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 eu de choses distinguent vraiment Webstub du cityguide Webcity. Les deux marques jouent dans la même cour. Comme Webcity, Webstub a vocation de s'inscrire dans la famille des réseaux de sites internet de proximité. A l'heure actuelle, sept métropoles ou régions françaises sont couvertes : Aquitaine, Alsace, Bretagne, Champagne, Lorraine, Lyon, Marseille, Toulouse. Le label créé en janvier dernier est en quête de notoriété. Seulement 600 à 700 visites hebdomadaires sont recensées.
Côté contenu, rien que l'on ne connaissait déjà : les articles sont courts et proposent des idées de sorties et de shopping, des restos à essayer, des expos à aller voir. Cependant ici, difficile de distinguer le publi-rédactionnel des infos pratiques au sens strict. L'internaute retrouve tout un tas de services classiques : il peut y déposer gratuitement ses petites annonces, intervenir sur le forum de discussion, bavarder sur le chat (discussion en direct), ou encore inscrire son site dans l'annuaire des web de la région.
La paternité du concept revient en fait à Networkcouncil, filiale internet de Première Base, une agence de communication parisienne. Cette startup s'est fixé l'objectif ambitieux de devenir un des principaux acteurs de l'internet de proximité en France d'ici à l'année prochaine. Et pour atteindre son but, Networkcouncil envisage d'étendre la couverture géographique du magazine à vingt-sept métropoles ou régions françaises.
Pour rentabiliser le coût de fonctionnement de ses bureaux locaux qui occupent chacun au moins trois personnes (un ou deux rédacteurs, un webmaster et un commercial), Networkcouncil parie sur la publicité et la vente de prestations internet en local. Ainsi pour 5 000 F HT, Webstub alias Networkcouncil se propose de créer un site web de cinq pages pour des annonceurs locaux qui le souhaitent 
>lire aussi le portrait de Cécile Fichet, rédactrice à Webstub Aquitaine |
