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Ouarzazate, ville de la convergence des cultures et de l'artisanat, marque le point de départ de la route des oasis. Elle est à la croisée des cheà Agadir- du Dadès- issu du Haut-Atlas et du Ziz qui nourrit l'immense palmeraie du Tafilalet avant de se perdre dans les sables de Taouz. Deux magnifiques kasbahs accrochent le voyageur, ébloui pms comme "Lawrence d'Arabie" et «Un Thé au Sahara» y ont planté leur décor. Et, ultime couronnement du cadre: l'UNESCO a inscrit ces deux kasbahs au patrimoine mondial. A Ouarzazate, pourvue en hôtels splendides et luxueux, on peut marquer une halte avant de s'aventurer dans le désert où tout Kelâa des M'Gouna, la plus belle des roseraies de la vallée, l'ancienne kasbah d'El Glaoui en équilibre sur un rocher, les gorges du Dadès, énorme bloc calcaire tranché d'un coup de sabre. La vallée du Ziz, e les vols vers le Maroc, les billets d'avion pas cher... et la sublime kasbah d'Ifri, forment une nappe émeraude qui offre un spectacle éblouissant. Une fois franchie la porte d'Erfoud, c'est le désert dans toule N°20, au pieds du moyen Atlas à 850 m d’altitude en moyenne. Érigée en Municipalité, depuis 1917, ui compte 23 communes (5 municipalités et 18 communes rurales). Histoire Divers témoignages attestent l’ancienneté de l’implantation humaine dans cette partie du dir, riche en sources, en forêts et en grottes. Un tel cadre devait en effet exercer une grande attirance sur les premiers hommes sillonnant la région, à la recherche d’un point de chute, et désireux de communiquer avec une nature dont les forces y étaient effectivement bien représentées. Les cultes naturalistes devaient abonder dans ce contexte, et jusqu’à nos jours les vestiges de telles pratiques n’ont pas aussi servit-il très tôt d’asile politique et de zone refuge à des individus ou groupes humains dont le souci majeur était de conserver indépendance et liberté de culte et d’opinion. A cet égard le judaïsme avait ses adeptes ici depuis bien longtemps, et précéderait même l’invasion du Maroc par les Vandales. La retombée nord-atlasique était signalée en effet comme étant un foyer juif actif, et accessoirement païen. Les Bahloula du Maroc qui en faisaient partie, nous sontmisation du Maroc. Le souvenir de la persistance d’une communauté hébraïque nous est également conservé par des toponymes tels que oued Lihudi nom donné à la partie aval de Oued Aggaï, et Kefrou - Jbel Binna et ses grottes Jbel Binna et ses Grottes Quant à l’existence de chrétiens dans le pays, les textes arabes le laissent également entendre latines, attestent sinon une implantation romaine, du moins un intérêt porté par Volubilis à ce front sud. Dans ce cas Al’Anaçer, Al Bhalil et Mimmet (aujourd’hui disparue) ne constituaient-ils pas des postes-vigies érigés face à l’Adrar dans un but militaire ? pour le moment aucun argument ne permet d’affirmer la présence d’un vraine filtre quant à la date de sa création Sefrou : Inscription latine d'Al'Anaçer (Romain) inscription latine d'Al'Anaçer Léon l’africain dit que Sefrou avait été fondée par les Africains c’est à dire les Berbères. Si l’on en croit les rumeurs publiques, la ville aurait été bâtie avant Fès. « On allait de la ville de Sefrou ou village de Fès » s’amusent à répéter de longue date les Sefrioui. Selon la légende locale, it venu s’établir pendant deux ans dans cette ville de piémont (807). Il aurait résidé au dchar dit « Habbouna », le village de « ceux qui nous ont aimés ». appellation qui aurait été donnée par Idriss à cet endroit situé à présent au sud de la Médina, et ce en signe de reconnaissance à l’accueil chaleureux que lui avaient réservé les habitants de la ville pendant sa campagne d’islamisation. Les Bahloula, étant plus réticents, n’auraient pas recueilli sa bénédiction. En tout cas, Sefrou paraît bien avoir existé lors de la fondation par Idriss II de la ville d’Al’Aliya (la ville d’Ali) sur la rive gauche de l’Oued Fès, (en 809, à l’emplacement du quartier des Qairouanais), et qui fait face au quartier Andalous, bâti par Idriss Ier en 789. Le fait que sous le rè l’Oued Aggaï, petit affluent du Sebou, qui a canalisé d’abord l’implantation humaine dans cette région. La présence d’une multitude de grottes creusées dans le calcaire et le travertin, a facilité les premières installations au même titre d’ailleurs que dans le reste du dir à Mazdghat Al Jorf, Bhalil, Imouzzar Kandar et Al Hajeb. D’après Si Mbarek Al Bekkal, cette forme d’occupation dominait jusqu’au VIIe siècle, date à laquelle les troglodytes berbères commencèrent à se familiariser avec les techne défense probablement liés aux premières incursions musulmanes dans l’Atlas, leur dictèrent de se regrouper et de bâtir des fortifications. Aussi voit-on s’ériger le long de la vallée un cardon de qçour, situés en trois points : à l’amont de l’Oued Aggaï, au centre, et à l’aval de l’Oued, à proximité de sa confluence avec Oued Sebou. Mais progressivement, le site central coïncidant avec celui de la Médina actuelle, se révéla avantageux et devint un pôle de cristallisation, et ce au détriment des autres qçour. Une agglomération portant le nom de Sefrou naquit depuis, ce fut vraisemblablement vers la fin du VIIéme siècle. Cependant, un petit noyau résiduel subsista vers l’amont. A savoir le quartier de Qal’a, dont les habitants n’hésitent pas jusqu’à nos jours à se démarquer des Sefrioui. Au temps des premiers Idrissides, Sefrou se présentait donc comme un petit centre urbain en gestation ici matière à s’épanouir d’autant plus qu’une route caravanière commençait à passer par la ville. En effet l’axe commercial reliant la capitale Idrisside à la métropole du Tafilalt. Sijilmassa et empruntant Sefrou, devait attirer plusieurs négociants et procurer des bénéfices appréciables à la jeune cité, si bien que le contrôle de cette dernière devait susciter la convoitise de tous ceux qui voulaient rester maîtres du commerce saharien et en particulier de l’or africain. Commandant l’accès au couloir qui mène vers le causse, cette ville occupait donc une position très sensible dans la région. Elle était vraiment la plaque-tournante du commerce entre le nord et le sud du pays. Cependant si Sefrou constituait une importante étape sur la route caravanière, et par conséquent un carrefour de population, elle n’en était pas moins exposée de par cette situatioorces, dans l’un ou l’autre camp, ce qui se soldait souvent par des attaques et des représailles dont les conséquences ont été très pesantes pour sa croissance. C’est ainsi qu’en 1016 Sefrou qui dépendait de l’émarat Zénète de Fès fut enlevée celui-ci par la principauté kharijite des Bani Khazroune de Sijilmassa qui a réussi à étendre sa domination jusqu’au pays du dir. Sefou : Route du commerce transsaharien Carte de la Route du commerce transsaharien A l’as voies commerciales, comme celle reliant le Sahara au Haouz par Aghmat-Damnate. Cependant la voie du Saïs-Tafilalt à travers le causse d’Amekla restait la plus fréquentée, aussi Youssef Ben Tachfine n’hésita-t-il pas un seul moment, après avoir pris Sijilmassa et attaqué Fès, de libérer Sefrou des mains des Maghrawa Zénètes qui s’y étaient enfermés (1063). Quant aux Almohades, ils la prirent en 1141, motivés en cela par le même souci de contrôler la route commerciale reliant Sijilmassa à Fès. Si la ville s’est distinguée très tôt par son cachet urbain et sa fonction d’étape , elle a su parallèlement consolider son assise agricole. Les textes arabes sont que sa région est riche en vigne et en arbres fruitiers. Quant à Al Bakri (XIéme siècle) il la décrit ainsi : « la ville de Sefrou, située à une journée de marche de Fès, est ceinte de murs et entourée de ruisseaux et de jardins ». Pour Al Idrissi : (XIIéme siècle) « Sefroues. Ils ont aussi de nombreux troupeaux de gros et petit bétail, les eaux du pays sont douces et abondantes ». Sous les Mérinides, la ville fut dotée d’un quartier réservé aux juifs : le Mellah. Il semble, selon la tradition orale, que c’est le sultan Mérinide Abdelhaq (XIVéme siècle) qui aurait ordonné ce groupement. Cependant, sous les Bani Wattas et les Saâdiens, la région connaît de grandes difficultés, liées au contexte générale du pays. En effet en plus de la crise d’autorité dans laquelle le Maroc était plongé, le trafic caravanier qui venait du Sud fut dévié vers l’Est, à la suite de la prise de Sijilmassa par les tribus Ma’qil, ce qui ébranla pour un moment les bre de la ville. A ce propos, Léon l’Africain relève dans son récit que la cité était presque ruinée , situation qu’il impute aussi au mauvais comportement d’ote à ce sujet l’abondance de l’orge, de la vigne et de l’olivier, et signale même l’apparition de nouvelles cultures telles que le chanvre et le lin. Quant au dir sefrioui, il semble également faire l’objet d’une importante mise en valeur qui porte elle aussi sur l’orge, l’olivier, les cultures textiles et l’élevage. L’économie rurale se consolide par conséquent, et donne lieu à un renforcement de la vie villageoise comme chez Bni Yazgha, à Al Bhalil, Azzaba, Mazdghat Al Jorf, Sanhaja, Moujjou, qui doivent tous se fortifier pour faire face au développement de l’insécurité. Source: "Petites Villes Traditionnelles et Mutations Socio-économiques au Maroc, omie urbaine de la ville Sefrou est largement dominée par les communes et les services qui représentent 80% environ de l’ensemble des activités. Cette situation montre que Sefrou est un pôle régional de diffusion des biens et de prestation de services. Cette fonction se confortera davantage par le rôle de capioutefois, l’émergence de l’industrie s’opère difficilement en raison de la concurrence de la métropole Fès, très proche de Sefrou. Les industries représentées dans la ville sont les huileries, les tanneries, la confection, les matériaux de construction, les minoteries, les scieries. Sefrou : La Médina - Qiddarya Enfin, alors que l’artisanat qui était florisanufacturière, les activités d’entretien et de réparation connaissaient un essor remarquable. L’ancienne médina concentre l’essentiel des activités (45% environ). Ce pendant, de nouveaux pôles commencent à émerger dans différents quartiers de la villepossède 2 zones industrielles aménagées, 29 lots attribués et 10 lots fonctionnels. Sefrou - Zone industrielle La zone industrielle Extrait de la monographie de la ville Sefrou Sep. 97 L'agriculture constitue encore la principale activité économique de la province de Sefrou avec: - Une céréalicnt en recul. - Des cultures maraîchères (pomme de terre, oignon), industrielles (tabac, colza, tournesol) et fourragères (luzerne, vesce..) qui progressent. - Un élevage (bovins, ovins, caprins, équidés) important mais dont les rendements demeurent faibles. Une forêt dont l’exploitation est peu rationne, 0.7% ont plus de 50 ha) ; la proportion des « sans-terre » varie d’une zone à l’autre de 20 à 40% de l’ensemble des chefs de ménages. De ce fait le salariat agricole, la pluriactivité des familles rurales et les activités des familles rurales et les activités non agricoles sont très développés. L’industrie est faible à Sefrou, presque inexistante dans le reste de la province. L’exploitation de carrières connaît, par contre un essor considérable (prés de 4000 m3 extraits par jour) ; mais cette activité, peu génératrice d’emplois et à faible impact économique sur la région, engendre une dégradation considérable de l’environnement notamment autour de la capitale provinciale (détérioration des réseaux, aggravation des inondations, autres nuisances). Source: Par Dr Lahcen JENNAées dans tout le Royaume du Maroc et ce, depuis 1920. .. Plusieurs organismes veillent et participent à l'organisation de la fête des cerises au début dt une occasion pour exposer et vendre les différentes sortes des cerises cultivées dans l'oasis de Sefrou et ses environs. La fête dure 3 jours (vendredi, samedi et dimanche) : jours de danse, de chants et de défilés sous la présidence de la "Reine des Cerises". (En effet celle-ci est sélectionnée parmi les plus belles filles caès sucrée à sa maturité. Même sa queue aurait des vertues curatives selon la vieille tradition séfriouie ! Cette variété a, malheureusement, été victime de l’introduction de certaines variétés américaines qui vivaient en symbiose avec un parasite lequel a été fatal à notre cerise. Des milliers de plans ont été arrachés vers la fin des années 1960. Les services agricoles ont fait un effort louable pour préserver cette variété. Nos services municipaux devraient, à leur tour, encourager par tous les moyens la plantation de cerisiers ne serait-ce que dans les jardins des villas existantes ! Le printemps seran son époque espagnole. Entraînée dans une sarabande de couleurs, elle pare ses maisons et ses arcades, ses portes et ses colonnes de toutes les nuances de l'arc-en-ciel. Le joli port, le plein d'histoire de la région et lesrisme de loisir ou culturel. Les principales activités économiques de Larache sont la pêche avec son important port de pêche et l'agriculture de la région, mais le tourisme constitue une part non négligeable de l'activité de la ville, surtout en période estivale. Historiquement, c'est une ville intéressante car la région a vu passer diverses forces d'occupation de provenance différentes. On retrace les premières peuplades dans la région à la période où le Maroc était occupé par les phéniciens (en savoir plus sur la chronologie et l'histoire du Maroc). La région fût le théatre d'affrontements, notamment à Lixus, près de Larache, entre les phéniciens et les romains. Mais c'est l'influence espagnole qui est la plus notabl'Espagne dans certains quartiers. En fait, c'est vraiment un mélange sympathique des diverses influences laissées au grès des conquêtes. Comme Larache a vu passer sans nul doute toutes les différentes peuplades qui sont venues batailler sur le sol marocain, la ville donne un ressentiment multiculturel intéressant. La création officielle remonte au VII siècle, quand les combattants arabes prirent position dans Larache jusqu'à ce que les espagnols occupèrent le site dès 1610. C'est l'indépendance du Maroc en 1946 qui libéra Larache de toute emprise étrangère. La bataille des 3 Rois C'est à Larache que prit place la bataille de 1689 entre espagnols et arabes. Un terrible siège de 3 mois fût le théatre de la défagnifique (galerie sous arcade avec piliers peints). C'est aussi un souk très populaire et qui comporte des nombreux marchands. La ville compte moins de 100 000 habitants; ce qui la rend très conviviale.
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