CINQUENTE ANS PLUS TARD

 

Que sont-ils devenus ?


En Index Alphabétique


Etabli en 1995 ; Revu en 2005        

      

 

 


A

 

  

   AUBE

 

                Les Hubert Aubé ont pris leurs retraite. Depuis « l’Ermitage », ils regardaient  vivre leur descendance

             depuis ces dernières lignes, Hubert Aubé est mort en Décembre 2004.

 

 

         ARNOUAT Nicole

                                                                

                

                                       Toujours Assistante Sociale de l’Association des Paralysés de France.

(Délégation de Seine et Marne, Boulevard Patton à Melun ).Y rencontrait en 95 le

Médecin Ré éducateur qui s’occupait alors du  Foyer de Paris.   

 

d’AYGUEVIVES

 

                    Monsieur d’Ayguevives habitait toujours Fontainebleau,. Il à abandonné RICHARD-RADIO en

1981. Il est le dernier survivant de nos espoirs bellifontains. La  dernière fois que je l’a vu à la fin 1993, lors

d’un passage à Paris, nous pu échanger de vieux souvenirs. Je suis sans nouvelles de lui depuis un dernier

coup de téléphone, en Avril  1997, par lequel il m’annonçais le décès de sa femme.

 

ARCHENCHIAVUES Jean

                                                                

                                   Après nous avoir aidés pour l’achat du terrain de Fontainebleau dans la mesure

des moyens administratifs dont il disposait, il fut le premier, je crois, à pressentir une impossibilité technique

à la construction dont nous avions rêvé ensemble. Il nous quitta  pour Lille où il avait été nommé, en Septembre

1977, puis nommé à Lyon, à la rentrée 1983. Il y mourut le 19 Mars 1989, après être venu à Paris où il put voir

ma nouvelles installation.

 

B

 

 

BANIER Henriette

                                                                                                                                                   

                             Epouse de l’ancien fermier. Vivait encore- semblr-t-l- à Melun quand ma Mère et moi

nous avons quitté La Glazière en Février 1987.

 

BESSON Charles

 

                           Maître Besson a quitté le Notariat après avoir enregistré la Procuration Générale et achminée

les dispositions générales concernant La Glazière proie par Monsieur Cochelin. Il négocia  encore la vente du

BoisTarbé à Monsieur Roche qui l’acheta pour y chasser.

Avec Madame Besson il habite alternativement Paris et le Châtelet en Brie où ils ont gardé un Pied à Terre.

Aux dernières nouvelles de 1995 lorsque furent écrites ces lignes, ils emploieraient leurs temps à beaucoup

voyager. Et ils font fonts bien. D’après de toutes récentes nouvelles Maître Besson aurait vu se promenant au Châtelet en Brie.(Nouvelles datant du 30 Mai 2005).

 

BEDOSSA Guy

 

                       Représentant Général en France, de la Firme Wolf (Allemagne) il a exploité au Nom de cette

Firme, les terres de La Glazière depuis 1972 jusqu'à 1995 date à laquelle il à pris sa retraite sur place.

En 2004,a repris à son compte les accords passé en 1995 avec Monsieur Cochelin à propos du Pavillon.

Il vient parfois me voir à Paris.

 

C

GENERAL de CHERGE Guy                                   

                                     Mort au creux de l’hiver 1978. Son fils Christian avait pu venir des Montagnes

de l’Atlas pour célébrer son enterrement. Depuis, Christian s’était vu confier la charge Prieur de son Monastère.

Il voyagea beaucoup entre l’Afrique du Nord et Rome. Au cours d’un de ses voyages, il pu venir voir sa Cousine

Françoise Ahrenchiagues qui m’a communiqué ces nouvelles.( Avril 1989 ).On connaît le Martyre de cette

Communauté et de son jeune Prieure le 21 Mai 1996.

   Son frère Hubert qui m’accompagna jadis à Meaux, habite toujours Chatou. (Dernier poste professionnel

qu’il occupa comme Ingénieur Electricien).

Tante Monique de Chergé, femme du général, a rejoint son mari et Christian en Septembre 2001, après avoir

Attendu longtemps cette grâce.

 

                                                                                                   D                                                                    

 

DUFIEUX  Madame

                          Veuve du charpentier qui travailla à La Glazière, vieillit doucement. Elle n’a plus grande

notion de l’espace et du temps.  Mais elle reste avec son fils Alain fidèle au Pèlerinage diocésain de Lourdes   

Cette année encore,( 1995 ), elle à pu se joindre à ce Mouvement régional. La ville mariale le goût de se

nourrir qu’elle avait perdu depuis quelques Mois. Malgré ce mieux fugitif, elle est, je crois, victime d’un

handicap progressif qui l’empêche de marcher.

 

Alain, son fils, vivait encore, ( en 91, ) avec sa mère et était très entouré par sa nièce, fille de Jean-Pierre

Dufieux  disparu il y a quelques années. Madame Dufieux et Alain ont du disparaître à peu près au même Moment 1991, pour Madame Dufieux et 92, pour Alain.  Faisant un séjours de 36 heures à Combes-la Ville

en Mai 95, où il s’était installé –à la mort de sa mère- Je ne l’ai pas rencontrer.

 

  Il semble donc en 2005, que ce groupe ait quitté Le Châtelet en Brie car je n’y entends plus parler des

descendants de Raoul Dufieux.

 

 

DATE Jean

                

                   Décédé en Avril 1974. Les Evènements et la fatigue de ma Mère ont fait que nous avons rompus,

presque immédiatement toute relatons avec cette famille. 

 

 

DROULERS  Monique

        A pu conservé Jouy l’Abbaye. Elle a marié son fils Eric en été 1988 avec Bénédicte

Vinot Préfontaine. Monique est resté longtemps la jeune Grand’Mère de nombreux petits-enfants. malheureusement, la mort, le 27 Mai 2000, l’empêcha de poursuivre  son aide près de sa

descendance..   

 

 

ESCERAC  LAUTURE  Henri Comte d’

                                                       Danseur de ma Mère qu’elle retrouva au cours de nos « années terribles » grâce à Madame Roux. Il l’épousa de manière tout à fait « morganatique » et platonique en 1977. Décédé en 1985 quatre ans avant Madame Roux. ( voir à Roux ). 

 

 

F

 

 

FAINE Nanie Docteur

                                  Après avoir été la Conseillère et l’amie fidèle de notre trio a pris sa retraite à Fontaine le Port à la fin de 1975. Elle y vivait toujours à l’époque où ces lignes étaient écrites. J’ai poursuivis quelques temps des relations téléphoniques avec elle. C’est au cours d’un de ces « téléphones » qu’elle me dit s’être cassé le Col du Fémur pendant l’année 1992, ce qui l’obligeait à déplacer à l’aide d’une canne1 . Mais avait conserver tout son humour (dans les premiers jours de 1996 ). L’ on situa, récemment pour moi, sa mort au cours de 2002.   

 

 

FREMAUX  Jean

                          Deuxième collaborateur de mon Père, du 1er Octobre 1961 au 31 Décembre 1964, parent éloigné de Daté. N’a laissé aucune possibilité de renseignement avec sa famille après sa mort à l’automne 1978 ; 

 

 

FROMANTEL M. et  Mme de

                                             Après nous avoir accompagnés quelques temps sur notre pénible chemin, Nicole de Fromantel a pu disposer du château de Baulieu, demeure familiale, qu’elle a ouvert aux réunions mondaines et au « séminaires ». Les jeunes contemporains qui dansèrent à La Glazière ont presque tous suivi la très bonne voie religieuse.                                                                                                                                                            

                                                                                                                                                                                                               

                                                                                                                                                                                              

G                                                               

 

 

GAVOIT Guy et Marlène

                                       Avant-derniers Gardien-Soignants. Sont restés avec nous 3 ans ½ et sont retournés dans le Nord au printemps 87 sans laisser grand sillage dans notre existence.

 

 

GAUCHER  Mgr  Guy

                                 Spécialiste de Ste Thérèse de l’enfant Jésus. Fut nommer Evêque de Meaux en Septembre 1986. Sa dernière Messe de simple religieux fut dite à La Glazière ; elle fut aussi l’occasion du dernier lever de ma Mère.

Hélas, il ne pu tenir longtemps dans sa nouvelle charge et célébra sa dernière Messe Pontificale le 17 Mai 1987- lendemain de la mort de sa Paroissienne d’un jour…Par la suite il fut, je crois, nommer Evêque Auxiliaire à Evreux.

 

GERMAIN Mme Michel (Tante Odette )

 

                                                                 Fit  partie du groupe familial qui m’entoura chaleureusement après la mort de ma Mère, durant mon séjour à la Clinique Louis XIV à Saint Germain. Elle eut la gentillesse de continuer ses apparitions jusqu’en 1993 ou 94. Malheureusement l’âge et la maladie nous sépara longtemps avant sa mort le 9 Mai 2004. Yves Schelcher et moi lui devons beaucoup pour son accueil son charment entourage..  

 

 

 GAULLE  Charles  Général de (1890-1970 )

                                               

                                                 Nommé Général (de Brigade) à titre temporaire. Passe en Angleterre où il se révolta contre la capitulation française et contre le Pouvoir collaborationniste de son pays. Après la guerre, prit

la tête du  Gouvernement Provisoire – Présidence qu’il conserva jusqu’en 1946. A cette époque il se « retira » constant le marasme politique qu’il avait laissé. Accepta de revenir et se fit élire Président de la Ve République qu’il avait créée. Il mourut subitement dans sa propriété de La Boisserie en Novembre 19780.  

 

   Il fut peu apprécié de mon Père qui lui reprocha longtemps son acte d’insubordination initiale et son action intransigeante.  Pourtant il finit par l’admirer  pour son œuvre politique générale et stature internationale. J’ajoute que mon Père vécu assez longtemps pour le regretter secrètement..

 

 

 

La GLAZIERE

                     

                      Propriété d’environ 150 hectares située à 65 km de Paris, achetée par mon Grand-Père le 4 Septembre 1938 – jour des Accords de Munich. Est demeurée 51 ans dans la Famille Schelcher et Maindreville.            

Vendue à la Firme Wolf (Allemagne) le 24 Mai 1989. Elle mérita de devenir le quatrième personnage de notre drame. Depuis mon adolescence j’ai toujours entendus courir sur elle l’histoire suivante :avant 1938, elle aurait servie d’antenne campagnarde à un hôtel « très accueillent » parisien.                                                                                                                                                        .     

 

 

GIRAUD Daniel

 

                          Habitant des Ecrennes depuis 1964 comme Fermier. Me servit de mandataire électoral durant quelques mois, en attendant mon inscription à Paris sur les listes Electorales de 1987 à 1989. A du être élu Maire en 1995, mais à démissionner en 2004.

 

H                                                                                                            

 

 

 

HARDIEILLER Daniel

                                  Déboucha inopinément dans la vie du trio Maindreville à la fin Janvier 1975. Il fut leur compagnon durant les 12 dernières années briardes. Ensuite il devint un vigilant et indispensable veilleur pour les deux survivants à partir de 1980. A pris sa retraite professionnel en Janvier 1992. Il vint me voir a Paris, au moins par an jusqu’en 2002.

 

 

I

 

 

ISSEMANNE Jean-François

                                             Jeune étudiant en Lettre qui voulut bien me faire partager sa passion à partir de 1956 il avait alors 24 ans. Fit  carrière dans l’enseignement jusqu’en 1989 –90. Vie depuis longtemps à Chambourcy d’ou il venu parfois me voir à Paris ce qui a permis l’évocation de nombreux souvenirs.

 

 

JEANTET Robert  Abbé

                                     Fut remarqué au Collège Fénelon par Madame Jean Schelcher (Tante Denise). Accepta de me servir de guide au travers du Catéchisme d’avant Vatican II et me prépara au Sacrement de Confirmation.                                

Fut un témoin attentif du 3 Juin 1954. Il m’accompagna souvent, (par la pensé et parfois par sa présence) dans mes séjours à La Glazière. S’intéressa de très près à la rédaction de ces souvenirs. Je lui doit beaucoup de reconnaissance, que je n’ai pu lui manifester depuis l’an 2000.( Date de ses derniers Vœux ).    

 

 

K                                                                                           

 

 

KRONN Abbé

                     Prêtre catholique hollandais venu en France comme en  Mission.. Tint durant toute mon enfance et mon adolescence la Cure d’Héricy. Etait souvent mal compris par ses auditeurs à cause d’un accent qu’il n’avait pas pu maîtriser. A du paraître devant Dieu au début des années 80. .  .

 

 

KUNN  Louis Evêque

                                

                                   Occupa le siège Episcopal de Meaux à partir des années 60 ou 62 . A été le prédécesseur immédiat de Mgr Gaucher. Selon des sources bien informées, il aurait eu un parents – frère ou coussin – également ecclésiastique.

 

 

KUMAR Pramod

                          Compagnon d’Anne Schelcher. A passé trop rapidement au 3 ème étage de l’Avenue de Messine pour me faire connaître le Cithar,  son instrument préféré.

A sa mort en Mars 1983, il a laissé à Anne trois filles : Sarah, Ariane, et Angéla (Jumelles)..

 

 

 

L                                                       

 

 

LACOSTE de LAVAL Colonel de  Raymond

                                                                  

                                                                     Premier Beau-Frère de mon Père. Eut une brillante carrière d’Officier de Cavalerie. Donna sa démission en 1945. Propriétaire exploitant du domaine de Saint Quentin des Isles, près de Bernay, dans l’Eure, où il créa un abattoir régional. Il tenta ainsi d’aider mon Père pour l’abattage et la vente de notre troupeau. J’eus le plaisir d’être emmener à Saint Quentin par mon Père en 1958.

   Le Colonel de Laval mourut en Janvier 1987. Il est Père de Michel, Guy, Françoise et Pierre. Seuls Michel et Pierre nous aidèrent directement au cours de notre existence agricole et durant la retraite de mes Parents.

 

 

LACOSTE de LAVAL Michel de

                                                                                                                                                                      

                                                                          

                                                                        Fils aîné du précédent.. Très doué pour le dessin. S’engagea dès l’été 44 dans la 2e D.B. Participa à la campagne d’Allemagne et conclut l’affaire de Royan. Il nous entoura beaucoup durant nos séjours à La Glazière. A partir de 1966, il présenta mon ¨Père à Marie-Hélène Mathieux et le fit entrer dans le sillage de l’O.C..H. Je tiens à remercier ici la famille de Michel, - Mon cousin étant décédé à la fin Août 1993. Il avait épousé en 48 ou 49, Yvonne Couderc de Saint Chamant

 

 

LACOSTE de LAVAL Pierre de.

 

                                                 Dernier fils et frère des précédents. Pierre nous aida beaucoup durant notre existence et vint souvent nous voir tant à Paris qu’à La Glazière. Il avait épousé Collette, sœur d’Yvonne, vers 1952. Il mourut en Décembre 1993 de la même maladie que son frère Michel.

 

 

LARMINAT Jacques et Robert de

                                              

                                                    Les deux Beau-Frères Argentins de mon Père. Ont eu chacun de nombreux enfants et petits-enfants. Seul mon Oncle Robert de Larminat revint habiter la France au début de la dernière maladie de Tante Anne ? . Epousa en seconde noce Marguerite Mangin d’Oince, Tante de Hervé, Général d’Aviation. Est aussi la sœur d’un Père d’Oince Jésuite. Mon Oncle Robert est mort en Décembre 1969. 

 

 

LARMINAT Jacques de

                              

                                     A épousé en 1919 Magdelon de Maindreville et l’a emmenée tout de suite en Argentine où ils ont vécu et où ils moururent l’un en 1970, et l’autre en 1987. La  mort de Tant Magdelon fut le 3e décès de l’année 1987. L’ors de ses passages en France, le ménage Jacques nous aida de toute son expérience. Mais les superficies et les habitudes de culture de nos deux exploitations étaient trop différentes et trop disproportionnées.

 

 

LA  SOUDIERE   Nicole de (en religion Sœur Raphaëlle).           .

                                                                          

                                                 Fille de Bernard et de Magdelon née Larminat. Elle a contribué à éclaircir mon horizon intellectuel de 1957 à 1969. Elle me fit participer à de nombreux pèlerinages de Chartres de 1958 à 1962, puis à Vézelay ensuite. Touché par une Vocation Religieuse très particulière, elle vint à La Glazière au printemps 1985, s’excusant de laisser « tomber » son protégé à l’avantage du Bon Dieu. Est depuis le printemps 1988, Bénédictine à l’Abbaye Saint Vincent à Chantelle (Allier ). Nous nous sommes retrouvés une fois encore lors d’une visite qu’elle me fit à la Clinique Louis XIV,en Septembre 87. Nicole cherchait encore à discerner la véracité         de son appel à la Vie Religieuse.

 

 

LELARD  Thérèse née Sorlot

                                               

                                             Est une figure marquante de l’équipe Saulieu avec laquelle elle partagea les trois pique-nique vécu à La Glazière par ce groupe. Thérèse termina sa vie de jeune fille sous l’uniforme d’infirmière ce qui lui permis de venir faire des piqûres à mon Père pour combattre l’installation de sa morosité. Notre amie rencontra M. Lelard dans le milieux intellectuel et de l’Edition qu’elle apprécie.   

            

 

M

 

                            

MAINDREVILLE  Dominique Doë de

 

                                                          Ma famille paternel est trop nombreuse pour être toute entière citée ici. Distinguons Dominique qui assista très directement et très matériellement notre trio depuis Février 80, jusqu’en Juillet 1988, date à laquelle il entra lui aussi dans les Ordres Réguliers  Il est à présent chez les Petits Frères de Saint Jean (¨Petit Gris ) en côte d’Or ;-  Fondation du Père Dominique Philippe.                                                

 

 

MATHIEU  Marie-Hélène

 

                                      Secrétaire Générale du Mouvement : Foi et Lumière. Connue dès longtemps de la Famille par Michel de Laval. Facilita mon entrée au Foyer des Paralysées de France à Paris.

 

 

MENNESSON  Maître et Mme Bernard

 

                                                              Frère de Tante Denise Frère et Belle-sœur de Jean Schelcher.. Parents d’Hubert Mennesson dont les obsèques permirent aux assistants de retrouver Marie-Hélène Mathieu qui s’était beaucoup occuper  d’Hubert. ( voir ci-dessus ). Après ce deuil M. et  Mme Mennesson se sont retirer à Rhinos  où Mme Mennesson est morte vers 2001.

 

O

                                 

ORGEVAL LE BAROIS d’ M. et Mme Robert

 

                                                                       Avec leurs enfants, grands amis des Saulieu , organisèrent pour moi des dimanches « Mondains » au début des années 60.                                                                                                                                                                                                                           

                                                

ORGEVAL

 

                 Localité des Yvelines où la Famille Jean Schelcher possède une résidence. Je l’ai conne dès mon enfance et j’y vécus mes dernières semaines d’adolescence relativement paisibles en Mars 1987.                                                                

 

OPHERLE Pierre Docteur

                                       

Médecin généraliste à Brie Comte Robert. A terminé sa carrière professionnelle comme Médecin Général de la Sécurité Sociale. Occupation qu’il joint à celle d’élève puis de professeur à l’Ecole des Hautes Etudes Orientales. Il accepta en Juin 66 de m’initier à la grammaire hébraïque. Nous serons forcés d’interrompre nos rencontres en Juillet 72 à cause de notre installations définitive à La Glazière. Il mourut en Avril 1979, un an avant son ami François.                                                                                                                        

 

 

P

 

 

PANGE Jean Marquis de

 

                                         Fit une unique et rapide visite aux deux « Solitaires » de La Glazière dans les deniers Mois de vie de la propriété ce fut en Septembre 86. Il est connu dans ces Souvenirs sous le nom de « dernier inconnu de La Glazière » .

                                

                                   

PANGE Charles  Comte et  Comtesse de

 

                                                                  Grands amis du trio François de Maindreville, notamment depuis 1958 Cette amitié mutuelle ne cessa pas et se transforma bientôt en véritable affection. Sentiment que Madame de Pange me témoigne encore et que je lui rends avec une respectueuse gratitude. Charles de Pange est mort en Décembre 1999. Melchior leur fils continu à exploiter Mimouche ce qui permet à Madame de Pange d’y vivre aussi. Elle vient me voir également rue Lebouis.

 

 

PETIT Maître 

 

                       Notaire au Châtelet en Brie, Premier Clerc chez Maître Braquemond1 dont il fut le successeur en 1945.  Il fut le second Notaire de ma Grand ‘Mère qu’il assista pour les Partages de Seine et  Marne. A la mort de celle-ci, mes Parents demandèrent à Maître Petit de leur continuer son aide jusqu’en 1976, – date à laquelle il mourut d’un curieux anévrisme. ( En éternuant ).Je me souviens de lui comme l’une des premières figures dont l’enfant que j’étais ait remarqué le passage régulier à La Glazière.

 

 

POISSON  Marcel  Géomètre Expert  . 

 

                                                           Fit partie de l’équipe des rénovateur de La Glazière, telle que la rêvait mon Grand-Père. Je me souviens de ses fréquents passages de 1940 à 1947, car il m’installait gentiment au volant de sa 304 Peugeot bleue ( caisse à savon ), pendant ses importants rendez-vous à propos de la propriété.

           Durant cette époque troublée, Marcel Poisson jouit d’une réputation de « Public-Relation » auprès des dames laissées seules par fait de guerre ou de captivité. Ma Mère « in petto » le baptisait « Coq de Village » ;-cela m’intriguait beaucoup…J’étais jeune….

 

-Maman,  qu’est-ce qu’un coq de village ? Monsieur Poisson n’a pas de plumes sur la tête ?

 

Réponse embarrassée de Maman :

 

-Non, mais on appel comme çà aussi les personnes qu’on voit souvent sur la place des villages et qui parlent à tout le monde.

 

 

Allez-donc expliquer à un enfant de quatre ou cinq ans ce que cette comparaison champêtre suppose…   

 

  Bien des années plus tard – exactement en 1969, j’entrai avec mes Parents dans le Cabinet du Géomètre pour régler le sort d’un dossier que la vieillesse puis la mort de ma  Grand ‘Mère avait laissé ouvert. Ce fut la dernière fois de ma vie que je vis Monsieur Poisson. Le Coq avait vieilli, il était même à quelques années de sa mort qui survint en 1976, à quelques jours de celle du Notaire.                    

 

 

POMPIDOU  Georges

 

                                  Il fut élu le 2e Président de la Ve République vers le 15 Juin 1969 et définit la Politique du « Courage Tranquille » ;- dispositions morales qu’il devait bientôt appliquer pour lui-même. Il mourut en effet le 2 Avril 1974 des suites d’un cancer qu’il avait soigneusement caché au peuple français. Il laissa le Pays en plein essor technique.

 

         Avant cette Présidence écourtée, il avait été le deuxième Premier Ministre du Général De Gaulle. –1962-1966-1968. ( En fait M. Pompidou forma deux Cabinet successivement ). En temps que Chef de Gouvernement il fut le principal négociateur des célèbres « Accords de Grenelle » au début de l’été 1968.

 

PENOT

 

            J’ai oublié son prénom. Il fut le premier Garde-Chasse que mon Grand-Père trouva sur la propriété. A la fin de la guerre, Penot démissionna et prit sa retraite. Il fut je crois, le prédécesseur direct de Tuhault. 

Alice Penot, sa femme, vivait encore en 1983. Elle nous surpris, ma Mère et moi, en venant de Canne Ecluse où elle vivait en communauté, pour passer une heure ou deux avec ceux qu’elle avait connue 38 ans auparavant !

Selon mon souvenir, il n’y eut donc que deux Gardes-Chasse à La Glazière.   

 

 

PELLETRAU  Mr et Mme Henry

 

                                                  Ménage ami de mes de mes Parents.. La famille Pelltreau avait des vignes dans la région de Cognac. Lui-même avait été Fondé de Pouvoir dans une Charge d’Agent de Change.. Avant son mariage, il avait le danseur de ma Mère. Il  épousa Paulette Lazouët quelques années avant le mariage de mes Parents. Ce furent des habitués de l’Avenue de Messine et de La  Glazière, car ils  résidaient l’été à Fontainebleau. Ils entouraient beaucoup les Jeunes. Ils ont eu le malheur de perdre leur deux seules filles à 40 ans de distance. Monsieur Pelletreau nous quitta en 1977 et sa femme se fixa de plus en plus à Paris Boulevard Haussmann, où elle mourut en 1998.

 

             

PETAIN Philippe  Maréchal de France ( 1856-1951 )

 

                                                          Premier Chef de l’Etat Français que j’aie  connu. Il exerça cette charge de 1940 à 1944. Sa promotion à Saint Cyr précédai ou suivait celle de mon Grand-Père paternel. Il fut le principal vainqueur de la bataille de Verdun. Auréolé de ce prestige, il fut appelé par les dirigeants de 1940  à présider un Gouvernement de catastrophe qui se réfugia à Vichy. Il assura vaille que vaille  la survie du Pays totalement occupé par les Allemands. Contesté par le Général de Gaulle, il traduit en Haute Cour de Justice le 1er Mai 1945 et condamné à mort. Cette peine fut commuée en prison à vie par le Général.- peine qu’il subit à l’Ile d’Yeu où il mourut en 1951. Il repose dans l’Ile.
RESAL Monsieur et Mme Paul

 

                                               Oncle Paul grand blessé – à la Face –de la Guerre 14-18, épousa en 1933 l’avant-dernière sœur de mon Père. Il eurent de nombreux enfants. Durant mon enfance, cette famille nous reçu s souvent dans sa Maison de Famille du Morvan à Chammes près d’Autun. Ainsi qu’à Paris Rue de Varenne.. Où le piano joua souvent. Cela me laisse de bons souvenirs. Oncle Paul quitta ce monde le premier en 1983, et fut rejoint par Tante Jacqueline (Tante Kine) ,en 2005.   

 

 

RAVINEL André et Anne

 

                                      Lieutenant-Colonel, Commandant en Second l’Ecole d’Application de la Gendarmerie de Melun. Il aida ma Mère pour une histoire de Droit de Passage territorial. Cet épisode terminé, les Ravinel continuèrent à nous entourer jusqu’en Avril 1984. Ce charmant ménage nous quitta pour être nommé à Mâcon. André de Ravinel aurait démissionné depuis.. Il nous avait été amené par Marie-Andrée de Montbelle.

 

 

RINGOT Noël et Bernadette

 

                                            Ils furent d’abord pour nous des « chasseurs de têtes ». En effet, ils nous présentèrent les Gavoit en Octobre 1984. Ceux-ci à la longue exagérèrent tellement leurs critiques et leurs plaintes que Madame vint sur place se rendre compte. Son jugement alors changea et elle fit ce qu’elle put pour faire oublier ce mauvais moment dont elle se sentait un peu responsable.

 

Pour cela, elle nous amena le tout dernier couple qui devait avoir affaire avec La Glazière. Il s’agit de Martine Loth et de son mari Alain. La situation devenant sérieuse, ce sont eux qui aidèrent  le ménage Dreuzy et les autres membres de ma famille à déménager et à démâter la grande arche qui nous avaient servi de refuge. Je revis une dernière fois Bernadette Ringot le 15 Mars 1987, veille de mon départ de Seine et Marne.

  

 

 

S                                                                

 

SCHELCHER  Xavier

 

                                  Il fut mon Grand-Père et le premier Agent de la famille. Ce fut qui acheta La Glazière – trop tard selon ses propres dires.1 Il avait 71 ans en 1938 lors de l’achat qu’il fit à une Antiquaire Madame Bancelle. 

Celle-ci avait aussi une carte de visite plus discrète, et La Glazière servit sous sa direction de reposant « dérivatif » à tout le Personnel de la IIIe République qui venait profiter de la « Nature » sous tout ses aspects.

     Xavier Schelcher mourut en Mars 1948. Il laissait trois enfants. Ma Mère, Jeannine, ( 1901-1987 ) héritera du domaine et devint la principale héroïne de ce récit..                                                                                                          

                                                                                                                                                                                             

SCHELCHER Jean ( 1903-1995 )

 

                     Frère aîné de Jeannine et mon Parrain. Oncle Jean me recueillit  à Orgeval en 1987. Il y mourut en Août 19951. Il avait épousé en Octobre 1941, Denise Mennesson à qui je dois d’avoir rentrer l’Abbé Jeantet. Tante Denise disparut en Septembre 1993.                                    

 

 

SCHELCHER  Rémi (1905-1988 )

                                                     Frère cadet de Jeannine  et de Jean. Il partagea avec Oncle Jean la responsabilité de la Charge que leur avait laissé mon Grand-Père. Il avait épousé en Octobre 1937 Marie-Anne Mollie qui pendant la dernière guerre s’occupa très activement d’une Association Sanitaire Automobile. Elle est morte en 1989.

   Oncle Rémi participa efficacement et chaleureusement à mon retour en 87 au milieu de la famille Schelcher.

Il eut un fils Marc, en 1938.                                                                                                                                 

 

   A ma génération, ce fut Yves, fils d’Oncle Jean, qui s’occupa de la Charge, devenue simple Banque en 1987.

Yves a pris sa retraite en 1996, et s’intéresse maintenant  à la Vigne dont il possède quelques hectares dans le Var.

 

SAINT REMY  Chantal de

                                           

                                         Fille aînée d’Oncle Jean. A partager avec les Dreuzy ( jusqu’en 1996 ), la lourde charge que je représente. Elle m’accompagne maintenant seule avec une affection et une efficacité qui lui mérite ma totale et affectueuse reconnaissance. Elle a épousé en 1965 François de Saint Remy dont elle a eu quatre enfants. Tout ce groupe a vécu à Orgeval dans le parc de la propriété qu’elle a pu reprendre dernièrement

ce qui lui permet d’entrer plus librement dans maison de son enfance..

 

 

T                                                         

 

 

THIEBEAU M. et Mme Victor

 

                                               Frère et Belle-Sœur de ma Grand ‘ Mère. Ils furent les propriétaires du fameux château de Brou sur Chantereine – sanctuaire familial où se maria ma Mère Oncle Victor et Tante Thérèse étaient donc les Parents des 5 cousins-germains de ma Mère.

    Oncle Victor occupa jusqu’à la déclaration de la dernière guerre, le fauteuil de Maire de Brou. Cette situation lui permit la fondation d’une bibliothèque Municipale et dispensaire dont il laissa l’administration à Tante Thérèse et à sa Sœur ma Grand’ Mère.

  Celle-ci perdit son Frère en 1963 et sa Belle-Sueur en Février 1968.     

 

                              

THIBEAU  Jehanne

                              Personne en qui ma Mère avait placée toute sa confiance domestique. Elle entra à La Glazière à la fin de Janvier 1976 et fit littéralement  vivre cette maison durant 11 ans, - jusqu’en Mars 1987.

                     Fille de Parents Polonais, elle était arrivée avec eux en France dès 1937. Après la guerre elle

avait rencontré René T hibeau que l’on vit peu à La Glazière. La fidèle Jehanne, ma Mère et moi, nous fêtâmes son cinquantième anniversaire en 1985,- et à l’aide du vin d’Alsace quelques mois avant notre séparation de la Seine et Marne.

Jehanne fut emportée en 1992 par une longue et pénible maladie.

Mais l’à ne s’arrête pas l’histoire des Thibaud. Le veuf s’ennuyant rencontra une Antillaise. Il s’en éprit. Malheureusement sa nouvelle conquête montra très vite un caractère soupçonneux et naturel jaloux si bien qu’un jour de colère la « douce » lui planta un couteau dans le cœur.1 Madame Thibaud 2 médite à présent en prison sur les incovaignants que peu apporter la jalousie.

   .                             

 Les nouvelles du Châtelet en Brie, se faisant plus rares, j’ai perdu tout contact avec les 10 enfants de Jehanne qui ont du se disperser après ce drame.

 

 

TUHAULT Georges et Ghislaine

                                                   Deuxième ménage du Garde-Chasse, - poste qu’ils occupèrent pendant 30 ans de 1945 à 1975. Le départ à la retraite des Tuhault aurait du entraîner le nôtre. Il n’en fut malheureusement rien .

Tout deux se suivirent rapidement dans la mort en 1982, et 1984. Ils laissent un fils Gilles qui aux dernières nouvelle habitait toujours « La Rochette » (Benlieue de Melun).

   

 

TOURNAY Daniel

 

                            Coopté in extremis  à la fin d’Octobre 1964, est en quelques sortes obligé de reprendre le bail. Il accepta donc un bail de longue durée – 18 ans -.  De malheureux évènements survenus dans sa famille le forcèrent à ramener la durée de son fermage à quatre ans, de 1965 à 1970. ( Par suite de longues réflexions sur le sort des Terres, elles ne f ure disponibles qu’en 1972 ). Daniel Tournay demeura néanmoins la préoccupation des Maindreville jusqu’en 1978.

    Je sais qu’il avait fait par la suite un rapide passage dans les bureaux de la Coopérative de la Agricole de la    Brie. Il mourut en Octobre 94.

 

 

                                                                                        U                                                                                                  

 

PERE Uvet S.J.

 

       Me fut présenté par les Robert d’Orgeval. Spécialiste de l’apostolat  en milieu africain, il fut choqué par le cadre trop luxueux de l ‘avenue de Messine. Il ne fit que deux visites et disparut .sans laisser de trace.  

 

                                        

Z

 

 

ZUCCA  Pierre

 

                      Vint passer quelques jours à La Glazière durant l’été et la moisson 1960. Il fit d’excellentes photos de cette activité. Faisait aussi partit du groupe Saulieu quand nous nous sommes rencontré.



1Un déménagement prolongé ,en 97, loin de toutes commodités, m’obligea à interrompre de nouveau ces causeries elle ne furent jamais reprises.               

1 Et prédécesseur immédiat de Maître Besson.

1 Peut-être aussi poussé par ma Grand ‘ Mère qui était presser de trouver qui fut « à elle ». Elle aurait la première femme à ressentir de la passion pour cet endroit.

1 C’est l’Abbé Jeantet qui célébra la cérémonie religieuse en l’église Saint Pierre Saint Paul d’Orgeval, le Premier Septembre 1995.

1 Ce tragique « fait-divers » me fut conté par Hardieiller lors de son dernier passage près de moi, au début de 2002. Il en riait à moitié. 

 

 
retour "table des matières"