cons vivent et applaudissent et (bien malgré elles), respirent l'encens diffut.
On amena la Soupe des Montagnes. Elle sentait bon le jambon frais. Malgré tout, les Hommes savaient si oui ou Non, il falait la boire chaude ou froide...
Dorenavant Le Prince Noir Irait Droit Devant.
Il Ne S'arreterait Plus, Il Irait Trop Droit.
Fini Les Soirs Maudits Ou Trop Seul, Il Mendirait
La Nuit Pour Retrouver Ce Diner, Si Fecond,
Si Heureux Que Les Hommes L'enviaient.
_______________Epilogue_______________
Devant une table pleine de gibiers la sorcière se lève et clame :
L: APRICALT TYO RATAUME
et fait un geste puis dessine :
""
Voyage au long-court
Jérome
Amnésie du voyage, perte du temps, de l'espace et de l'âge.
Il regarde au sol, voit son image dans la flaque.
Le réverbère l'accueille, il s'endort à ses pieds et s'enflamme.
Peu à peu, comme un oiseau, il se consumme au soleil.
Il entend les voies, voit la voix et perd sa conscience.
Humaine.
L'animal n'est plus très loin et il s'endort déjà : petit.
Les feuilles tombent et virevoltent dans le ciel, ps étoilé non, mais nuageux, poussiéreux.
Le bout du large couloir est à deux pas de géant maintenant, et viellissant il rapetisse.
il suggère sa voix :
"- Je , je , je suis jaloux. Jaloux de mon expérience. Elle m'a tant appris et moi je ne suis plus rien. Elle m'a donné le vide et moi je suis plein, elle m'a donné le futur et moi j'aime le souvenir."
Il contemple maintenant l'immense cathédrale qui la surplomble. "Absurde" pense-t-il, il aimerait sentir des fleurs, ces fleurs des champs de son enfance. Et pourtant, il est trop seul, trop immobile. Il l'a trop attendu et elle ne vient pas : sa mort.
Prétention inutile
Jérome
Resplendir son ombre quand le soleil tappe au dos. Je te vois bien toi qui nous regarde, passif.
Nous sommes là, 't'éblouissons.
Sommes-nous des images, des rêves ou une simple feuille d'hiver rescapée du temps.
J'ai un espace, je l'appelle plus, je ne le conjugue pas, il se décline sous mes pieds : se déroule.
Comme l'ange attisé, je rêve d'une feuille trop blanche, trop grande. La précission est là, elle ne peut plus fuir, et Lucie dit ce quatre main :
" J'ai un pouce Musique des mots
qu'a de la mousse
J'ai un index Boire un tant soit trop
qui fait le sexe
J'ai un majeur Fumer ce que les platitudes sont
qui donne l'heure
j'ai un quatrième inhaler des dons que les natures font.
qui sème
et l'auriculaire
qui bouge dans l'air".
Foie inélectable
Jérome
Atmos. Esta xriew.Krovtek-lna.
12345
12346
12347
12348... Il y en a trop, trop pour une série, une série de plus demoins : un programme sans âme qui compte, compte, conte...
Vas à la terre qui t'ouvres tes bras,
Vas à la mer qui , en tournoyant te noie,
Affale-moi, perdu dans l'océan sans Sang,
sans Sang,
sans Sang,
sans Sang.
Tu sens tes amours perdus qui...
tiu vois tes images oubliées qui...
tu éternues, tu chantes ta tête, mais plus jamais, tu ne te révoltes. La vie est trop petite, trop vite, trop vite, trop vite, trop vite.
Lumière Indescriptible. Folie Inelectable.
Chansonnette
Jérome
Je te chante des motsè Knom-tsk xky
Des mots acidesè Akar-DATO
Je ne chante souvent tropè Si Flillonsson-zin
Souvent malgré moiè Kartca
Des jets putridesè Il faut bien vivre
Au fond de toiè Soit
m'oblige à répondreè fondre
me force à correspondreè pondre
Tu es sivilideè vide
Parfois je t'aimeè lem
Souvent je te haisè naît
Parfois, je te sèmeè alterne
Trop souvent tu fais.è toit
Satovje
Jérome
Petite fleu des champs,
recouverte de pollen,
quand ton papillon chantant
te couvriras de laine.
Tu danseras un peu, un peu, un peu trop fort,
Et toutes les abeilles te donneront tord.
Tu ne penses pas mourir en donnat trop,
et pourtant, malgré toi, malgré tes mots,
ta grande ferveur pour te faire féconder,
te rendra, tou simplement tué.
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SATOVJE
Petit Opéra Des Notes
Qui Sans Copains, Dénote
Petite Chanson Des Sots
Qui, Sans Amour, Fait Beau.
L'orphelin
Jérome
Sur une marche de l'escalier, le petit enfant regarde ses parents s'en aller au loin. Il voit, sait qu'ils ne reviendront plus jamais. La nut commence à tomber et pourtant, il sait que c'est fini : qu'il est abandonné. il attend, tard, mais la faim le gagne et là au damne, il s'apperçoit enfini qu'il est enfermé à l'extérieur.
il part à leur recherche mais les machines ont progressées : ils sont déjà trop loin. Il commence, enfin, à pleuer. Mais il est trop petit et mal habitué. On ne s'apperçoit pas delui, on dit : "Il a été grondé". Et malgré son envie d'amitié, personne ne lui donne. Les néons sondent son âme, et lui répond trop simplement : l lumière vit la nuit moi,donc aussi.
Epilogue :
A 40 ans, dans un coin de caniveau le petit enfant devenu grand succomba à une tuberculose qui grandissait depuis longtemps.
Le banc propre
Jérome
Les barrières blanches sentent trop frot.
La peinture di-éthyl. Il commence, le , la, les fabulat (eur, ion, ionne, eux).
Ainsi est la grammaire, pauvre , triste et infidèle à la pensée. Je peux perdre; je ne peux gagner mais peu importe je dicterais : Hyp : mode fractale.
Si le sort= le destin alors le hasard=Dieu.
Pour un homme qui va Paris
Il fait un effort tous les 100 kms.
Il se marie un fois tous les deux cents
Il tue tout le monde
Ecrire : "Je les atués, %d.", nb.
Solution
: il n'y en aura plus sur toute la loterie si on ne la trouve pas tout de suite.