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(En ces temps reculés survint sur frh un monstre hideux venu du froid. Il agressa sauvagement les paisibles populations frhiennes, jetant sur le forum un vent de panique. Parfois, il usait de son pouvoir de polymorphie et prenait l'apparence d'un contributeur pour semer le trouble et la zizanie, mais souvent, son dialecte mal dégrossi trahissait sa véritable identité. Alors la résistance s'organisa autour du terrible Caligula...)
Allez voir les photos de Laeticia Casta, de Cindy Crawford et de pleins d'autres mannequins nues à :
(URL d'un site à la con)
Bonne amusement
J'adore cet humour et cet usage adroit
Des genres masculins ou féminins. Au choix.
Pour Cédric, semble-t-il, les mannequins sont nues
Et l'amusement bonne. Ah, si tu continues
Cette confusion, je croirai aller voir
Des femelles à poil, mais pour mon désespoir,
Sur ta site Internet je verrai un gros bite
Et ton Cyndy Crawford en mâle hermaphrodite.
Roger Boulard a écrit :
Heille le fif, veux-tu des photos de cul de tapettes et de fifs, au lieu des les effacer je peux te les mailer. Il s'en glisse toujours parmi les belles images de superbe cul d'ailleurs celui d'Estelle la cochonne est pas si pire, ça doit être une bonne botte ! Je respecte ça les fifs c'est pour ça que je te l'offre, mais viens jamais les chercher en personne svp.
Tu respectes les fifs, dis-tu, mais les tapettes
N'ont pas le grand honneur de plaire à tes mirettes.
C'est ton droit de voyeur. N'aie souci d'envoyer
Tes images de cul tu es assez grossier
En écrivant ces mails qui manquent de comique.
Mais que ne restes-tu dans ton outre-Atlantique ?
Roger Boulard, du Québec, a un sens de l'humour Qui sent fort le plouc en mal de calembour. Admettons que ce lieu ne soit pas le plus juste Pour parler de culture et, qu'en paysan fruste, Tu moques Benadi, je t'aurais mieux suivi Si tu l'avais moqué avec un peu d'esprit. |
Mais c'était improbable et de ton con sarcasme Je n'ai tiré nul plaisir et pas même un orgasme. Et comme dit Labiche : "Ce Boulard quel cadeau Il joue avec mon daim". N'est-il sot ce puceau ? Caligula "Oderint dum metuant."
|
Roger Boulard a écrit :
Touché en plein dans le trou du cul,
ce pauvre Caius le romain a pris
une calice de débarque en bas du train
Il se plaint de son arrière-train
Ses hémorroïdes le font souffrir
Plutôt que de mourir, le forum se régénère
et lui frotte l'engin qui du Q dégouline.
Il a suffit d'une remarquable collection de conneries
de son cru, pour que son Q qui pu, il se le fasse botté.
Dommage il nous manquera. lui ne se prend pas
pour un autre, mais un autre l'a pris pour lui.
Présence noire de Caligula. Complice bienheureux de ma schizophrénie Je ne veux m'affranchir des digues de l'envie Et je laisse endurcis d'insurmontables murs Qui dressent vers les cieux leurs beffrois noirs et durs. Je survis dans l'horreur de paraître immature D'avouer de mes mots la chaleur la plus pure Et je cache au profond de mon cœur indécis Les vagues d'un humour aux contours bien précis. Je connais les desseins des âmes tortueuses Qui s'agitent en moi, triples et furieuses, Mais ne sais, inquiet, quelle voix écouter Et finis par choisir leur mort sans intérêt. Si j'osais écouter le soleil de la vie Au feu inextinguible et qui vous sanctifie Je courrais tout le jour sur les pentes des monts De l'humour étouffé sur quoi je me morfonds. Je crierais du sommet des plus hautes falaises Les calembours venus du fond de mes malaises Et je dirais ces mots contraires à mon cœur, Jeux enfantins et doux, dont je hais la saveur. |
Mais le serpent qui siffle un souffle délétère Et se love en mon coeur s'ingénie à les taire. Il roule vicieux les lobes de son corps Luisant d'un éclat froid de haine sans remords. "Ils peuvent te haïr du moment qu'ils te craignent !" Siffle-t-il vers le noir de mes iris qui saignent. "Caligula l'humour", poursuit-il, "est mesquin" Et tout le monde en rit sur ce forum crétin. Annonce les vertus du Mal bien moins futiles Et délaisse ces jeux glucosés aux débiles. Adopte l'humour noir, affûte-toi les dents, Et crache ton venin sur les intervenants De ce triste forum qui ne fait pas sourire Même les plus lurons, qui d'un rien savent rire. Méprise leur sermons ! S'ils veulent te haïr, Prends un auguste pied à leur grand déplaisir. " La guerre ne fait que commencer. Tu abandonnes déjà ? Caligula "Oderint dum metuant."
|
Fait pas chier avec tes vers, Calvaire, Il se prend pour Lamartine, alors que ce n'est qu'une tartine de la part d'une tantouse de Toulouse. Roro |
Si tu te plains des vers Il te faut un bon vermifuge. Mais lis plutôt mes vers Pour être au mieux dans ton refuge De grossier bûcheron. Si le blizzard est furibond Caresse ta copine Ou lis des vers de Lamartine. Caligula |
Ce forum réservé au rire et à l'humour
Coulait des jours joyeux où brillaient tour à tour
Dan, Pym, Stratocaster, Séréni, Marie-Claude,
Les deux Fred, Yves Rogne, Alfred qui échafaude
Ses contrepets obscurs… Bref, tout plein de Gaulois
Pas sérieux du tout, lorsque deux québécois
Roro et Kapitaine, en ploucs d'outre-Atlantique,
Voulurent importer leur étrange comique
De bûcherons urbains. (Comment mieux définir
Cet étrange contraste ? Ils parlent un sabir
De vieux anglofrançois chargé de mots antiques
Et accèdent au top des trucs électroniques !)
Mais comment voulez-vous que l'on rie avec eux ?
Ils postent des e-mails mais dans un patois vieux.
(Evidemment, K@pit@ine ne fut que moyennement heureux d'être mis dans le même sac que Roro. Mais ce n'était qu'un dommage collatéral de cette guerre sans pitié et tout rentra très rapidement dans l'ordre, comme le prouve ce qui suit.)
Santé K@pit@ine !
Élevons notre verre empli jusqu'à ras bord
D'un rouge capiteux qui donne de la mort
L'ivresse lancinante. O Bacchus ! Va ! Délivre
A tes dégustateurs l'oubli d'un savoir-vivre
Beaucoup trop contraignant pour se bien amuser,
Ici et maintenant, en toute liberté.
Qu'il me soit donc permis de moquer, pour rire,
Quiconque se présente, en n'entraînant son ire,
Et que cette "victime", à son tour, sans humeur,
Défende, dans l'humour, sa fierté, son honneur.
Je suis, certes, doté d'un sale caractère
Où s'anime un humour emporté de colère,
Mais malgré cet esprit fou, cruel et retors
Je sais jusqu'où aller et accepter vos torts. :o)
Chalut ti,
Après cette overdose de québécois, je vous propose
de vous détendre avec un autre dialecte local que, personnellement,
je trouve savoureux.
Avertissement : les propos qui vont suivre contiennent des mots susceptibles
de choquer les correcteurs orthographiques les plus endurcis. Pour leur
sécurité, il est recommandé de les désactiver
avant d'aller plus loin !
Depuis qu'el' ch'tiot roro l'a débarqué su ch'forum, rin n'va pu. J'y tir' min capiau, l'avot bin réuchi sin coup, l'aut' brinleux, y doit êt' contint de l'merde qu'ya foutu. A forche ed' balinquer an' flopée d'messach' ed'injures à sin nom et à çui d'pauv' gars qui n'y étiot pour rin, tous les gins d'ech'forum chont complèt'min perdus. Y n'vérifiotent pas ché intêt' et maint'nin as' gueulent ed'sus com' ch'marchindes ed' pichons su' ch'vieux port. Y'in avot mêm' chertains qu'étotent tel'min dégoûtés qu'y veulent s'in aller plutôt qu'ed che marrer com' y l'fasiotent avint. Ché portin fachil' à comprinde qu'ch'étot just'min sin but à ch'pitoyabe fouteux d'brin. Faites com' mi, rechtez ichi sin z'écouter les minabes ch'trolls à roro. Y l'a beau chinger d'nom, j'la r'conno tous l'timps à caus' d'sin accint et du nomb' ed' fois qu'y parlot ed'merd' !
Bravo à ceux qui sont arrivés au bout et amitiés aux gars du ch'nord.
(Et voici la traduction de Caligula)
Depuis que ce forum eut subi de Roro |
A ne s'inquiéter des en-têtes réelles Les gens tout éperdus se cherchèrent querelles Comme sur le vieux port marchandes de poissons ! Et le dégoût mena nombre de gais lurons A parler de départ avec arme et bagages D'un lieu bien trop souillé par ces tristes outrages. Pourtant il est aisé, même au moins prévenu, De voir que ce brenneux n'avait pas d'autre but. A mon instar, amis, évitez les paroles |
Caligula a écrit :
Bénito a écrit :> et Caligula lui a répondu grossièrement comme à son habitude.Ce Caligula là vient du Canada et a pour nom Roger Boulard !
Je suis confus ! Comment n'ai-je pas senti la différence ?
Caligula, le vrai, plus que souvent sauvage Et cruel parfois, ne se départit pas Au pire des états où l'ait porté sa rage Du plus pur des styles, et ma foi, c'est sympa. Ainsi donc, c'est cela. Boulard était son nom. Du Canada lointain, nous ne connaissions, Mais dont l'accent chanté était une portion, Je me gausse bien sûr, car je sais que là-bas Ici, loin du combat, nous oublions souvent Assoupis, engourdis, nous avons bien besoin Votre Roger pourtant, jette un froid, il est vrai, |
Votre con patriote, faute de con science Malgré nos con cessions et notre con passion Joue les con qui s't'adore, étale des con pétances Dont on se con trefou et ce sans con trition. Profitant d'être loin (téméraires sont ceux là
Il n'a donc point compris, qu'en ce monde un peu fou, Élève toi Boulard, surpasse ce que tu es ! Tu verras ton passé laissé loin en arrière,
Et ce jour là, sans doute, une toute charmante Bientôt tout changera : ta tribu grandira Bénito
|
Comme j'étais morose, allongé, sans vigueur, Trop attentionné aux soupirs de mon coeur, Survint devant mes yeux vides du moindre rêve Le superbe Apollon au corps brillant sans trêve. "Caligula, dit-il, cesse de repolir Momo le Vertueux la Charte sut brandir, |
Tu voulus un combat et loyal et sincère Mais Boulard le loubard excitant ta colère Répondait sous son nom, en son langage cru, A tes appels au calme et au droit reconnu De faire de l'humour dans le respect des normes, Mais signait sous ton nom des insultes énormes. Il te fit donc passer pour un gros salopard, Sut tromper Julio et fit croire avec art Que ce Caligula, tabarnak et calice ! Portait sur lui l'horreur de tout ce préjudice. Le pauvre québécois ne voulait que poster Un malheureux binaire, ou un truc jpg, En échange de quoi il recevait l'injure De Caius l'empereur à l'âme bien trop dure. Il a donc réussi son terrible forfait Seul l'humour du forum, avec le temps qui passe, Caligula "Oderint dum metuant."
|
Je n'ai point ouïe parler de ce Germanicus Qui jadis à toi fit cet aveu malheureux, Et pour ne plus mentir car j'en ai fait le voeu, Pas plus de Bénito que d'autruche née russe. Mon prénom est Benoît. Pourtant je suis le seul, Mais ce Caligula contre qui tu guerroies Mais sans Alexandrins, c'est vrai qu'il se morfond. Or, sais tu les raisons de ce mutisme froid ? C'était durant l'horreur d'une profonde nuit. Car ton doux soupirant, ne fut pas toujours sage, Je crois bien que parmi ceux qui l'ont vu venir Certains ont réussis, pourtant à supporter, Pour voir ce jour béni, il leur fallu pourtant |
Comme il le dit lui même, pour Roger ce fut long D'entrer parmi les gens qu'on dit civilisés. Et c'est bien naturel que ceux qui furent visés, En aient gardés gravés quelques traits sur le front. Caligula à toi s'en prends mais qui vise-t-il ? Un mot à Marie-Claude, amazone fidèle, A notre vraiment ancien qu'on nomme Micro-magnon, A tous nos québécois, Steve Vallée, K@pit@ine,
A tous les autres aussi, que je n'ai pas cités A tous je voudrais dire : si ce n'est déjà fait, Consentez, s'il vous plaît, (voyez : j'y met les formes) Il ne restera plus, après ça, ici bas Bénito. ~<;o{P
NTK : "En vers et contre tous !" (Caligula dixit) |
Pour notre Caligula que j'osa usurper ! En mangeant mes beans en caleçon arrosé de sirop sur le balcon les deux pieds dans la marde du gros nounour Nicole et moi on se faisait des mamours En lui fouillant dans la brassière |
Les boutonneux entonnaient le décapsulage de leur crème contre l'acné et rêvaient de dépucelage Nicole, Marie-Claude, Katsa, Vanille et la belle Hélène, toutes de crème furent beurrées jusqu'à l'aine. Caligula Roro
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Roro est très Balourd Et quand il fait la cour A sa tite Nicole Tout frh rigole. Parce que notre Roro |
Et Roro est si ridicule (Même sans la virgule) Et l'a si minuscule Qu'on rit quand il encule. Dès qu'il voit un post de Nicole |
Il est tellement finaud Ce pauvre pauvre Roro Que frh devient chaque jour Aussi drôle que Balourd. Caligula "Oderint dum metuant."
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Allez maintenant je vais vous raconter les Noces de Tiroro sur une musique
évidemment géniale de Wolfgang Amadeus Mozart. Vous ne pourrez
en entendre la merveilleuse harmonie, puisque comme chacun le sait les fichiers
*.wav ne sont pas autorisés sur ce NG. Toutefois je vous donne les
paroles. (C'est déjà ça. Et comme n'a pas dit Marie-Claude
: Nul n'est ténu à l'impôt cible.)
Les Noces de Tiroro.
Il était bûcheron sur la froide banquise Tabarnak ! Le Balourd devint rouge pivoine Quarante neuf printemps assombrissent le charme |
Mais Nicole se prit à l'aimer, malgré elle, Ce qui montre le goût de cette demoiselle. Qu'il soit vieux et bourru et qu'il sente du bec ? Qu'importe ! Son Roro est mâle du Québec. Ainsi de posts en posts tout leur amour s'exprime. Et nos deux tourtereaux invitent à leurs noces Caligula "Oderint dum metuant."
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(Un jour, désabusé et peu fier de ma dernière contribution, je confiais à Marie-Claude :)
Yann Gaudy :
Humm... C'est à ch... (oups, j'ai failli dire une bêtise car
dès qu'on parle de m...., ça attire Roro, la moucham').
C'est affligeant. Non, tu vois, je n'arrive pas à remonter le niveau.
Le climat ambiant n'est pas propice, il ne m'inspire pas. Et puis même
si j'y arrivais, ça serait noyé, dilué dans la médiocrité.
Y'a des jours...
* * *
* * *
(*) : Référence à un précédent message de Marie-Claude :
Trouvé dans Macadam Journal :
Au cours de sa vie, l'individu consacre l'équivalent de trois ans et demi à manger, fait l'amour 2580 fois, et développe 1.82 mètre de poils de nez selon des statistiques compilées par la BBC pour une émission sur le genre humain. Les téléspectateurs apprendront aussi qu'ils passent en moyenne deux semaines à s'embrasser et six mois aux toilettes. Les chercheurs de l'enquête révèlent aussi qu'un enfant a déjà produit 145 litres de salive à 12 ans et rampé sur 150km à 2 ans. (AFP)
* * *
* * *
* * *
Écoeurer, ça non, je ne l'avais pas prévu... Désolé
!
Je me conformerai à la réglementation du CSA en affichant
les sigles :
O : Texte tout public.
/\ : Ce texte comporte des mots susceptibles de choquer la sensibilité
des plus jeunes.
X : Texte violent ou à caractère pornographique.
Illogique ? Les autres, je ne sais pas, mais moi je peux l'être (pas de manière systématique car ça deviendrait un comportement logique !).
PS : Si j'étais "lumière", crois-tu sincèrement que je perdrais mon temps sur ce forum ?
* * *
> Je peux même espérer avoir amusé Roger vu qu'il ne m'a pas flammé...Tu étais mieux de m'amuser, mon p'ti-criss !
> (long et parsemé d'embûches est le chemin...)Je vis dans les bois, tu penses pas que les embûches je suis drôlement plus habitué que toi. Connais tu ça le bois ?
* * *
Et ben l'ami, me demander à moi si je connais le bois ? T'es vraiment le plus fadaraud des pelauds ! T'étais encore acafouné dans ta bourrasse à brediller et à cuiner dans les gounelles petassées de ta mère que je gambadais déjà dans la forêt, tout masiblé par les éronces, à foussiner dans les jarjasses pour débusquer les grelets, les poutarauds et les giraudelles ou à chapuser en écoutant frelasser les feuilles quand le vent bufe. Ah, ces crises de rire lorsqu'il fallait courir dans la sagne après les vaches ébravigées parce qu'on avait oublié de fermer la clidière. T'es si tellement brelaud que tu dois préférer gansouiller, après une bonne éramissée, dans un gouillassou au point d'être tout trouillé.
* * *
* * *
PS : Pour le lexique creusois, j'y posterai peut-être si vous m'y demandez gentiment...
* * *
Écoute, si tu veux continuer à sacrer sur les pitounnes, je suis partant. Je ne te veux surtout pas de mal moi non plus, mais bon, je suis pris depuis peu d'ailleurs. Tu es juste le 4 ième fif à revendiquer le titre. Crime poff. (Petit pet de soeur mais en fait, très gentil juron, un tout petit criss atténué)
Faut pas se lâcher, aussitôt Nicole revenu d'Angleterre on t'invite à la partouze, on fera cela à Terre-Neuve ou à St Pierre Miquelon. Allez je te dit au revoir et à bientôt Yann. Salue les enfants de ma part.
> Pour le lexique creusois, j'y posterai peut-être si vous m'y demandez gentiment...J'insiste, j'insiste...... s'il te plaît. Roger bûcheron comme toi.
NTK : Notre cour du sacre de la pitounne se passe bien de blague souvent idiote.
* * *
Adi : au revoir Acafouné : emmitouflé Bardassou : Homme parlant beaucoup de façon peu claire Berdancer : remuer en faisant du bruit Beziner : travailler trop lentement Bezizi : bavarde, mauvaise langue Bigou : qui a mauvais caractère Bourasse : lange Brediller : s'agiter, gigoter Bredin : sot, bête Brelaud : simple d'esprit Bufer : souffler Cagne : truie Chapuser : travailler un bout de bois avec un couteau Clidière : barrière de champ Cuiner : pleurer pour un bébé Ebravigé : échappé Effargaillé : affolé, agité Embeziner : ennuyer, irriter Eramissée : averse Eronces : ronces Fadaraud : bête et prétentieux Fafiote : sotte Faire faute : avoir besoin de Foussiner : chercher, fouiller Frelasser : bruisser Gansouiller : jouer avec l'eau |
Giraudelles : girolles Gouillassou : flaque d'eau Gounelles : vêtements féminins informes Gramogne : croûtes sur la peau Grelet : grillon Jabrasser : parler beaucoup pour dire n'importe quoi Jarjasse : terre mal entretenue avec des broussailles Manger la noce : être invité à la noce Masiblé : égratigné Niau : oeuf en plâtre servant à faire pondre les poules à un endroit déterminé (la personne qui le ramassait en allant chercher les oeufs était raillée ; par extension, utilisé dans le sens d'idiot, de demeuré). Novie : jeune mariée Pelauds : ceux de la ville (péjoratif) Petassé : raccommodé, rapiécé Plaindre : ménager, économiser Poutaraud : coulemelle Puze : furoncle Rapporté : étranger, habitant n'étant pas originaire du coin Ravasser : se livrer à une activité confuse Reprocher : se dit d'un aliment qu'on a du mal à digérer Rouffer : ronfler, gronder Sagne : prairie humide Trouillé : mouillé et boueux Vouloir mal : être hostile Youffer : crier sur un ton aigu |
Sonnet pas drôle.
Un lundi pas marrant. Je dis : Comment ce fait-ce ? Je télécharge lourd mais pour trop peu de blagues
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Yves Rogne est venu pour partir aussi vite Et nous demande encor d'aller voir sur son site L'étrange Kicéti. C'est tout, c'est Carambar. Depuis bien trop longtemps j'ai un mastoc cafard Caligula "Oderint dum metuant."
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(En ce temps là fut créé l'I.R.B. : Ignorons Roger Boulard. Mais Caligula avait bien d'autres définitions à nous proposer...)
IRB : Ignare, Roublard, Boulard.
IRB : In Ridentes Bacchatur. (Il se déchaîne contre ceux qui
rient)
IRB : Imbécile Rarement Bâillonné.
IRB : Internautes Récréativement Buggués.
IRB : Impolitesse, Rudesse, Bassesse.
IRB : Idoles Rapidement Brûlées.
IRB : Impitoyables Rires Brutaux.
IRB : Irrésistibles Raisons de se Barrer.
IRB : Invasion, Résistance, Batailles.
IRB : Ignorance, Répugnance, Balance.
IRB : Ici Ressuscitera Byzance.
Un nouveau disait ainsi : Rien compris à Boulard.
Voici donc une petite historiette pour éclairer ta lanterne.
Il était une fois, un beau pays nommé frh. Il était
occupé par un petit peuple gai et joueur qui aimait se raconter de
belles histoires, des légendes effrayantes ou des blagues. Lutins,
nains, fées, gnomes, sirènes et mêmes sorciers vivaient
plus ou moins en harmonie où les rares disputes ne généraient
rien de plus méchant que des batailles de feuilles.
Mais voilà, ce tableau idylique ne devait pas durer. Les belles histoires
ont toujours un passage où un malheur arrive ! Un jour, un pas lourd,
très lourd, très très lourd se fit entendre et fit trembler
la forêt où aimait à se réunir le petit peuple
: un géant armé d'une hache était arrivé.
Sur sa salopette, on pouvait lire le nom Roro. C'est sa maman qui l'avait
brodé dessus car Roro était si peu soigneux qu'il aurait pu
la perdre. Avec le nom dessus, il y avait une chance pour qu'on puisse la
lui rapporter. Le petit peuple appris donc que l'envahisseur s'appelait Roro.
Il n'était pas si méchant que ça le grand Roro mais il
était bête, maladroit et assez
mal élevé. Avec ses grands pieds, il ne se rendait pas compte
qu'il écrasait d'abord les jardins du petit peuple puis le petit peuple
lui-même. Comme il ne savait pas chanter, chaque fois qu'il ouvrait
sa grande bouche, ça sonnait faux et rendait les gens plutôt
nerveux. En plus, comme il parlait très fort et qu'il était
bavard comme tous les géants, le petit peuple finit par ne plus pouvoir
en placer une et, après les premières récriminations,
les plus sages partirent voir ailleurs s'il ne faisait pas plus calme, tandis
que quelques nains essayèrent, mais en vain, de faire taire la brute.
Celle-ci fut néanmoins séduite par une frêle sirène
qui l'amadoua un peu par son chant et le géant essaya de modérer
un peu son langage de bûcheron. La petite Nicole avait réussi
à sauver une partie du beau pays de frh mais que la tâche était
lourde pour une si frêle créature ! Le géant toujours
aussi remuant était toujours là.
Alors, n'écoutant que leur courage, quelques lutins, mages et fées
organisèrent une résistance en plaçant par ci par là
quelques belles histoires lorsque le géant dormait. Puis, d'autres
inventèrent des boules "Filtre" pour ne plus entendre la grosse voix.
D'autres enfin se réunirent et nommèrent leur groupe IRB : Interdiction
au Roro de nous les Brouter.
Tous les contes doivent finir par une fin heureuse mais notre histoire n'est pas finie. Les lutins, les fées, les elfes et tout le petit peuple reviennent régulièrement jeter un coup d'oeil dans leur belle forêt. Le géant va-t-il partir ou bien s'adaptera-t-il à vie des gens du beau pays avant que celui-ci ne meure entièrement dévasté ? Suite au prochain numéro
A la Titania du Forum. (suggestion d'accompagnement musical : Mendelssohn)
Le magnifique songe d'une nuit d'été,
Qu'élégamment ici tu viens de nous conter,
A transporté mon âme au pays enchanté
Des forêts d'autrefois alors souvent hantées
Par d'espiègles lutins, de gros trolls capricieux,
De joyeux farfadets et des elfes gracieux.
Quel bonheur de laisser son esprit s'envoler,
S'évader chez les fées et puis batifoler.
Tu as su recréer l'atmosphère onirique
De la cour d'Obéron peuplée d'êtres magiques.
Au plus fort du récit, un incident tragique
Perturbe l'harmonie du peuple féerique.
Quand le géant survient et sème la panique,
En ne respectant rien, c'est vraiment dramatique !
Espérons que finisse cette roro-mania,
Et puis-je en attendant t'appeler Titania ?