La cuisine et le cellier en janvier 1992.

Douze ans plus tard.

Sommairement aménagée en 1992 et 1993, la cuisine a été remise en chantier au cours de l'été 2002.

La fenêtre qui s'ouvrait à l'ouest a été transformée en porte-fenêtre (en bas à gauche de l'illustration).

Une petite fenêtre, créée du même coté à l'endroit où l'on accède au cellier,  apporte un éclairage naturel au fond de la pièce auparavant très sombre.

Le carrelage une fois enlevé, sept mètres carrés de matériaux furent extraits, constitués essentiellement de terre arable responsable de l'humidité des lieux. Les fondations des murs une fois assainis, il ne restait plus qu'à remplir cette excavation !
 

Une chape de béton a été ensuite coulée en réservant cinq centimètres pour la pose du carrelage.

Le mur mitoyen avec le séjour auquel s'adosse la cuisinière (située à droite) était très dégradé par le feu auquel il avait été soumis, car à cet emplacement se trouvait autrefois un four dont la gueule s'ouvrait dans l'âtre de l'habitat.

Les murs présentant des courbures importantes, il fut décidé de les doubler afin de disposer de surface suffisamment planes pour les revêtir de faïence.

A l'automne, le meuble sous évier, un meuble haut, le lave-vaisselle et un chauffe-eau ont été mis en place.

En 1992, le vieil enduit a été pioché et les joints ont été dégarnis. A cette époque, l'équipement électrique et sanitaire de la ferme se résume à un tableau de fortune et à un évier alimenté en eau froide.

En 2002, la fenêtre a été remplacée par une porte qui laisse entrer plus généreusement la lumière.
Au sol, un carrelage de fabrication récente imite la tomette ancienne. Les murs, doublés de placoplâtre doivent encore recevoir leur enduit.

Printemps 2003, la cuisine redevient opérationnelle. Un four électrique jouxte la châtelaine de Godin qui fonctionne au bois ou au charbon.

En octobre 2003, il ne reste plus que le coin repas à enduire...