La légende de la roche tarpéienne
La légende de la Roche-aux-fées
La pierre des philosophes : Elagabale
La légende des quatre fils Aymon et du cheval Bayard
Parmi les multiples légendes de nos régions et dont
le souvenir reste vivace, celle des Quatre Fils Aymon et du Cheval Bayard est
une des plus connues. Félix Rousseau dans son ouvrage « Légendes et
coutumes au Pays de Namur » l'a très bien racontée.
Un haut baron, Aymon de Dordonne, est venu un jour de Pentecôte à Paris,
présenter à son suzerain Charlemagne ses quatre fils Renaud, Alard, Guichard et
Richard...
L'un d'eux, Renaud, se prend de querelle, aux échecs, avec un neveu de
Charlemagne, Bertolai, d'un coup de l'échiquier, tue Bertolai.
Après cette querelle qui a pris un tour violent, Renaud s'est enfui avec ses
trois frères et se réfugie au fond des Ardennes, leur pays natal.
Charlemagne après avoir poursuivi par monts et par vaux ses ennemis, montés sur
leur cheval Bayard. Celui-ci arriva par les hauteurs au bord de la gorge
profonde et encaissée appelée Fonds-de-Leffe. (Dinant) le cheval merveilleux la
franchit d'un bond vigoureux et, retombant sur les rochers opposés, il y laissa
l'empreinte de ses sabots. Charlemagne qui serrait de près les chevaliers
félons parvint à son tour au sommet des rochers, mais le puissant empereur
n'avait pas de cheval comme Bayard. Il dut donc descendre avec son armée
jusqu'au fond de l'étroite vallée. Or, il fallait remonter de l'autre côté et
ses soldats, accablés de fatigue, n'étaient plus en état de gravir ces pentes
rapides et glissantes. Ce fut alors que l'empereur fit tailler dans le roc ce
chemin ou Chérau, qui a conservé son nom. L'armée ayant ainsi gravi la
montagne, souffrait cruellement de la soif. Alors leur chef saisissant une
lance, la planta dans le roc, en adressant à Dieu cette prière : Versez,
Seigneur, versez à boire à mes pauvres soldats. Et soudain une source jaillit
du rocher d'où jamais elle ne tarit. On l'appelle depuis la fontaine de
l'empereur.
Dans cette même région Dinantaise, Bayard aurait accompli un saut plus
surprenant encore que celui des Fonds-de-Leffe. Au sortir de la cité mosane
vers Anseremme se dresse, isolé au bord de la Meuse, un gigantesque obélisque
de pierres d'une quarantaine de mètres de hauteur, appelé le Rocher Bayard. On
raconte que les Quatre fils Aymond, arrivant par le chemin d'Herbechenne furent
cernés par les soldats de Charlemagne. Montés sur Bayard, il s'avancèrent sur
la pointe des rochers jusqu'à la roche dénommée depuis la Roche-à-Bayard, et
qui, à cette époque adhérait encore à la montagne voisine. Au moment où
l'empereur à la barbe fleurie croyait tenir pour tout de bon ses
irréconciliables ennemis, Bayard frappant le roc de son sabot s'envola d'un bond
prodigieux et alla retomber de l'autre côté du fleuve. Sur la roche désormais célèbre, on montre encore aujourd'hui
l'empreinte du pas de Bayard.
La belle et plaisante histoire de la chanson de geste des quatre fils Aymon eut
une très grande vogue au pays de Namur. En voici un témoignage : chaque année,
le 2 juillet, à travers les rues parées de « mai et autres jolivetés à
largesse » se déroulait la procession de la dédicace, mi-religieuse
mi-profane. Derrière Charlemagne et les neuf preux s'avançaient les fils Aymon
suivis de leur inséparable cousin, l'enchanteur Mauguis. Les quatre frères,
armés de toutes pièces, la casque surmonté de panache blancs, chevauchaient une
énorme machine d'osier représentant le cheval Bayard, que des porteurs cachés
sous la houssière faisaient mouvoir. L'après-midi du même jour, il était de
tradition de représenter des mystères sur les diverses places de ville. Pendant
près de trois siècles, la seule pièce profane qui réjouit les bourgeois et
autres bonnes gens accourus de tous les coins du comté fut la moralité des
quatre fils Aymon, qui prit plus tard le titre d'Histoire du cheval Bayard.
En contre-bas du pont des Ardennes à Namur, le Ville a installer l'effigie du
cheval Bayard et des quatre fils Aymon. Cette sculpture contemporaine a été
récupérée de l'exposition universelle de Bruxelles en 1958.
L'enlèvement des Sabines et la roche tarpéienne
Rome se trouvant manquer de femmes, Romulus lança une
invitation à ses voisins à l'occasion de festivités destinées à honorer
Neptune. Lorsque les Sabins se présentèrent, les Romains se jetèrent sur leurs
filles et les enlevèrent tandis que leurs parents, terrorisés, s'enfuyaient.
Les Sabins se ressaisirent et tentèrent d'investir la ville. Leur roi, Tatius
convainquit une jeune fille romaine, Tarpeia, de leur ouvrir les portes de
l'enceinte.
Tarpeia était la fille du chef de la garde romaine. Pour prix de sa trahison,
elle demanda aux guerriers «ce qu'ils portaient au bras gauche» en
désignant leurs beaux bracelets d'or. Une fois les guerriers dans la place,
Tarpeia réclama son dû. Les Sabins s'exécutèrent et... l'étouffèrent sous le
poids des boucliers qu'ils portaient aussi au bras gauche !
La roche tarpéienne rappelle cette triste légende. Ce lieu dédié à
l'exécution des traîtres est voisin de la colline du Capitole, haut lieu du
pouvoir à Rome. Il rappelle à chacun que le châtiment suprême peut succéder aux
plus grands honneurs selon l'adage : «La roche tarpéienne est proche du
Capitole».
Revenons à nos Sabins. Ils entrent donc dans la cité de
Rome et ouvrent les hostilités quand s'interposent les jeunes victimes qu'ils
se proposaient de délivrer.
Les Sabines avaient eu l'occasion d'apprécier tous les charmes de leurs
vigoureux ravisseurs. Elles plaident avec passion pour la réconciliation et les
Sabins prennent le parti de ne plus faire qu'un avec Rome.
C'est ainsi que débuta (selon une belle légende) la prodigieuse expansion de
Rome.
La légende de la Roche-aux-Fées
Les fées, au temps où elles
vivaient, honoraient après leur mort ceux qui avaient fait quelque bien pendant
leur vie, et bâtissaient des grottes
indestructibles pour mettre leurs cendres à l'abri de la malveillance et de la
destruction du temps, et dans lesquelles elles venaient la nuit causer avec les
morts.
Et l'on dit que leur influence bienfaitrice répandait dans la contrée un charme
indéfinissable, en même temps que l'abondance et la prospérité
C'est dans ce but et dans ces féeriques intentions qu'elles bâtirent la
Roche-aux-Fées que nous avons dans un de nos champs. Ces fées, dit-on, se
partagèrent le travail : quelques-unes d'entre elles restèrent au lieu où
devait s'élever le monument, en préparaient les plans et l'édifiaient ; les
autres, en même temps, tout en se livrant à des travaux d'aiguille, allaient
dans la forêt du Theil, chargeaient leurs tabliers de pierres et les
apportaient à leurs compagnes ouvrières, qui les mettaient en oeuvre. Mais
elles ne comptèrent pas à l'avance ce qu'il leur en fallait.
Or, il advint que le monument
était terminé et que les fées pourvoyeuses étaient en route, apportant de
nouveaux matériaux ; mais, averties que leurs matériaux étaient inutiles, elles
dénouèrent leurs tabliers, les déposèrent là où elles étaient quand
l'avertissement leur parvint. Or, il y en avait dans la lande Marie ; il y en
avait près de Rétiers ; il y en avait à Riche-bourg et dans la forêt du Theil.
De là vient qu'on trouve dans tous ces endroits des pierres de même nature et
provenant du même lieu que celles qui forment notre Roche-aux-Fées. Depuis
longtemps les fées ont malheureusement disparu ; mais le monument est resté.
Dans la nuit, quand la bise souffle au-dehors, on entend comme des plaintes
dans la Roche-aux-Fées, et l'on dit que ce sont là les morts qui reposent là
qui appellent les fées protectrices, et que ces plaintes se renouvelleront
jusqu'à ce qu'elles soient revenues.
Extrait de "Histoires et Légendes de la Bretagne
Mystérieuse", de G. Kogan aux éditions "Aux quais de Paris"
Le roi Phineus sauvé des harpies par Jason et les argonautes.
En Thessalie, Aeson, roi de Iolcos, est détrôné par son demi-frère Pélias. Ce dernier cherchant à empêcher le fils d'Aeson, Jason, de reprendre le trône. Il persuade Jason de partir à la recherche de la Toison d'or, détenue par Aeétês, roi de Colchide. Elle avait été donnée au royaume par Phrixos, un cousin de Jason.
Ce dernier rassembla les cinquante jeunes Grecs les plus valeureux pour l'accompagner dans son expédition. Parmi les plus célèbres se trouvaient Héraclès, Lyncée, Méléagne, Orphée, Castor et Pollux, ainsi que Pélée.
L'Argo partit de Iolcos vers l'île de Lemnos et vers le Pont-Euxin en passant par la Mysie, une région à l'est de la mer Égée, et la Thrace. Dès le début du voyage, l'équipage perdit Héraclès qui abandonna le navire pour partir à la recherche d'Hylas, son ami et le porteur de son armure.
Les Argonautes sauvèrent un roi de Thrace, Phineus, affamé par les Harpies, créatures volantes à tête de femme et corps d'oiseau, qui subtilisaient et souillaient sa nourriture. Pour les remercier, Phineus leur indiqua comment franchir les Symplèglades, rochers qui gardaient l'entrée du Pont-Euxin en s'entrechoquant lorsque quelque chose essayait de passer. Suivant les instructions de Phineus, les Argonautes lâchèrent une colombe qui vola entre les Symplèglades. Les rochers s'entrechoquèrent et l'Argo en profita pour passer au moment où les rochers revenaient au repos.
La pierre philosophale représente pour les
alchimistes non seulement le moyen de réaliser la transmutation du plomb en or,
mais elle est aussi une promesse d'immortalité. La fabrication apparaît comme
un processus long et complexe. L'alchimiste doit tout d'abord extraire sa
matière première des profondeurs du sol, puis procéder en quatre étapes: rendre
la matière liquide, évaporer l'eau superflue pour obtenir un produit visqueux,
séparer et purifier chacun des éléments de la matière, enfin réunir ces esprits
purs pour former la pierre philosophale. C'est donc un expert qui doit
maîtriser plusieurs techniques:
"L'œuvre au noir", qui est
l'art de débarrasser la matière de ses impuretés;
"L'œuvre au blanc", qui
permet de fabriquer la pierre blanche transmutant les métaux vils en argent;
"L'œuvre au rouge" qui
produit la pierre rouge transmutant le mercure en or.
Les différents éléments qui entrent dans la
composition de la pierre philosophale ne seraient en fait que des « codes » qui
peuvent être décryptés de la manière suivante :
sels - le corps
soufre - les lois apparentes
plomb - les instincts
mercure - puissance nerveuse et force de vie
argent - l'intelligence
or - le moi éveillé
La phrase latine :Visita interiorem terrae
rectificando invenies operae lapidem qui signifie "descends dans les entrailles
de la terre en distillant, tu trouveras la pierre de l'oeuvre" en est un
exemple, car cette phrase possède un sens ésotérique : "descend au plus
profond de toi-même et trouve la base solide sur laquelle tu pourras construire
une autre personnalité, un homme nouveau." (Notons que les premières
lettres de chaque mot de la phrase latine forment le mot vitriol.)
La pierre des philosophes : Elagabale
Les Anciens adoraient le soleil sous la forme d'une pierre noire qu'ils
nommaient Élagabale ou Héliogabale. Que signifiait cette pierre, et comment
pouvait-elle être l'image du plus brillant des astres ?
Les disciples
d'Hermès, avant de promettre à leurs adeptes l'élixir de longue vie, ou la
poudre de projection, leur recommandent de chercher la pierre philosophale.
Qu'est ce que cette pierre, et pourquoi une pierre ?
Cette pierre, disent les
maîtres en alchimie, c'est le vrai sel des philosophes, qui entre pour un tiers
dans la composition de l'azoth. Or, Azoth est, comme on sait, le nom du grand
agent hermétique et du véritable agent philosophal ; aussi représentent-ils leur
sel sous la forme d'une pierre cube, comme on peut en voir dans les douze clefs
de Basile Valentin ou dans les allégories de Trévisan.
Qu'est-ce donc, en
vérité, que cette pierre ? C'est le fondement de la philosophie absolue, c'est
la suprême et inébranlable raison. Avant de songer à l'œuvre métallique, il faut
être à jamais fixé sur les principes absolus de la sagesse, il faut posséder
cette raison qui est la pierre de touche de la vérité. Jamais un homme à
préjugés ne sera le roi de la nature et le maître des transmutations. La pierre
philosophale est donc avant tout nécessaire ; mais comment la trouver ? Hermès
nous l'apprend dans sa table d'émeraude. Il faut séparer le subtil du fixe, avec
un grand soin et une attention extrême. Ainsi nous devons dégager nos certitudes
de nos croyances et rendre bien distincts les domaines respectifs de la science
et de la foi ; bien comprendre que nous ne savons pas les choses que nous
croyons, et que nous ne croyons plus aucune des choses que nous parvenons à
savoir, et qu'ainsi l'essence des choses de la foi, c'est l'inconnu et
l'indéfini, tandis qu'il en est tout au contraire des choses de la science. On
en conclura que la science repose sur la raison et l'expérience, tandis que la
foi a pour base le sentiment et la raison. En d'autres termes, la pierre
philosophale, c'est la vraie certitude que la prudence humaine assure aux
recherches consciencieuses et au doute modeste, tandis que l'enthousiasme
religieux la donne exclusivement à la foi. Or, elle n'appartient ni à la raison
sans aspirations ni aux aspirations déraisonnables ; la vraie certitude, c'est
l'acquiescement réciproque de la raison qui sait au sentiment qui croit, et du
sentiment qui croit à la raison qui sait. L'alliance définitive de la raison et
de la foi résultera non de leur distinction et de leur séparation absolues, mais
de leur contrôle mutuel et de leur fraternel concours. Tel est le sens des deux
colonnes du portique de Salomon, dont l'une s'appelle Jakin et l'autre Bohas,
dont l'une est blanche et l'autre noire. Elles sont distinctes et séparées,
elles sont même contraire en apparence ; mais si la force aveugle veut les
réunir en les rapprochant, la voûte du temple s'écroulera : car, séparées, elles
ont une même force ; réunies, elles sont deux forces qui se détruisent
mutuellement. C'est pour la même raison que le pouvoir spirituel s'affaiblit dès
qu'il veut usurper le temporel, et que le pouvoir temporel périt victime de ses
empiètements sur le pouvoir spirituel. Grégoire VII a perdu la papauté, et les
rois schismatiques ont perdu et perdront la monarchie. L'équilibre humain a
besoin de deux pieds, les mondes gravitent sur deux forces, la génération exige
deux sexes. Tel est le sens de l'Arcane de Salomon, figuré par les deux colonnes
du temple, Jakin et Bohas.
Le soleil et la lune des alchimistes correspondent
au même symbole et concourent au perfectionnement et à la stabilité de la pierre
philosophale. Le soleil est le signe hiéroglyphique de la vérité, parce que
c'est la source visible de la lumière, et la pierre brute est le symbole de la
stabilité. C'est pourquoi les anciens mages prenaient la pierre Élagabale pour
la figure même du soleil, et c'est pour cela aussi que les alchimistes du Moyen
Âge indiquaient la pierre philosophale comme le premier moyen de faire l'or
philosophique, c'est-à-dire de transformer toutes les puissances vitales
figurées par les six métaux en soleil, c'est-à-dire en vérité et en lumière,
première et indispensable opération du grand œuvre, qui conduit aux adaptations
secondaires, et qui fait, par les analogies de la nature, trouver l'or naturel
et grossier aux créateurs de l'or spirituel et vivant, aux possesseurs du vrai
sel, du vrai mercure et du vrai soufre philosophiques.
Trouver la pierre
philosophale, c'est donc avoir découvert l'absolu, comme le disent d'ailleurs
tous les maîtres. Or, l'absolu, c'est ce qui n'admet plus d'erreurs, c'est le
fixe du volatil, c'est la règle de l'imagination, c'est la nécessité même de
l'être, c'est la loi immuable de raison et de vérité ; l'absolu, c'est ce qui
est. Or ce qui est est en quelque sorte avant celui qui est.
Bacchus, le dieu du vin,
s'éprit d'une ravissante jeune nymphe nommée Améthyste. Pour échapper aux
assuidités du galant en état d'ivresse, celle ci demanda le secours de sa protectrice,
la déesse Arthemis, qui la changea alors en un pur cristal. Furieux et dépité,
Bacchus versa sa coupe de vin rouge sur ce cristal qui devient violet.
La plus célèbre des nombreuses vertus attribués au XV e siècle à l'améthyste
était de préserver de l'ivresse. Cette réputation peut sans doute s'expliquer
ainsi : versée dans les coupes d'améthyste, comme c'était parfois l'usage à
l'époque, l'eau ressemblait à du vin rouge qu'on pouvait boire sans s'enivrer.
La tourmaline était connue à l'époque des romains. Ceux-ci comme informe l'écrivain Pline la désignaient par le terme lincurum. Ce terme aurait signifié "pierre des lynx"; selon une ancienne légende indienne, la tourmaline serait de l'urine de lynx solidifiée. Pour d'autres, son nom aurait signifié 'pierre de Ligurie", région dans laquelle se trouvait le succinum (l'ambre latins) souvent confondu avec la tourmaline. Mais la croyance la plus curieuse provient du Brésil: ce minéral aurait été introduit sur la terre par des visiteurs étrangers et aurait été doté de vertus extraordinaires. La tourmaline aurait le pouvoir de donner santé, amour et propriétés divinatoires à ceux qui la portent. En cristallothérapie, une discipline ésotérique, elle est utilisée pour soigner des maladies nerveuses.
Le soleil masqué par la brume voit sa lumière se polariser, et le fort pléochroïsme d'un cristal de cordiérite (du bleu au gris clair ) permet d'estimer la position du soleil en observant le brusque changement de couleur. Ainsi naviguaient les Vikings. IL leur suffisait de faire tourner la pierre jusqu'à ce qu'elle devienne plus claire pour obtenir la direction du soleil. Les vikings possédaient alors un point de référence. Cette propriété serait à l'origine du nom, attribué par les peuples scandinaves, à la cordiérite " pierre de soleil" ou "boussole des Vikings" aujourd'hui encore, la cordiérite est considérée comme un talisman par certains navigateurs.