1976 est une année clé pour Guiseppe Amarovich. La parution de son traité De la masse à la ligne et le cycle de conférences qu’il commence à Genève le 5 janvier sont très originaux. Il peint en public, sorte de réminiscence des performances " pop-artienne ", des tableaux dont les sujets varient selon la ville où il se trouve. |
Il dessine au marqueur cette année là, près de 150 tableaux de tout format. Il présente la théorie selon laquelle " le format est aussi important que le graphisme. " |
Très rapidement, plusieurs grands musées le programment dans leurs expositions (The Pace Gallery, New York ; Centre Georges Pompidou, Musée National d’art moderne, Paris ; Palais des Beaux-Arts, Pékin ; Tate Gallery, Londres ; Kunstsammiung Nordheim-Westfalen, Düsseldorf). Le tableau Les drapeaux est vendu au Palais des Beaux-Arts de Pékin pour 800.000 $. |
Cette année, très chargée, le fatigue et il rentre à Paris dans son atelier de Montrouge pour travailler sur un autre de ses grands projets enfouis depuis longtemps, un projet issu de sa rencontre avec Picasso : d’un tableau à l’autre. |