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LA DERNIERE TORPILLE

de Michael DiMercurio


Titre original: Terminal Run

Couverture Ricaine

Septième et ultime roman de DiMercurio paru aux USA en 2002.

Traduit de l'américain par Dominique Chapuis

 et le capitaine de vaisseau Denis Chapuis.

Pour la France, paru aux Editions de l'Archipel en Avril 2003.

 

RESUME CRITIQUE - VOTRE AVIS

 

 

   Depuis les évènements relatés dans Menace en Haute Mer, le haut commandement de la marine des Etats-Unis est décapité. La plupart des officiers généraux ont péri à bord du Princess Dragon, désintégré par des torpilles à plasma au large de la Virginie. Parmi les rescapés, l'ancien chef d'état-major, l'amiral en retraite Michael Pacino, dit "Patch".

 

   Le responsable de ce massacre, un groupe terroriste, a depuis piraté les réseaux de l'armée américaine et pris le contrôle du fleuron de l'US Navy, le Snarc  un sous-marin sans équipage doté d'un cerveau biologique surpuissant et qui s'est révélé imbattable lors d'essais en mer. Le terrible objectif du Snarc se dessine silencieusement au fond de l'Atlantique : s'approcher suffisament de la côte Est des Etats-Unis pour y lancer ses missiles balistiques à plasma.

   Pour défendre son territoire, l'Amérique a-t'elle encore un recours ? Pas tant que toute ses forces sous-marines sont postées en mer de Chine, où la situation est critique entre la Chine Rouge et l'Inde. A moins de faire appel au vieil amiral Pacino et lui confier son dernier prototype de sous-marin. Sera-ce l'ultime combat de "Patch", face à son ennemi de toujours, celui qui tua son père, celui qui voudra tuer son fils, l'amiral Novskoy...

 

 

   Ca y est, mon libraire préféré vient enfin de recevoir La Dernière Torpille ! Plus un instant à perdre en ce chaud week-end de Juin, je fonce chez moi, débranche mon téléphone, mets la BO de Das Boot en fond sonore puis m'installe confortablement pour une bonne après-midi de lecture. Pour les fans de DiMercurio qui comme moi avait été déçu par son dernier Menace en Haute Mer, je peux vous affirmer que j'attendais ce moment avec beaucoup d'appréhension.

   Je pensais dévorer ce roman en une journée, il m’aura fallut une semaine… vous l’avez compris la déception a été importante. Un seul mot me vient à l’esprit pour résumer La Dernière Torpille : excès. En voulant faire de la surenchère par rapport à ses six précédents romans et pour clore la saga Pacino sur un coup d’éclat, DiMercurio nous emmène dans une suite d’actions ininterrompues où s’entremêlent maladroitement vengeance, haine, sexe et amour sur fond de sous-marinade.

   De plus si l’on pouvait se passionner à juste titre pour les évolutions technologiques que nous décrivait DiMercurio dans ses précédents opus, ici on sombre dans un véritable délire futuriste frisant parfois le comique. Entre le superordinateur qui se met à bouder et les torpilles ayant besoin d’un sédatif pour rester calme, on a droit à un festival d’absurdités. Plusieurs fois je me suis arrété en me demandant si "DiM" n'avait pas franchi pour de bon la ligne jaune :o)

 

 

Le jeune Michael DiMercurio lors de la remise du diplôme de l'Académie Navale américaine en mai 1980.

 

   Cependant l'auteur semble avoir tenu compte des critiques de son précédent roman puisqu'il laisse à nouveau la part belle au conflit ouvert entre nations mais quelque chose manquait... Cela n'engage que moi, mais je suis vite arrivé à saturation lors de ma lecture si bien que j'ai parfois sauté des passages qui me passionnaient auparavant. Est-ce une overdose de DiM ? Je pense plutôt que c'est son style qui a nettement perdu en intensité et en force, pour m'en convaincre j'ai même dû relire quelques passages d'Opération Seawolf!

 

 

Le Jolly Roger, symbole des forces sous-marine

américaines. "Rapide - Silencieux - Caché - Mortel"

Le ton est donné...

   Il y aurait sûrement beaucoup d'autres choses à relever et je suis persuadé que les pros en erreurs techniques s’arracheraient les cheveux à chaque page.

   Pour ma part j’ajouterais que les bases de l’intrigue sont très peu crédibles et que certaines scènes m’ont laissé plus que songeur :

  • des officiers sous-mariniers chinois qui mitraillent à la Kalachnikov des naufragés américains façon 1944,
  • l’US Navy qui bombardent 40 superpétroliers en transit dans le canal de Suez pour ralentir la Royal Navy,
  • le seigneur Pacino aux commandes de son sous-marin : "on ne peut pas plonger au-delà de 50m ? Immersion 400m à vitesse max !!"

 

   L'écorchée ci-dessous représente la partie arrière de l'USS Devilfish, un sous-marin expérimental remanié par l'amiral Pacino pour affronter le Snarc. Je pense que le podium de l'absurdité revient à cette "invention" :  le changement est en rouge et je n'ose vous dire quel fut son utilité car c'est sûrement la partie la plus délirante du roman...  nom de code TESA.

 


   Malgré tout certains passages demeurent passionnants notamment lorsque Pacino junior passe sa qualification d’officier de quart, mais finalement au regard de l’épopée « Patch » Pacino on constate que le style s’est époumoné et que DiMercurio est allé au-delà de son inspiration, il était grand temps qu’il y mette un terme. Comme pour confirmer mes dires, son site officiel ( www.ussdevilfish.com ) a annoncé depuis peu qu’une toute nouvelle saga était en préparation et qu'elle sera dans le même esprit que la dernière mais dans le présent : un retour aux sources en quelque sorte… ;o)

 

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--- DEBUT DE TRANSMISSION ---


20/08/04
De:
Marc - Niort(France)


Autant les autres tomes relatifs à Pacino étaient haletants et apportaient tous un peu de nouveauté au genre, autant La Dernière Torpille est pauvre en intrigue et en rebondissements.

Di Mercurio se complait dans les descriptifs techniques (fondés ou non ?) comme si, au fait de sa gloire et après plusieurs romans, il avait encoe besoin de prouver qu'il "s'y connait" en sous marins et sur leurs secrets.

Le bon vieux principe d'écriture de ce type de roman est en plus trop visible. La présentation des personnages/intervenants est fastidieuse, ils sont bien trop nombreux pour que le fil de l'intrigue puisse respirer, la convergence vers le dénouement/bataille finale est lourde et, dès les premiers chapitres, on comprend que tout le bouquin repose sur la scène finale.

Pas de rebondissements en cours de route, tout se joue à la fin. Ca semble écrit comme un bon vieux film US à grand spectacle avec la Grand Scène Finale qui coûte un tas de dollars mais rien avant.

Donc déçu mais je laisse les 5 étoiles aux autres avec un bonus à Coulez le Barracuda et au Sous Marin de la Dernière Chance.

 

NOTE: **

 


07/08/04
De:
Mikawa (France)


Tout à fait d'accord avec vous, ce livre est d'une absurdité insondable, j'ai été notamment choqué par la méconnaissance qu'à l'auteur de la technologie des avions de combat américains (les F-22 et autres J-35 sont conçus pour emporter leur armement en soute ou bien dans des packs furtifs et non pas comme de vulgaires A-6...)

Dommage l'idée de base était bonne: un sous-marin automatique, l'allié britannnique qui a des intérêts stratégiques divergents. Curieux ce complexe de supériorité qui transparaît aussi chez Tom Clancy : un seul sous-marin suffit à supprimer une quelconque menace, l'ennemi n'emploie aucune contre-mesures, les probabilités d'impact sont quasiment égales à 100% (bien entendu le matériel US ne tombe jamais en panne, ce qui doit faire rêver bien des opérationnels...), Et pour couronner le tout les conventions internationales sont bafouées allègrement (mitraillage de naufragés chez DiM, destruction d'avions non identifiés comme hostiles sûrs chez TC et personne n'est sanctionné quand l'erreur est avérée)

Tout cela laisse à penser que ce qui est reproché actuellement à l'équipe Bush (non respect des lois de la guerre, refus de reconnaître le tribunal pénal international, vision hégémonique n'acceptant aucune contradiction) est peut-être révélateur d'un malaise plus profond dans la société américaine...

 

NOTE: **

 


13/03/04
De:
Kevin (France)


Pour moi c'est de loin le meilleur de ses romans.

 

NOTE: *****

 


30/12/03
De:
Seawolf.thesub (France)


Tout d'abord, je n'ai pas vu de lien vers son site mais en voilà un:

 

www.ussdevilfish.com

 

Di Mercurio est un bon pour ne pas dire très bon écrivain sur les sous-marins, à part en effet un léger manque de crédibilité sur la puissance de destruction de certaines armes (charges à plasma).

Sache que le Vortex est inspiré d'une torpille russe: le Shvalk (je ne sais plus trop comment çà s'écrit). Le Shvalk aurait coulé le Koursk (d'après des renseignement officieux...)

 

La particularité de Di Mercurio que je préfère est sa manie de détailler les évennements lents et de passer sur les rapides.

 

En gros, je l'adore, même si Octobre Rouge à comme qui dirait un certain charme. En revanche, je déteste Patrick Robinson

 

Amicalement,

ps: j'ai un site, seawolf.thesub.free.fr et je ferais un(des) page(s) sur les sous-marins, merci pour l'idée!

 


18/06/03
De:
Nelson - Marseille (France)


J'ai aussi tenté de le lire...Trop futuriste, à la limite de l'imaginable...Bref si vous n'avez rien de mieux à vous mettre sous la pupille de l'oeil mais par défaut.

 

@ pluches sous les zondes !!

 


17/06/03
De:
Francois Mermoud - Munich (Allemagne)


Si vous souhaitez comme moi vous réconcilier avec DiMercurio, ce livre est fait pour vous. L’auteur revient à un style beaucoup plus mesuré que dans ces deux précédentes œuvres, et présente des situations beaucoup plus réalistes, bien que pouvant paraître encore parfois extrêmes. Les règlements de compte personnels se mélangent avec un scénario politique des plus intéressants, qui aurait pu faire un livre en soi en étant un peu plus étoffé. Là, il perd un peu de son charme.

 

Personnage secondaire dans les volumes précédents, le fils de Pacino, Anthony Michael, prend ici du grade, en bien. La relève de la famille Pacino est assurée, mais le petit est beaucoup plus humain que son père, moins parfait, ce qui le rend plus proche du lecteur.

 

Comme toujours, les descriptions de DiMercurio sont impressionnantes par leur niveau de détail, leur réalisme, et son style toujours aussi rapide et percutant. DiMercurio laisse l’Aéronavale faire ses preuves, et sans être la meilleure scène aéronautique que j’ai lu, sa description d’attaque aérienne reste un excellent moment du livre.

 

Une chose toutefois, j’aimerais que pour une fois, un des Pacino finisse un livre sans perdre son sous-marin ou passer au ras de la mort en sauvant la terre (ou les Etats-Unis, ce qui revient au même)

 

NOTE: ***


--- FIN DE TRANSMISSION ---

 


 

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1. SONAR SPHERIQUE 2. BALLASTE AVANT 3. TUBES DE LANCEMENT VERTICAUX 4. TORPILLES STOCKEES 5. MECANISME DE LANCEMENT DES TORPILLES 7. PONT SUPERIEUR DE COMMANDEMENT 8. ALVEOLES D'INTERFACE Intellic107/Humain 9. ECOUTILLE ET SAS D'ACCES 10. CHAMBRE STERILE DU PROCESSEUR CARBONE 11. PONT MEDIUM - ELECTRONIQUE 12. PONT INFERIEUR - BALLASTE 14. MATS ET ANTENNES MUTLIFONCTIONS 15. TURBINE D'ALIMENTATION GENERALE 16. TURBINE DE PROPULSION 17. CONDENSATEURS 18. CONDUITES D'ALIMENTATION PRINCIPALES 19. REACTEUR NUCLEAIRE 21. GENERATEUR AUXILIAIRE 22. POMPE 20. PRESSURISEUR 23. ESPACE CONTROLE MOTEUR 24. MOTORISATION PRINCIPALE 25. ESPACE BATTERIES 26. BALLASTES ARRIERES 27. SYSTEME DE STABILISATION ET D'ORIENTATION 28. PROPULSEUR