En vers et contre le Bûcheron FRH
Dis vers !
L'anniversaire de Caligula



 
Ne sont-ils pas mignons,
Dites-moi, ces deux cons ?
Deux Alfred ça me lasse
Je parle des Wallace.
Le premier de ces deux
Qui poste, s'il ne pète,
Des contrepets foireux
Avait perdu la tête.
Il crut qu'un imposteur
Lui volait, sans pudeur,
Un nom bien ordinaire
Par Isis ! Quelle affaire.
Les Wallace sont deux ?
Nouveau, si tu t'embrouilles,
Songe que tous les deux
Font la paire de couilles.
 
Caligula   "Oderint dum metuant."


 
Statocaster
Sait pas se taire.
Y a plein d'idées
Dans ses papiers.
Y en a pour tous,
C'est fabulous.
Absolutely,
Je vous le dis.
Quand il raconte,
Bon est not'compte.
Cent lignes au moins
Nous mènent loin :
La galaxie
Ou Trifouillis
Dans un champs.
David Vincent
Y est déjà.
Restez pas là !
Atomisé,
Vous le seriez.
La faute à qui ?
Au bon Scotty ?
Non : Queurqounet,
Le grand benêt !
La suite bientôt
Dite par Strato ...
 
Marie-Claude   (Strato, une histoire !)

Caligula parut et il parla en vers.
(En beaux alexandrins et autres pieds divers.)
Et voilà Marie-Claude, (un pilier), qui s'escrime
Pour nous faire goûter les beautés de la rime.
Yann Gaudy s'essaya, avec un beau succès,
A montrer tout autant des rimes les beautés.
Allons nous découvrir sous la plume fébrile
De ce Stratocaster comme un autre Virgile ?

NTK :
Caligula parut, en César de péplum,
Et dit très fier de lui : "Le vers est au forum."

Caligula   "Oderint dum metuant."

Marie-Claude, il est vrai, est Muse parmi nous.
N'a-t-elle pas calmé sagement les remous
Qui agitaient ce lieu, (devenu une foire
De Forum qu'il était), pour rendre toute gloire
A l'humour malmené par un vrai québécois
Et un Caligula quelque peu discourtois.
Je ne suis pas, hélas, objet de son estime
Mais lorsque j'aperçois qu'elle use de la rime
Je me dis, en moi-même: "Hé bien Caligula,
Marie-Claude te fait un clin d'oeil bien sympa."

Caligula   "Oderint dum metuant."

Guyno a écrit : Demain, j'ai 33 ans et la vie va continuer. C'est dur d'être un Guynono.

Remets-t-en ! 33 ans l'âge du Christ, c'est pas une croix à porter ?

A Guyno le Vieux Bélier :-)
 
Le cours impétueux de la vie et des ans,
Comme un flot tranquille imprime ses stigmates
Sur ton corps étonné des reflets vieillissants
Que t'envoie le poli des ondes scélérates.

Tu n'as plus ces vingt ans qui cherchaient innocents
Le plaisir d'être aimé. Parfois chien, parfois chatte,
Tu brûlais d'enflammer leurs yeux attendrissants,
Leurs corps si chaleureux et ta joie incarnate.

Ivre et émerveillé tu goûtais des plaisirs
Toute recrudescence et fuyais l'accalmie.
Tu aimais ruisseler d'innombrables désirs :
Papillon butinant le nectar de la vie.

Maintenant éveillé de ce rêve abyssal
Tu acceptes les ans et leurs rudes stigmates,
L'horrible quarantaine urge son pas fatal
Et viendra pour blanchir tes tempes disparates.

Mais à trente-trois ans la vie est belle encor
Et venir au forum consacré aux sourires
Laisse bien présager le juvénile essor
Qu'excitent à jamais l'humour et ses délires.
  
  
  
  

Caligula   "Oderint dum metuant."


Cher Strato,

Quand je lis de David les moites aventures
Où il doit se farcir de glauques créatures
Je me dis, en moi-même, à mon corps défendant,
Que l'eau est bien fangeuse avec ce vain qui sent.
Ah, cher Stratocaster, le suspense insoutenable
Du sort de ce David, victime pitoyable
D'un train d'atterrissage, appelle de mes voeux
La suite d'un récit que je sais merveilleux.
Non, non ! David Vincent n'a pas rejoint les limbes
Du Styx marécageux ni des anges les nimbes...
Ce Vincent est vivant, pourrais-je imaginer
Qu'il n'ait pu se sortir de ce mauvais guêpier ?
(Bon, je sais, un étang ce n'est pas une ruche
Mais, cher Roger Boulard, sans te traiter de cruche,
C'est une expression que les cons de Français
Disent, peut-être à tort, quand ils sont mal barrés.)
David doit s'en sortir ! Ecris, jusqu'à la crampe,
Pour que mort n'engloutisse un homme de sa trempe :-)

Caligula   "Oderint dum metuant."

Ah la la les copains, nous voilà mal barrés,
Si pour nous raconter il nous faut rimailler.
Compter les vers, c'est bien, mais pourquoi en avance ?
Ils nous guettent, impatients de rentrer dans la danse,
Font litière de nos peurs, s'amusent de nos maux,
Certains, les sales bêtes, d'avoir le dernier mot.

Alors moi, de ce pas, au jardin je vais, seul,
Bêcher et ratisser. Et si j'en rencontre un,
Avec ma pelle en biais, je lui fous sur la gueule !
Des vers, des asticots, ce sera le Verdun !
Des fois qu'ils s'imaginent que c'est eux les plus forts !
Désolé, les petits, mais ch'uis pas encore mort.

Voilà de bonnes raisons pour ne pas versifier.
Et si l'on m'y prenait, que le diable m'encorne !
Le boulot, les impôts, mille raisons de s'faire chier.
Faire des vers ? Foutredieu, ça dépasse les bornes !
Je laisse aux histrions ce délicieux passe-temps.
Me voir faire des vers ? Eh ben y f'ra beau temps !

Vic


 
Ah, que ce trio de poètes,
Avec Caligula en tête
Marie-Claude en muse secrète
Et DAN en musicien de fête,
Donnez-nous des moments de joie
En maniant le vers tous les trois
Pour nous permettre d'être bien
Nous, les acteurs frhiens.

Caligula :
Que la Rome antique se réveille
Qu'elle nous délecte de ses merveilles
Tout en restant dans le présent
D'aujourd'hui et de maintenant.

Marie-Claude :
La chaleur du sud nous envahit
Sous l'emprise d'une égérie
Qui sait être généreuse
Comme l'est une bonne Gueuse.

DAN :
D'un accord sur ses cordes tendues
Il nous redonne cette envie perdue
De venir voir chaque jour
Les news remplies d'humour.
  

Fred, le mosellan
frhien et fait rien.


 
Un jour, en un asile, était un aliéné
Qui au bout d'un long fil une brosse à dents menait.
Vint alors un gardien, quelque peu étonné :
"Qu'il est beau votre chien", comme s'il le caressait.

D'aucun en fut surpris, dardant sur le maton
Des yeux de merlan frit, soudain, haussa le ton :
"Mais ce n'est point un iench, c'est une brosse à dents
As-tu fumé un oinch pour l'ignorer autant ?"

Sur ce s'en fut, content, trouver le médecin :
L'homme était de longtemps soumis à tant de maux
Qu'une telle guérison, surgie un beau matin
Était à la raison le fruit de durs travaux.

L'insensé chemina où mènent ses errements
Où, sauf, il oublia la crainte d'être vu
Alors, d'un demi-tour, regardant l'instrument
"Hé hé ! T'as vu, Médor ! Du coup, on l'a bien eu !"

*        *        *

Un jour, en un asile, était un infirmier
Qui se souciait surtout de la pédagogie
Il rassembla donc fous, schyzophrènes, névrosés
En un superconcile. Cela fait, il leur dit :

"Oyez ! Car aujourd'hui, nous allons applaudir !
Ce geste sera un passe pour votre liberté :
En frappant comme ceci, allez-y, vous verrez
Vous quitterez l'impasse de vos propres délires !"

Les voici donc, coincés, agitant leurs deux bras
Cherchant au prix d'efforts à joindre les deux bouts
Soudain, un aliéné lança tel un cobra
Ses mains hâlées de fort, l'une à l'autre, tout à coup !

Stupéfaction partout jusqu'à ce qu'ils comprissent
Qu'il était leur champion! Hourras dans l'assemblée !
Alors, comme un seul pion, car par lui subjugués
Criant, hurlant, debout, ensemble, ils l'applaudissent 

*        *        *

"Ayé !" s'écrie le fou, "je suis guéri docteur !
Enfin, j'ai pu cesser de me prendre pour un ver !
Jésus, qui m'a parlé, et vous êtes mes sauveurs
Je suis passé par tout, maintenant tout est clair !"

"Eh bien", répond le psy, "que diriez-vous alors
D'un tour au poulailler ? C'est l'ultime examen

Si vous la franchissez, c'est que vous êtes fort
En ce cas c'est promis, vous sortez dès demain."

"Impossible ! En ce cas je serai dévoré !
Car moi, je ne suis plus ce patient insensé
Qui se croyait repu de bières et d'oubli
Mais les poules ne sont pas, quant à elles, averties !"

Olivier Pérès


 
Personnages :
Le citharède =  Stratocaster.
Les Nymphes = Marie-Claude, Katja, Chantal...
Les Faunes = Fred, Fred, Micro-magnon...

Le citharède.
Que les Faunes couverts de leurs sacrés branchages
Forment la ronde en se donnant la main !
Que les Nymphes jolies sortent de leurs bocages 
Pour entonner avec moi le refrain. 

Le choeur des Nymphes et des Faunes.
Oui ! Chante-nous les colères d'Estelle,
Son sourire d'enfant 
et sa fleur éternelle
Salie horriblement sur un site arrogant. 

Le citharède.
C'est nue que cette fille est plus belle à dépeindre
Mais qui ira s'en plaindre ?
Sûrement pas Vénus ni le choeur des Amours
Qui m'offrent leur concours.

Le choeur des Nymphes et des Faunes.
Oui ! c'est vrai qu'Halliday dans sa nudité belle
Sur nous tous étincelle.
Ha ! Chante encor les grâces d'un pubis,
Chèrement interdit et ses seins fleur de lys !

Le citharède.
Qui soufflera les mots bien précis pour décrire 
L'éclat de son sourire,
Si le flash d'un cliché le plus beau, le plus pur,
Reste bien trop obscur ?

Le choeur des Nymphes et des Faunes.
Tes doigts seraient-ils gourds et ta voix enrouée
Que sa jeune beauté, 
Te rendra citharède à la voix enjouée
Par ton chant inspiré.

Le citharède.
Ne vous y trompez pas 
Faunes, Nymphes des bois,
Les traits de cette Estelle
Que la loi immortelle 
Protège des regards
De grossiers vicelards
N'ont rien de mièvre !
Quelle ardente fièvre,
Son doux reflet 
Imprime sur les eaux
Qui ont regret
De n'être pas vitraux !

Le taureau fait surgir ses mugissements forts
Quand il ressent de Vénus les transports,
Dans les bois le grand cerf, à la gueule écumeuse,
Brame à l'envi vers la biche amoureuse.
Semblable est le désir qu'Estelle et son pubis
Donnent à tous les Netnautes transis.

Ses traits sont juvéniles
Et son sourire brillant.
Son front est le ferment
Des passions viriles...

Le choeur des Nymphes.
Cesse ! ô poéte inspiré par Vénus,
Laisse-là tes couplets émus.
Les Faunes impudiques
Désirent, avec nous, retrousser les tuniques.

Le choeur des Faunes.
Cesse ! ô poète inspiré par Vénus,
Laisse-là tes couplets émus.
Les Nymphes fort amènes
Désirent, avec nous, muser sous les troènes.

  
  
Caligula   "Oderint dum metuant."

Surprise ! Me voici devenu Micro-Faune.
Mais que les nymphes ne restent pas aphones.
P'tites sirènes laissez tomber vos mégaphones.
Au coeur du p'typhon, venez jouer du sexy Faune.

Paléolithically correct. Micro-magnon.


 
Le timide Michel de Vénus ne connaît
Pas encor les élans où chacun se complaît.
Certes par son emploi de guide de musée
Il en voit chaque jour la statue élancée,
S'en approche toujours en frémissant de peur
Mais n'en reçoit jamais un soutien prometteur.
Prierait-il vainement cette douce déesse
Et n'y aurait-il rien pour calmer sa détresse ?

La bibliothécaire, Anne pour les copains,
S'étonne que Michel adresse aux dieux païens
Des voeux. Serait-il fou ? Comme cela l'intrigue
Elle suivit Michel, qu'elle jugeait bon zigue,
Prêta l'ouïe et rit en entendant son voeu.
Pauvre, pauvre Michel ! Bien triste est son aveu
De n'avoir pas connu l'amour et ses délires !
Anne était très sensible et laissa ses sourires.

Michel si malheureux lui parut bien trognon.
Elle voulut alors s'occuper du garçon.
Elle sut l'inviter à boire un ou deux verres,
Il se laissa convaincre aux ardentes prières
D'Anne qui l'invitait à surmonter sa peur
Et à montrer l'ampleur de toute sa vigueur.

"Mon cher Michel, dit-elle, enserre-moi, caresse
Mes beaux seins turgescents. Oui, oui, oui ! Vas-y presse,
Tâte et réjouis-toi." Michel s'enhardissant
Caresse les beaux seins qu'Anne heureuse lui tend.
"Le ventre ! Oh mon Michou ! Caresse-moi le ventre !"
Le bienheureux garçon s'applique et se concentre.
"Caresse-moi le con." Mais le charmant puceau :
"C'est drôle ! C'est ainsi qu'on m'appelle au bureau."
  

Caligula   "Oderint dum metuant."

Mon premier est une couche ou un terrain sédimentaire.
Mon deuxième est un des quatre éléments.
Mon troisième est craint des banquiers.
Mon quatrième est aussi un des quatre éléments mais différent de mon deuxième.
Mon tout est un rigolo de ce forum que j'adore même si ce n'est pas réciproque.
(Strate - eau - casse - terre)

Caligula   "Oderint dum metuant."

Tiens, te revoilà tombé dans le syndrôme du Caligulaméro !!! ;-)
Je te suggérerai d'ôter la coquille d'oeuf qui te sert de chapi-chapeau (patapo !!!), donc pour toi cette ode à l'empereur iconoclaste et rigolard de frh :

Ode à Caligula
 
Ô empereur romain, ta coquille sur la tête,
Ta toge de blanc nacré, ta couronne de lauriers,
Il en est une de trop, la première est en fait,
Ridicule et trop lourde, pour un si grand guerrier.

Quelle est donc la source de cet étrange syndrome,
Qui d'un grand personnage, perturbe la vêture ?
Je ne sais trop pourquoi, serait-ce un palindrome,
Mot en soi réciproque, qui orne ta toiture ?

Cette coiffure héritée du noir Caliméro,
Est l'incarnation même de ton triste SOS,
Palindrome parfait déguisé en chapeau,
Je ne sais trop pourquoi tu ressens la tristesse.

C'est vrai, j'ai répondu à un de tes messages,
Mais avec un smiley, je n'allais pas me taire,
Car d'un appel au s'cours, ça avait l'apanage,
Et l'on peut rire de tout avec Stratocaster.

Aussi je voulais dire à toi, Caligula,
Qu'il n'est pas usurpé de croire que tu fais rire,
Rigoler tu m'as fais, et ceci bien des fois,
Il n'est donc pas question pour moi de te haïr.
  
  
  
  

Stratocaster, Emporio Fenderi...



 
Le jour où j'épousais ma femme,
Elle avait de son premier lit
Une fille à l'oil plein de flammes
De laquelle mon père s'éprit.

Mon père était veuf mais très tendre :
Avec ma fille il se maria,
Ce qui fit que mon père devint mon gendre
Et que je fus le beau- père de papa.

Ma belle fille devint donc ma mère !
Or, moi je fus bientôt père :
C'est ici que ça se corse beaucoup !
De ma belle-fille mon fils fut le frère !

Mais là ne s'arrête pas tout,
Car étant le beau-frère de mon père,
Il devint mon oncle du même coup !

La jeune femme de mon père,
(Mon ancienne fille par conséquent)
Devint à son tour l'heureuse mère
D'un gros garçon très bien portant.

Ce fut, c'est clair, mon petit-fils,
Mais il fut également mon frère
Puisqu'il était le fils de papa.

Suivant la ligne de famille
Et les usages établis,
Il est clair que le fils de ma fille
De ma femme devint le petit-fils.

Or, comme il se trouvait être mon frère,
Il arriva, c'est juste ma foi,
Que ma femme devint ma grand-mère !
Bien qu'ayant 14 ans de moins que moi !

Et dans ce bizarre amalgame
Un jour il se trouva qu'ainsi,
Je fus le petit-fils de ma femme
Dont j'étais également le mari !

Voilà comment, chose singulière
Je devins mon propre grand-père.
Et le suis encore aujourd'hui ! »

Joël Toesca

Essayez d'établir l'arbre généalogique de cette famille ! Vous avez là de quoi occuper de longues soirées d'hiver !



 
Allons enfants de l'apathie, 
Le jour de gloire est arrivé
Contre les cons de la tyrannie
Titine trois enfin s'est levée (bis)

Entendez-vous dans tous ces foras
Mugir ces pénibles nanards
Qui viennent jusque sur frh
Polluer de leur messages ringards

Aux armes citoyennes ! Osez être titiniennes !
Volons, volons
Que les ducons dégagent des forums

Que veut cette horde de  larves,
De brêles et de nuls conjurés ?
Pour qui ces ignobles messages,
Tous ces mails si mal préparés ?

Françaises pour nous ah quel outrage
Que cette langue si mal châtiée !
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à un si vil langage !

Tremblez tyrans ! Et vous, perfides,
L'opprobre de tous les puristes,
Tremblez ! Vos projets françiciddes
Vont enfin recevoir leur fustige.

Sous nos drapeaux, que la victoire
Accoure à nos nobles accents
Que nos ennemis expirants
Rendent à frh toute sa gloire.
  
  
  

Marie-Claire


 
Au point où on en est...
vous permettrez bien que je geigne une litanie macabre :
 

SUPPLIQUE POUR TOUT ENTERRER
SOUS LES EXOCETS

Nous, humour et bon goût, ne pouvons tolérer
Qu'autant de malappris traînent la morve au nez
Et qu'ils soient aussi imbéciles.
Alors, cernés de près par les cons atterrants,
Nous croyons bon de mettre à jour leur testament,
De leur payer un codicille.

Arme dans l'aube grise de Juvisy sur Orge,
Arme, Arme Titine, ô fidèle artilleur,
Et de ta plus belle Saturne,
Exécute ce qu'il faut faire subir à leur corps,
Et apaise notre âme par ces rugueux accords,
La musique de leurs cris nocturnes.

Quand ces ânes auront pris leur vol à l'horizon
Vers cet oubli complet que méritent les cons,
On y verra plus clair sur Usenet,
Et sur leur sol natal les dinosaures blasés
Pourront peut-être encore la mort éviter…
De effèrache et ses causettes.
  

Georges B. (Cosi)


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