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Vols Maroc
Tanger était à l’origine un village de pêcheurs
implanté autour du phare. Dès 1976 , cette cité a
commue le chef-lieu de
la province. Celle-ci a bénéficié du programme
«Al Aouda» et «Al Wahda» du gouvernement du
Maroc (Maroc). L’effort de l’Etat en faveur de cette province est
orienté également vers la réalisation des villages
de pêcheurs. D’autre part, dès 1976, une unité de
dessalement d’eau de mer y a été installée et des
recherches ont conduit à la découverte d’eaux
souterraines dans les environs de la ville. Cette cité
possède un atout : la corniche. Ceve stratégique
destinée aux investissements touristiques est une zone
touristique non affectée couvrant une superficie de 80 ha. Elle
est couverte par le plan d’aménagement de la ville de Boujdour.
Elle est retenue comme étant une réserve foncière
destinée à recevoir les activités touristiques et
d’animation , dgement des vols aeriens vers le Maroc sectoriel
initié est déjà lancé pour cette corniche.
Ainsi la zone pourra accueillir une zone hôtelière, les
résidences secondaires, la restauration et l’animation le long
de la corniche et une zone immeubles. Boujdour est la province des
belles plages par excellence. Des plages féeriques et
pittoresques sauvages et vierges qui s’étendent sur des
centaines de kilomètres le long du littoral, émergeant
parfois entre des chaînes longues de falaises et parfois
s’exposant en tapis de sable doré sur 6, 20 ou 30 km pour chaque
plage. La plage de Awziwalt est l’un de ses lieux inédits. Elle
est située à une vingtaine de kilomètres au sud de
Boujdour, desservie par la route nationale n° 1. Le site (Maroc) en
question est une immense plage vierg aménagements
adéquats. Le site d’Awziwalt offre une immense plage avec une
infinie étendue atlantique avec une profondeur
considérable. Cet atout pourrait être exploité dans
le cadre de la réalisation de projets touristiques de grande
envergure. D’autre part, La province de Boujdour combine plusieurs
reliefs. En effet, on y trouve le sable, les dunene hauteur qui peut
atteindre des dizaines de mètres abritant plusieurs sources
d’eau saumâtre ou sulfureuse venant des hauteurs pour couler dans
l’océan Atlantique. L’une des plus belles régions de la
province de Boujdour est la commune de Gueltat - Zemmour avec ses
plaines et son relief accidenté avec des dépressions
géologiques, ses oasis et ses sources d’eau douce. Le site se
trouve au sein de la province, ce qui lui confère une
beauté exceptionnelle différente des sites littoraux de
cette région. Parmi les sites historiques de la province, le
phare de Boujdour construit par les Portugais au 18e siècle et
qui annonce la ville à plusieurs kilomètres avant d’y
arriver. La ville de Boujdour se caractérise aussi par la
longueur de ses artères principales et ses grandes avenues et
bon d’un port de pêche et de
plaisance. Le terrain désertique de la province offre
d’énormes possibilités de sports de voitures, de motos et
de rallyes aériens. Le terrain saharien de la province offre
également d’énormes richesses en espèces animales.
La faus, chèvres et
dromadaires. Le dromadaire constitue un signe de prestige et de
richesse. Sa viande est la plus consommée localement et sa
graisse sert à soigner certaines maladies respiratoires. Cet
animal est un don prestigieux du mari à la mariée. C’est
également un moyen de transport utile pour atteindre certains
coins inaccessibles. Les dromadaires de Boujdour participent
également aux courses de chameaux locales, régionales,
nationales et internationales. Pour sa part, le patrimoine
végétal dans la province est riche et adapté. Il
est constitué de plantes pastorales pour les animaux herbivores
et plantes médicinales. D’autres
trois secteurs principaux : le travail du cuir des vols en avion vers
le Maroc, celui des métaux principalement l’argent et celui du
bois. Le deuxième domaine qui illustre le savoir-faire dans la
province à l’instar des autres provinces du Sud, la fabrication
des bijoux, armes, cadenas et clés. S’ajoute à cela la
confection des tentes sahariennes qui sont faites de poils de
c tente
reflète le statut social du propriétaire, son rang
économique et son importance politique au sein du groupe. La
province connaît également des moussems et des
festivités. Tel le moussem de Lamsid à la commune de
Lamsid à mi-chemin entre Laâyoune et Boujdour. Le village
balnéaire de Moulay Bouselham se trouve à 70 km au nord
de la ville de Kénitra et à 35 km au sud de celle de
Larache. Il fait partie du territoire de la province de Kénitra
(cercle de Lalla Mimouna). Situé à mi-chemin entre Tanger
et Rabat, le village est tourné, d'un côté vers
l'Atlantique, et de l'autre vers la Lagune de Merja Zerga et des vols
de Royal air Maroc.
Moulay Bousselham porte le nom de son Saint enterré entre la
côte et la lagune, et sur la tombe duquel, des milliers de
marocains viennent se recueillir chaque été, le temps
d'un
celle-ci et les saints enterrés à sa proximité. Ce
qui est conforté par des légendes locales.
Hassan Dalil, accompagnateur touristique, raconte que « Moulay
Bousselham était venu de l'Egypte avant de se fixer aux abords
de la Merja Zerga. Il est mort lors de la bataille de Oued El Makhazine
en 1578 (Bataille des trois rois)». n avion avec des vols bon
marché et l'on compte aujourd'hui pas moins de sept
dispersés dans le village.
Outre le mausolée de Moulay Bousselham, le village contient les
marabouts de Sidi Abdeljalil Tayar, Sidi Abdeljalil Laglaoui, Sidi
Abdellah, Sidi Ahmed Chahed, Lalla Mannana et Sidi Larbi Ayachi.
« Chaque saint se spécialise dans le diagnostic d'une
maladie ou dans le dénouement d'un problème de
société », expliquent les indigènes qui ne
sont pas tous originaires du village.
La plupart des résidences sont secondaires, qui appartiennent
aux Marocains résidant à l'étranger ou aux
quelques familles étrangères, souvent non
habitées, fermées et bien gardées. Hassan Errabah,
résidant au village, dévoile que « de 4000
personnes qui vivent dans le cercle de Lalla Mimouna, plus des deux
tiers ne sont pas originaires de Moulay Bousselham . Seulement une
vingtaine de vols quotidiens vers le Maroc de maisons appartiennent aux
indigènes qui détiennent des petits commerces».
a Zerga qui dépend, à la fois, des
communes de Moulay Bouselham et de Sidi Mohamed Lahmer.
Il s'agit d'un véritable parc naturel où l'on peut
notamment observer des colonies de hérons et des flamants roses.
Juste après l'agriculture, la pêche représente
l'une des principales activités exeonstruction. Ces activités sont souvent
combinées à d'autres secondaires comme l'élevage,
l'artisanat, le commerce, l'accompagnement des touristes, etc.
Seulement, le village et les douars environnants souffrent d'un manque
criard d'infrastructures de base, d'espaces socio-éducatifs et
d'espaces verts. « L'urbanisation a été faite d'une
façon anarchique sans prendre en compte que le site de la Merja
Zerga est une réserve biologique et sans prendre en
considération l'aspect esthétique et paysager de la zone
», nous confie Ali Aghnaj, coordinateur national du programme WWF
(le Bureau mondial pour la nature). L'habitat informel est important
mais recouvre des situations juridiques très variées.
Laveaux quartiers
informels répondent assez rapidement des équipements
collectifs : eau, électricité, voirie, écoles …
«Dans certains quartiers de Moulay Bousselham, l'eau usée
émanant des douches et des fosses septiques de certaines
habitations stagne sur des rues non bitumées, pourrissant ainjoute l'eau de vaisselle versée ici
et là par les femmes.
Autant de situations insalubres que les autorités locales
essayent en vain de combattre », nous renseigne un fonctionnaire
de la Commune qui a voulu garder l'anonymat. Livrée à
elle-même, la cité est devenue un véritable
dépôt d'ordures constitués en gros de
déchets agricoles.
Parce que les habitants jettent ces ordures au milieu d'un vaste champ
de sacs en plastique, des décharges sauvages ont élu
domicile à l'entrée du village et dans les forêts
d'Eucalyptus. La population locale de cette zone humide compte plus de
16.000 habitants dont un millier occupent le centre urbain de Moulay
Bousselham. Le reste est réparti sur les 17 douars
localisés dans le pourtoir de la lagune. Le douar le plus
célèbre n'est autre que Douar Dlalha, très connu
pour ces fameuses pastèques cultivées localement. Ces
douars sont alimentés en eau potable par bornes fontaines de la
Commune rurale. Les eaux des canaux de drainage ne sont pas
consommables.
Aux dires des habitants, elles provoquent des intoxications, voire la
mort des animaux qui viennent s'abreuver. Le risque de contamination
des nappes phréatiques n'est pas utopique. « Pour
déféquer, ils se cachent, au loin, à l'ombre des
murs parce que les baraques ne sont souvent dotées que de fosses
septiques provisoires. Celles-ci reçoivent les eaux usées
découlant de lavabos et de toilettes de ue les bidonvillois se
mettent en famille à l'œuvre pour les vider en profondeur et
jeter les déchets liquides puisés dans des terrains
vagues. Et, pour ne pas indisposer les voisins, l'évacuation se
fait à une heure très tardive de la nuit »,
décrit un jeune homme avec un regard fougueux.
En l'absence d'un réseau d'assainissement, les déchets
solides et liquides sont directement jetés dans la Merja zerga
ou dans l'océan at
collectif. « En remplaçant ces fosses septiques par
l'égout, on réduit considérablement les risques de
pollution des nappes phréatiques mais on risque aussi de polluer
davantage les eaux de surface ! », nous éclaire Tahar, un
employé du service d'assainissement de la Commune. « Au
fait, toau et d'une manière
irrégulière sur des grandes étendues de terres
agricoles riches », commente un habitant.
Dans certaines baraques, des habitants ont transformé une de
leurs pièces en petites épiceries sans porte,
dotées uniquement de petites fenêtres permettant juste aux
vendeurs de remettre ise demandée. Volubilis est une ville antique romaine
située sur les bords de Oued Khoumane, rivière de la
banlieue de Meknès (Maroc), non loin de la ville sainte de
Moulay Idris Zerhoun où repose Idrîs Ier. Le nom de
Volubilis du site serait dû à l'abondance de la plante. Le
nom berbère de la ville est Walili, Oualili, ou Walila (arabe
:[walila]) qui désigne la fleur de liseron. La ville vivait du
commerce de l'huile d'olive. On retrouve dans les ruines de nombreux
pressoirs à huile.
Les vestiges les plus anciens datent du IIIe siècle avant J.C.).
En 42 avant J.-C., l'empire romain annexe le royaume de
Maurétanie Tingitane (de Tanger), après l'assassinat par
l'empereur Caligula du roi maurétanien Ptolémée.
Volubilis devint la capitale régionale de l'administration
romaine, avec le statut de maire. Cela lui valut la construction
d'un certain nombre de monuments publics : t de Caracalla, en 212), date
de 277. Vers 285 les fonctionnaires romains quittèrent la
région pour se replier sur Tanger. Le retrait des Romains se
traduisit aussi par des changement de mode de vie. L'aqueduc
n'était plus correctement entretenu et la ville se
déplaça : les habitants abandonnèrent les parties
hautes pour se rapprocher de la rivière. En 681, Maghreb. Les Abbassides
installèrent une garnison à Volubilis. En 789,
Idrîs Ier un descendant de Hasan et de `Aî , le gendre du
Prophète, s'enfuit pour échapper aux persécutions
abbassides. Il s'installa à Volubilis, (re)devenue Walila. Avec
la fondation de Fès par Idrîs II (808), Volubilis perd
encore de son importance. En 818, Volubilis accueille des Andalous
chassés de Cordoue. Ceux-ci s'installent en bordure de la rivière.
La ville romaine sert de carrière pour les matériaux de
construction. Les guides locaux racontent que le site n'a
été complètement abandonné qu'après
le séisme de 1755 à Lisbonne.
Les vestiges les plus spectaculaires sont les très nombreuses
mosaïques ornant le sol des riches demeures. Leur conservation
pose toutefois problème : auparavant protégées,
elles sont désormais exposée la moitié du site. Quelques maisons permettent de bien
percevoir le plan de ces grandes demeures romaines avec leur atrium et
impluvium. On a retrouvé deux établissements de bain :
l'un d'époque romaine avec son hypocauste, l'autre hammam de le site
est classé patrimoine universel par l'UNESCO. |
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