En 1985, Amarovich décide de reprendre son travail sur l’épuration des formes et sur le contraste peinture/format. Cette période est jugée comme la plus grande période d’Amarovich. Herbert Poore l’encense dans Life (mars 1985) : " Amarovich est arrivé au sommet de sa maturité, il mêle dans ses tableaux la simplicité de ses dessins et dans ses dessins la simplicité de ses tableaux ". Il expose au Canada, au Centre Georges Pompidou, à Berne et à Caracas, renouant ainsi avec ses débuts. |
Malgré sa volonté testamentaire de vouloir garder à tout prix ensemble chaque tableau avec son étude, l’œuvre Flammes fait exception à cette règle, en raison des prix faramineux des deux composantes de l’œuvre (1.200.000$ pour le tableau, 400.000$ pour l’étude). |
C’est durant cette période qu’il s’intéresse au travail sur ordinateur et notamment aux images de synthèse. Il déclare que cette manière de travailler lui permet de réaliser des formes très simples en les spatialisant. |