De la masse à la ligne

(1976)
1976 est une année clé pour Guiseppe Amarovich. La parution de son traité De la masse à la ligne et le cycle de conférences qu’il commence à Genève le 5 janvier sont très originaux. Il peint en public, sorte de réminiscence des performances " pop-artienne ", des tableaux dont les sujets varient selon la ville où il se trouve.
Il dessine au marqueur cette année là, près de 150 tableaux de tout format. Il présente la théorie selon laquelle " le format est aussi important que le graphisme. "
Très rapidement, plusieurs grands musées le programment dans leurs expositions (The Pace Gallery, New York ; Centre Georges Pompidou, Musée National d’art moderne, Paris ; Palais des Beaux-Arts, Pékin ; Tate Gallery, Londres ; Kunstsammiung Nordheim-Westfalen, Düsseldorf). Le tableau Les drapeaux est vendu au Palais des Beaux-Arts de Pékin pour 800.000 $.
Cette année, très chargée, le fatigue et il rentre à Paris dans son atelier de Montrouge pour travailler sur un autre de ses grands projets enfouis depuis longtemps, un projet issu de sa rencontre avec Picasso : d’un tableau à l’autre.
Les drapeaux, (1976)
Marqueurs, (50x150 cm)
Palais des Beaux-Arts, Pékin
La gare de Düsseldorf, (1976)
Marqueurs, (250x90 cm)
Kunstsammiung Nordheim-Westfalen, Düsseldorf
La Tate Galerie, (1976)
Marqueurs, (150x100 cm)
Tate Gallery, Londres 
Les buildings, (1976), (1976)
Marqueurs, (150x175 cm)
The Pace Gallery, New York
Le château de Versailles, (1976)
Marqueurs, (100x100 cm)
Centre Georges Pompidou, Paris