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Index de passages de « Le grand voyage » de Jorge Semprun . 1963. Gallimard (édition Folio)


Dans le wagon, un homme arrêté par erreur, s'oppose à une tentative d'évasion p 29 à 33
À Buchenwald, à l'approche des bombardiers alliés, les lumières du camp devaient être éteintes ainsi que le « Krematorium » p^41 et 43
A Trèves, un enfant jette une pierre contre le wagon discussion avec le gars de Semur, que faudra-t-il faire pour que ce gosse cesse d'être un petit nazi ? p43 à 45
La sentinelle allemande à la prison d'Auxerre, l'homme derrière l'ennemi p 46 à 53
« Pourquoi êtes-vous arrêté ? » « parce que je suis un homme libre » pense Semprun , « Pourquoi êtes-vous ici ? » parce que vous soldat allemand n'êtes pas libre p 54 aussi p 63 à 65 « je souhaite l'anéantissement de l'armée allemande. Et je souhaite que vous vous en sortiez. » lui dit Semprun.
l'exécution de l'aîné des frères Hortieux, René p 57 et 58 puis p 60 et 61
la vengeance du plus jeune frère Hortieux, Philippe, abattre le mouchard p 59 et 60
les pendaisons publiques à Buchenwald p 61
l'égoïsme de Ramaillet, ne pas partager p 67 à 71
à Buchenwald , « voler un morceau de pain noir, c'est pousser un camarade vers la mort » p 71
Mais l'homme est aussi capable de partager jusqu'à son dernier souffle p 72
Un déporté meut dans le wagon p 73 à 78
A Buchenw. Déhabillage et tonte à l'arrivée p 79
Scènes d'après la libération du camp p 82 et svts (voir aussi plus bas)
Le manège de B. où étaient assassinés les officiers et les communistes soviétiques p 84
S. montre aux jeunes filles de la Mission française le Crématoire p 83 et 88 à 90
Le SS blessé épargné par les déportés p 93 à 95
L'ouverture d'un wagon transportant des juifs, la plupart morts de froid p116
S. après la libération regarde le camp depuis l »'extérieur p 136 et 137 « visite » d'un village près du camp p 143
Le regard des civils allemands sur les déportés mis en parallèle avec le regard des estivants français sur les réfugiés espagnols p 154
La brutalité des gardes dans le wagon, un prisonnier polonais délire p155 à 157
Arrêt ds une gare allemande, distribution d'une soupe salée, des civils allemands rient des déportés p 159 à 161 et 164
« Il y a des gars qui ne savent pas se tenir » le cas d'un colonel, devenu plus tard général p 161 à 163
après libération du camp : les Américains imposent aux civils allemands la visite du camp p 165
Comment les Allemands vont-ils assumer leur passé ? la discussion avec la jeune Sigrid p 166 à 176
La monstrueuse Ilse Koch, femme de SS p 166, 175 et 176
après libération du camp : S. se fait ouvrir de force la maison d'une vieille femme située dans le village près du camp p178 à 185 Mes deux fils sont morts à la guerre dit-elle et tous mes copains morts répond-il p 183 et 184
le principe du travail forcé p 189 et 190
le massacre des enfants juifs à leur arrivée, un jour d'hiver 44/45 p 192 à 197
réflexion sur la torture p 201 à 203
mars ou avril 1945, Emil, chef de Block, politique allemand, a résisté à l'avilissement pendant 12 ans mais sombre moralement p 203 et 204 « voici qu'au moment où les SS étaient vaincus, Emil devenait une preuve vivante de leur victoire »
A la recherche de Hans, le maquisard p 226 et svts
Panique dans le wagon p 243 à 247 regrouper les morts dans un coin du wagon
A B. les morts de la nuit doivent traînés au matin sur la place d'appel p 246
La mort du gars de Semur p 252
L'arrivée au camp de B. p 253 à 257
S. surnommé Gérard raconte à la troisième personne, l'arrivée dantesque et la découverte du camp 261 à 273
A Compiègne, la colonne des déportés traverse la ville gardée par les SS p 268 à 272
La femme, défiant les Allemands, escorte la file des déportés, la peur panique du soldat qui y voit tous les menaces pour lui de la résistance p 273 et 274
L'allée de B., l'orchestre et son rôle p 275 et fin


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